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Journées d'étude internationales : La biologie des philosophes allemands
PhD, 2019
Max Scheler développe une phénoménologie de l’affectivité fondée sur l’idée que l’amour est source de toute connaissance. L’amour, défini comme l’acte intentionnel par excellence, est un acte d’essence personnelle. Cette affirmation amène le philosophe à considérer comme une nécessité eidétique l’existence d’une personne infinie divine, un Dieu amour. Cela engendre deux questions : l’essence de la personne divine découle-t-elle de l’expérience intuitive fondée sur l’amour ? Ou bien, au contraire, l’amour ne peut-il être pensé comme fondement de la connaissance que d’après une représentation préalable de Dieu défini comme amour ? Notre recherche propose d’interroger, à partir de la position schelerienne, la possibilité de constituer une phénoménologie absolument neutre de tout présupposé métaphysique. Nous travaillons pour cela avec plusieurs concepts de métaphysique : réalisme ontologique, idéalisme subjectiviste, et Weltanschauung. Nous interrogeons dans un premier temps la pensée schelerienne à travers le prisme du débat généré par le tournant idéaliste de Husserl, en nous demandant si le personnalisme de Scheler peut être qualifié de réalisme et en quel sens. Nous étudions ensuite l’ensemble des axiomes religieux mobilisés par Scheler dans sa phénoménologie afin de mettre en évidence ce que nous appelons une théo-logique de sa conception de la logique phénoménologique. Nous examinons enfin la façon dont Scheler soumet rétrospectivement la phénoménologie à un regard critique, en cherchant à dégager ses présupposés métaphysiques implicites. Cela permet de comprendre pourquoi Scheler, dans la dernière période de ses recherches, abandonne la phénoménologie et considère sa nouvelle pensée comme une métaphysique nouvelle.
Archives de Philosophie, 2002
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2018
Thèse présentée et soutenue en 2018 au département de philosophie de l"Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Résumé : Le but du présent travail est de proposer une interprétation du concept de déconstruction chez Heidegger. Notre interprétation repose sur trois thèses : 1) La déconstruction est l’un des trois éléments de la méthode phénoménologique de Heidegger avec la réduction et la construction, ces trois éléments étant indissociables les uns des autres. 2) Ces trois éléments nous permettent de comprendre la stratégie la plus générale de constitution de la pensée de Heidegger. 3) La déconstruction de la métaphysique est la version heideggérienne de la critique de la raison.
Revue Philosophique de Louvain, 1996
Revue Philosophique de Louvain, 2002
This paper aims to show how Heidegger first wanted to raise anew the main question of metaphysics, that of Being, and finally convinced himself that metaphysics was what prevented this question to be raised. He thus became a fierce opponent of metaphysics.
Métabiologie du mouvement entéléchique, 2021
Situation de la Métabiologie relativement à 3 concepts : - La Verdichtung de Freud (avec cause finale) - La Volonté de puissance de Nietzsche (sans cause finale) - La dialectique de Platon (1ère reconnaissance du mouvement)
Heidegger's distance from metaphysics has everything to do with the story he tells, in his "Introduction to metaphysics", his "Beiträge" and many other dramatic texts, about the decline of the early Greek thinking of physis, which would have been "fatally" replaced by the thinking of the idea (in Plato). This paper studies Heidegger's argument in his "Introduction to metaphysics" and argues that Heidegger failed to show that metaphysics was incapable of thinking the notion of physis. Indeed Heidegger's attempt to overcome metaphysics rests on strong metaphysical convictions. L'Introduction à la métaphysique de Heidegger prétend nous dévoiler pour la première fois l’archéologie secrète de la pensée métaphysique, érigée sur le privilège de l’idea au détriment de la physis. La présente étude se penche sur le raisonnement de Heidegger et montre qu'il n'a pas réussi à montrer que la métaphysique était incapable de penser la notion de physis, que Heidegger pense peut-être, par ailleurs, de manière plus néoplatonicienne que pré-socratique.
Il s'agit de la traduction par Roger Munier de la conférence de 1929. Publiée dans le cahier de l'Herne, supprimée de l'édition de poche.
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Philitt, 2023
Laval théologique et philosophique, 2004
Actuel Marx, 2023
in C. Cerami (ed.), Nature et Sagesse. Les rapports entre physique et métaphysique dans la tradition aristotélicienne. Volume en l’honneur de Pierre Pellegrin, Peeters, Louvain, pp. 429-474., 2014
Laval théologique et philosophique
Journal des Anthropologues
Les Études philosophiques, 2012
Les Cahiers philosophiques de Strasbourg, 2023