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Les échangeurs à contre-courant ou échangeur méthodique ⇒ les courants vont dans des sens opposés. Dans un échangeur méthodique, le coefficient d'échange est sensiblement supérieur à celui d'un échangeur anti-méthodique et la température de sortie du fluide froid peut être plus élevée que la température de sortie du fluide chaud. Θ EF : Température entré du fluide 1 Θ SF : Température sorti du fluide 1 Θ ECH : Température entré du fluide 2 Θ SCH : Température sorti du fluide 2 les échangeurs à courants croisés.
Ces types d'échangeurs représentent les cas des échangeurs gaz-liquide et liquide-gaz utilisés dans la récupération thermique (fumées ou gaz chauds). On le trouve aussi dans les différents systèmes thermodynamiques tels que pompes à chaleur ou groupes de réfrigération. En génie climatique, ces échangeurs sont appelés batteries à ailettes.
Le flux par convection est proportionnel à la différence de température entre la surface et le fluide. Transfert de chaleur -Version 1.5 Le taux auquel l'énergie thermique et l'énergie mécanique entrent dans un volume de contrôle, plus le taux auquel l'énergie thermique est générée dans ce volume, moins le taux auquel l'énergie thermique et l'énergie mécanique sortent de ce volume doit être égal à la variation d'énergie stockée dans ce volume. j i i CNi J J 1 J M Équation 5.36
Il a fallu longtemps pour que l'on puisse distinguer entre les divers types d'échanges de chaleur et les classer en rayonnement, conduction, convection naturelle et convection forcée. D'ailleurs ne parle-t-on pas encore de «radiateurs» de chauffage central ou d'automobile, bien qu'une partie importante du flux de chaleur soit transmise à l'atmosphère par convection naturelle dans le premier cas et par convection forcée dans le second? Le phénomène de la conduction de la chaleur existe dans tous les corps, solides ou fluides. Celui-ci se traduit par une élévation de température de proche en proche qui, pour les solides, correspond à un accroissement de l'énergie de vibration du réseau cristallin et, pour les fluides, à une transmission d'énergie cinétique opérée par les chocs entre les molécules. C'est à J. Fourier (1822) que l'on doit la théorie analytique de la conduction de la chaleur qui a amené, en dehors des applications physiques, à des progrès en analyse mathématique (cf. équations aux DÉRIVÉES PARTIELLES, SÉRIES TRIGONOMÉTRIQUES).
Dipôle LC : association en série d'un condensateur chargé de capacité C et de charge initiale 0 et d'une bobine d'inductance L et de résistance négligeable. 1. Eude expérimentale Quand l'interrupteur est en position 1 (voir figure 1) on charge le condensateur Lorsqu'on bascule l'interrupteur K en position 2 (voir figure 2), le condensateur se décharge dans la bobine idéale d'inductance L et de résistance nulle r=0 (ce qui est difficile de réaliser pratiquement car quel que soit la bobine, sa résistance est non nulle, donc c'est un circuit idéal). Lorsque l'on regarde l'évolution de la tension () du condensateur ; on observe alors l'apparition d'oscillations électriques non amorties (oscillations électriques harmoniques). 2. Equation différentielle Pour établir l'équation différentielle, on utilise la figure 2. Conditions initiales : à l'instant t=0, (0) = = Appliquant la loi d'additivité des tensions, on a : + = 0 ∶ = avec = = = + = (= 0) ⟹ = 2 2 Variable : + = 0 ⟹ + 2 2 = 0 ⟹ 2 2 + 1 = 0 ⟺ ̈+ 1 = 0 (1) Variable q + = 0 = = ⟹ = 2 2 ⟹ + 2 2 = 0 ⟹ 2 2 + 1 = 0 (2) 3. Equation horaire ou solution de l'équation différentielle Soit () la variable, la solution de l'équation différentielle est : () = (0 +) : Amplitude (valeur maximale de la tension ()) 0 : Pulsation propre [rad/s] : Phase initiale de la tension () à la date t=0 3.1. Détermination de la pulsation propre 0 Remplaçons la solution et sa dérivée seconde dans l'équation différentielle (1) : () = (0 +) ⟹ = − 0 sin(0 +) ⟹ 2 2 = − 0 2 (0 +) ⟹ 2 2 +
2014
Dans cette etude on s’interesse au rafraichissement par la geothermie. Cette technique tres simple et moins chere n’est pas pratiquee chez nous. Elle reduit la consommation des hydrocarbures en limitant la pollution; Cette technique renouvelable exploite l’energie thermique du sol dans un echangeur enterre dit puits canadien ou puits provencal utilise pour chauffer ou rafraichir l’air qui circule dans des tubes enterres a quelques metres de profondeur.
