Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
13 pages
1 file
Résumé: Suite aux travaux de recherches dans le bassin de l'oued Noun et aux études sur l'art rupestre de cette région du sud marocain, nous présentons ici une analyse locale des stations rupestres de la haute vallée de l'oued Seyyad. Cette étude démontre que, malgré l'apparente cohérence spatiale générale des sites, il existe certaines particularités qui regroupent ces stations en sous-ensembles, différenciés selon leur contenu iconographique, leur emplacement et leur contrôle visuel. Ceci amène à avancer l'hypothèse d'une structuration du territoire particulière à chacun des sous-ensembles définis. Abstract Following research in the basin of the Noun wadi and a study of the rock art in this region of southern Morocco, this paper presents a local analysis of rock art sites in the upper valley of the Keypad wadi. This study shows that despite the apparent overall spatial consistency of the sites, certain differences exist which enable them to be divided into subgroups , set apart by their iconography, positioning and the viewpoints they offer over their surroundings. This has led us to posit the hypothesis of a specific territorial organisation for each of the defined subgroups .
L' Agadir de 'Anti-Atlas marocain, 2022
The Moroccan Agadir One of the fortified granaries that can be found along the southern side of the North-African Atlas range is the Moroccan 'Agadir' [pl. Igudar]. It is typically a common sight due to its proliferation and its architectural design. Much has already been saying about this type of structure. The following analysis summarizes its various functions. But at the same time, it is striving to show that its defensive purpose does not entirely explain its deep cultural heritage. As a matter of fact, the existing 'Igudar' date back to three centuries earlier. They have most certainly replaced earlier constructions, whose purpose has a broader significance for the local Berber communities. In order to get a deeper approach to this past heritage, the author visited three of these granaries in the Anti-Atlas in the company of two local Chleuh Berbers, highly involved in the preservation of this type of monument. Beyond the specific architecture, it appears that the aspiration held a more practical purpose as well as a more spiritual conception based on the needs and aspirations of the local agricultural society. The Agadir appears to have kept its highly social purpose. It was, and still is, the focus of a communal identity that could easily be compared to the role of a town hall, an agricultural cooperative, or even having the same spiritual value as today's mosque. Each of these different purposes is analyzed because they go beyond the apparent role of a defensive structure. Not that the fortifications were not a necessity-particularly in the past. But, when one considers the psychological effect these monuments still keep in today's people's minds, there is a need to go beyond a first-sight vision. First, even though the Agadir has lost its main purpose of being a safe granary, its social impact has been kept intact among the local communities. Some have been totally abandoned. But many others still stand near each village [douar]. The entrance gate is kept locked. Usually, the key is kept by a designed keeper [the Amin] and families still hold the ownership of their individual granary cell(s). The Ikounka Agadir has been partially restored. But it is currently locked because of a key settlement. An outside civil servant in a nearby town holds the key and has fostered the anger of the local village inhabitants, who claim the key. It shows that the Agadir has kept its role of being a sacred space, that anybody belonging to the community could use as a protection or a refuge. A long time ago, sanctuaries-like churches-were used for the same purpose if needed. C.S. Tous mes remerciements à Hafid et à Tagoula pour m'avoir accompagné sur les sites, et surtout pour m'avoir apporté de précieux renseignements qui ont donné lieu à d'interessants échanges sur l'héritage culturel des Igudar. À Hafid, pour avoir pris le temps de relire le texte avant publication, afin de voir s'il correspondait bien au ressenti et au partage de nos discussions.
Chef de département informatique de la faculté des sciences de l'ingénieur de l'université Mentouri Constantine Chef d'équipe de recherche sur les nouvelles technologies d'information de communication et leurs applications dans les institutions des archives nationaux du laboratoire des sciences et des techniques d'information et leur rôle dans le développement national,
Au Sahel, l'érosion éolienne se développe particulièrement sur les surfaces cultivées. La présente étude vise : 1) à quantifier les résidus de culture sur les champs traditionnels pour en déterminer leurs impacts sur l'intensité des flux d'érosion éolienne ; 2) à déterminer le rôle de l'érosion éolienne dans le développement des croûtes d'érosion d'horizon B et à déterminer en retour l'impact de cet encroûtement sur le flux d'érosion éolienne ; 3) à tester le rôle que pourraient jouer des aménagements de type bandes enherbées sur des sols nus très sensibles. Six années de mesures de flux d'érosion éolienne ont été entreprises à Banizoumbou dans le sud-ouest du Niger. Celles-ci ont permis de montrer que les résidus de culture protègent la surface des champs de l'érosion éolienne pendant la saison sèche (janvier -avril) et la diminuent significativement (de plus de 3 fois) au début de la saison des pluies (mai -juillet). Cependant, en dessous d'un seuil de 100 kg.ha -1 de recouvrement par les résidus de culture, l'érosion éolienne intervient pendant toutes les saisons, favorisant du coup le développement des croûtes d'érosion. Celles-ci peuvent modifier les flux d'érosion éolienne en limitant le stock de particules mobilisables. Par ailleurs, les bandes enherbées ont contribué à baisser les flux d'érosion éolienne sur les sols nus, mais n'ont pas évité le développement des croûtes.
Exercice G-1 : 1°) Exprimer en Kelvin, degrés Fahrenheit et degrés Rankine (température absolue dans le système anglo-saxon) les températures de 0°C, 50°C, 100°C, -17.78°C, -273.15°C. 2°) Déterminer la température à laquelle le nombre qui l'exprime est le même en °C et °F. Même question en K et en °R.
