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2008, Cahiers Du Musee National D Art Moderne
Une icône démasquée: noire et blanche de Man Ray. French translation of "Unmasking Man Ray's Noire et blanche." Published in Cahiers Du Musee National D Art Moderne, no. 103, Spring 2008.
leforumdufestival.com
Nos questionnements autour du sujet central de l'homme noir et son image sont partis de nos productions plastiques en vue de l'exposition "Réminiscence Iconographique" que nous avons organisée du 14 janvier au 8 février 2009 à l'Hotel de Ville de Saint-Louis en France.
Dossiers de l'art n°267, 2019
Publié à l'occasion de l'exposition Le modèle noir, de Géricault à Matisse, musée d'Orsay, 2019
Connexe : les espaces postcommunistes en question(s), 1970
Parmi les films de propagande nazie, une production issue de Lettonie occupée connaît une élaboration et une destinée particulières : Brouillard rouge (Sarkanā migla). Initié par un organisme cinématographique allemand et réalisé par des cinéastes locaux, le film retrace l’annexion de la Lettonie à l’URSS en 1940. Grâce à un montage d’images d’archives soviétiques et de plans tournés sous l’occupation nazie, à travers un commentaire « judéisant » tous les acteurs de l’État soviétique, les concepteurs du film rendent conforme leur récit aux principes de la propagande nazie. Les autorités allemandes prévoient une large diffusion du film dans l’Europe. Après la guerre, les bobines du film et l’un des cinéastes lettons se retrouvent aux États-Unis. Sous le titre de My Latvia (1954), le film, remanié, connaît un nouvel essor dans le contexte de guerre froide. L’agence de propagande américaine en fait un vecteur de diffusion des « crimes du communisme ». Les multiples versions et adaptati...
Spirale, 2019
Distribution électronique Cairn.info pour ERES. © ERES. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
« Écrire, c’est apprendre à mourir » aurait pu dire le poète français Lionel Ray, plagiant Montaigne. Tel est l’objet de la suite de neuf poèmes qui composent « Viatique », première partie de son dernier recueil. Les différents éléments du « viatique » sont le poème (1), la quête du je (2) et du lieu (3), la mémoire du bonheur (4), le temps qui tout corrompt (5), l’intuition de la fin (6), la perception du passé (7), la proximité du naufrage (8), enfin le triomphe du je dans le temps du poème. Au fil des vers ou des proses en vers, nous avançons dans la lecture, en tentant d’éclairer les points essentiels et récurrents qui résonnent dans son œuvre depuis Comme un château défait jusqu’à De ciel et d’ombre.
Hommes & migrations, 2015
Miranda, n°24, 2022
Traduction française de « White », Screen, 29(4), 1988
Mouvements, 2011
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Dicocer. Dictionnaire des céramiques antiques en Méditerranée nord-occidentale, Lattara, 6, (1993), pp. 90-102., 1993
Études littéraires, 2020
Nous nous proposons ici de rendre compte des « mises en scène » des évolutions intimes et sociétales de la figure de l’« homme noir » – topos littéraire majeur et récurrent dans l’oeuvre d’Henry Bauchau –, à travers lesquelles il retrace et analyse les sentiments et les comportements ambigus qui ont caractérisé et marqué sa génération aux prises avec les drames engendrés par la Deuxième Guerre mondiale, les contraintes blessantes d’une société aux valeurs étanches, l’espérance d’une vie équilibrée et l’affirmation du mal absolu.
2015
RÉSUMÉ Notre recherche étudie les particularités esthétiques et matérialistes de l’œuvre du bédéiste américain Jack Kirby (1917-1994) et la manière dont elles répondent d’agencements qui visent à déconstruire et reconstruire les formes sur la page. Contemporain de Will Eisner, Kirby est largement considéré comme l'auteur et dessinateur le plus influent de son époque, co-signant les premières aventures de certains des super-héros qui perdurent et qui sont aujourd’hui la manne de l’industrie hollywoodienne (Captain America, les Fantastic Four, Hulk, etc.). Son œuvre protéiforme est composée de superpositions de textures, d’objets récupérés, de figures déviées et trouve dans son rapport à la matière les principaux axiomes qui la définissent. Cherchant dans son travail à cerner les fonctions des nombreux amoncellements de points noirs (baptisés kirby dots par la critique et l’industrie), nous nous écartons des modèles d’analyse sémiologiques pour constituer une approche écosophique de la bande dessinée. Dans cette dernière, nous avons recours à la schizo-analyse théorisée par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans leur ouvrage L’Anti-Œdipe (1972) afin de cerner les conditions de la production de sens et de non-sens du point kirbyen. Pour ce faire, nous proposons de reconsidérer la BD comme une écologie séquentialisée, composée de cases sans icônes, c’est-à-dire d’un espace pris au plus près de la planche, pour soi et en soi, sans rapport de causalité fixe ou de structure prédéterminée. Nous envisageons ensuite les territorialités archaïques de la bande dessinée pour mieux définir son ontogénie, puis pour étudier les rapports machiniques et schizos qu’entretiennent entre eux les différents espaces (que nous distinguons en espaces striés et en espaces lisses) ainsi que les différents traits de la planche. Finalement, nous expliquerons en quoi le point kirbyen apparaît comme une machine abstraite, c’est-à-dire une instance capable d’auto-générer, d’auto-poïétiser, son propre mystère représentationnel. ABSTRACT Our research examines the aesthetic and materialistic features of the work of American comic book artist Jack Kirby (1917-1994) and how they respond to arrangements designed to deconstruct and reconstruct forms and shapes on the page. Contemporary of Will Eisner, Kirby is widely regarded as one of the most influential author and illustrator of his time, co-signing the very first adventures of some superheroes that still exist today both in print and as Hollywood’s new treasure trove (i. e. Captain America, the Fantastic Four, Hulk, etc.). His protean work is composed of heavy textures and superposition of (re)covered objects and deflected figures that find in its stance towards materiality its defining axioms. Seeking in its work to identify the functions of the many piles of black dots (baptized by critics and artists as the kirby dot), we depart structural analysis models to constitute an ecosophical approach to comics. We’ll then use the schizoanalysis theorized by Gilles Deleuze (1925-1995) and Felix Guattari (1930-1992) in their book Anti-Oedipus (1972) to identify the nature of the significant and asignifiant sign production associated to the kirby dots. To do this, we’ll reconsider the comic book (and the bande dessinée at large) as a sequencialised ecology, composed of panels without icons, that is to say of spaces and existential territories taken as close to the page – for itself and in itself – without causal relationships or predetermined structures. We’ll analyse the archaic territorialities of comics to better define what could be their ontogeny and the nature of its machinic and schizo relationships as the various spaces (which we distinguish in striated and smooth spaces) and the different pen strokes of the board become intertwined. Finally, we’ll explain how the kirby dot appears as an abstract machine, meaning an instance capable of auto-generating and auto-poietising its own representational mystery.
