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La politique volontariste mise en œuvre au lendemain de l'indépendance n'a pas pris au sérieux la planification des villes et la question du logement. En plus les orientations mises en application, après la prise de conscience des pouvoirs publics quant à la gravité de la négligence de ces questions, ont abouti à une série d'échecs soldée par une crise de logement incontestable et pour preuve le nombre croissant de demandeurs d'un toit et la persistance des bidonvilles qui garnissent le tissu urbain de certaines villes, malgré les opérations de dégourbisation enclenchées durant les deux dernières décennies. Nous assistons à la disparition des particularités des villes d'où naissance de nouveaux concepts tels que ville nationale et architecture nationale. Donc, toutes les tentatives n'ont pas été à la hauteur des aspirations de la population. Dans cet article nous essayons de mettre en exergues les tenants et les aboutissants de l'échec de la politique de logement et son impact sur la ville. Nous tentons à faire quelques recommandations susceptibles d'atténuer cette crise. Mots clés: crise de logement, ville, urbanisation, politique de logement, politique économique, démographie, participation
Les maximes existent toujours dans Le monde ; il suffit de les appliquer ! (pascal)
L'histoire et la préhistoire de la construction humaine, semble, en effet monter que la naissance du premier symbole et l'apparition des abris ont été concomitantes. Au cours de son hominisation, l'homme passe de l'abri espace subi, nécessaire, fonctionnel; à la maison espace volontaire, aménagé, symbolique. Donc, l'habitat quotidien fût l'un des supports essentiels de son émergence à l'humanité. Donc, l'homme ne cesse de relever les défis suite aux crises continuelles. Dans cette article, il est question d'expliquer les effets de l'urbanisation et les profondes mutations socio-économiques et démographiques qu'a connues l'Algérie. Il a pour objectif de démontrer que l'échec de la politique de l'habitat surtout sur le plan qualitatif au sens le plus large (fonctionnalité des espaces, l'environnement, l'esthétique le coût) est dû en parti du manque de la participation du facteur usager dans le processus de conception et de construction de sa propre demeure.
source: site du ministère de l'habitat et d'urbanisme ……………………………………………29 Graphe N° 02 : Les lancements des programmes d'habitat par type de promotion et par année source: site du ministère de l'habitat et d'urbanisme ……………………………….………..…30 Graphe N° 03 : Les livraisons des programmes d'habitat par type de promotion et par année source: site du ministère de l'habitat et d'urbanisme ……………………………….…………30 Graphe N° 04 : Etat d'exécution des programmes d'habitat source: site du ministère de l'habitat et d'urbanisme ……………………………….…….……31 Graphe N° 05 : Statut familial des acquéreurs du 1° cas d'étude source : auteur ……………………………89 Graphe N° 06 : Origine des acquéreurs du 1° cas d'étude source : auteur ……………………………………90 Graphe N° 07 : Niveau professionnel des acquéreurs du 1° cas d'étude source : auteur ……………………90 Graphe N° 08 : Age des acquéreurs du 1° cas d'étude source : auteur ………………………………….……91 Graphe N° 09 : Analyse critique des espaces du 2° cas d'étude source : auteur ……………………….……92 Graphe N° 10 : Statut familial des acquéreurs du 2° cas d'étude source : auteur ………………………...…104 Graphe N° 11 : Origine des acquéreurs du 2° cas d'étude source : auteur ……………………………….…105 Graphe N° 12 : Niveau professionnel des acquéreurs du 2° cas d'étude source : auteur ……………….…106 Graphe N° 13 : Age des acquéreurs du 2° cas d'étude source : auteur ………………………………………106 Graphe N° 14 : Analyse critique des espaces du 2° cas d'étude source : auteur …………………………… 108 Graphe N° 15 : Statut familial des acquéreurs du 3° cas d'étude source : auteur …………………………...123
ALGER LES NOUVEAUX DÉFIS DE L'URBANISATION /L' Harmattan , 2003
Dans cet ouvrage collectif, ( sous la direction de Hadjiedj Ali, Chaline Claude, Dubois-Maury Jocelyne, coordonné par Djedouani Sahar), l'article en titre traite des enjeux de mutation d'Alger. À l'ère de la métropolisation, Alger évolue et se transforme. La pression des besoins croissants, combinés à l'ambition de la métropolisation font de l'espace algérois, un espace fortement convoité qui ne cesse de polariser de plus en plus de projets et drainer de plus en plus de flux humains. C'est autour des enjeux liés à la croissance et mutation que connaît cette métropole en mutation que le présent article s'articule.
