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Les tables de fréquence en statistique descriptive
En programmation, on est souvent amené à utiliser des listes d'associations. Une liste d'as-sociation associe des valeurs à des indices. Par exemple, si on implémente un annuaire té-léphonique, on veut pouvoir retrouver rapidement le numéro de téléphone (la valeur) cor-respondant à un nom donné (l'indice). Si les indices sont des entiers, on peut utiliser des tableaux pour implémenter nos liste d'association. Le gros avantages est alors que l'accès à une valeur se fait en temps constant. Par contre, non seulement on est limité à avoir des indices entier, mais en plus, si les indices sont pris dans un ensemble très grand, on est obliger d'allouer un énorme tableau (songer à un annuaire inversé). Les tables de hachages sont une structure de donnée associant des valeurs à des indices sans les inconvénients des tableaux, mais permettant tout de même un accès en temps constant en moyenne. Dans la suite de cet exercice, on utilisera l'ensemble des chaînes de caractères comme indice de case. Pour cela, on va d'abord calculer à partir de la chaîne qui nous sert d'indice (appelée « clé »), un « haché » qui sera le véritable indice de la case dans un tableau (qui, lui, est de taille raisonnable). Évidemment, la fonction qui calcule le haché ne peut être injective (plu-sieurs clés différentes peuvent produire le même haché), et on utilisera non pas un tableau donnant directement les valeurs associées aux clés mais un tableau de listes de couples (clé, valeur) où chaque liste du tableau correspond à un haché différent. Si la fonction qui calcule le haché est bien construite et que le tableau est suffisamment grand, les listes associées aux mêmes hachés seront courtes et les opérations d'insertion, de recherche et de suppression d'un élément seront efficaces. On travaille avec les types suivants :
Exercice 1 (Modèle OSI): On considère qu'une application de la machine A dialogue avec son homologue de la machine C, sachant que la machine B est un routeur qui permet de relier les réseaux respectifs des deux machines. Dessiner les piles de protocoles du modèle OSI mises en jeu sur A, B et C. Exercice 2 (Architecture réseaux): L'illustration suivante présente différentes architectures de réseaux. 1. Rappelez la différence entre les topologies physique et logique. 2. Pour chaque cas de l'illustration, précisez la topologie physique, la topologie logique ainsi que la distance entre les deux stations A et B. 3. Comment B sait-il qu'il est le destinataire du message de A ? 4. Quelle est la longueur totale du circuit c) ? Exercice 3 (types et mesure d'informations transmises):
ENERGEIA. ONLINE JOURNAL FOR LINGUISTICS, LANGUAGE PHILOSOPHY AND HISTORY OF LINGUISTICS, 2010
This article is an enquiry (mostly doxographic) about the role of the frequency in linguistic description. Frequency is mostly seen as the object of quantitative methods, but it may also be intuitive and, sometimes, it is a purely abstract argument. Under these different forms it is an ubiquitous notion in linguistics, used by linguists of almost all theoretical persuations and in almost all fields of the discipline, but it is rarely regarded as a central concept of linguistics. Taking into account this diversity of the usages of the frequency, this article tries to investigate the paradoxical status of frequency, both ubiquitous and weakly elaborated. Two theoretical frameworks may be of particular interest for a general account of the frequency dimension of the linguistic phenomena: the Coserian framework (and its concept of norm), and the usage-based view of grammar developped in a cognitive perspective. These two frameworks gound frequency respectively in the historicity of the ...
Les portées des dalles sont caractérisées par les portées utiles l eff . Si les lignes d'appuis ont la même largeur et la dalle est d'épaisseur constante dans les différentes travées, l eff est la distance entre axes des lignes d'appuis dans chaque sens.
Réalisez les conversions suivantes : P = 20 dBm 0.1 W V = 20 mV 86 dBµV G = 7 dB 7 dBi et 4.85 dBd Lp =-3 dB 0.5 (perte de propagation exprimée en rapport de puissance sortante sur puissance entrante) 2. GRANDEURS ELECTROMAGNETIQUES Une onde électromagnétique monochromatique de pulsation ω = 1.26˟10 10 rad/s se propage dans un milieu homogène caractérisé par une permittivité électrique relative ε r = 2 et une perméabilité magnétique relative µ r = 1. La densité de puissance moyenne transportée par cette onde est de 1 mW/m². Calculez la longueur d'onde, la vitesse de propagation, la constante de phase, l'impédance d'onde dans ce milieu, et les amplitudes moyennes des champs électriques et magnétiques. Précisez les unités des différentes grandeurs. Fréquence : f = ω/(2π) = 2 GHz longueur d'onde cm µ f c r r 6. 10 = = ε λ La vitesse de propagation v dans le milieu est donnée par : s m µ c v r r / 10 12. 2 8 × = = ε La constante de phase β est donnée par m rad / 3. 59 2 = = λ π β L'impédance d'onde du milieu est : Ω = = 266 0 0 r r µ µ ε ε η Le champ électrique E et la densité de puissance moyenne sont reliés par : m V P E E P / 73. 0 2 2 1 2 = = → = η η. L'amplitude du champ magnétique est donnée par : m mA E H / 7. 2 = = η 3. DIAGRAMME DE RAYONNEMENT Le diagramme de rayonnement d'une antenne a été mesuré dans les plans E et H. Il est présenté ci-dessous. 1. Est-ce une antenne omnidirectionnelle ? Pour quelle application pourrait-on utiliser cette antenne ? Non puisque le gain varie avec la direction. Une antenne omnidirectionnelle est adaptée à une couverture de tout l'espace environnant, une antenne à fort gain (très directionnelle) est plutôt dédié à une liaison point à point ou une couverture d'un secteur donnée de l'espace. 3. Quelle est la valeur du gain et de l'angle d'ouverture à 3 dB ? La courbe de l'énoncé donne le gain en fonction de la direction dans l'espace. Cependant, on définit traditionnellement le gain comme le gain obtenu dans la direction de rayonnement maximal de l'antenne, soit la valeur max de gain. Ici : environ 17 dB(i). Angle d'ouverture à 3 dB dans le plan E est environ égal à celui dans le plan H. Il vaut environ 24 ° (2 * 12 °. En effet, les angles theta ou phi sont données entre 0 et 180° et pas entre 0 et 360° car l'antenne présente une symétrie).
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