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La société saharienne entre l'intérêt de l'habitat collectif et l'appartenance au traditionnel. « CAS DE OUARGLA » 2 اإلْذاء: إنى انعًم ْزا أْذي انكشًٌح انعائهح ، األساذزج، األصذقاء ، كم ٔ انضيالء انذسب سفقاء 3 RESUME:
La loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU), sortie à la fin de l’année 2000, a marqué en France une relance de la planification stratégique, une nouvelle ambition de lutte pour une gestion économe de l’espace urbain et périurbain, et une nouvelle étape de mobilisation contre les phénomènes ségrégatifs. Une mesure-phare de cette loi a été la création des SCoT (Schéma de cohérence territoriale), outils de planification intercommunale stratégique. Ces documents doivent organiser le développement des territoires qui s’en dotent, en matière d’habitat, de déplacements, de protection de l’environnement, d’activités économiques, pour un horizon de 15 à 20 ans. Dans le contexte français de décentralisation de l’urbanisme, une règle originale, dite « d’urbanisation limitée », ou encore « des 15 km », a été instituée pour inciter les collectivités locales périurbaines à réaliser des SCoT et ainsi lutter contre un étalement urbain désorganisé. Cette mesure consiste à empêcher les communes de réaliser d’importantes extensions d’urbanisation si elles sont situées à moins de 15km du pourtour des principales agglomérations ou du littoral, sauf si elles sont couvertes par un SCoT. Cette nouvelle contrainte a fortement contribué au lancement d’un grand nombre de procédures de réalisation de SCoT dès l’année 2001. Mais elle a été également fortement critiquée par les milliers d’élus locaux concernés ; c’est ainsi qu’elle a été « assouplie » après le changement de majorité gouvernementale, par la loi Urbanisme et Habitat (UH) de juillet 2003.
Guide pratique à destination des élus sur les thématiques à envisager pour aborder les enjeux de la durabilité dans la ville.
Depuis l’adoption des textes internationaux en faveur de la femme, une dynamique contribuant à la construction et déstructuration des paradigmes liés aux rapports sociaux de sexe se propagea sur le globe terrestre: De la « femme-propriété », l’on aspire à la « valorisation morale de la femme »; Du concept « tais-toi et sois belle », la femme émerge de façon de plus en plus visible au « pouvoir de prise de décision » dans les affaires publiques. Ainsi, l’on observe une évolution des paradigmes sociaux avec pour moteur d’impulsion les institutions sociétales. Parmi ces institutions, l’Etat camerounais a adopté au travers des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), plus précisément l’OMD 3 une stratégie de développement ayant pour visée de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes : l’éducation primaire pour tous d’ici 2015. Ceci part du constat selon lequel, l’éducation joue un rôle central dans la croissance inclusive, l’équité, la transformation sociale et le développement durable. Les autorités camerounaises ont centré la politique éducative du Cameroun autour de deux principaux points : la lutte contre la pauvreté et la question de la parité . L’enjeu de cette stratégie est précisément le renforcement de l’employabilité et ainsi de l’autonomisation de la femme. Malgré les actions sur le plan institutionnel, les habitus sociaux demeurent un frein à l’efficacité des institutions mises en place. Les Objectifs de développement durable (ODD) viennent en réponse aux limites dont les OMD ont été entachés. Les OMD avaient pour mission globale de « promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes » ; ainsi, l’action était centrée sur l’appropriation du concept par les instances étatiques. En ce qui concerne les ODD, il s’agit de « parvenir à l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes » ; l’action est par conséquent centrée sur l’appropriation du concept par les individus que sont la fille, la femme, le garçon et l’homme.
RESUME Dans le contexte du développement durable, l'article présente une méthodologie pour l'évaluation des impacts environnementaux des bâtiments par simulation du cycle de vie. Il s'agit de comptabiliser les impacts sur la vie d'un bâtiment, depuis la fabrication des matériaux jusqu'à la démolition et le traitement des déchets. Malgré des incertitudes encore importantes, les premières applications ont permis d'identifier quelques grandes tendances. Les impacts liés à l'énergie (chauffage, éclairage et électricité spécifique, eau chaude sanitaire, ventilation) représentent une part importante dans le bilan global. La méthodologie a été appliquée de manière expérimentale dans divers projets, par exemple une maison réalisée dans le programme "haute qualité environnementale" du Plan Urbanisme Construction et Architecture (Ministère chargé du Logement), et un bâtiment tertiaire situé à Mèze. Ces illustrations permettent de mieux cerner les potentia...