DESCRIPTION Europlexus Cours sur les tuyauteries fixes I
Module Ingénierie des systèmes multitechniques.
A. Généralités sur le transport et le transfert de l'énergie thermique De tous temps, les problèmes de transmission d'énergie, et en particulier de la chaleur, ont eu une importance déterminante pour l'étude et le fonctionnement d'appareils tels que les générateurs de vapeur, les fours, les échangeurs, les évaporateurs, les condenseurs, etc., mais aussi pour des opérations de transformations chimiques. En effet, dans certains systèmes réactionnels, c'est la vitesse des échanges de chaleur et non la vitesse des réactions chimiques qui détermine le coût de l'opération (cas de réactions fortement endo-ou exothermique). En outre, de nos jours, par suite de l'accroissement relatif du prix de revient de l'énergie, on recherche dans tous les cas à obtenir le rendement maximal d'une installation pour une dépense d'énergie minimale. Les problèmes de transfert de chaleur sont nombreux, et on peut essayer de les différencier par les buts poursuivis dont les principaux sont : l'augmentation de l'énergie transmise ou absorbée par une surface, l'obtention du meilleur rendement d'une source de chaleur, la réduction ou l'augmentation du passage d'un débit de chaleur d'un milieu à un autre. Le potentiel qui provoque le transport et le transfert de l'énergie thermique est la température. Si deux points matériels placés dans un milieu thermiquement isolé sont à la même température, on peut affirmer qu'il n'existe aucun échange thermique global entre ces deux points dits en équilibre thermi-que (il s'agit bien d'un équilibre thermique car chacun des points matériels émet une énergie thermi-que nette de même module, mais de signe opposé). Le transfert de chaleur au sein d'une phase ou, plus généralement, entre deux phases, se fait de trois façons : a) Par conduction. Ce transport de chaleur se produit au sein d'une même phase – au repos ou mobile, mais tranquille (absence de remous) – en présence d'un gradient de température. Le transfert de chaleur résulte d'un transfert d'énergie cinétique d'une molécule à une autre molécule adjacente. Ce mode de transfert est le seul à exister dans un solide opaque. Pour les solides transparents, une partie de l'énergie peut être transmise par rayonnement. Avec les fluides que sont les gaz et les liquides, la convection et le rayon-nement peuvent se superposer à la conduction. b) Par convection. Le transfert de chaleur par convection se produit entre deux phases dont l'une est généralement au repos et l'autre en mouvement en présence d'un gradient de température. Par suite de l'existence du transfert de chaleur d'une phase à l'autre, il existe dans la phase mobile des fractions du fluide (ou agrégats) ayant des températures différentes. Le mouvement du fluide peut résulter de la différence de masse volumique due aux différences de températures (on parle alors de convection libre ou naturelle) ou à des moyens purement mécaniques (on parle alors de convection forcée). Lorsqu'un fluide est en écoulement, une partie du transfert de chaleur dans le fluide se fait également par conduction et, dans le cas d'un fluide transparent, un transfert de chaleur par rayonnement peut accompagner les deux transferts précédents. c) Par rayonnement. Un point matériel chauffé émet un rayonnement électromagnétique dans toutes les directions situées d'un même côté du plan tangent au point matériel. Lorsque ce rayonnement frappe un corps quel-conque, une partie peut être réfléchie, une autre transmise à travers le corps (dit diathermique si tout est transmis), et le reste est quantitativement absorbé sous forme de chaleur. Si on place dans une enceinte deux corps capables d'émettre un rayonnement thermique, il existe entre ces deux corps à températures différentes un échange de chaleur dû à l'absorption et à l'émission de ces rayonnements thermiques. Cet échange de chaleur est désigné habituellement sous le nom de rayonnement. Les transferts par rayonnement se poursuivent même lorsque l'équilibre thermique est atteint, mais le débit net de chaleur échangé est nul. Ce type de transport de chaleur est analogue à la propagation de
2012
Dans cette etude, les distributions de temperature sont developpees a travers les conditions transitoires pour atteindre l'etat stationnaire dans un echangeur a deux tubes coaxiaux. Un schema unidimensionnel de differences finies a ete utilise pour analyser la distribution de temperature et de pression dans cet echangeur de chaleur. Les proprietes thermophysiques des fluides utilisees varient avec la temperature le long de l'echangeur. La conduction thermique axiale dans les parois et le transfert (...)
