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Exercice 3.1.1 : On pourra montrer en exercice que :
"Le numérique rattrapé par le digital ?", Le Débat, janvier-février 2016, n°188, pp. 68-72 (version auteur).
La résilience intégratrice du papier en art actuel, du prénumérique au périnumérique Philippe Boissonnet Cette communication interroge la force de résilience de la trace imprimée sur papier alors que nous sommes en pleine immatérialité des images. À partir de quelques références typiques de la période pré-numérique des pratiques en art de la communication (Copy Art, Fax Art, Mail Art), je soulignerai comment certaines de leurs dimensions esthétiques et conceptuelles apparaissent maintenant comme autant de signes avant-coureurs d'une esthétique du métissage des médias de l'image numérique avec ceux de l'image non numérique. Dépassant la simple nostalgie, ces pratiques en art actuel préfèrent le papier à l'écran alors qu'elles s'inspirent pourtant de l'esthétique du codage numérique et de ses structures logiques. / This communication examines the strength of resilience of the trace printed on paper, while we are experiencing the full immateriality of images. Using a few references typical of the predigital period of communication art practices (Copy Art, Fax Art, Mail Art), I will point out how some of their aesthetic and conceptual dimensions now appear to be so many early signs of an aesthetics of mixed digital and non-digital media. Beyond mere nostalgia, these contemporary art practices prefer paper to the screen while drawing inspiration, nevertheless, from the aesthetics of digital coding and its logical structures. This applies to the effects of networking, the loss of sources, the pixelated fragmentation of shapes and the open sharing of data.
Codage en ligne : Bande de fréquence centrée autour de f = 0 1. Schéma de transmission en bande de base Symbole ak est transmis au temps í µí±¡ = í µí±í µí±, í µí±¥(í µí±¡) signal codé injecté à l'entrée du canal physique et í µí±(í µí±¡) signa reçu permettant d'estimer ak 2. Formule du signal codé í µí± í µí± → í µí±¥ í µí± (í µí±¡) = í µí± í µí± í µí±(í µí±¡ − í µí±í µí±) í µí±¥(í µí±¡) = ∑ í µí± í µí± í µí±(í µí±¡ − í µí±í µí±) Débit brut : Nombre de symboles par unité de temps Débit binaire : í µí°· = 1 í µí± (Si les ak prennent 2 valeurs), T durée d'existence du symbole DSP (Densité Spectrale de Puissance) : Représente la répartition de la puissance d'un signal suivant les fréquences. R : Rapidité de modulation, l'inverse du temps le plus court pendant lequel le signal reste constant. Formule de Bennett Conditions pour que le spectre de x(t) soit auto-porteur de l'horloge :-Le spectre du signal ne doit pas comporter de composante continue,-Doit tendre vers 0 quand í µí± → 0,-Doit avoir un support le plus étroit possible,-Doit avoir des raies à la fréquence de l'horloge,-Doit conserver l'horloge à court terme.
Élimination de Gauss, factorisation LU et applications L3 Mathématiques -Université d'Évry Printemps 2008 L'objet de ce TD est d'utiliser les méthodes élémentaires de l'analyse numérique matricielle pour résoudre des systèmes linéaires simples. L'implémentation est faite à l'aide du logiciel Scilab.
Bilan statistique 2020 de l'Observatoire des Polémiques Digitales, 2021
Consultante en communication stratégique et chargée d'enseignement dans plusieurs établissements d'enseignement supérieur, Sophie Licari a créé un dispositif de détection et d'analyse des polémiques réputationnelles à composante digitale, sur les sphères francophone et anglophone, affectant tous types d'organisations. Cet « Observatoire des Polémiques Digitales » constitue un outil d'intelligence stratégique, au service de la gestion mais tout particulièrement de la prévention des risques réputationnels. Pour l'année 2020, c'est 1263 cas que compte la base de données multicritères mise en place pour les recenser, pour documenter et catégoriser les propriétés de chacun, ce qui permet d'en tirer divers enseignements stratégiques.