RÉSUMÉ Bénéficiant d'un véritable courant de sympathie d'un bout à l'autre de la planète, le développement durable ne peut plus être considéré comme un phénomène marginal. Tous les secteurs de la société sont aujourd'hui interpellés par les valeurs du développement durable et le nombre d'organisations qui se proclament vertueuses dans l'espace public se multi-plie à un rythme qui nous aurait semblé impossible, il y a quelques années. Mais quelle place la communication occupe-t-elle en matière de développement durable? Quelles valeurs la guident? Comment se construit-elle? S'appuyant sur différentes études, l'article s'intéresse à l'idée de développement durable dans les organisations, au sein de la population et dans les pratiques communicationnelles en se fondant sur l'importance du facteur humain et de la mise en relation, essentiels à la communication et au développement durable. ABSTRACT Sustainable development is enjoying a current of sympathy the world over, such that it can no longer be considered a marginal phenomenon. Nowadays, all sectors of society are coming to grips with the values of sustainable development and the number of organizations publicly claiming to have a good record in this area has grown at a pace that would have seemed impossible even only a few years ago. But what role does communication play in sustainable development. What values guide and inform communication? How is it constructed? Working from various studies, this article examines the idea of sustainable development in organizations, among the public and in communication practices. To this end, if focuses on the human factor and the establishment of relations of understanding – two things vital for communication as well as sustainable development. Pour citer cet article : Tremblay, S. (2011). « Développement durable et communication : vers un espace ouvert fondé sur la participation citoyenne, l'éthique du dialogue et l'interinfluence », Télescope, vol. 17, n° 2, p. 239-255.
La coopération décentralisée a investi des domaines liés au développement durable et cette thématique semble monter en puissance dans le cadre de l’appui au développement des pays du Sud (IEPF, 2007). Cette tendance reste toutefois relativement timide. Les questions d’adduction d’eau, d’assainissement, de gestion des déchets, notamment dans les centres urbains, font souvent l’objet de projets et de programmes de coopération entre des collectivités locales ou entre des ONG et des associations et leurs partenaires du Sud. Cependant, de nombreux projets n’intègrent pas ou peu les préoccupations de développement durable, soit par manque de sensibilisation des acteurs du Nord et du Sud, soit par faiblesse de moyens, soit encore sous la pression des besoins plus immédiats à satisfaire. Ce travail pose la question du lien entre coopération décentralisée et développement: les visions au Nord et au Sud.
Serie De Recherche, 2003
a été instituée en mai 2000 par une convention conclue entre l'UNESCO et l'Université Montesquieu-Bordeaux IV. Elle a pour objet d'encourager les actions de formation et de recherches dans ces trois domaines. S'appuyant sur le réseau des Universités qui sont liées à l'Université Montesquieu-Bordeaux IV, elle a développé, au moyen de programmes' d'échanges et de recherches communs, un partenariat facilitant les publications scientifiques et l'organisation de colloques internationaux. Elle contribue ainsi, dans une perspective de développement, à la coopération internationale en matière d'enseignement supérieur. Le Centre d'économie du développement Le Centre d'économie du développement (CED) est un centre de recherche axé principalement sur les économies du Tiers-Monde-l'Afrique, en particulier. Il est rattaché à l'UFR de sciences économiques de IUniversité Montesquieu-Bordeaux IV et collabore avec plusieurs institutions internationales. Il s'intéresse aux questions d'économie sociale-pauvreté, marché du travail et développement ; développement humain durable et intégration sociale-aux aspects institutionnels du développement-systèmes productifs et développement-et à la dimension macroéconomique de la transition-ajustement structurel et développement ; transition économique et endettement. Le Centre d'économie et d'éthique pour l'environnement et le développement Le Centre d'économie et d'éthique pour l'environnement et le développement (C3ED) est une Unité Mixte de Recherche entre l'Institut de Recherche pour le Développement (IRO) et l'Université de Versailles St. Quentin en Yvelines (UVSQ). Son objet est l'analyse économique des conditions de réalisation du développement durable en considérant les interactions entre les sphères économique, sociale et écologique. Il comprend deux pôles de recherche: le pôle "Economie et gouvernance de l'environnement et des ressources" qui