Afin de comprendre le cycle frigorifique : il est tout d'abord nécessaire d'en maîtriser ses bases physiques. Sachant qu'il existe 3 états de la matière, à savoir : solide, liquide et gazeux. Il est courant de dire que ces 3 états dépendent de la température. Prenons l'exemple connu de l'eau : On a l'habitude de dire qu'elle est : à l'état solide en dessous de 0°C ; de 0 à 99°C : elle est à l'état liquide et à partir de 100°C : elle passe à l'état gazeux. Mais cela est seulement vrai dans les conditions de pression atmosphérique normales à savoir 1 atm, soit 1.013 bar. Si les conditions de pression changent : les températures de changement d'état vont également varier Ainsi, à une pression plus basse : une matière à l'état liquide nécessitera une température moins importante pour passer à l'état gazeux. A l'inverse, si on augmente la pression dans une matière à l'état gazeux son passage à l'état liquide se fera dans des conditions de température bien moindres. C'est précisément ce principe qui est utilisé avec le fluide frigorifique d'une PAC ou d'un frigo : -le fluide liquide est amené à une pression basse (BP) où son point d'évaporation est réduit. la chaleur nécessaire à son passage à l'état gazeux est captée dans le milieu. -le fluide est ensuite compressé et amené à haute pression (HP) où sa température de condensation (soit son passage de l'état gazeux à liquide) sera bien moindre. La chaleur dont doit se débarrasser pour changer d'état est relâchée et le fluide redevient liquide. -il est ensuite détendu à basse pression et le cycle peut recommencer. En résumé : (𝐁𝐏) Basse Pression → 𝐄𝐯𝐚𝐩𝐨𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 ; (𝐇𝐏) Haute Pression → 𝐂𝐨𝐧𝐝𝐞𝐧𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 Il est à noter que le fluide utilisé est choisi selon sa capacité à (absorber/relâcher) la chaleur à des pressions données. Chaque fluide possède ses caractéristiques et certains fluides seront par exemple davantage utilisés pour créer du chaud, alors que d'autres correspondront plus à la création de froid. 3) Notions de diagramme enthalpique (de Mollier) Le diagramme enthalpique, aussi appelé diagramme de Mollier : est une notion importante dans la compréhension du cycle frigorifique. Il s'agit d'un graphique spécifique à chaque fluide : exprimant son niveau de saturation pressiontempérature sous forme de cloche. L'axe des abscisses : exprime l'enthalpie du fluide soit la quantité d'énergie contenue pour 1 kg de ce dernier. L'axe des ordonnées est consacré à la pression (absolue). De manière très simplifiée : Voici un diagramme d'enthalpie : montrant la cloche de saturation d'un fluide. Au-delà de cette cloche : le fluide est saturé et ne peut plus changer d'état.
La présente Prénorme européenne (ENV) a été adoptée par le CEN le 28 novembre 1996 comme norme expérimentale pour application provisoire. La période de validité de cette ENV est limitée initialement à trois ans. Après deux ans, les membres du CEN seront invités à soumettre leurs commentaires, en particulier sur l'éventualité de la conversion de l'ENV en Norme européenne. Il est demandé aux membres du CEN d'annoncer l'existence de cette ENV de la même façon que pour une EN et de rendre cette ENV rapidement disponible au niveau national sous une forme appropriée. Il est admis de maintenir (en parallèle avec l'ENV) des normes nationales en contradiction avec l'ENV en application jusqu'à la décision finale de conversion possible de l'ENV en EN. Les membres du CEN sont les organismes nationaux de normalisation des pays suivants Secrétariat Central: rue de Stassart, 36 B-1050 Bruxelles © 1997 CEN Tous droits d'exploitation sous quelque forme et de quelque manière que ce soit réservés dans le monde entier aux membres nationaux du CEN. Réf. n° ENV 1991-2-5:1997 F
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