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Le « ville créative » souvant apparaît dans des métropôles, des grandes villes, des villes internationales. Pensons nous vers un groupe de taille énorme collectivement mais petite indivuduellement comme une « ville créative »? En effet, les villes moyennes abritent des ressources enrichie. Dans notre processus de l’urbanisation, quel est le rôle qu’on laisse à « ville moyenne » ? Est il une solution « ville créative » pour eux?
2018
Brussels: creativity in a divided city / la créativité dans une ville divisée. Brussels (VUB academic press). Introduction : Repenser la « créativité » dans une ville cosmopolite et inégale 1
2019
Dans le contexte actuel de mondialisation, de fragmentation des metropoles, et d’emergence de l’economie de la connaissance comme l’un des moteurs des villes, il importe d’interroger la construction des proximites entre les acteurs de l’economie culturelle et creative. Entre connexion a l’echelle internationale (permise par les TIC) et concentration spatiale a l’echelle locale, ces activites participent au faconnement des territoires. A travers l’etude de leur regroupement dans certains quartiers centraux et pericentraux degrades des villes, qualifies de "creatifs", il s’agit d’interroger les dynamiques territoriales qui en decoulent. Ces quartiers creatifs sont porteurs d’enjeux forts a la fois au niveau economique, social et urbain. Pour illustrer notre propos, nous nous appuierons sur un travail de terrain realise sur le quartier des Olivettes, ancien faubourg industriel et populaire de Nantes, aujourd’hui considere comme le quartier de la creation officieux de la ville...
2015
Introduction. Les politiques de durabilite qui ont reussi a inflechir les trajectoires urbaines ont ete le fruit d'histoires et de coalitions d'acteurs singulieres, fondees sur des prises de risque, des engagements dans la duree, des endurances, loin des chemins routiniers des politiques sectorielles. A l'oppose de la durabilite mainstream, certaines equipes municipales ont affronte les sentiers de dependance, les obstacles et interets institues pour faire advenir avec plus ou moins de succes des approches transversales, comme le montre l'analyse des jeux d'acteurs dans une vingtaine de villes europeennes (Emelianoff, Stegassy, 2010). Nous en donnerons ici trois exemples, a trois echelles : une petite commune periurbaine du bassin minier en France, une ville moyenne suedoise et une metropole italienne. Ces trois types de trajectoires ouvrent aujourd'hui encore des horizons d'action, pour ces villes et pour d'autres collectivites. Au-dela des contradic...
Management international, 2009
Les villes créatives : une comparaison Barcelone -Montréal Volume 13, numéro hors série, 2009 URI : id.erudit.org/iderudit/037503ar
La note d'analyse, 2022
Distribution électronique Cairn.info pour France Stratégie. © France Stratégie. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
2007
Cette étude a pour objet de comparer l’attractivité des métropoles régionales intermédiaires. Unités urbaines comprises entre 200 000 et 500 000 habitants, elles se caractérisent par des fonctions économiques dont le niveau ne présente pas un important rayonnement transnational, mais disposent néanmoins de nombreux atouts, leur taille limitant, par exemple, les déséconomies d’agglomération. Pour garantir la pertinence de son étude, l’auteur a retenu des métropoles intermédiaires comparables, soit 7 capitales régionales : Caen, Clermont-Ferrand, Dijon, Metz, Montpellier, Orléans et Rennes. Leur attractivité a été comparée à partir de 7 critères relatifs à la population et à l’emploi, tant à l’échelle de l’unité urbaine qu’à celle de la ville-centre. Il en ressort une hiérarchie claire. La métropole la plus attractive à l’échelle de l’unité urbaine est Montpellier et à l’échelle de la commune-centre Orléans. Plusieurs facteurs expliquent ce classement. Les métropoles qui ont investi dans l’innovation sont plus attractives que celles où persistent des activités industrielles traditionnelles. De même sont mieux classées celles dont l’économie est diversifiée et qui ont valorisé leurs réseaux de transport. La manière dont la métropole exerce ses fonctions de capitale régionale entre également en ligne de compte. [This study was designed to compare the attractiveness of the intermediaries regional cities. Urban units between 200 000 and 500 000, are characterized by economic functions whose level does not present a significant transnational radiation, but still have many assets, size limits, for example, diseconomies of agglomeration. To ensure the relevance of the study, the author has retained comparable interim metropolises, 7 regional capitals: Caen, Clermont-Ferrand, Dijon, Metz, Montpellier, Orleans and Rennes. Their attractiveness was compared from 7 criteria for population and employment, both at the level of the urban unit to that of the city center. It shows a clear hierarchy. The most attractive city-wide urban unit is Montpellier and across the town center Orleans. Several factors explain this ranking. The cities that have invested in innovation are more attractive than those which persist traditional industrial activities. Similarly higher ranking ones whose economy is diversified and have valued their transport networks. How the city's services in the regional capital also comes into play.]