traite des aspects de la durabilité écologique et le pôle "Durabilité sociale" qui travaille sur les constituants d'un développement socialement durable. v SOMMAIRE AVANT-PROPOS par André POUILLE et Jean-Pierre LACHAuD ou soutenable, popularisée en 1987 par le rapport Brundtland ("Our Common Future"), a contribué à enrichir la conceptualisation du développement, et peut constituer un cadre opportun d'analyse de la pauvreté. En effet, définir le développement durable comme "un développement qui répond aux: besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux: leurs", attire l'attention sur les implications à long terme du cheminement du développement aux niveaux: environnemental, économique, social, politique et éthique. Par conséquent, il n'est pas déraisonnable de soutenir que l'élimination à long terme de la pauvreté suppose un processus de développement qui assure un transfert inter-générationnel approprié de toutes les formes de capital, physique, naturel, humain et social. Dans ce contexte, le colloque a permis d'explorer une dimension de la "durabilité", susceptible de rehausser l'efficacité de la lutte contre la pauvreté et les inégalités dans les pays en développement: le développement socialement durable. L'un des messages importants du rapport Brundtland, relayé par la Conférence de Rio en 1992 et réaffrrmé récemment par l'étude de la Royal Society, "Towarcls Sustainable Consumption" (2000), est non seulement que la croissance économique peut entraîner des conséquences dommageables et irréversibles pour l'environnement, mais également que le niveau de dégradation de ce dernier excédant certains seuils peut induire des états d'irréversibilité sociale, qui rendent quasiment impossible le retour à une situation normale : extrême pauvreté, exclusion sociale, etc. Par conséquent, une vision globale et à long terme du développement exige d'explorer les interactions entre l'évolution du stock de capital naturel et la pauvreté. Mais une autre contribution de l'étude Brundtland est l'idée d'obligation à l'égard des générations futures, ce qui conduit à conceptualiser le développement durable en termes de justice inter-générationnelle. En même temps, si la "pauvreté" au sein de chaque génération peut constituer une préoccupation majeure-"satisfaire les besoins du présent"-, la force éthique du rapport Brundtland est de considérer qu'elle est indissociable du souci d'équité inter-générationnelle. En réalité, la littérature sur le développement durable a peu contribué directement à l'analyse de la pauvreté, et demeure imprécise quant aux: objectifs de la soutenabilité. En effet, alors que la durabilité est le plus souvent appréhendée par rapport à l'inégalité, il peut être opportun-bien que pouvant faire l'objet de discussions-de substituer le concept de pauvreté à celui d'équité. Néanmoins, le problème de la jôrme de durabilité qui est recherchée demeure, et le colloque a largement contribué à cette discussion. S'agit-il de la "consommation soutenable" évoquée, par exemple, par la Royal Society (2000)-préoccupation stratégique liée à la maximisation de la consommation soutenableou de la durabilité des "capabilities"-approche du développement humain durable, orientée sur le fOnctionnement individuel et la valeur instrumentale de la consommation, le développement durable étant "celui qui peut promouvoir les capacités des générations présentes sans compromettre l'accès aux capacités des générations futures" ? Peut-on mobiliser ici le concept de revenu soutenable déjà évoqué par J.R Hicks en 1946 dans son ouvrage Valeur et Capital? Jean-Pierre LACHAUD" Professeur Directeur du Centre d'Economie du Développement XII Jusqu'au milieu des années 90, la réduction de la pauvreté dans le Tiers Monde présentait pourtant un bilan plutôt positif sur le long terme. La pauvreté monétaire se réduisait en valeur relative, même si elle continuait de s'accroître en termes absolus compte tenu de la croissance démographique. La pauvreté des conditions de vie se réduisait fortement comme en témoigne l'évolution favorable d'un certain nombre d'indicateurs tels que l'espérance de vie, les taux de mortalité infantile ou maternelle, les taux de scolarisation primaire ou d'alphabétisation, etc. A partir du milieu des années 90, en revanche, ces évolutions sont devenues moins nettes et ont pu partiellement être remises en question. De manière générale, il semble que la pauvreté tende désormais à se réduire plus lentement
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Le développement durable: temporalités, espaces, acteurs, 2003
Support Tracé, 2010
Éditions Charles Léopold Mayer Edipress , 2002
Journal "LE CALAME" - Nouakchott (Mauritanie), 2020
Colloque « Les mots du développement : genèse, usages et trajectoires» - Université Paris Dauphine -13 et 14 novembre , 2008