«Sedimentation: Towards an archaeology of word and image», 13th International IAWIS/AIERTI Conference, Universidade Federal de Minas Gerais, 28 agosto-1 settembre 2023. http://www.letras.ufmg.br/iawis2023/
Nouvelles études francophones, 2017
Vst - Vie Sociale Et Traitements, 2013
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Mosaïque
L’engouement que suscite une oeuvre d’art réussie est lié au fait qu’elle renvoie le spectateur à des aspects méconnus de sa propre vie psychique. Il en va ainsi de la bande dessinée Iron Man. Derrière l’armure se cache un homme pris dans les incidences traumatiques de la vie. L’analyse des mésaventures de ce personnage de comics dévoile une problématique narcissique très intense. Le dialogue conflictuel qu’il entretient avec son armure de fer questionne l’expérience interne liée au trouble du sentiment d’identité. De surcroît, cette bande dessinée fait émerger un questionnement quant aux conséquences de l’évolution de notre lien aux objets technologiques, à l’heure où notre dépendance à eux ne cesse de s’accentuer.
Volume La Revue Des Musiques Populaires, 2011
Theatre Research in Canada Recherches Theâtrales Au Canada, 2012
Le présent article examine les fonctions remplies par les lunettes de soleil de Marcel, un personnage majeur de l' oeuvre théâtrale et romanesque de Michel Tremblay. Ce personnage apparaît dans En pièces détachées et Marcel poursuivi par les chiens, deux pièces qui mettent en place, entre le spectateur et la scène, la médiation de personnages féminins. Le regard que posent ces premières spectatrices sur la scène théâtrale fait vaciller l'identité du personnage principal aux yeux du spectateur en l' empêchant d'y avoir directement accès. On verra que les lunettes du personnage dépassent le simple accessoire scénique : elles peuvent être vues comme faisant partie d'un dispositif d' écrans multiples qui, interposés entre Marcel et la réalité, traduisent un dysfonctionnement comportemental. Les difficultés identitaires du personnage sont notamment associées à un aveuglement familial qui se manifeste par des écrans maternels et à la vision d'une scène traumatisante transgressive, renvoyant à l'impossible vision de l'inceste familial fondateur. Bien que ces deux événements (l'inceste et le meurtre) ne soient pas liés dans le récit, ils renvoient tous deux à une vision interdite : celle de sa propre chair comme désirable et celle de l'annulation d'un sujet (Mercedes) par un autre (Maurice).
Communication proposée à l'occasion du colloque international "Subjectivités féministes, queer et postcoloniales en art contemporain. Une histoire en mouvements", à l'Université Rennes 2, qui s'est tenu du 8 au 10 avril 2015. L'objectif de cette communication est de comprendre comment Wendy Red Star, à travers son œuvre, engage un processus d’appropriation d’une image standardisée, construite et diffusée par une culture visuelle majoritaire coloniale (puis post-coloniale), en vue de re-présenter son identité, en ses propres termes. A cette fin, il s’agit, dans un premier temps, d’identifier l’image précise que l’artiste s’approprie, afin d’en dégager les modalités de déconstruction mises en œuvre. Nous verrons que l’articulation de ces deux actions (appropriation/déconstruction) révèle un féminisme devenu modalité discursive de réaffirmation identitaire dans l’art contemporain amérindien.
Études littéraires, 1996
Neige noire reprend de façon systématique deux des grands thèmes classiques de la théorie du cinéma et de la filmologie : d'une part, la nature du mélange réalité / fictionnalité qui sous-tend tout véhicule filmique et, d'autre part, les problèmes épistémologiques qui proviennent de la représentation de la temporalité au sein de récits cinématographiques. Ce sont ces deux données qui seront privilégiées au cours de cette étude. Il s'agira non seulement d'interroger le discours descriptif qui veille à l'actualisation scripturale de l'image cinématographique, à sa transformation en obje-ttexte iconique, mais notamment de dégager du texte de Hubert Aquin une certaine perspective sur les rapports entre la narrativité etl'iconicité.
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