Pourquoi travailler sur la poésie numérique ou plutôt sur des exemples de poésie numérique ? Bien souvent, la poésie est associée chez les élèves à une forme versifiée et sert à exprimer les sentiments de l'auteur, un auteur souvent mort d'ailleurs puisqu'appartenant généralement au XIX ème siècle. L'apprentissage et l'étude de la poésie tels qu'ils sont pratiqués à l'école ont bien évidemment leur part dans ces stéréotypes. Il est nécessaire de montrer que la poésie existe aujourd'hui, qu'elle a bien changé depuis le XIX siècle et Victor Hugo, qu'elle s'est adaptée aux nouveaux modes d'expression, qu'elle a su en tirer parti. Bien sûr, on peut rencontrer aujourd'hui de nombreuses formes de poésies qui, sans pour autant respecter les codes de versification, sont imprimées, peuvent être lues de façon traditionnelle et néanmoins renouveler la conception de ce genre chez un public scolaire. Pourquoi alors se tourner spécifiquement vers le numérique ?
Les outils numériques font désormais partie intégrante de nos pratiques sociales. Le monde de l'éducation n'est pas en reste, le numérique étant perçu aujourd'hui comme un atout majeur pour la réussite des élèves. Ainsi, la volonté politique de faire entrer l'école dans l'ère du numérique a-t-elle débouché sur la création de structures institutionnelles 1 d'orientation et de décision en matière de numérique éducatif.
Depuis la perspective du droit international public, l'appréhension des obligations étatiques liées à la régulation d'Internet suppose de dépasser les repères classiques, liés tant à la formation des règles qu'à l'exercice des compétences souveraines. Sans devoir être rangées au placard, les visions d'une société internationale au sein de laquelle les Etats, premiers sujets du droit international, seraient les auteurs d'un droit « dur », au travers d'engagements conventionnels ou de la formation de règles coutumières, auxquelles ils se conformeraient ensuite sur leur territoire, sont aujourd'hui bouleversées. L' « architecture » de cette société est plus complexe, l'importance de la soft law est largement reconnue, le phénomène institutionnel ne se traduit plus uniquement par l'existence d'organisations intergouvernementales mais par une multitude d'entités, parfois difficilement qualifiables, associant des acteurs publics et privés. Ainsi que l'avaient reconnu nombre d'intervenants au cours d'un colloque organisé en 2013 par la Société française du droit international sur « Internet et le droit international », les spécialistes de la matière sont d'abord un peu décontenancés par ce nouveau pan du droit 1. En effet, la régulation d'Internet constitue une sorte de catalyseur à ce récent paradigme, si bien qu'elle oblige à la fois à la création de concepts, mais aussi à repenser les plus traditionnels. Cela n'est par ailleurs pas propre au droit international, Internet constituant un instrument mais aussi un objet des formations modernes de la règle en droit interne, comme en témoigne la procédure de consultation publique menée en amont de la Loi pour une République numérique d'octobre 2016 2. Quelques précisions de vocabulaire doivent d'ores et déjà être livrées, afin d'expliquer pourquoi les termes de « numérique », d' « Internet », et de « cyberespace » seront ici mobilisés dans un sens large. Les technologies numériques englobent le réseau Internet, qui en est la principale concrétisation. Par ailleurs, les termes d' « Internet » et de « cyberespace » désignent le même réseau, en insistant respectivement sur sa dimension concrète (le réseau informatique » et sur sa dimension virtuelle (l'espace créé par le réseau) 3 .
Etude sur l'équipement et les usages numériques des Français réalisée à la demande du Conseil Général de l’Economie, de l’Industrie, de l’Energie et des Technologies (CGE) et de l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP).
Contenu Chapitre 1 : Analyse d’erreurs Chapitre 2 : Résolution numérique des équations non linéaires Chapitre 3 : Résolution des systèmes d’équations linéaires : méthodes directes Chapitre 4 : Résolution des systèmes d’équations non linéaires : méthodes itératives Chapitre 5 : Résolution numérique des systèmes non linéaires Chapitre 6 : Interpolation - Approximation Chapitre 7 : Dérivation numérique Chapitre 8 : Intégration numérique Chapitre 9 : Résolution numérique des équations différentielles
Consultante indépendante en communication stratégique, chargée d'enseignement dans plusieurs établissements d'enseignement supérieur, Sophie Licari a créé un dispositif et une méthodologie de détection et d'analyse des polémiques réputationnelles à composante digitale, sur les sphères francophone et anglophone, affectant tous types d'organisations. « L'Observatoire des Polémiques Digitales » constitue ainsi un outil d'intelligence stratégique, au service du volet réputationnel du risk management, de la gestion mais tout particulièrement de la prévention des risques réputationnels. Pour l'année 2017, c'est 1014 cas que compte la base de données multicritères que S. Licari a mise en place pour les identifier et les recenser, pour documenter et catégoriser les propriétés de chacun, ce qui permet d'en tirer divers enseignements stratégiques.
