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2005, Comptabilité - Contrôle - Audit
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7 pages
1 file
2002
Distribution électronique Cairn.info pour Lavoisier. © Lavoisier. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Revue française de gestion, 2009
Value based management was considered as the major managerial innovation of the nineties: managers were to supposed to be turned into owners through redesigned compensation packages including value creation metrics such as EVA and the like, increased influence of shareholders on firms' strategies… Ten years later it is about time to come back. This article indeed revisits a study made at the time by the authors on the implementation of VBM and analyzes the evolutions observed since then. It identifies the main achievements such as the better management of assets and cost of capital, and the difficulties encountered in the alignment of managers' compensation on market value. It discusses the current trend towards more operational performance indicators in that respect.
Gradhiva, 2016
Gradhiva-Pouvez-vous revenir sur la création de Gradhiva ? Jean Jamin-Gradhiva ? Ça s'est fait au Totem. Le Totem était le bistrot du musée de l'Homme, au rez-de-chaussée, côté jardins du Trocadéro. Michel Leiris et moi, depuis 1977, nous nous y rencontrions tous les matins pour prendre force tasses de café et de décaféiné, y réinventions le monde autant que l'ethnologie, parlions littérature, opéra, jazz et politique ou, simplement, météo, cuisine et vins i ns. C'est donc là que Leiris et moi nous avons lancé l'idée d'une revue et on s'est dit, comme ça, comme on abat une carte : « Pourquoi pas l'appeler Gradiva ? » Il connaissait Gradiva parce que c'était devenu une sorte d'égérie surréaliste. André Breton possédait une petite galerie à la i n des années 1930, rue de Seine (VI e), qui s'appelait « Gradiva » et il avait fait dessiner la porte de cette galerie par Marcel Duchamp. En 1939, André Masson, un des proches amis de Leiris (et même son mentor), avait peint un tableau intitulé Gradiva, d'inspiration encore très surréaliste, alors qu'il avait quitté le mouvement avec fracas en 1929 (fi g. 7). Et puis il y eut surtout Freud et son fameux essai sur la Gradiva de Wilhelm Jensen 2. Mais Leiris et moi on s'est dit que, nonobstant l'attirance du nom, sa symbolique (« celle qui avance »), son imaginaire, son emprise, sa chronique, il fallait justii er ce titre-Gradiva-pour qu'il puisse s'appliquer à une revue d'anthropologie et non de littérature, de musique ou d'histoire de l'art. Et c'est là que nous est venue l'idée de chercher un acronyme qui, j'avoue, nous demanda pas mal d'efforts, mais sans que, avec le temps, il apparaisse tiré par les cheveux puisqu'il fonctionne encore (même si, pour ses lecteurs actuels, le sens s'est quelque peu perdu) : Groupe de recherche et d'analyse documentaire sur l'histoire et les variations de l'anthropologie. Un H avait donc été introduit. Et le coup de génie de Jean-Michel Place, qui a été un remarquable éditeur fi g. 1 Gradhiva n° 1, vignette de couverture dessinée par l'artiste-peintre Michel Canteloup, septembre 1986. Vitrine consacrée aux travaux de Michel Leiris au musée de L'Homme, exposition Leiris & Co.
