Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
19 pages
1 file
Les notes suivantes ne concernent que les consonnes qui n'ont pas été étudiées en cours, et sont extraites de [fɔnetik] de Pedro Gomis Les consonnes I. Les consonnes occlusives Bilabiales Dentales Palatales [ p ] [ t ] [ k ] Sourdes [ b ] [ d ] [ g ] Sonores Consonne occlusive dentale sonore-< d > + voyelle, au début d'un mot : [ d ] : dais [ dɛ ], dame [ dam ], débat [ deba ], demain [ d(ə)mɛ͂ ], dent [ dɑ͂ ], deuil [ doej ], dialecte [ djalɛkt ], doux, [ du ], douze [
LE TITRE SOUVERAIN, 2021
Malgré plus de trente ans d’efforts, les dirigeants du monde ne sont pas parvenus à maîtriser la dégradation de notre climat. Hostile aux changements qui remettent en cause ses acquis, l’ordre établi poursuit à grande vitesse sa course folle qui détruit notre environnement. La propriété intellectuelle conditionne le futur. Du fait de coûts d’accès extrêmement élevés, elle donne aux grands groupes le pouvoir de bloquer une large part des innovations. Pour renouveler le modèle dominant, il faut libérer l’initiative individuelle. Selon l’auteur, la directive européenne 2019/790 en offre l’occasion. Sa mise en œuvre requiert un nouveau standard. Ce standard, qui fait l’objet du livre, procure à toutes les innovations, même les plus disruptives, un caractère hyper-attractif pour les investisseurs. Valable dans l’ensemble des pays du monde, pour une durée égale ou supérieure à 50 ans, le titre souverain fournit aux startups les moyens de répondre aux impératifs de notre siècle, tout en rétablissant le plein-emploi. Ne soutenant que la création qui améliore l’environnement, ce titre introduira dans notre économie la solution radicale dont elle a besoin pour développer une croissance continue, éthique et responsable.
Extrait du roman Το Έγκλημα του Ψυχικού [Psychiko] de l'écrivain grec Paul Nirvanas (1866-1937). Ce roman que j'ai traduit en français a paru aux éditions Mirobole, Bordeaux, en janvier 2015.
Au cours des 25 dernières années, presque tous les pays d'Europe ont promu des lois sur la transplantation d'organes. L'un des soucis des législateurs a été de décider si le don d'organes post-mortem devait se baser sur le consentement présumé (opt-out) ou sur le consentement explicite (opt-in). L'argument principal des partisans du consentement présumé est que cette politique serait susceptible d'augmenter le nombre de greffons disponibles pour la transplantation. A contrario, l'argument central de ceux qui critiquent ce modèle, consiste à signaler que si l'on accepte le consentement présumé, alors on finira par prélever des organes de personnes qui ne voulaient pas être prélevées, et cette situation n'est moralement pas acceptable dans la mesure où elle viole le principe du respect de l'autonomie individuelle, lequel est censé fonder le consentement éclairé et la confiance du public dans le système de transplantation. Plusieurs pays ayant des politiques de don basées sur le consentement explicite se sont interrogés sur l'opportunité de baser leur modèle sur le consentement présumé. Certains d'entre eux, comme la Suède, la Belgique, le Brésil ou la République de Singapour, ont mené à bien ce changement de modèle avec des résultats variables. D'autres pays, comme le Royaume-Uni, où la société a participé à ce débat, ont finalement décidé de conserver leur modèle de consentement explicite. Dans cet article, nous allons analyser le débat qui s'est récemment tenu au Royaume-Uni et argumenter en faveur de la décision prise dans ce pays. Nous montrerons, d'une part, que le consentement présumé tel qu'il est appliqué dans des pays comme la France ou l'Espagne viole en effet le principe d'autonomie. Cependant, nous verrons également qu'une violation du principe d'autonomie peut se justifier, au nom du bien commun, si le bénéfice du plus grand nombre est plus important que le préjudice porté à l'individu. En effet, une ingérence dans la sphère privée des individus peut se justifier au nom du moindre mal. Ainsi, l'argument de la violation du principe d'autonomie est pertinent, mais n'est pas en soi suffisant pour refuser une mesure politique susceptible de sauver des vies. Un argument complémentaire est nécessaire afin de nier la pertinence du consentement présumé. Nous montrerons, d'autre part, que le consentement présumé n'est ni le seul moyen, ni le plus efficace pour promouvoir le don d'organes. Malgré tout, il est possible de défendre, au nom du pragmatisme, le droit de chaque société à promouvoir le modèle de consentement au don qui s'avère le plus efficace en termes de génération de greffons et en termes de confiance du public dans le système de transplantation.
Cet ouvrage s’attache à un sujet encore trop peu travaillé : la comparaison des polices, ou plus précisément des systèmes de police. Or, comparer permet mieux comprendre les activités policières, en examinant précisément le mélange d’unité et de diversité des types d’organisations, doctrines et stratégies de réformes, relations police-population, modes de contrôle ou encore de la part prise par les forces de sécurité privée. Une telle analyse demande d’être attentif aux logiques de convergence : comment certains slogans, certaines innovations, certains dispositifs s’exportent, circulent entre différents pays. Elle exige en retour de ne pas négliger les réappropriations et réinventions locales et nationales : la police de proximité a-t-elle le même sens dans les différents pays occidentaux ? Les pratiques de contrôle d’identité ont-ils la même ampleur ? Cette démarche permet également de mieux comprendre les singularités de l’organisation policière française. Il s’adresse aux étudiants en droit, science politique, sociologie et histoire intéressés par les questions policières, ainsi qu’aux professionnels du domaine.
Vst - Vie Sociale Et Traitements, 1988
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
Collectanea Christiana Orientalia, 2005
Resumen: El sistema de lecturas de la antigua liturgia de Jerusalén, liturgia que era en lengua griega, nos es conocido gracias a las antiguas versiones armenia y georgiana, pero también en manuscritos greco-árabes y árabes, todos del Sinaí y procedentes sin duda del monasterio de San Sabas en Palestina. Algún leccionario griego, como es el caso del ms. Sin. gr. 210 (s. IX), corresponde plenamente a la antigua liturgia hagiopolita. Dadas las influencias mutuas entre esta liturgia y la de Constantinopla, el investigador puede dudar entre una atribución u otra. Para ello se dan aquí unas pautas que permiten distinguir claramente cuándo un leccionario pertenece o no a la liturgia de Jerusalén.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Sacra doctrina. Mystère et Sacramentalité de la Parole dans la Somme de Théologie de S. Thomas d’Aquin, 2020