Evolution des risques agroclimatiques associ es aux tendances r ecentes du r egime pluviom etrique en Afrique de l'Ouest soudano-sah elienne R esum e Dans le contexte actuel de changement climatique, la veille agro-hydro-m et eorologique des r egions semi-arides doit ^ etre am elior ee et renforc ee. L'objectif de ce travail est d'utiliser des donn ees observ ees en station pour identifier l' evolution spatio-temporelle des risques agroclimatiques associ es aux grandes tendances du r egime pluviom etrique dans la bande soudano-sah elienne elargie aux parties nord de certains pays c^ otiers de l'Afrique de l'Ouest (B enin, Togo, Nigeria). Les r esultats montrent que sur la p eriode 1950-2010, l' evolution du r egime pluviom etrique est en trois phases quasi identiques sur les cumuls (Cum), l'intensit e du cumul sur trois jours cons ecutifs (Px3), et les longueurs de saison culturale (LSC) par rapport a la normale 1961-1990. A savoir : i) une p eriode d'exc edents de Cum et Px3 avec des LSC plus importantes (1950-1969) ; ii) une p eriode de d eficits de Cum et Px3 avec des LSC plus courtes (1970-1990) ; et iii) la p eriode r ecente dont les Cum, Px3 et LSC sont tr es variables (1991-2010). Cependant, les dates de d emarrage des saisons montrent une tendance quasi stationnaire, de 1970 a 2010. Les risques agroclimatiques de resemis, de stress post-floraison et d'occurrence de faux d eparts et de fins pr ecoces des saisons des pluies sont li es aux p eriodes de s echeresse historique, en particulier pendant les deux derni eres d ecennies. L'occurrence des faux d eparts et des fins pr ecoces de la saison des pluies rend la distribution des ev enements pluvieux peu profitable a la croissance des cultures. En effet, cette distribution est bien corr el ee aux d eficits pluviom etriques observ es dans la r egion. Ces r esultats statistiquement significatifs permettent de poser deux hypoth eses majeures dans le contexte du changement du r egime des pluies : i) les risques agroclimatiques de la p eriode 1991-2010 sont rest es similaires a ceux de la p eriode de s echeresse historique 1970-1990 ; ii) les ann ees humides sont associ ees a des vagues d' ev enements de faux d eparts observ es de mani ere pr ecoce dans la premi ere d ecade de juin ou avant. A chaque fois que des faux d eparts (fins pr ecoces) sont observ es au-del a de la premi ere d ecade de juin (avant fin septembre), le cumul de cette saison sera tr es probablement inf erieur aux normales 1961-1990 et 1981-2010. Ces hypoth eses peuvent servir d' el ements de renforcement des techniques utilis ees dans la pr evision saisonni ere de la pluie et la veille agroclimatique dans la r egion. Mots cl es : Afrique de l'Ouest, climat soudano-sah elien, evolution spatio-temporelle, r egime pluviom etrique, risques agroclimatiques.
Le présent ouvrage livre la documentation hiéroglyphique du secteur de Bab el-Maganîn, dans la ville moderne d’Ermant, au sud de Louqsor. À près de 300 mètres du temple principal consacré au dieu Montou-Rê, une porte d’enceinte bâtie sous le règne d’Antonin le Pieux (138-161 apr. J.-C.) témoigne d’un domaine cultuel secondaire, enfoui sous les habitations. Alentour, gisent des dizaines de blocs épigraphiés. Ces ensembles lapidaires ont été partiellement publiés en 1940 par Robert Mond et Oliver Humphrys Myers, puis par Adel Farid en 1979. Sous les auspices de l’Ifao, la reprise des travaux sur le site d’Ermant a permis progressivement de réunir la totalité de cette documentation éparse, que les archives de l’Egypt Exploration Society à Londres ont significativement enrichie. Parmi cette matière épigraphique hétérogène, il est possible de proposer un assemblage partiel d’une porte monumentale aux noms de Ptolémée VI Philométor, Ptolémée VIII Évergète II et Ptolémée IX Philométor II. Malgré leur caractère fragmentaire, ces inscriptions livrent des informations importantes sur les cultes du dieu Montou-Rê et de ses parèdres dans la région thébaine à l’époque gréco-romaine. This book presents the hieroglyphic documentation of the site of Bab el-Maganîn, located in the town of Armant, south of Luxor. An enclosure gate built by Antoninus Pius (138–161 AD) bears witness to a secondary cultic domain, buried under the modern houses nearly 300 meters from the main temple dedicated to the god Montou-Re. Around it lie dozens of inscribed blocks. These sets of stones were partially published in 1940 by Robert Mond and Oliver Humphrys Myers, then by Adel Farid in 1979. The work resumed at Armant under the auspices of the IFAO has gradually allowed to bring together all of this scattered documentation, which the archives of the Egypt Exploration Society in London have significantly enriched. Amongst this heterogeneous epigraphic material, it is possible to virtually reconstruct part of a monumental gate bearing the names of Ptolemy VI Philometor, Ptolemy VIII Euergetes II and Ptolemy IX Philometor II. Despite their fragmentary nature, these inscriptions provide important information about the cults of the god Montu-Re and his relatives in the Theban area during the Graeco-Roman period.
Les résultats de mes recherches ont montré que le SEL est un grand personnage de l'histoire en Afrique. Il a joué un rôle prépondérant dans l'histoire du Saloum en générale et de l'Afrique en particulier.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Marocains de l'extérieur - 2017", 2019
Actes du colloque "Devenir un bon chercheur", 2015
Profil, 2023
Écrire la Méditerranée arabe : Les différentes expressions d’un espace et d’un concept contrasté , 2024
ICIEM’12, International Conference on Industrial Engineering and Manufacturing, 2012
Insaniyat / إنسانيات, 2018
EFFETS DES CRUES DE L’OUED IFRANE SUR UNE OASIS DE PIEMONT: IFRANE ANTI-ATLAS, 2018