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10 Emmanuelle Fournier-Lorentz, 'La Jonction perd un lieu de convivialité bon marché ', Le Courrier, 17 avril 2013. 77 Ceci pourrait également s'expliquer par le peu d'intérêt ou la méfiance qu'a suscitée notre étude.
Revista Ágora Filosófica
Céline Jouin * Dans un article intitulé « Vitoria und die Geschichte seines Ruhmes », que Schmitt a publié anonymement en juillet 1949 dans la revue Die Neue Ordnung et qu'il a repris ensuite dans Le nomos de la terre en le modifiant légèrement, Schmitt donne son interprétation de l'oeuvre de Francisco de Vitoria (1486-1546) et de sa place dans l'histoire du droit des gens. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, le théologien espagnol et défenseur du droit des Indiens était devenu le maître des pacifistes et les wilsoniens qui le présentaient comme le véritable père du droit des gens. Dans son journal, Schmitt note que «Vitoria et la dé-théologisation du droit des gens (Enttheologisierung des Völkerrechts) » est « son grand thème 1 ». On s'en aperçoit en lisant le Glossarium 2. La critique de son article de 1949 sur Vitoria par l'internationaliste von der Heydte 3 avait d'ailleurs beaucoup affecté Schmitt, qui n'a pas répondu publiquement à son collègue mais qui a longtemps exprimé son irritation à ses amis 4. La lecture que Schmitt délivre des Relectiones de Vitoria a beau être fameuse, elle est rarement commentée et ceux qui tentent de l'interpréter expriment souvent le désarroi dans lequel elle les laisse 5. Certains spécialistes qui sont d'accord avec Schmitt
Revue de Synthèse, 2006
À propos de l'ouvrage d'Alain Bresson, La cité marchande, Bordeaux, 2000.
2019
L’opération est intégrée dans un programme de recherche interdisciplinaire intitulé MoDAq (Mortar Dating in Aquitaine, porteur P. Guilbert, Iramat-CRP2A en collaboration avec Ausonius et le SRA Aquitaine) validé et cofinancé par le conseil régional d’Aquitaine en juillet 2015 pour une durée de trois années. Notre travail sur le site de la chapelle Saint-Jean-Baptiste de la Cité à Périgueux, fouillé en 2008 par Hervé Gaillard (BSR 2008, p. 40-44), a consisté à mettre en œuvre une nouvelle méth..
EchoGéo, 2008
Ce texte est issu du travail effectué par des étudiants de Master 1 dans le cadre de l'enseignement « l'enquête de terrain en Géographie humaine » au premier semestre 2006-2007 (Université Paris 1). La consigne était d'effectuer une mini enquête de terrain à Paris ou dans ses environs, par groupes de 2 à 4. Pour ce faire, les étudiants devaient choisir un thème et délimiter un terrain d'étude, y effectuer des observations, des enquêtes et/ou des questionnaires et synthétiser l'ensemble sous forme de mini dossier. Le but était de confronter les étudiants à une expérience de recherche où ils devaient tout prendre en charge, du choix du sujet à sa formalisation. Ces premiers travaux de recherches trouvent naturellement leur place dans la rubrique « Sur le terrain ».
Jeu Revue De Theâtre, 1996
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Autour de quelques inscriptions relevées lors de visites à la Cité de l’Architecture.
2019
Le château de l’Aigle est un site d’éperon barré du troisième plateau du Jura à 965 m d’altitude. Le fort, qui occupe un piton isolé du rebord de plateau par un fossé creusé dans le substrat calcaire, a été érigé en 1304 par Jean de Chalon dans le cadre d’un pariage avec les chartreux de Notre-Dame de Bonlieu. L’Aigle, centre administratif et judiciaire d’un petit fief issu du démembrement de la seigneurie monastique, est érigé en baronnie au xvie s. Le château contrôle la « cluse » d’Ilay, m..
Al-sabi, 2016
La découverte des mines dans le haut Tell a mis en valeur la Tunisie centrale et a permis l'expansion du réseau ferroviaire Tunisien, par la construction de la ligne Tunis-Kalâat Es-snam. Le domaine de Gâafour, sur cette ligne, a été transformé en un immense chantier de construction et a donné naissance à un complexe ferroviaire comprenant une gare ainsi qu'une cité ouvrière destinée à loger le personnel nécessaire à l'exploitation du site.
2014
Dans la série des Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters, les personnages féminins font l'objet d'un traitement différent de celui des personnages masculins. Bien qu'elles échappent à l'hypersexualisation et à l'inconsistance qui caractérisent une large part des représentations de femmes en bande dessinée, les femmes des Cités obscures sont le plus souvent montrées à travers le prisme du désir masculin, ce qui restreint leur latitude d'expression. Pourtant, quelques titres de la série proposent des modèles différents et exploitent habilement le potentiel narratif des personnages féminins.
