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2004, SPRAWOZDANIA ARCHEOLOGICZNE
Milieux et sociétés dans la vallée des Baux p.243-259, 2000
la commune de Mouriès s'cttend sur trois régions n:rtulelles r.oisines aux ressources agricolcs cornplérnentaires : dcs ch:rî- nons calcaires au norcl, puis la dépression c1c la vallée des Baux er le cL<br-rt de lir plrrine de galets de Ia Crau vers le sud. Une teile sitr,r:rtion de cont,rct a favorisé tr'ès tôt la fixation de 1a population, cor-nme le montrent cle nombreux vestiges archéo- logiques. La zone archéologiquc la plus notable se trouvc à r-rn peu plLrs de deux kilomètres au nord-est du village de Mouriès. Elle juxtapose un habitat de hautettr, l'oppidum des Caisses, et en contrebas, du côté sud, des sitcs de plaine (habitats et nécro- polcs). Lensemble cou\rre plus dc dix hectarcs. Son occupa- tion, commcncée aux VI'-V' s. ar'. J.-C. s'est polLt'sttivie itrs- qu'à la {in du Bas-Empire1. 'Direcreur rle recherche au CINRS, tilv{il 6573 Aix-eu-Provcnce. -'Profèsseur honorairc. (1) Le terme de C:risses est lc seul à être utilisé par Les ancietls clocritncnts: « montagne cles (laisscs , (recetrsemct.tt f-oncier de 1790). " les Caisscs ' (pl,rrl cadastral de 18J0, lc rom de Jc:rn-Jean r1ésignc le quartier agricole au bas dr.t versant sucl clcs Claisses. Lappellation Caisses cle Saint fean. coLlrilrllment eniplor'ée depuis ljernand Beuoit, cst inerlcte. Llle trouve son origine chez L. Rochetin qrLi, cn 1894, a associé ces deux nor)s en postulant qratuitcmcnt l'cxistencc cl'rrne chapellc sur I'oppirlurr. (lf. L. llochctin, Tindrzr. Unc cles sta- ticrrrs de I:r rtrie aurélie nne clans la Haute I'ror.encc. Ment. Sor. Acad. Vur/txr:, XI\a 1895. p. L8-3,1). Le site est connu dcpr-ris longremps pour sa richesse en monnaies massaliètes mais itussi romaines. Bien peu ont été publiécs ;usqu'à maintenant. Depuis 1e début dcs années 1980, un lot notable d'exemplaires, trouvés en coLlrs de fouille ou clc prospection de surlàce a pu être rér-rni, i1 f:rit l'objet dc cette étude. PRÉSE,NTATION DU SITE ARCHÉOLOGIQUE (rrc. 1) Loppidum dcs Caisses est établi à l'cxtrémité d'une combc amélrâgée par l'érosion dans un chaînon calcaile. Il pouvait ainsi surveillcr Ie débouché par 1e Destet de la travelsée cles Alpillcs qui emprunte le défiIé de La Vallongue. Des falaises abruptes protégeaicnt le vill:rge pr:otohistoriqlte sur trois côtés. A 1'ouest, l'accès par la con-rbe plus vulnér'ablc, était contrôlé par deux remparts successifi ((iateau et (lazenbeek 1999). Lhistoirc cles for-rilles s'ouvrc avec Fernand Ber-roit, qui déqage, en 1934-1935, dc nombreuses habitations de pierrc sèche (Benoit 1t)34 et 1936) Puis, de 1939 à 1942, il étudie un sectelrr du rcmpart prir-rcipal (Benoit 1939 et Bcnoit I948, I 39-140 ; Malcaclal 1985 a et b) ct 1, découvre , en remPloi, des fi-:rgmerrts dc stèles cultuelles datant du premier Âge dLr Fer' 11 anah,sera par ia suite, à plusieurs reprises, Ie syntbolisme dc Mtt ù Lt \DC1L.LS t t\\ t t V11 t.t ^,, 8,, t 2000, D. tîJ-)\q 244 Ért.'Ltt.s n(-'Ht:.oLOGr()ttL5 L)L et,tLLeuEt srrls J.-C. fucueno et Y. Metceo,rr. I '...:.-f -\Y-AE Fig. l. L'oppiduru des Caisses et sott enuirottrrcnLent lrchéolop.irlue ; 1 ) rtglomlrdtion prorohistorique da l'oppidum 2) p i étno nt mériclion a I 3) zone de /a uicropole r/tL chetnin de Cdgdlou (liniru pt.icise, iitto;»trrt',). leul décor: gr:rvé de chevaux er de car.aliers brar-rdissanr Lln iar-e- lot2. Les recherche s ne replendront qu'i\ parriL de 1980 (fouilles Il Àrcelin ct Y. Marcadal). Le remparr iir.r'e alors de nouveaux fi'agments de stèles et s'ar,ère de structure plus cor-r-r- plexe (Marcadal 1992 b; Coignard et lv{arcadal 1998) que cel1e décrite par F. Bcnoit, tandis que les grandes lienes de la chronologie du site sont établies à parril de la foLLilie de dcux quartiers d'habitation séparés (Ga//ia 1986). On rclèr.e ainsi quelques traces d'habitat à l'Âge du bronze Iinal III B. l\{ais 1a première occupation importante se fait surtout au Vt s. ar.. J.