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156 pages
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Trésors inconnus du Musée de Mariemont, vol. 1, 1966
Bruxelles, Publications des Facultés universitaires Saint-Louis, 360 p., 1985
La tradition qui va d'Évandre à Ancus Marcius est analysée en profondeur sous quatre aspects : historicité, composition, évolution, signification. Préoccupé par les problèmes de méthode et travaillant dans une perspective pluridisciplinaire (linguistique, religion, ethnologie, archéologie,...), l'auteur remet en question beaucoup d'idées reçues, notamment sur la valeur et l'utilisation de la tradition littéraire comme source historique. [Ce document a été généré automatiquement le 4 juin 2019. Il est issu d'une numérisation par reconnaissance optique de caractères et sa pagination ne correspond pas exactement à celle de l'édition originale de 1985]
École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques. Livret-Annuaire, 2014
dans L'Antiquité Classique, tome XLIV, 1975
Réactions au monumental ouvrage d'E. Gjerstad, "Early Rome", Lund, 6 tomes, 1963-1973.
dans Hommages à Jozef Veremans, éd. par Freddy DECREUS et Carl DEROUX, Bruxelles, 1986
Cet article présente ici quelques réflexions suggérées par nos recherches personnelles et par la lecture de travaux récents. Elles s'adressent moins aux archéologues ou aux historiens de profession qu'à tous ceux qui, à l'occasion d'une lecture de Tite-Live ou de Virgile, voire au détour d'un fragment de Névius, de Fabius Pictor, d'Ennius ou de Caton, se sont interrogés sur le rapport à l'histoire des grands récits traditionnels qui nous sont familiers. Albe sera au centre de ces réflexions mais il sera également question de Lavinium, car il est difficile de traiter de la préhistoire albaine de Rome, sans envisager aussi, ne serait-ce que succinctement, le volet lavinate.
Bruxelles, Académie Royale de Belgique, Classe des Lettres, 517 p. , 2000
C'est l'ensemble de la tradition sur les rois de Rome, de Romulus aux Tarquins, qui fait l'objet d'un examen attentif dans cet ouvrage à nette orientation méthodologique. Centré sur les rapports difficiles entre la tradition et l'histoire, il paraît à un moment où se pose une nouvelle fois avec acuité le problème de l'interprétation des découvertes archéologiques, et où l'on voit d'éminents fouilleurs se fourvoyer dans leurs reconstructions historiques parce qu'ils tentent d'interpréter leurs trouvailles à la lumière d'une tradition littéraire dont ils ne saisissent ni la nature ni les spécificités, et qu'ils lisent au premier degré. -- Après un exposé détaillé de la réalité complexe et multiforme qu'est la tradition, le livre propose deux séries de développements, la première consacrée à des questions d'historicité (les caractéristiques de nos sources, la méthode proposée, ses applications), la seconde à des questions de composition (les motifs grecs, les anachronismes, les étiologies, l'héritage indo-européen avec une réévaluation de la signification des travaux de Georges Dumézil). Il rappelle sans compromission certaines règles élémentaires de critique historique, et la leçon qui s'en dégage est qu'on ne peut pas utiliser les textes littéraires n'importe comment : pour le faire correctement, il faut d'abord et avant tout bien en connaître les particularités. -- En fait, cette étude ne s'adresse pas seulement aux historiens de l'Antiquité et aux spécialistes des textes narratifs grecs et latins. L'optique méthodologique adoptée devrait attirer l'attention de tous ceux qui, quelle que soit leur spécialité, se préoccupent des rapports de l'histoire avec la légende, le mythe ou la tradition.. [Ce document a été généré automatiquement le 4 juin 2019. Il est issu d'une numérisation par reconnaissance optique de caractère. Sa pagination ne correspond pas à celle de l'édition originale]
dans Actes du Colloque international "Éliade-Dumézil" (Luxembourg, avril 1988), éd. Ch.-M. Ternes, Luxembourg, 1988
On trouvera ici quelques observations et réflexions sur les recherches de Georges Dumézil. L'article examine d'abord la manière dont elles sont reçues par les spécialistes contemporains des origines et des premiers siècles de Rome, ensuite le rôle et la place à accorder à G. Dumézil dans la problématique du sujet, enfin certaines «stratégies de présentation» des vues de G. Dumézil auprès d'esprits de bonne foi, mais réticents ou sceptiques.