2014
20 février 2014 – Communication à la Bibliotheca Wittockiana Au début des années 1980, François Schuiten et Benoît Peeters s'associent pour donner naissance à une ville si présente et charismatique, qu'elle devient personnage. Le héros est abaissé à un rang secondaire. L'expérience se prolonge pour les deux collaborateurs : la série des Cités obscures, prend de l'ampleur et se conjugue comme une dimension parallèle de notre monde. Les albums constituant cette série de fiction réaliste retracent la confrontation entre l'humain et l'urbain. Il n'y a aucune logique de suite. N'importe quel album peut être une porte d'entrée aux 'Cités obscures', et les ouvrages ne sont pas tous des BD. Les Cités obscures tracent le destin extraordinaire d'une civilisation, où mythes et imaginaire documenté s'entrelacent. La série interroge par le biais de divers médias l'évolution de la ville en tant qu'architecture, histoire humaine. Son imaginaire est basé sur le regard des deux créateurs habitant Bruxelles qui, fascinés par les multiples facettes de cette ville, décident de rendre hommage à son aspect contradictoire. Leur vision est influencée par une littérature tentaculaire borgesienne et une culture plastique sans cesse renouvelée. La série joue sur les expériences transmédiatiques, élargissant le champ de la bande dessinée aux autres formes de langages artistiques (affiches, peintures, etc.) et littéraires (livres d'images, journaux, revues). Bruxelles est une mine d'informations autant que de questionnements. Cette ville est une des principales sources nourrissant l'écriture de Schuiten et Peeters. Les Cités obscures en déclinent les facettes et le développement hors du commun. La ville, à l'échelon du continent obscur, se trouve éclatée en plusieurs cités. Le territoire obscur fonctionne comme un prétexte géographique (2). « Certains se demandent si la Belgique selon Chaland a réellement existé. Même avec les Cités obscures, ce type d'interrogation n'a jamais été mon problème. Pour que ce soit « belge », ou plutôt « bruxellois », il n'est pas vraiment important de dessiner des rues qui ont existé. En réalisant des compositions imaginaires, on peut créer des rues qui sont véritablement « bruxelloises ». (L'Horloger du rêve, p. 28 propos de FS)
Paris est pour un riche un païs de Cocagne Sans sortir de la ville, il trouve la campagne : Il peut dans son jardin tout peuplé d'arbres verds, Receler le printemps au milieu des hyvers, Et foulant le parfum de ses plantes fleuries, Aller entretenir ses douces rêveries. Boileau, Satire VI 1 musicale ont plus d'importance que les peintures plus ou moins réalistes qu'elles transcendent et transfigurent : entre une ville réelle et une ville imaginée, quelle est celle que choisit François Couperin ? Au début du XVIII e siècle, le compositeur fait paraître quatre livres de pièces de clavecin qui représentent le témoignage le plus important de son univers musical 2. Ils sont publiés successivement en 1713, 1717, 1722 et 1730 3. Ces dates ne préjugent pas bien sûr de celles de la composition : elle débute sans doute à partir de la fin des années 1680, vingt-cinq ans environ avant la sortie du premier livre 4. Nous sommes donc en présence d'un corpus qui couvre la fin du règne de Louis XIV, la Régence et le début du règne de Louis XV, à l'époque où Paris connaît un « redressement spectaculaire 5 » notamment grâce aux travaux de Louis XIV dans les quartiers du centre et à la poussée de certains quartiers vers l'Ouest, un peu plus tard au cours du XVIII e siècle. François Couperin, quant à lui, a été élevé dans un des vieux quartiers de Paris, celui de la « Ville » qui comprend les Halles et la place de Grève 6. Comme souvent à l'époque pour les musiciens dépendant d'une paroisse, il occupe le « logement des organistes » de Saint-Gervais concédé par le clergé, et ce pendant sa jeunesse 7. Vers 1697, il déménage rue Saint-François puis sous la Régence, il change trois fois d'habitation avant de se fixer dans la rue Neuve des Bons Enfants en 1724 8 , dans un secteur apprécié des musiciens, notamment ceux qui travaillent à l'Académie Royale de Musique toute proche. D'illustres clavecinistes y ont également résidé : Marie-Françoise Certain-l'interprète parisienne la plus prestigieuse au tournant du siècle-, dans la rue du Hasard et Jean Henry d'Anglebert dans la rue Sainte-Anne 9. Couperin a également connu des environnements champêtres comme le village et le château de Saint-Germain-en-Laye où réside la famille royale d'Angleterre exilée, les Stuart. Il a loué en 1710, une maison dans ce village, sans doute pour profiter du calme et du repos et pour être plus près de la cour anglaise pour laquelle il travaille depuis la fin 1692 10. De même
Politix, 1993
La Cité des hommes et le parti pris des choses. Dominique Reynié [88-127]. Walter benjamin est l'auteur d'un Paris, Capitale du XIXe siècle fameux, quoique laissé à l'état d'une ébauche. Dans cet article, il s'agit d'abord de s'interroger sur l'objet véritable de cette étude et sur le statut donné à la ville "Paris" dans le projet benjaminien qui est de saisir et d'évaluer la modernité. Une telle évaluation, appuyée sur une interprétation de signes parisiens particuliers (passages, etc.) demande à être discutée. Nous proposons de refaire le parcours suivi par Benjamin à travers "Paris" en admettant la valeur heuristique des sites qu'il a consacrés. L'intention est d'ouvrir sur leur réinterprétation et de tenter de comprendre en quoi le projet de la Ville peut s'insérer dans le projet d'une humanité.
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