- C., avcc un sanctuaire de plein air probable auquel se rappor- teraient 1es srè1es du rempart er des srrllcrures d'habitar. Àplès une longue période d'abandon, un village fortifié s'insralle r.ers (2) F. Bcnoir a lait diposer plusicurs fragments tle srèles, consen.és clepilis au N{usée Réattu cl'Arlcs, puis transférés au Musée de l'Arles antiqLLu; inrrnr.rirc er
Revue Numismatique 2012
Le monnayage archaïque de la cité extrême-occidentale de Massalia (la Marseille grecque) est connu en particulier grâce au trésor d'Auriol découvert en 1867. Son contenu, bien étudié par A. Furtwängler en 1978, regroupait, entre autres, une grande partie des séries attribuables à cette ville qui se caractérisent par des frappes à types multiples. Depuis, sont apparues de nombreuses autres monnaies également émises au cours de la période archaïque et issues de trouvailles isolées en Provence. Notre travail s'est donc attaché à présenter un certain nombre d'exemplaires et de variétés inédites, mais également à faire quelques rectifications rendues possibles par la meilleure vision apportée par l'ensemble de ces nouveaux spécimens.
The Gulf of Guinea is one of the major geopolitical maritime spaces in Africa. It is also now one of the major oil trade places because of wars and piracy that made the passage through the Arabian Gulf expensive and risky, yet shorter. The route to the Gulf of Guinea, although long via the Cape of Good Hope and the Atlantic, is used to connect the Far East to the North countries. The opening of more secure new sea routes, like the North ones in Arctic, carries a plurality of geopolitical issues for the States of the Gulf of Guinea. This contribution aims at analyzing the challenges of new routes for these very States. Through a prospective approach, the objective is to evaluate the development of shipping services in the region to see if they would be weakened or threatened by these new shipping routes.
Annales du Groupe Numismatique de Provence 2011, XXVI, Aix-en-Provence, p.05-08, 2012
À l’instar de certaines autres cités-états ioniennes des Cyclades telles que Paros, Théra ou Mélos, Délos va émettre assez tôt ses propres monnaies. Comme pour l’ensemble des productions archaïques de cette zone (12 ou 13 ateliers identifiés), les frappes de Délos se caractérisent par l’utilisation d’un seul type de droit. L’atelier délien, pour sa part, va adopter un symbole évoquant directement Apollon au travers de son instrument de musique préféré : la cithare.
Toute théorie qui fait jouer à la monnaie un rôle clef dans l'explication des phénomènes économiques, que ce soit les fluctuations économiques ou les mouvements des prix, se heurte à une difficulté de base: la définition du concept de monnaie permettant de choisir ou de construire les indicateurs monétaires les plus représentatifs possibles du concept défini, afin de procéder aux illustrations nécessaires et aux vérifications empiriques requises par la pratique scientifique. A vrai dire, le problème n'est pas nouveau. Dès l'origine des "théories monétaires", à partir du moment où les monnaies métalliques ont dû cohabiter avec d'autres formes d'instruments de règlement ou de conservation de la valeur, la difficulté est apparue. Il suffit de rappeler les controverses passionnées du XIXème siècle au sujet du statut du billet de banque et du dépôt à vue et, parmi elles, la plus célèbre, celle opposant les partisans du « Currency Principle » (Ricardo) à ceux du « Banking Principle » (Tooke) lors du renouvellement du privilège d'émission de la Banque d'Angleterre 2 .
