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chroniques www.bnf.fr de la Bibliothèque nationale de France n o 66 -avril-mai-juin 2013 Agenda en pages centrales Exposition Guy Debord Un art de la guerre Sommaire Éditorial > 2 -Chroniques de la BnF -n o 66 Édito Chroniques de la Bibliothèque nationale de France est une publication trimestrielle. Président de la Bibliothèque nationale de France Bruno Racine. Directrice générale Jacqueline Sanson. Délégué à la communication Marc Rassat. Responsable éditoriale Sylvie Lisiecki,
2008
Le cinéma de RDA intègre la Seconde Guerre mondiale dans le combat antifasciste commencé en 1933 et mené principalement par les communistes. Au-delà des buts de propagande, il contribue d’une manière exemplaire à explorer le passé nazi, notamment en insistant très tôt sur le génocide juif. Il reflète également les tensions et les contradictions de la guerre froide. Avec la déstalinisation, des cinéastes est-allemands questionnent l’idéologie antifasciste dont tendent à se distancier les nouvelles générations.Wars of the DEFA: The anti-fascist vision of East German cinema.Begun in 1933 and led mainly by the communists, the film of RDA integrates World War II into the anti-fascist struggle. Beyond propaganda purposes, it contributes in an exemplary manner to the exploration of the Nazi past, particularly in its focusing on early Jewish genocide. It also reflects the tensions and contradictions of the Cold War. With de-Stalinization, East German filmmakers question anti-fascist ideolog...
Histoire@Politique, 2021
"Octave Mirbeau et la Bretagne", L’Harmattan, février 2018, 2018
Épisode déterminant de notre histoire, l'affaire Dreyfus a joué un rôle marquant tout au long du vingtième siècle et a constitué, pour des générations de citoyens, notamment de gauche, une référence constante. Je présente ici synthétiquement la place et l'héritage de l'Affaire dans l'histoire récente de la France, j'analyse les obstacles à vaincre pour que l'anarchiste Octave Mirbeau s'engage dans le combat révisionniste, à la différence d'autres libertaires et socialistes, et rappelle les multiples formes de son engagement dreyfusiste, au premier chef ses articles de "L'Aurore", son appel à une alliance des intellectuels et des prolétaires, et le paiement, de sa poche, de l'énorme amende infligée à Émile Zola pour son « J'accuse ».
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2019
Borges commençait ainsi sa présentation de L'Invention de Morel : « Stevenson, vers 1882, observait que les lecteurs britanniques dédaignaient un peu les péripéties romanesques et pensaient qu'il était plus habile d'écrire un roman sans sujet, ou avec un sujet infime, atrophié » (Borges). Peut-être le public anglais s'était-il lassé des récits picaresques et pittoresques à la Walter Scott. Quelques décennies auparavant, c'est à Londres que Benjamin Constant avait choisi de faire paraître son roman Adolphe, en 1816. Un jeune homme croit s'éprendre d'une femme plus âgée que lui, obtient ses faveurs, puis ne parvient plus à se défaire d'une liaison qui le ronge et qui pourtant ne l'oblige apparemment en rien. Voilà tout l'argument d'Adolphe. Avec une telle « anecdote » (Préface 40), comme Benjamin Constant se plaît à nommer son roman, avec une matière si exsangue que Paul Bourget la qualifiait d'« aventure médiocre » (Bourget 31-32), l'auteur parvient pourtant à composer une oeuvre tendue, où l'épuisement de la fable le dispute au développement d'une analyse de cas. Du schéma narratif du Bildungsroman vers quoi oriente toute la signalétique liminaire et en particulier l'incipit (« Je venais de finir à vingtdeux ans mes études à l'université de Gottingue.