Quatrième campagne (3 juillet-5 août 2017) Richard JONVEL Service régional de l'Archéologie de la Nouvelle-Aquitaine Site de Limoges 2018 2 Remerciements L'étude 2017 est tributaire de la bienveillance de nombreuses personnes qui, par leur soutien indéfectible et leurs actions durant la campagne de fouille, ont favorisé son bon déroulement. Nous tenons à remercier... M. et Mme VALAUD, propriétaires du site, pour le soutien logistique et moral constant accordé à la fouille. Je les remercie personnellement pour la grande confiance qu'ils m'accordent dans le déboisement de leur parcelle, d'autant que sans cette possibilité, rare, il serait très compliqué techniquement de conduire cette fouille aussi exhaustivement et selon les normes de sécurité en vigueur ; Mme Hélène MOUSSET, Conservatrice régionale de l'Archéologie du Limousin pour son soutien au programme scientifique ; M. Jacques ROGER, Ingénieur d'études au Service régional de l'archéologie, site de Limoges, pour ses visites sur le terrain et ses conseils scientifiques et techniques ; M. Patrice CONTE, Ingénieur d'études au Service régional de l'archéologie, site de Limoges, pour les conseils scientifiques et l'étude de la céramique du site ; M. Marc BOMPAIRE, Professeur à l'EPHE, pour l'analyse de la monnaie ; M. Patrick LEGER, Président de la Société des Sciences Naturelles, Archéologiques et Historiques de la Creuse (SSNAHC), pour l'accueil de la notice archéologique annuelle dans le bulletin de la Société ; M. TRUFFY, prospecteur, habitant de Murat pour les renseignements sur l'occupation archéologique du secteur et les visites régulières du site pendant l'année en notre absence ; M. Jean-Dominique VERNIOLES, docteur en archéologie, pour ses observations des zones vitrifiées ; M. Bernard CLAVAUD, bénévole, pour nos riches échanges réguliers sur le problème de la vitrification et la communication écrite de ses réflexions ; M. le Maire de Saint-Dizier-Leyrenne, Jean-Claude PEROT et son Conseil municipal, pour l'intérêt qu'il porte au site et l'aide logistique ; Et à TOUS les habitants de Murat pour leurs visites régulières, leur gentillesse, le prêt de locaux et de matériel et leur présence si nombreuse lors de la présentation des résultats archéologiques en fin de campagne. Je me permettrais d'insister sur le soutien total du Service régional de l'Archéologie -site de Limoges, par son financement à hauteur de 100 % de cette fouille et les orientations scientifiques précieuses suggérées au responsable de la fouille. De même, nous remercions l'association C.A.H.M.E.R présidée par M. Philippe RACINET pour la gestion des subsides publics. 3 Nous remercions chaleureusement l'équipe de terrain pour leur implication et leur ténacité face aux difficultés inhérentes à cette fouille, ainsi que leur participation active à la vie quotidienne du groupe composé cette année de : Et plus particulièrement Mme Marie Jonvel qui orchestre toute la gestion logistique au quotidien et sa patience face à l'activité chronophage qu'est l'archéologie…. Enfin, nous remercions l'équipe de l'entreprise CTPL assurant le décapage mécanique et le déboisement. Leur compétence assure un travail de qualité et de respect des vestiges archéologiques dans un contexte géographique accidenté présentant des risques accrus pour les hommes et les machines.
Observatoire des Polémiques Digitales 2019, 2020
Consultante en communication stratégique et chargée d'enseignement dans plusieurs établissements d'enseignement supérieur, Sophie Licari a créé un dispositif de détection et d'analyse des polémiques réputationnelles à composante digitale, sur les sphères francophone et anglophone, affectant tous types d'organisations. Cet « Observatoire des Polémiques Digitales » constitue un outil d'intelligence stratégique, au service de la gestion mais tout particulièrement de la prévention des risques réputationnels. Pour l'année 2019, c'est 1292 cas que compte la base de données multicritères mise en place pour les recenser, pour documenter et catégoriser les propriétés de chacun, ce qui permet d'en tirer divers enseignements stratégiques.
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