Anthropologica et praehistorica, 2004
Emmanuelle MARTIAL, Ivan PRAUD et Françoise BOSTYN
Geobios, 1976
Le nouveau gisement de Grisolles, situ~ dans le Calcaire de Saint-.Ouen (Marin~sien) a livr~ une faune importante de Mammif~res. On ~tudie ici les Rongeurs et deux nouvelles esp.~ces sont d~crites :
Le Groh-Collé (3800-3100 BC) s'étend d'une zone nucléaire, concentrée sur le littoral morbihannais, à une zone d'extension située au sud de la Loire. Ces deux secteurs présentent des différences dans l'assemblage lithique, liées en grande partie à la variabilité de l'environnement géologique. À cette partition géographique se superpose une division chronologique. Ce groupe, traditionnellement perçu comme homogène, offre finalement différents faciès au niveau de l'assemblage lithique tant en terme technique que typologique. La production lithique résulte d'une chaîne opératoire simplifiée. La circulation de produits finis (lames de hache polie des ateliers de Plussulien, poignards en silex turonien de la région du Grand-Pressigny) mais également de techniques (armatures tranchantes à retouches Sublaines) incluent toutefois le Groh-Collé dans un plus large réseau de communication. Les armatures de flèches à pédoncule et ailerons, produites localement, sont ici attestées en contexte néolithique récent. La mise en évidence de sites de production suggère d'autre part une organisation spécifique de l'espace géographique occupé. L'étude des assemblages lithiques laisse présager des occupations temporaires et pérennes vraisemblablement en lien avec des activités spécifiques aux différents gisements. La part du technofonctionnel est ici à prendre en compte pour une nouvelle définition de ce groupe. Le statut des gisements devient dès lors un critère indispensable.
avec la collaboration de Gérard DÉRAPRAHAMIAN, Peter REYNOLDS et Loïc LE RIBAULT Les outils que nous allons présenter ici proviennent du site de Ganj Dareh. Le gisement (Fig. 1) est situé dans le Kermanshah, au fond d'une vallée du Zagros central, à environ 1400 m d'altitude. Une fouille d'une qualité exceptionnelle y a été conduite de 1967 à 1974 par Philip Smith1. Cinq niveaux d'occupation ont été dégagés : le niveau E (début du 8e millénaire ou fin du 9e millénaire) et les niveaux D à A (milieu et fin du 8e millénaire). L'architecture « en dur » apparaît au niveau D : les maisons en briques crues comportent un sous-sol réservé sans doute au stockage et de nombreux aménagements intérieurs, notamment en argile : plans de travail reliant meules et mortiers, jarres fixes etc... L'argile sert aussi à fabriquer de petits récipients et des figurines, elle est cuite dans certains cas sans qu'il soit possible d'affirmer que cette cuisson est volontaire. Si les chasseurs-cueilleurs du niveau E n'utilisent le site que de façon intermittente, à partir du niveau D l'occupation devient plus permanente. En même temps, un choix d'ordre culturel est suggéré par les taux de mortalité des chèvres sans qu'il y ait domestication au sens morphologique du terme (Smith, com. pers. avril 1984) mais cela n'empêche nullement une chasse intensive où figurent : cerfs, mouton, sanglier etc...2. Les ressources végétales sont plus difficiles à connaître car peu de restes se sont conservés. Leur étude est en cours3 mais nous savons déjà que des graines d'orge sauvage (Hordeum spontaneum), d'orge domestique et d'une autre graminée comestible (Stipa4) ont été identifiées. Il y avait également des graminées à 2. La faune du site est étudiée par le Professeur Bryan Hesse, de l'Université d'Alabama (1978), qui a également repéré les outils que nous présentons et d'autres outils peu élaborés d'un grand intérêt. 3. Toutes ces données botaniques nous ont été communiquées par Ph. Smith qui a bien voulu nous faire connaître les premiers résultats de l'étude de la flore du site qu'effectué le Pr. van Zeist. 4. G. Hillman (in Moore et al, 1975) a trouvé des restes très abondants de Stipa uniquement dans les couches mésolithiques (9e mill.) d'Abu Hureyra (Syrie) et souligné le caractère comestible de cette plante.