2014
Clusters creatifs, quartiers culturels, villes creatives… Depuis quelques annees, ces termes n'apparaissent plus seulement dans la litterature academique mais egalement dans le discours des responsables politiques pour qualifier une strategie de developpement d'un territoire qui s'appuie sur les industries creatives. Les exemples de villes qui ont relance leur economie grâce a des investissements dans la culture (Bilbao, Nantes, Lille…) et a l'oppose le constat de villes mortes de ne pas avoir su envisager a temps leur reconversion (Detroit aux Etats-Unis par exemple) sont largement commentes. Ces termes pretent cependant a confusion dans la mesure ou ils renvoient a des realites et des analyses sensiblement differentes. Le terme de « cluster » par exemple est issu de l'economie industrielle et decrit une concentration d'entreprises appartenant a une meme filiere sur un territoire donnee. Celui de « ville creative » insiste sur l'ecosysteme que peut repre...
Canadian Journal of Regional Science, 2007
2010
"Résumé - Défendant le parti pris d’une recherche culturelle appliquée qui ne s’interdit pas a priori de considérer positivement son objet au service d’objectifs externes ou extra-culturels, ce travail de thèse vise à explorer l'articulation, aujourd’hui opérée autour de la notion de « créativité », entre l’offre culturelle des territoires et leurs capacités attractives durables en faveur d’un redéploiement économique et urbain. Au plan conceptuel, la démarche s’appuie sur les arguments offerts par les théories contemporaines sur les économies régionales pour soutenir l’hypothèse d’un lien entre l’émergence et la concentration géographique en quelques zones urbaines centrales de nouvelles activités industrielles technocréatives et l’animation artistique et culturelle dans laquelle elles se développent. La pertinence et l’originalité de la démarche résident à cet égard dans la tentative de formuler un cadre intégrateur des différentes grilles de lecture en présence, qu’il s’agit ensuite de mettre à l’épreuve des faits. Le cadre de référence exploratoire est ainsi construit à partir de trois grandes perspectives explicatives, ou intuitions plausibles de recherche, portées par les approches plus récentes du développement économique régional: 1/ des effets de type « milieu », promus par les hypothèses issues du « tournant relationnel » dans l’analyse du développement (socio-) économique urbain : « district créatif », «communautés créatives », « réseaux sociaux d’échanges créatifs »… ; 2 / des effets de « lieu », décrits par des analyses inspirées d’une certaine géographie dite culturelle, d’inspiration phénoménologique, qualitative et sensitive, qui invitent à lier l’aptitude à la créativité à l’expérience même de la ville, dans ses dimensions matérielles mais aussi sensibles et idéelles; 3 / des effets de « culture » (en termes de valeur et d’aspiration), qui reformulent cette fois sous l’angle plus classique de l’économie résidentielle et du marketing culturel urbain, la question de l’incidence de la dimension culturelle du cadre de vie sur l’attractivité territoriale auprès d’activités et de populations « stratégiques ». La validité des schémas d’explication préétablis est explorée au moyen d’une méthodologie qualitative appliquée à une étude de cas unique : l’industrie du jeu vidéo à Montréal et son personnel « créatif ». Cette entrée méthodologique par le travailleur (le monde quotidien de la vie et du travail) permet de dépasser une réduction de la « ville créative » à des questions de densité urbaine (d’intensité, de diversité et/ou de connectivité), au profit d’une analyse microsociologique qui interroge au plus près de la réalité des acteurs concernés les mécanismes et les critères d’éventuelles rencontres productives entre les différents « mondes créatifs » qu’articule la ville dense. Pour rendre opératoire le questionnement, l’accent est mis sur (1) la mobilité professionnelle des personnes sur les marchés locaux du travail de création; (2) leur mobilité sociale, c.