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Communication dans le cadre du projet MorSéCor
2013
de qui j'ai tant appris, et ce, avec beaucoup de plaisir. J'espère avoir de nouveau l'occasion de partager mes pensées linguistiques avec vous, avec ou sans mojito au chocolat. Je remercie ma « marraine d'HDR » Anne Zribi-Hertz, et les collègues qui ont accepté de faire partie du jury de soutenance, Dany Amiot, Mario Barra-Jover, Judith Meinschaefer et Marc Plénat, chacun m'ayant accompagnée d'une manière ou d'une autre durant toutes ces années. Je remercie mes relecteurs de tout temps, toutes circonstances et particulièrement ceux de cet été-automne 2013 à qui je serais toujours redevable de l'aide qu'ils m'ont si généreusement offerte en cette période d'urgence : Karen Ferret, Françoise Kerleroux, Fabio Montermini, Fiammetta Namer. J'inclus à ces remerciements Laura Kallmeyer, Claus Hümpel et leurs adorables enfants, qui, onze ans après, m'ont de nouveau fait le cadeau d'un cadre idyllique pour rédiger certains chapitres de ce mémoire. J'ajoute mes remerciements aux collègues qui m'ont permis de dénouer quelques fils retors de cette fin d'HDR, Claire Beyssade, Olivier Bonami, Fabio Montermini, Fiammetta Namer et Léa Nash, sans oublier Corinne Marius et Jean-François Bourdin dont le généreux soutien logistique m'a été salvateur plus d'une fois ! Je remercie le CNRS de m'avoir accueillie en délégation l'année 2011-2012, durant laquelle j'ai planté de nouvelles graines morphologiques dont ce mémoire porte les premières récoltes. Je remercie par ailleurs mes collègues morphologues, de France et de Navarre, avec une attention particulière à ceux qui ont porté et animé les projets du GDR de morphologie, des Aperçus de morphologie, et du manuel encore en gestation, et auprès desquels j'ai affûté ma pensée au cours de ces dix dernières années :
CMLF, 2012
Dans ce travail, nous présentons une ressource linguistique incluant un lexique –extrait d’un corpus– de noms déverbaux codés par rapport à sa structure argumentale (SA), qui est, à notre connaissance, la seule ressource de ce type pour le français. Pour d’autres langues, il y a des ressources sur la SA des noms déverbaux, comme Nomlex (Macleod & al., 1998) ou NomBank (Meyers & al., 2004), pour l’anglais, ou Ancora (Taulé & al., 2008), pour l’espagnol. Pour le français, si on laisse de côté le lexique sur la SA adjectivale de Kupsc (2009), on trouve seulement des ressources sur la SA verbale ; entre autres : Lexique-Grammaire (Gross, 1975 ; Leclère, 2002) ; LexValf (Salkoff & Valli, 2005) ; SynLex (Gardent & al., 2006) ; DicoValence (van den Eynde & Mertens, 2006) ; Lefff (Sagot & al. 2006) ; TreeLex (Kupść & Abeillé, 2008) ; EasyLex (Gardent, 2009) ; LexSchem (Messiant, Korhonen & Poibeau, 2008) ; LGLex (Tolone, 2011)). Dans notre cas, nous ne nous intéressons pas à un système de très large couverture, mais à un prototype, permettant de confronter certains postulats théoriques à un échantillon significatif des données réelles. Quelque part, on pourrait dire que notre approche est plus qualitative que quantitative. Parmi les questions théoriques que l’on veut vérifier, il y a l’hypothèse de la préservation de la SA (HPSA), selon laquelle les noms déverbaux héritent leur SA des verbes dont ils dérivent.