Le site de plein air des Vaugreniers (Le Muy, Var) a livré plusieurs témoignages d’occupations du Paléolithique moyen et supérieur en contexte alluvial. Répartis en deux locus, la fouille préventive a mis au jour une petite série moustérienne dans un paléochenal ainsi que deux niveaux épigravettiens datés par 14C AMS (ancien et récent). L’industrie lithique du niveau épigravettien ancien révèle des caractéristiques techniques inédites dans le sud-est de la France. The Vaugreniers open air site has provided several evidences of Middle and Upper Palaeolithic occupations in alluvial context. Divided in two loci, the excavation revealed a small Mousterian lithic series into a paleochannel, and two Epigravettian levels (early and recent). The lithic industry from the early Epigravettian level reveals new technical characteristics for south-eastern France.
"Jaurens Cave yielded four Mustelid species, the wolverine Gulo gulo, the steppe polecat Mustela (Putorius) eversmanni, the stoat Mustela erminea and the weasel Mustela nivalis, all and especially the two first ones being rare in the french Upper Pleistocene. The wolverine with 60 remains, including two complete skulls, is the most numerous Mustelid. Weighing about 35 kilograms, it is biometrically much larger than the recent specimens of the same species. The steppe polecat, the stoat and the weasel are very similar in size to the recent ones, The occurence of these four Mustelids shows a kind of palaeoenvironment under a steppic dominance but with a mosaic of small forested zones, and the temperature was not especially cold."
ZPE, 214, 2020
Nous remercions très vivement tous les membres des équipes du musée du Berry et du Service archéologique de Bourges qui nous ont réservé un accueil chaleureux et nous ont apporté toute l'aide possible. Tout spécialement au musée du Berry, Patrick Auger qui n'a épargné ni son temps ni sa peine pour nous faire accéder aux pierres, dans des circonstances parfois diffi ciles; au Service archéologique, Laurence Augier, directrice, et Raphaël Durand qui ont fait preuve d'une grande générosité.
2021
Étude sur des quinaires inédits à la légende OYIKY au sud du territoire carnute. Septembre 2021.
Les travaux importants réalisés ces dernières décennies, en particulier dans le cadre de l'archéologie préventive, ont conduit à un développement considérable des connaissances relatives à la préhistoire récente du Midi de la France. Toutefois, ces progrès concernent essentiellement les étapes récentes du Néolithique moyen et le Néolithique final. Le Néolithique ancien ainsi que la phase ancienne du Néolithique moyen sont encore peu touchés par ces travaux. La situation est particulièrement gênante pour la première moitié du V e millénaire, période pour laquelle nous ne disposons d'aucune séquence chrono-culturelle précise. La découverte en 2012 à Forcalquier, dans les Alpes-de-Haute-Provence, d'un assemblage attribuable à ce créneau chronologique nous a donné l'occasion de passer en revue les ensembles du début du V e millénaire en Provence et en Languedoc oriental. Le but de cette contribution n'est pas de mettre sur pied un cadre chrono-culturel pour la première moitié du V e millénaire. En effet, les données sont largement insuffisantes pour pouvoir documenter de manière fiable cette période. Notre objectif est de présenter l'ensemble de Forcalquier et de tenter de préciser sa place par rapport aux autres ensembles du début du V e millénaire.
