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On december 2011, the Musée Saint-Raymond (Toulouse) purchased a Roman provincial sculpture depicting Jupiter from Sotheby's New York. The item had originally been discovered in 1902, 45 kilometers south-east of Toulouse near the Via Aquitania, the major roadway that linked Narbonne to Toulouse. This sculpture enhances the corpus of Jupiter statues from the South-West of France but it distances itself from the other effigies of this god known today in southern France.
Revue Archeologique, 2017
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Le compte-rendu de l’ouvrage Jupiter dans les Gaules et les Germanies est l’occasion de remarques ou de discussions entre autres sur les « pierres à quatre dieux » ; l’association possible d’une colonne jovienne à un autel ; la représentantion d’un dieu à deux reprises sur le même monument ; la restitution des statues au sommet de colonnes et de piliers ; les arcs votifs ; l’iconographie de Jupiter à la roue ; Taranis ; le groupe du cavalier à l’anguipède.
2010
The musée d’Archéologie nationale at Saint-Germain-en-Laye has just acquired a bronze wheel-bearing Jupiter with an inscribed base, found at Rontecolon in the locality of Cenves (Rhône). This figurine has been offered to Jupiter optimus Maximus by a saltuarius, Criciro, and produced by the faber Sabellus. Criciro was an employee of the Prisciacenses, a community whose traces in different records have been followed from Gallo-Roman times to the present day. Translation: Isabelle Fauduet Schlüsselwörter. Rontecolon, Cenves, Criciro, Haeduer, faber, ioM, Jupiter mit dem Rad, Mâconnais, Minerva, Prisciacenses, Sabellus, saltuarius, Statuette. Zusammenfassung. Das Musée d’Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye (MAN) hat vor kurzem eine in Rontecolon, Gemeinde Cenves (Departement Rhône) entdeckte bronzene Jupiter-Statuette erworben, sowie deren Sockel, der eine Inschrift trägt. Das von dem faber Sabellus hergestellte Exvoto wurde Jupiter optimus Maximus von einem saltuarius mit Na...
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2010
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L'archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d'enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
2016
De nombreuses personnes intriguées par les mystères que recèlent les mérous géants de Guyane se sont impliquées dans ce projet de recherche, de près ou de loin. J’espère trouver les mots qui conviennent pour exprimer à chacun ma reconnaissance et ma gratitude. Je tiens à commencer par remercier les personnes fondatrices de ce projet. Éric Hansen, Directeur inter-régional de l’Outre Mer à l’ONCFS, et pêcheur devant l’éternel, a réussi grâce à son incroyable éloquence à intégrer, pour la première et probablement la dernière fois, la faune sauvage marine dans les thématiques de recherche de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage. Sans son combat depuis plusieurs années pour préserver la faune sauvage en Guyane et son intérêt illimité pour la pêche, ce projet n’aurait pas pu voir le jour, j’en suis persuadée. Eric a inlassablement tenté de m’initier à l’art de la communication, ses conseils et les nombreux exercices journalistiques forcés auxquels il m’a soumis (radio, jo...
PHAROS/Peeters, 2010
La France redécouvre véritablement Euripide au XVIe siècle, d’abord grâce au travail d’humanistes, qui toutefois ne le distinguent pas encore du Ps. Euripide. Erasme, Budé, Lazare de Baïf, Buchanan, Dorat, Amyot ou encore le secrétaire d’Etat Bochetel, soucieux de cultiver le latin et le grec tout en faisant réfléchir, le voient en figure originale, digne d’être enseignée aux jeunes et surtout aux princes, emblématique des bonnes relations entre les lettrés et le souverain, leur mécène. Euripide est aussi enrôlé dans un plaidoyer politique en faveur des arts du logos, contre les armes classiques. Ainsi peut-il se voir qualifié de ‘comique’. Cependant, sa mort est considé-rée comme une métonymie du destin tragique. Aux générations suivantes, marquées par l’intense activité auto-réflexive de la Pléiade, le renouveau de la poésie et l’‘invention’ de la tragédie à l’antique en français, le personnage et ses tragédies sont appréciés du point de vue mythologique, stylistique, esthétique et philosophique. Euripide s’avère une référence en matière de politique et de poétique, un stimulant modèle pour des théoriciens, poètes, traducteurs et penseurs comme Sébillet, Du Bellay, Ronsard, Jean-Antoine de Baïf, Peletier, Jodelle, La Péruse, Garnier, Gré-vin, La Taille, mais aussi Bruès, Chrestien, Coustau, Tahureau, Du Fail, Du Verdier, Laudun d’Aigaliers et bien sûr Montaigne. L’ampleur de sa fortune est donc attestée d’abord par la place que la doxa attribue à son nom, synonyme d’excellence de la tragédie antique, par diverses anecdotes concernant sa vie et sa mort, sollicitées aussi dans les domaines les plus variés. Ensuite, par les éditions et traductions ou adaptations latines ou françaises, intégrales ou fragmentaires, de ses tragédies: Hécube, mais aussi Electre, Médée, Les Troyennes, Iphigénie à Aulis, Hélène, Hippolyte, Les Suppliantes. Egalement, par la source directe d’inspiration que ces pièces constituent pour les ‘nouveaux Euripides’, notamment Jodelle et La Péruse, en même temps qu’elles nourrissent la réflexion sur ce genre, en particulier sous la plume de Grévin, mais aussi la créativité dans les autres registres de l’écriture en vers ou en prose. Apprécié pour lui-même, Euripide se trouve donc parfois engagé dans des querelles ou des controverses. Il contribue ainsi à l’‘illustration’ de la langue française, à la définition des genres littéraires et à la créativité poétique, à la naissance du théâtre ‘moderne’, à la réflexion sur le monde contemporain et à l’évolution de la pensée critique.
