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Entretien avec l'éditrice Emmanuelle Heurtebize, autour de la création de la collection Delcourt littérature. Janvier 2018
Revue Internationale Des Droits De L Antiquite, 2012
Le Professeur Felix Wubbe a 90 ans ! Sa carrière est d'une grande richesse. Sa personnalité est également unique à mes yeux. Il y a tellement de choses à dire sur celui qui nous rassemble ici que Pascal Pichonnaz a dû faire des choix que j'imagine difficiles : Quels thèmes aborder dans le cadre de ce symposium ? Le sujet qui m'a été attribué est donc : Felix Wubbe et la Société Internationale Fernand De Visscher pour l'Histoire des Droits de l'Antiquité. Je considère évidemment que c'est un très grand honneur d'être invité à dire quelques mots dans ce cadre. Cela me pousse à faire trois réflexions introductives : Premièrement, le choix du sujet est intéressant, dans la mesure où il vient combler une petite lacune dans l'interview biographique de Felix Wubbe parue dans la revue néerlandaise 'Pro Memorie' en 20121. J'ai utilisé le mot « lacune », mais il est probablement trop fort, dans la mesure où l'exercice est difficile et être exhaustif dans l'exposé de la carrière de Felix Wubbe n'est pas une sinécure. Mais comme j'essaierai de le montrer, il y a un lien fort entre la SIHDA et Felix Wubbe. Un lien qui profite à la Société, bien plus qu'à Felix Wubbe lui-même d'ailleurs ! Deuxièmement, il faut reconnaître qu'être appelé à parler d'un lien aussi ancien entre une société savante et un de ses membres les plus éminents est exercice périlleux : n'ayant vécu que les vingt dernières années de ce lien, le risque de faire des erreurs n'est en effet pas mince. Mais cette remarque me permet de mettre en avant une des très grandes qualités de Felix Wubbe : Alors qu'au cours de ces dernières années, je me suis intéressé d'un peu plus près à l'histoire de la
texte français de l'article publié en italien par Ezio Pellizer dans Ulisse per sempre (Trieste, 2013, 13-26).
Quod petis saepissime atque instantis-sime, sancte fili. Quodvultdeus, ut de hae-resibus aliquid scribam dignum lectione cupientium dogmata devitare contraria fidei Christianae, et Christiani nominis obumbratione fallentia, scias me olim lon-ge antequam peteres, facere cogitasse, atque fuisse facturum, nisi diligenter considerans quale quantumque id esset, ultra vires meas esse sentirem. Sed quo-niam fateor nullum mihi, ut te, institisse poscendo : in ipsa tam molesta instantia tua etiam tuum nomen attendi, et dixi : Aggrediar et faciam quod vult Deus. Hoc enim Deum velle confido, si me ad hujus operis terminum misericordi favore per-duxerit, ut per ministerium linguae meae tanta hujus rei difficultas aut ostendatur tantummodo, aut ipso etiam plenius adjuvante tollatur. Quorum duorum, quod priore loco posui, jam diu est ut animo volvo ac revolvo, et quadam medita-tione contueor : quod autem postea dixi, non me accepisse confiteor ; et utrum dum hoc ago, ut efficiam, dum peto, dum quaero, dum pulso, sim fortasse accep-turus ignoro : scio me tamen nec petitu-rum, nec quaesiturum ac pulsaturum quantum sat est, nisi et hunc affectum munere divinae inspirationis accepero. In hoc igitur opere, quod te vehementer urgente in Dei voluntate suscepi, cernis Mon saint fils Quovultdeus, vous m'avez demandé bien souvent et avec beaucoup d'insistances d'écrire quelque chose qui fût digne d'être lu par quiconque a le désir d'éviter les dogmes contraires à la foi chrétienne et propres à induire en erreur en s'abritant sous une ombre de christianisme ; je veux que vous sachiez que j'ai pensé à ce travail bien longtemps avant que vous m'en fissiez la demande et que je l'aurais entrepris si, en y regardant de près, je n'eusse senti quelle oeuvre c'était et combien elle dépasse mes forces. Mais comme personne ne s'est plus que vous, je le reconnais, montré pressant