Méthodologie des recherches de terrain de la Préhistoire récente en France. nouveaux acquis, nouveaux outils 1987-2012, 2014
L’émergence des enceintes au Néolithique moyen II (4200-3600 av. notre ère) est un phénomène de grande ampleur qui touche un large quart nord-ouest de l’Europe. Dans le nord de la France, des dizaines de sites délimités par des systèmes plus ou moins complexes de fossés et de palissades ont été reconnus depuis plus de trente ans par la fouille ou par les prospections aériennes. Les différentes expériences de fouilles et de sondages menées au sein des vallées du Bassin parisien (Aisne et Seine notamment) ont servi, pour ce qui nous concerne, de cadre à la définition des problématiques scientifiques et au développement des méthodes de terrain. Les questions sur la ou les fonction(s) de ces sites ont été et sont encore aujourd’hui fortement débattues. Elles s’intéressent à définir principalement la durée de ces occupations, les implications sociales et politiques que suppose l’édification de telles constructions tant d’un point de vue défensif et économique que symbolique et cultuel. Dans les départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme, les fouilles récentes de plusieurs enceintes de tailles différentes et situées dans des contextes particuliers (fond de vallée, versant et plateau) nous offrent l’occasion de dresser un premier bilan méthodologique non exhaustif des approches de ces ensembles fossoyés en soulignant quels sont, depuis la fin des années 80 jusqu’à nos jours, les changements, les continuités et les limites dans l’application des outils et des méthodes d’investigation de terrain.
Résumé Cet article présente les enseignements de l’expérimentation du creusement et du comblement d’une fosse en contexte de gravière. Cette expérimentation est réalisée en prévision d’une analyse intégrée des questions de dynamique des comblements des sépultures du Néolithique moyen I de Gurgy « Les Noisats » (Yonne). Abstract This paper presents results of the experimental digging and fi lling of a pit in a gravel context. Th e experiment is the fi rst step of an integrated analysis of sedimentary dynamics in Neolithic burials from Gurgy « Les Noisats » (Yonne, France). Zusammenfassung In diesem Artikel werden die Ergebnisse des experimentalen Aushubs und der Auff üllung einer Grube in einer Kiesgrube dargestellt. Dieser Versuch geht einer umfassenden Analyse voraus, bei der herausgefunden werden soll, wie sich die Grabstätten des Mittelneolithikums (Néolithique moyen I) von Gurgy „Les Noisats“ (Departement Yonne) verfüllt haben.
Les Cahiers de Notre-Dame de Germigny-l'Exempt, 2024
Il est assez rare que les contes et légendes traditionnels choisissent, parmi les fêtes de l'année liturgique, de faire coïncider les prodiges inquiétants avec la procession des Rameaux. Ils se concentrent presque toujours sur la solennité majeure de la religion catholique -le lundi de Pâques -ou sur une des quatre fêtes d'obligation : Noël, l'Ascension, l'Assomption et la Toussaint, cette dernière, qui perpétue le culte des NOTE PREALABLE: Je remercie chaleureusement Bernard Dedet et Gérard Coulon, pour le jugement de qui j'ai particulièrement de respect, d'avoir formulé des appréciations si positives concernant le petit essai ci-dessous.
REVUE DES SCIENCES SOCIALES , 2020
Le nouveau-né à sa naissance présente une nouvelle structure physique qui semble se caractériser par un poids corporel. Celui-ci semble dépendre de l’environnement biophysiologique dans lequel ce dernier beigne pendant la période fœtale. La présente étude se propose de comparer le poids de naissance des nouveau-nés selon le groupe sanguin des mères. Elle porte sur1128 couples mères-enfants issus du FSUCOM de Ouassakara-Yopougon. Le groupe sanguin des mères et le poids de naissance des nouveau-nés sont obtenus à l’aide d’une fiche de recueil des données à partir des registres de la maternité. Les résultats montrent que les mères primipares âgées de 15 à 24 ans donnent naissance à des nouveau-nés qui ont des poids statistiquement superposables, quel que soit le groupe sanguin de celles-ci (p-values > 0,05). Des résultats similaires sont observés chez les mères non primipares. Le sens des résultats est identique, lorsqu’on considère les mères âgées de 25 à 49 ans. Ces résultats ne confirment pas l’hypothèse selon laquelle le poids de naissance des nouveau-nés est influencé par le groupe sanguin des mères. Mots-clés : Groupe sanguin, Mère, Croissance, Nouveau nés, Ivoirien.
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