LA DACIE ET L’EMPIRE ROMAIN. Mélanges d’épigraphie et d’archéologie offerts à Constantin C. Petolescu M. Popescu, I. Achim, F. Matei-Popescu (éds) Editura Academiei Române, Bucarest 2018, pp. 319–336, 2018
En 2016, dans le Secteur Sud de la cité antique d’Istros a été identifiée une pièce céramique particulière, à savoir une ampoule à eulogie. L’objet fragmentaire est vraisemblablement à encadrer dans une production étrangère. L’ampoule a été repérée dans une aire ouverte pratiquée à l’ouest de la basilique extra muros, au sein de la nécropole plane romaine tardive et peut être mise en rapport stratigraphique avec le premier horizon d’inhumations daté du IVe au troisième quart du Ve siècle. Néanmoins, le contexte qui a livré la pièce se caractérise par des bouleversements importants à la fois antiques (tombes d’inhumations qui s’implantent dans les décombres d’un vaste édifice romain du Haut-Empire) et modernes (occasionnées par les travaux de construction de la Maison des fouilles, connue aussi sous l’appellation de « Casa Mare », durant la troisième décennie du XXe siècle, et le chantier de restauration de la muraille d’enceinte tardo-antique dans les années 1970). Mots-clés : Istros, Secteur Sud, ampoule à eulogie, nécropole tardo-romaine et proto-byzantine, Secteur Basilique extra muros.
Christine ce Léotard-Sommer, 2023
Le propos de cet article est très simple : il existe bien une source textuelle antique sur laquelle s’appuie toute la scène peinte. Celle-ci reconstruit autour d’Antiope et Zeus trois passages des Dionysiaques de Nonnos de Panopolis qui citent le couple, et ce, pour allégoriser la chasse virile en vertu princière, sous deux angles, à l’intention du jeune prince Philippe d’Espagne. Mieux qu’une simple « poesie » illustrée, la peinture de Titien est une invention picturale de haut vol.
Journal asiatique, 2004
Si l'origine mésopotamienne de la constellation de la Vierge n'est aujourd'hui contestée par personne, celle du nom de cette figure, soit Parqénov en grec ou Betulta en araméen 1 n'est pas élucidée. Je m'efforcerai dans un premier temps d'établir un schéma de diffusion de la constellation de Mésopotamie vers la Grèce en passant par la Syrie, et présenterai dans un second temps quelques éléments permettant de comprendre comment cette constellation s'est répandue chez les peuples ouest-sémitiques. De la Mésopotamie à la Grèce Sala La première référence à la constellation de la Vierge chez les Mésopotamiens est un document connu sous le nom de Mul.Apin. Il s'agit d'une tablette trouvée dans la bibliothèque d'Assurbanipal, qui date donc du VII e siècle av. è.c., mais dont les données astronomiques remontent aux XIII e /XII e siècles av. è.c. Nous pouvons lire dans ce texte: mul.AB.SÍN d.sa-la su-bu-ul-tu 4 la constellation du Sillon [est] la déesse Sala [qui est] l'Épi d'orge 2 1 Nous verrons que la constellation possède également l'appellation Sebelta «l'Épi» dans une autre tradition araméenne (voir infra).