French Studies Bulletin, 28(104): 64-7 , 2007
des sans-papiers : dix ans après Un élément incontournable du renouvellement du cinéma politique en France depuis 1995 est sans doute l'engagement des cinéastes en faveur des sans-papiers. Pour aller au-delà de la solidarité à travers des pétitions et des articles dans la presse écrite, plusieurs cinéastes ont tourné des filmsdes documentaires et des fictionsqui retracent ou replacent la lutte des sans-papiers dans son contexte. Côté fictions, L'Afrance d'Alain Gomis (2001) et Code inconnu de Michael Haneke (2000) ont évoqué différemment la situation des sans-papiers. Le film de Gomis concerne un étudiant sénégalais à Paris qui devient sans-papiers, tandis que celui de Haneke se compose de nombreuses histoires qui se mêlent, dont une sur une mendiante roumaine à Paris qui est également sans-papiers. Côté documentaire, le (très) court métrage collectif Nous sans-papiers de France (1997) a notamment montré en plan fixe Madjiguène Cissé (porte-parole des sans-papiers) lisant le manifeste des sans-papiers publié dans Libération le 25 février 1997 et, plus récemment, Parmi Nous : sanspapiers, sans visages sans paroles (2006) de Carole Sionnet a retracé l'histoire de deux sans-papiers à Angoulême. Dans cet article, il sera question d'analyser un autre documentaire qui suit le mouvement des sans-papiers de l'intérieur à travers un entretien avec Mogniss Abdallah, fondateur de l'agence IM'média. 1 Pour Mogniss Abdallah, le documentaire La Ballade des sans-papiers (1997) était dans 'la suite logique des activités d'IM'média'. IM'média, agence de presse spécialisée en immigration et culture urbaine, existe depuis 1983 et a accompagné la montée du mouvement beur de l'époque. C'est donc dans le cadre d'une 'logique de couverture d'actualité' dans la longue durée que de nombreuses personnes ont filmé
2011
11. Là encore, je me permets de renvoyer à mes remarques en introduction du tome II de Histoire des droites en France intitulé Cultures, Paris, Éditions Gallimard, 1992. La mise au point la plus complète sur le sujet est celle de Serge Berstein (dir.). Les cultures politiques en France. Paris, Éditions du Seuil, 1999. Définitions et frontières | 27 « technique » et le phénomène « culturel ». Pour les étudier, nous nous accordons sur un nombre restreint de propositions. Proposition numéro un : le médium n'est pas donné : il est à construire. Ce n'est pas un vecteur neutre mais il n'est pas non plus le tout de la communication : l'imprimerie ne diffuse pas une idée nationale qui lui préexisterait. Proposition numéro deux : il existe une opposition centrale entre transmission et communication, objets de prédilection, respectivement, des historiens de la culture et des anthropologues. Proposition numéro trois : lorsque l'on parle de technique, il faut aller au-delà d'une approche mécaniste. L'écriture, ce ne sont pas seulement les caractères en plomb. Proposition numéro quatre : le médium a toujours deux faces-une technique et une institutionnelle. Le monde américain privilégie la première, les Européens, la seconde. passif +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Un bilan, c'est aussi un passif. Au passif, il faut mettre d'abord l'obstacle représenté par le principal médiateur de ce projet, dont l'image sociale et politique obère le développement. Le journalisme, même dans la rubrique « Culture », s'intéresse d'abord aux hommes. La personnalisation d'un champ est un accident constant dans la vulgarisation scientifique. Nous n'y avons pas échappé. Au passif aussi, figure la somme de malentendus engendrés par un mot en quête de ses médiations. Nous ne nous intéressons pas aux institutions et à leurs mots (c'est votre problème), mais aux mots et à leur devenirinstitution (c'est le nôtre). Au passif, enfin l'institutionnalisation, si modeste qu'elle soit, de la médiologie. Un mot qui ne crée pas son institution est appelé à disparaître. Mais l'institution, sitôt en branle, à la fois accrédite et déforme le sens. poUrqUoi ? +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Pourquoi s'être lancé dans cette aventure ? En premier lieu parce que le devenir-force d'une production symbolique est une question centrale. Karl Marx se posait la question : comment les idées, s'emparant des masses, peuvent-elles devenir force matérielle ? Il ne répondait pas… L'idéologie
Classiques des sciences sociales., 2005
The Historical Review/La Revue Historique, 2006
Editions des archives contemporaines eBooks, 2022
2020
Des remarques qui me remontent, je reconstitue que la regle du jeu de ces nouvelles Perles n'a peut-etre pas ete bien expliquee. Il faut comprendre, en effet, qu'elles sont regulierement remises a jour en fonction de l'actualite : en temoigne, par exemple, la serie consacree a l'incendie de Notre-Dame, survenu le 15/04/19 (donc apres la date de premiere mise en ligne [28/03/19]), alors qu'elle a justifie un corpus particulierement representatif de la mediocrite et de la betise qui prevalent desormais tant chez (...)
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L'Émancipation syndicale et pédagogique, 2006
Géocarrefour, 2023
Mens: Revue d'histoire intellectuelle de l'Amérique française, 2010
Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques, 2013
Métropolitiques, 2011
Entreprendre & Innover, 2014
Migrations Société, 2015