Louvain-Kinshasa, 473 p. (Université de Louvain. Recueil des Travaux d'Histoire et de Philologie. 4e série, fascicule 37), 1967
Notre thèse de doctorat sur la légende sabine des origines de Rome a été présentée à l’Université de Louvain en novembre 1962 et a été publiée sous le titre "Recherches sur la légende sabine des origines de Rome, Louvain-Kinshasa", 1967, 473 p. -- Peut-être le lecteur pourra-t-il disposer un jour du texte complet. Pour le moment, il ne trouvera ici que la Table des Matières (p. 467-473) et la section intitulée : "Perspectives finales et conclusions" (p. 411-433). Mais plusieurs articles, déjà déposés sur Academia.edu, abordent le sujet étudié dans la thèse. Le plus important d’entre eux est certainement celui intitulé "Les Sabins aux origines de Rome. Orientations et problèmes", paru dans "Aufstieg und Niedergang der römischen Welt", I, 1, éd. H. Temporini, 1972, p. 48-135 et accessible sur Academia.edu
dans Les Études Classiques, tome XLVII, 1978
Cet article (en deux parties) voudrait présenter quelques acquisitions récentes de l'archéologie et montrer dans quelle mesure elles confirment ou infirment la tradition littéraire. Sous notre plume l'expression « les origines et les premiers siècles de Rome» recouvre une très longue période: depuis la seconde moitié du IIe millénaire avant Jésus-Christ (1500-1200) jusqu'au milieu du Ve siècle avant Jésus-Christ (fin de la civilisation dite archaïque). Dans la tradition, cela correspond en gros à la préhistoire lavinate et albaine, ainsi qu'à la période royale et au début de la République.
dans Narration et interprétation. Actes du colloque organisé les 3, 4 et 5 avril 1984, à l'occasion du 125e anniversaire des Facultés universitaires Saint-Louis (Bruxelles), 1984
Les origines et les premiers siècles de Rome L'histoire d'une interprétation par Jacques POUCET Professeur aux Facultés universitaires Saint-Louis Les origines et les premiers siècles de Rome forment, dans l'historiographie, un sujet extraordinairement complexe qui a donné lieu à une énorme bibliographie. Comme nous ne disposons que de fort peu de temps et que par ailleurs l'auditoire est composé surtout de spécialistes de la «chose littéraire», vous comprendrez le double souci de l'historien qui vous parle. Souci d'abord de clarté. Refusant le jargon si courant aujourd'hui dans cèrtains milieux et dans certaines disciplines, il voudrait tenter d'expliquer clairement des choses compliquées, au risque de voir son exposé qualifié de simple, voire de simpliste. Souci ensuite d'aller à ,l'essentiel,au risque cette fois d'être accusé de schématisme. C'est ainsi qu'il ne vous livrera pas une nomenclature détaillée des chercheurs et de leurs travaux (1). Quel que soit (1) Leslecteurs désireux de précisionspeuvent se référer à deux anicles où se trouve évoquée la perspective historique qui est la nôtre ici:
dans Latomus. Revue des Études Latines, t. 51, 1992
L'adjectif «étiologique» caractérise «un récit mythologique qui vise à expliquer la signification et la valeur originelles d'un phénomène naturel, d'un nom, d'une institution ou d'un mode de vie». Quand les membres d'une culture déterminée regardent autour d'eux, ils constatent la présence de multiples realia, qu'il s'agisse d'institutions politiques, sociales, familiales, religieuses, juridiques; de rites, d'usages et de coutumes; de monuments de toute espèce; de toponymes et d'appellations de tout ordre; voire de ce que nous appellerions des bizarreries ou des "curiosa". Tout cela, ils cherchent assez naturellement à l'expliquer. Or expliquer, c'est essentiellement pour eux dire l'origine, dire quand, comment, pourquoi, dans quelles circonstances, ces réalités sont apparues. Les Anciens, tant les Grecs que les Romains, n'ont pas échappé à la préoccupation étiologique. On examine ici les récits sur les origines et les premiers siècles de Rome.
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dans Deux explorateurs de la pensée humaine, Georges Dumézil et Mircea Eliade, Brepols, 2003
dans Les Études Classiques, tome XLVII, 1979
Histoire urbaine, 2001
Introduction de la thèse
Publications des Archives nationales eBooks, 2018
Le monde l'itinérance en Méditerranée, de l'Antiquité à l'époque moderne, Istanbul, 2005, 2009
Le Prestige à Rome à la fin de la République et au début du Principat, R. Baudry et Fr. Hurlet (éd.), p. 149-160, 2016
dans L'invention des grands hommes de la Rome antique. Actes du Colloque du Collegium Beatus Rhenanus, Paris, 2001
dans Aufstieg und Niedergang der römischen Welt, I, 1, éd. H. Temporini, Berlin-New York, 1972
dans Les Études Classiques, tome XXXIX, 1971
Revue européenne des sciences sociales, 2000
Latomus Revue D Etudes Latines, 2010
dans Folia Electronica Classica, tome XVI, 2008