Ce n’est plus une primeur que d’assigner au Languedoc oriental un rôle privilégié dans la deuxième moitié du Paléolithique supérieur et, particulièrement, après le L.G.M. Cette région occupe une position charnière au contact de deux mondes, l’un occidental, solutréo-magdalénien et l’autre, oriental, gravettien et épigravettien. La mise en évidence d’un foyer épigravettien dans la vallée de l’Hérault et de nouvelles datations autorisent la révision des documents disponibles et permettent en outre de reconsidérer le « Salpêtrien » dit supérieur, attribué à un Epigravettien occupant en Languedoc rhodanien la place du Magdalénien moyen classique. Ces résultats apportent également des données nouvelles sur la diffusion du Magdalénien en France méditerranéenne en particulier le Magdalénien moyen classique. La vallée de l’Hérault semble représenter un point d’inflexion important. Même si certains éléments demandent à être précisés, il faut envisager un système d’échanges assez complexe de part et d’autre du Rhône. La mise en évidence d’un Epigravettien dans le bassin de l’Hérault vient confirmer les hypothèses émises implicitement dès 1980 et précisées depuis. La perméabilité du Rhône devient une évidence et permet de mieux comprendre l’articulation de la séquence de la fin du Paléolithique supérieur dans la région du bas Rhône, « entre deux mondes ».
L’aigle-compas, inventé par un mathématicien normand du XVIe siècle, est un outil géométrique permettant de tracer l’arc de cercle passant par trois points non alignés.
Éclats arvernes (II). Fragments archéologiques (Ier-Ve siècle apr. J.-C.) Partie du titre Tome 2 , 2021
100 chercheurs en archéologie vous proposent de faire connaissance avec des "éclats" à la fois débris ou joyaux, objets du quotidien ou d'exception, mais tous pièces d'un puzzle culturel reflétant le territoire des Arvernes – une partie de l'Auvergne actuelle – des premiers siècles de notre ère (Ier-Ve siècle apr. J.-C.). Cet ouvrage prolonge le premier volume paru en 2014 qui rassemblait déjà plus de 300 objets phares, inédits et insolites de la culture romaine provinciale (vaisselle, objets et mobilier divers en céramique, en fer, en bronze, en os…) : les céramiques produites localement voisinent avec des sculptures en bronze importées d’Italie, l’élite parfaitement romanisée côtoie le potier qui écrit, en gaulois, sur sa production. Terre de production, de consommation, d’exportation, ces éclats nous montrent combien, à l’époque romaine, l’Auvergne n’était pas repliée sur elle-même, mais faisait partie, pleinement, de l’Empire, contribuant à sa diversité et sa richesse.
The practice of burying or enclosing the fulgur is better attested in south-eastern Gaul than in any other province of the Western Roman Empire. The presence of this ritual of Roman origin has generally been connected to a supposed pre-Roman lightning cult which would have continued in the same way during the Principate, especially in the countryside as a consequence of a form of syncretism favoured by its inhabitants. However, confronting the Gallic documentation with written sources and evidence for this ritual in Italy helps to consider these inscriptions in a different way. Implying the transmission of a specific knowledge, the adoption of this practice raises the question of the vehicles of diffusion. It could also have relationships with a redefinition of collective religion in the frame of the cities establishment in the Roman period, and consequently inform on transfer modalities of some gestures and ritual knowledge from Italy to Gaul.
Hadrien Rambach, « Un aigle contremarqué sur un dupondius de Titus appartenant à la Bibliothèque royale de Belgique, signe d’une provenance d’Este à Ferrare », in In Monte Artium, vol. 10 (2017), pp. 103-117
Bulletin Instrumentum, 2012
Véritable ‘Strabon français’ pour ses contemporains, Jean-Baptiste d’Anville est considéré comme l’un des plus grands géographes des Lumières. Ce livre, fruit du travail d’analyse d’une dizaine de spécialistes internationaux, fondé sur des sources nombreuses et souvent inédites, est la première monographie à lui être consacrée. Comment cet inconnu, fils de tailleur parisien, se retrouve-t-il à vingt-deux ans géographe du roi et précepteur du jeune Louis XV? C’est ce parcours extraordinaire que retracent les auteurs de cet ouvrage, en reconstituant le réseau qu’il a su se créer tout en s’assurant la protection des ducs d’Orléans sur trois générations et l’intérêt de la couronne portugaise. Au fil des chapitres se révèle l’impressionnante habileté intellectuelle de d’Anville, capable de satisfaire les exigences de ses mécènes sans trahir ses sources, conservant son intégrité de savant malgré la pression des enjeux diplomatiques. Sans