L'importance de la composante culturelle de l'enseignement-apprentissage d'une langue étrangère n'est plus à démontrer. L'enjeu est une prise de conscience de l'importance que revêt l'aspect culturel dans l'enseignement des langues. Car seule une démarche interculturelle peut cultiver l'exotisme en classe afin d'aller vers le plaisir de l'altérité (Besse, 1984). Nous allons, dans le cadre de cet article, aborder la question de la culture et de l'interculturel dans l'enseignement du FLE en Algérie. Pour cela nous avons effectué une enquête auprès des enseignants du cycle moyen, et ce, afin d'identifier leurs représentations en matière de la pratique culturelle et langagière. Mots-clés : composante culturelle-interculturelle-altérité.
LIMES Rivista Italiana di Geopolitica, Rome, 2019
Lorsqu'en 2011, à l'instigation de la France, et en vertu de la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'ONU, les forces de l'OTAN bombardent la Libye, l'Algérie s'oppose à cette intervention qu'elle considère comme le prélude à l'éclatement du pays et à une instabilité régionale incontrôlable.
L'application de la loi sur l'état civil aux indigènes algériens durant la période coloniale. Le pouvoir de nommer se tranforme en pouvoir d'avilir, d'insulter. Des noms d'animaux pour désigner des hommes.
Les maximes existent toujours dans Le monde ; il suffit de les appliquer ! (pascal)
Trente ans après octobre 1988, l'Algérie s'est profondément transformée. Loin des scénarios alarmistes, et malgré bien des problèmes, le pays n'est pas au bord de l'explosion Sur l'Algérie, les scénarios noirs ne manquent pas – du reste encouragés – par l'opacité chronique qui ceint le pouvoir algérien, et atteint ces temps-ci un point culminant dans un contexte marqué par la maladie du président Abdelaziz Bouteflika et la prochaine élection présidentielle qui aura lieu en 2019. En France, ils bourgeonnent particulièrement à droite, voire à l'extrême droite, où l'on semble à la fois se réjouir de la « faillite » du système tout en redoutant une possible « explosion » qui provoquerait une « invasion » de migrants algériens sur les côtes françaises… Dans ce tohu-bohu dystopique où les vieilles rancoeurs se mêlent aux vraies angoisses, est-il possible d'avoir une vision plus nuancée, et moins idéologisée, de ce qu'il se passe dans ce grand pays ? L'Algérie va mal, très mal, de plus en plus mal. Pire, elle serait au bord de « l'explosion ». « La bombe algérienne », titre ainsi le magazine Valeurs actuelles – situé quelque part entre la droite extrême et l'extrême droite – en affichant d'emblée la couleur : « Immigration massive, explosion des banlieues… Ce que craint la France si l'Algérie bascule ». C'est parfois tout le Maghreb que l'on dépeint comme une bombe à retardement, un fief de terroristes en puissance, une région où règnent en maîtres le désespoir et l'affliction Dans ces pages qui fleurent mauvais la nostalgie de l'Algérie française (le « c'était décidément mieux avant » se lit en filigrane à toutes les lignes), les mythes et peurs qui entourent l'Algérie d'aujourd'hui se bousculent dans une vision d'apocalypse : quand l'Algérie aura explosé, car elle va exploser, que se passera-t-il donc ? Et de dépeindre, en écho au drame des réfugiés se précipitant aux portes barricadées de l'Europe, de futures hordes de candidats à l'exil enfourchant leurs barques de fortune et débarquant, tels des Maures ressuscités, sur les plages innocentes de la France très chrétienne… Vide politique, président malade, crise économique, corruption endémique, spectre des révolutions arabes : Valeurs actuelles n'est pas le seul média à voir sourdre en Algérie les prémisses d'une catastrophe. Plusieurs médias anglo-saxons – et conservateurs aussi – ont récemment sonné l'hallali et décrit l'Algérie, parfois le Maghreb tout entier, comme une bombe à retardement, un fief de terroristes en puissance, une région où règnent en maîtres le désespoir et l'affliction. Ces derniers temps, un autre scénario noir hante quelques esprits chagrins : celui de voir resurgir un nouvel « octobre 88 », ce premier « printemps arabe » qui a provoqué la chute du parti unique, et a été suivi d'une phase éphémère de transition démocratique qui a débouché sur la tragique « décennie noire », ces années 1990 ensanglantée par le terrorisme du Groupe islamique armé (GIA).
l'exil de l'intelligentsia avec toutes ses formes et sa typologie, pour reprendre la définition d'Edward Saïd, est «non seulement une condition réelle, c'est aussi, dans le propos qui est le mien, une condition métaphorique.
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Romanian Journal of Geography, Issue N° 65, (01), 2021
Dynamiques urbaines à Alger : la (re)fabrication de la ville en questions, 2016
contribution colloque, 2022