-à-d leur capacité d’adaptation à des milieux différents afin de pouvoir jouer sur plusieurs scènes et/ou solliciter des réseaux composés de relations plus ou moins élargies; (3) leur mobilité culturelle, définie ici à travers la diversité des goûts et des pratiques culturelles qui marque les formes de participation quotidienne à la vie culturelle « hors les murs »; (4) leur mobilité géographique, appréhendée plus particulièrement sous l’angle des représentations et de la nature de l’attachement à l’espace résidentiel d’adoption. L’analyse des résultats permet de dégager la cohérence d’un mode ou d’un art d’ « habiter » la centralité urbaine, en liaison avec les aspirations à un mode ou à un style de vie centré sur l’activité de création. Cette « territorialité » qui découle des pratiques et des représentations autorise à soutenir empiriquement, tout en les affinant et infléchissant d'une manière significative, deux thèses complémentaires: celle de la valeur d’attractivité appréciable dont est porteur la culture pour les territoires concernés; celle d’un groupe social émergeant dont le profil professionnel, culturel et psychologique peut être capturé par la notion de « classe créative ». La démarche d’ensemble permet d’apporter un éclairage scientifique nuancé sur le rôle des arts et de la culture dans la mutation positive des espaces urbains centraux et le dynamisme économique des villes dites postindustrielles. Elle contribue plus largement à l’examen critique d’un discours programmatique en matière de politique publique et de régénération urbaine par la culture, construit sur l’idée d’une « nouvelle économie créative » et les concepts liés: ville créative, industrie créative, classe créative."
Dans le cadre d’un renouvellement perpétuel des dispositifs de communication territoriale des grandes villes de France, la créativité est l’actuelle idéologie territoriale utilisée comme socle des discours et ce sous trois formes que sont les créativités sociale, culturelle et économique. Les villes de Saint-Etienne, Rennes et Nantes, ont été les terrains d’une collecte d’information principalement recueillies dans le cadre d’entretiens semi-directifs et de recherches documentaires, révélant l’émergence d’une offre territoriale valorisée dans les discours de la politique publique locale, que ce soit à travers des dispositifs bien ciblés ou de la constitution d’espaces spécialisés dans la ville.
REVUE DIRASSAT, 2021
Le centre-ville de Constantine est construit sur un rocher qui est relié avec le reste de la ville à travers 7 ponts cette connectivité souffre de problèmes de congestion qui influencent négativement l’attractivité de cette ville touristique. Dans le cadre d'un programme du développement durable codirigé pour la ville, la connectivité de ce centre a été renforcée par plusieurs équipements entrant dans une stratégie de renouvellement urbain durable et de modernisation de la ville. Dans cet article, il est question d’analyser l’impact de ces projets sur l’attractivité du centre-ville en se basant sur une enquête effectuée auprès des utilisateurs de ces équipements et les habitants de Constantine.
Allemagne d'aujourd'hui
Distribution électronique Cairn.info pour Association pour la connaissance de l'Allemagne d'aujourd'hui. © Association pour la connaissance de l'Allemagne d'aujourd'hui. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
La ville moyenne. Quel rôle dans le contexte de la métropolisation ? Actes du Colloque (18-20 octobre 2018). Direction de Seddik Fezai. CPU/Université de Tunis - UR.RDRU septembre 220,, 2020
La communication présente la définition et les traits majeurs de la ville moyenne en général et en Tunisie plus particulièrement ainsi que son rapport à la métropole et son rôle dans l'action publique d'aménagement et de développement territorial
Les mouvements sociaux de ces dernières années ont mis l’accent sur la paupérisation de la France périphérique, périphérie qui commence dès la banlieue des métropoles qu’elles sont supposées inonder leur richesse. Cet antagonisme entre métropoles et territoires n’est pas propre à la France et n’est pas le résultat d’un accident de l’histoire : c’est celui de politiques délibérées qui ont fait des métropoles l’axe incontournable du développement économique et de la compétition dans la mondialisation. Cette étude montre, d’une part, que les hypothèses économiques sur lesquelles se fonde cette fascination pour le big is beautiful ne sont pas vérifiées et que l’on est largement dans le domaine de l’idéologie. Elle montre d’autre part, au travers de nombreuses études de cas et d’analyses des dynamiques urbaines, tant historiques que dans le contexte de la révolution numérique, que les villes moyennes fournissent un cadre plus favorable à l’innovation et au développement face aux enjeux écologiques et énergétiques, fondé sur la cohésion entre villes et territoire.
Communication et organisation, 2012
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