dans ses prières, des instances si exigentes m'ont fait réfléchir aux sens de votre nom, et je me suis dit : Je vais me mettre à l'oeuvre et faire ce que Dieu veut. Je suis en effet persuadé que Dieu, s'il me fait, dans sa miséricorde, la grâce de me conduire au terme de ce travail, veut se servir du ministère de ma langue pour montrer au moins,ou bien pour faire disparaître avec l'aide abondant de sa grâce, la difficulté énorme de cette entreprise. Il y a bien longtemps que je passe et repasse dans mon esprit la première de ces deux hypothèses et que je l'envisage dans mes méditations ; quant à la seconde, je n'ose dire que j'aie reçu cette grâce, et je ne sasis si maintenant que je me mets à l'oeuvre, que je prie, que je cherche, que je frappe, je serai assez heureux pour obtenir ; mais ce que je sais, c'est que je ne saurais ni demander, ni chercher, ni frapper comme il faut, si je n'en étais rendu capable par le don de l'inspiration divine. Aussi dans cette oeuvre que j'entreprends, sur les vives instances que vous me faites, par la volonté de Dieu, vous voyez que
Le site néolithique de Tell Mureybet (Syrie …, 2008
Sociologies pratiques
Qu'est-ce qui vous a amenée à travailler sur les fablabs ?
Revue d'histoire contemporaine de l'Afrique, 2023
Cet article revient sur les enjeux de la restitution de la dent le Lumumba qui a eu lieu en juin 2022 à Bruxelles et qui s'est poursuivie avec des cérémonies en République démocratique du Congo (RDC). En revenant sur la façon dont les événements se sont produits, nous analyserons comment les artistes et les acteurs politiques et sociaux ont mobilisé cette dent comme un symbole dans leurs créations ou dans leurs revendications en Belgique et en RDC. Ces éléments permettent d'impulser une réflexion sur la nature historique de cet événement récent.
2013
Manuscrit auteur, publié dans "journées francophones sur les ontologies JFO 2009, Poitiers: France (2009)" Extraction de sous-ontologies autonomes par fermeture des opérateurs hyponymie et hyperonymie
Errance invisible La pauvreté urbaine à travers l’art contextuel new-yorkais, 2021
Chaque soir, des personnes s’endorment dans les rues. Condamnés à vivre dans une extrême précarité, les sans abri sont devenus les habitants invisibles et inaudibles des métropoles. Alors, des artistes s’engagent pour faire entendre leur voix. En 1988, Krzysztof Wodiczko réalise son œuvre Homeless Vehicle dans les rues de New York pour et avec ces personnes. L’année suivante, Martha Rosler présente sur un écran de Times Square Housing is an Human Right, afin de dénoncer cette situation et interpeller la population sur les dérives gouvernementales du libéralisme. Dix ans après, Michael Rakowitz parsème les rues new-yorkaises de paraSITE. Un intérêt commun pour un même sujet, dans un lieu identique, à une période proche interroge. Ces trois artistes ont un parcours différent, leurs thèmes artistiques de prédilection diffèrents. Nous pourrions résumer le travail de l’artiste polonais Krzysztof Wodiczko à ses projections liées aux conflits armés, celui de la New-Yorkaise Martha Rosler à l’engagement féministe en photographie, et celui de l’artiste d’origine irakienne Michael Rakowitz à la réappropriation du patrimoine antique mésopotamien. Pourtant, ils réalisent chacun une œuvre dans l’espace public questionnant les problèmes de logement à une même période.
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Les Enfants de Simmel; ed. Denis Thouard, 2023
Kindler Kompakt Französische Literatur 20. Jahrhundert, 2016
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2020
Miscellanea Asiatica Mélanges en l’honneur de Festschrift in Honour of Françoise Aubin Edited by DENISE AIGLE, ISABELLE CHARLEUX, VINCENT GOOSSAERT and ROBERTE HAMAYON Institut Monumenta Serica, 2010
Travail de la femme et le Plafond de Verre , 2022
TRAVAIL DE FIN DE CYCLE DE GRADUAT, 2020