-L'intention de mon père, ministre de l'électeur de ***, était que je parcourusse les pays les plus remarquables de l'Europe. »), il ne reste rien. De la chronique sentimentale attendue à partir du moment où survient l'intrigue « amoureuse », que reste-t-il? L'avortement d'une « déclaration de haine » (Stendhal)plus exactement : de désamour-, dont l'auteur fait tout son aliment. Le fait est que toute la deuxième partie du roman, soit plus des deux tiers du livre, à partir de la si terrible phrase « [Ellénore] n'était plus un but : elle était devenue un lien » (85), est surnuméraire sur le plan de l'intrigue. Elle s'enferme alors dans le sur-place. Comment expliquer cette « panne » de l'histoire, cette impuissance du héros, cette paralysie de l'action qui font la singularité et la grandeur d'Adolphe? Stase diégétique C'est en tout cas bien ainsi que l'a voulu Constant, revendiquant dans sa préface la gageure d'un « roman dont la situation serait toujours la même » (Arland 40). Ce principe d'inaction ne provient donc pas d'un défaut d'imagination romanesque, il est inscrit au coeur de l'entreprise, celle d'un récit où le développement narratif serait inversement proportionnel à la matière diégétique : un récit qui tourne court. L'intrigue est réduite au strict nécessaire pour que l'introspection ne soit pas complètement hors-sol : aucune péripétie ou des péripéties mineures et pour ainsi dire minimales (c'est-à-dire nécessaires au maintien d'une intrigue). Tous les ressorts qui devraient faire avancer l'action conspirent à l'inertie et à l'immobilité, comme si la possibilité même d'un événement était devenue contraire à la logique romanesque et à la vis sans fin
2010
Comprendre historiquement la loi Debré du 31 décembre 1959 suppose de remonter loin dans le temps : avant 1789. En effet, cette loi propose en fait une solution qui s'avère pour l'instant définitive à la question scolaire, c'est-à-dire au conflit entre l'État enseignant et l'Église enseignante. Mais, et c'est la position que l'on défendra finalement en étudiant le devenir des établissements qui s'inscrivent dans le cadre de cette loi, cette solution se révèle aussi un jeu de dupes, les dupés étant l'État, l'Église et les établissements catholiques, les dupeurs étant, disons-le d'emblée, les parents.
Revue internationale et stratégique, 2004
Dans Revue internationale et stratégique Revue internationale et stratégique 2004/4 (N°56) 2004/4 (N°56), pages 89 à 98 Éditions IRIS éditions IRIS éditions
2020
De la guerre civile du 16 e siècle à la « guerre idéologique » du 19 e siècle. La réception de la Révolte des Pays-Bas en Belgique.
Cet ouvrage a été publié avec le soutien financier du Musée Régional d'Histoire-Dobrič 2 Du nom de Hacıoğlu, fils de Musa Çelebi (l'un des fils de Bayezid I er). 3 Ces monuments n'étaient connus que par des données préliminaires : S. Torbatov, « Antičnoto kultovo središte kraj selo Telerig, Dobričko (Predvaritelno săobštenie) » [Centre cultuel antique près du village de Telerig, département de Dobrič (Rapport préliminaire)], dans Naučni săobštenija na Săjuza na učenite v Bălgarijaklon Dobrič, 3, 2001, pp. 141-147 ; Idem, « Ἥρως Ἥφαιστος (predvaritelin danni za antičnija kultov centăr kraj Telerig, Južna Dobrudža) » [Ἥρως Ἥφαιστος (rapport préliminaire sur les fouilles de l'ancien centre cultuel
Le Centre pour la Communication Scientifique Directe - HAL - Archive ouverte HAL, 2018
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French Colonial History, 2006
Douce France. Rafles, rétentions, expulsions, (O. Le Cour Grandmaison dir.), Paris, Seuil, pp. 45-71, 2009
Le Monde diplomatique
Napoleonica. La Revue 2014/3 (n° 21), pages 17 à 34, 2014
Revue internationale des sciences sociales
in : Chr. Chevillot (dir.) Ecorneboeuf, la colline des Pétrucores. De Ouesona à Vesunna, 2017
Sens Public, 2005
Mémoire de diplôme de l'EHESS, 2022