quitter son cabinet parisien, par le seul exercice d’une critique aiguisée et d’un croisement systématique des sources (textes anciens, récits de voyage, mesures astronomiques, informations orales...), d’Anville remodèle les contours du monde ancien et moderne, avec une exactitude qui sera validée par les mesures de terrain a posteriori. Ce livre dresse un portrait tout en nuances d’un géographe de cabinet au siècle des Lumières. Penché derrière l’épaule du savant, le lecteur découvre comment il élabore très tôt une rigoureuse méthodologie de travail, bâtit sa carrière, constitue l’une des plus grandes collections de cartes du XVIIIe siècle, et influence jusqu’à nos jours la représentation du monde et de ses frontières. Laurence Engel, Préface Christian Jacob, Avant-propos Lucile Haguet et Catherine Hofmann, Introduction générale I. Faire carrière au dix-huitième siècle 1. Participer à l’éducation des princes: d’Anville et son élève Louis XV (1718-1730), Pascale Mormiche 2. Elargir ses réseaux, diversifier ses commandes: les travaux de d’Anville pour la couronne portugaise, Júnia Ferreira Furtado 3. Convaincre ses mécènes: un plan d’affaire prévisionnel pour faire commerce de cartes, Mary Sponberg Pedley II. Dessiner le monde depuis sa chambre 1. La bibliothèque cartographique, outil de travail du géographe de cabinet, Lucile Haguet 2. Une ‘science de pure érudition’, la géographie critique et comparée selon Jean-Baptiste d’Anville, Georges Tolias 3. L’utilisation des sources orientales par Jean-Baptiste d’Anville, Jean-Charles Ducène 4. Jean-Baptiste d’Anville et la cartographie de l’Amérique du Nord, Jean-François Palomino III. La réception de l’œuvre de d’Anville 1. Entre publicité, débat scientifique et vulgarisation: Jean-Baptiste d’Anville dans les journaux, Nicolas Verdier 2. D’Anville, Gibbon et l’espace des empires: la réception britannique du géographe français à travers l’exemple de l’historien anglais, Robert Mankin 3. L’appropriation des cartes de d’Anville dans le monde luso-brésilien: mémoire toponymique et stratégie diplomatique dans la région amazonienne, 1798 et 1904, Iris Kantor IV. La réception institutionnelle, patrimoniale et symbolique d’un ‘grand homme’ 1. Splendeur et décadence d’un ‘grand homme’: réception et postérité de d’Anville et son œuvre, Lucile Haguet 2. La ‘collection d’Anville’ au ministère des Affaires étrangères (1772-1828): modalités et enjeux d’une appropriation, Catherine Hofmann 3. D’Anville et la Bibliothèque royale/nationale: forces et ambiguïtés d’un héritage, Catherine Hofmann Conclusion: célèbre et méconnu – un géographe réévalué, Jean-Marc Besse Annexes Bibliographie Index
In this article summing up the arguments presented during the conference he gave at the University of Geneva on June 8th 2015 at the invitation of the Society of History of Religions of Geneva, the historian of religions Bruce Lincoln examines the trial transcript of a Livonian peasant known as «Old Thiess» accused in 1692 of being a diabolical werewolf. In so doing Lincoln on the one hand offers a detailed analysis of the trial, its religious representations and their context, and on the other, argues against those scholars who have extracted the transcript from its environment to document the existence of a Eurasian pre-Christian religion. Close reading of the sources allows Lincoln to show that far from revealing a coherent, pre-existent religion, the defendant’s declarations are embedded in a social conflict between a German elite seeking to legitimate its dominant status and the dominated fraction of Livonian society, the Baltic peasants. The description given by Old Thiess of werewolves represent an attempt to subvert the elite’s definitions by reconfiguring werewolves, himself included, as bitter enemies of the Devil and agents of God, whose task it is to regain the prosperity stolen by the Devil’s agents, agents who bear an uncanny resemblance to the German elite confiscating the fruits of the peasants’ labor.
2024
Contrairement à ce que pensaient les anciens, l'épiclèse Elicius de Jupiter ne vient pas du verbe elicio, attirer, faire sortir, mais d'une dérivation du nom de l'arbre ilex, antérieurement ēlex. Jupiter Elicius est Jupiter de l'Yeuse. Cette forme reconstituée nous permet de trouver un paradigme indo-européen que l'on aperçoit dans le nom grec de l'ambre, ἤλεκτρον. Quant au nom de la nymphe Egérie, Ēgeria, il vient d'une forme *Aegeria, disparue, qui renvoie au nom du peuplier noir et à l'adjectif aeger, plaintif, pleureur, puis malade Ēlicius < Ilex= Elex cf ἤλεκτρον, electrum, d'où électricité. Ēgeria< *Aegeria, cf aeger, plaintif , pleureur, puis malade et αἴγε(ι)ρος, peuplier noir.
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