Faits de Langues, 2007
L’objet de cet article est de déterminer si les noms déverbaux français et espagnols présentent des traces de la valeur aspectuelle de leurs verbes d’origine. Sont d’abord écartées les nominalisations à interprétation concrète qui, en tant que telles, n’expriment pas l’aspect. Dans le cas où les traits aspectuels sont marqués, ils sont souvent fidèles à ceux des verbes de base, bien qu’ils ne soient pas toujours calqués sur eux. Une attention particulière est accordée aux déverbaux d’activités, dont certains, susceptibles de dénoter des événements, impliquent une délimitation temporelle apparemment absente du sémantisme de leur verbe d’origine (e.g. discussion, manifestation). L’argumentation suggère la distinction entre une délimitation intrinsèque et une délimitation extrinsèque des événements.
Langue Française, 2015
A partir de l'étude des noms déverbaux en -eur, cet article vise à comparer les types nominaux agent et instrument. Ces deux types ont en commun de comporter à la fois une composante descriptive ontologique (animés vs artefacts) et une composante fonctionnelle, correspondant à la prédication verbale sous-jacente, elle-même issue de la base morphologique. Nous montrons cependant que le rapport d'hybridation entre composantes ontologique et fonctionnelle n'est pas le même pour les deux types de noms, et concluons que la dimension ontologique détermine dans chaque cas la portée de la composante fonctionnelle.
2010
2 Positionnement théorique 3 2.1 Identification des lexèmes à traiter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2.1.1 Types de nominalisations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 2.1.2 Source morphologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 2.2 Définition des classes aspectuelles nominales . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 2.2.1 Classes aspectuelles verbales s’appliquant également aux noms . . . 6 2.2.2 Classes aspectuelles propres aux noms . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 2.2.3 Hiérarchies (verbale et nominale) des classes aspectuelles simples . . 8
Recherche & formation, 2014
Faut-il parler de déprofessionnalisations au pluriel ? Tentative de thématisation de deux processus de remise en cause de pratiques professionnelles > Florent CHAMPY CNRS, université Toulouse 2-Jean-Jaurès, Centre d'études et de recherches travail, organisation, pouvoir (CERTOP) C'est une richesse du dossier sur la déprofessionnalisation, publié dans le numéro 72 de Recherche et formation, que d'aborder la question de la déprofessionnalisation à partir d'activités et de situations variées, incluant même une incursion hors de France, avec l'article d'Osborn sur les évolutions du métier d'enseignant au Royaume-Uni. Les contributions des auteurs font ainsi ressortir le caractère fortement multidimensionnel, afirmé notamment par Maubant et Roger, de ce processus-ou de ces processus-car il n'est pas certain que tous les articles renvoient à un phénomène unique pouvant être rigoureusement construit comme objet d'étude sociologique. Elles permettent de jeter des ponts avec diverses thématiques de l'étude du travail-comme la souffrance au travail (Zoia et Visier ; Brau-Antony et Mieusset), les rapports entre régulations autonomes et régulations de contrôle dans les organisations où les professionnels travaillent (Aballéa ; Osborn), les formes d'apprentissage et la transmission intraprofessionnelle des compétences (Brau-Antony et Mieusset), etc.-et de poser la question des rapports entre déprofessionnalisation et professionnalisation (Aballéa ; Maubant et Roger ; Roquet et Wittorski). La diversité d'approches est précieuse pour faire progresser la clariication d'un concept qui, bien qu'important, n'a pas reçu de déinition stable et précise en sociologie, et contient encore une importante part de mystère.
2020
La toponymie, en tant que branche de l’onomastique (etude des noms propres) en linguistique, s’interesse aux origines des noms, a leur signification et a leur alteration. Elle produit en outre un travail considerable d’inventaire et de classification dans tous les contextes et a differentes echelles, allant de celles des microtoponymes ruraux a celle des macrotoponymes, ou noms des territoires intervenant en relations internationales. Des nomenclatures, officielles ou non, et des dictionnaire...
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Langue française, 2014
FRANCAIS MODERNE, (2019/2), vol. 87, 226-241 , 2019
SHS Web of Conferences, 2014
Cahiers de Lexicologie, 2014
Études diachroniques n° 2, 2024
Raisons politiques, 2015
La Licorne 113, Voyages d’« Odyssée ». Déplacements d’un mot de la poétique aux sciences humaines, 2015