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2014, Diachronica
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30 pages
1 file
2008
This study relies on the articulatory commentary of the early Arab grammarians on the Classical Arabic (CA) consonants (VIII°-XII° century). 4 consonants were picked up from the Arab inventory: 3 consonants appeared in Al- Khalil's (died in 786) commentary as post-palatal, ‘gim', ‘sin' and ‘dad', and the last one as prepalatal, ‘sin'. The stability of the four graphemes allowed the comparison between the articulation in CA and Modern Arabic (MA). The results show that the phonetic values of these consonants have evolved. The phonetic values are unanimous in exhibiting the fronting of the four articulations. They all split from a back to a front articulation. The reasons of this fronting are undoubtedly linked to a better control of the main articulator, the tongue, and to a good optimisation of the coarticulatory process.
Miscellanea Arabica 2013-2014 (ed. by A. Arioli), Rome, 2014
NUOVA SAPIENZA ORIENTALE Articolata in diverse sezioni concernenti studi originali, ricerche, testi letterari, documenti, traduzioni, sussidi didattici, dizionari bilingui, miscellanee, atti congressuali ecc., è uno spazio libero messo a disposizione degli studiosi, non necessariamente inquadrati nei ruoli universitari, anzi particolarmente ricettivo e ospitale soprattutto nei confronti dei lavori di giovani studiosi impegnati nella ricerca. L'ambito d'interesse è rappresentato dal ventaglio di aree di ricerca connesse con le lingue, le civiltà, le culture, le società dei paesi dell'Asia e dell'Africa.
Dictionnaire des Philosophes Antiques, Suppl., 2003
Les informations qui suivent s'ajoutent, pour la plupart, à celles apparaissant sous des rubriques identiques dans la notice sur « La Rhétorique. Tradition syriaque et arabe » (DPhA, vol. I,.
Dans cette étude, nous avons abordé l'assimilation, ses contraintes et ses aspects comme une variation phonologique observée dans les deux langues: le français et l'arabe. L'analyse de ce phénomène nous a révélé quelques traits essentiels communs entre les deux langues en question et qui sont censés être universels et quelques aspects propres à chacune d'elles . Les traits communs: - Le mécanisme de l'assimilation est conditionné par une connaissance phonologique spécifique au système vocalique des langues en question: traits pertinents des phonèmes et leur contact dans un contexte phonologique quelconque. - L'assimilation peut se produire entre deux mots ou au sein d'un mot. - L'assimilation est de nature graduée: il existe des degrés de transformation d'un son en un autre (partielle ou totale. - Il s'est avéré que les sons non voisés se voisent plus facilement et plus complètement que les sons voisés. - L'assimilation régressive est le type le plus fréquent surtout au niveau du voisement et de la nasalité. - L'assimilation à distance représentée par la dilation (portant sur les consonnes) et par l'harmonisation vocalique (portant sur les voyelles) touche les sons non contigus. - La dissimilation, à l'opposition de l'assimilation, n'est pas fréquente dans les deux langues. Les aspects propres à chacune des deux langues: - En français, l'assimilation s'effectue comme un résultat de la rencontre réelle de deux consonnes . En arabe, l'application de l'assimilation de cette façon est impossible car deux consonnes ne peuvent jamais être en contact: consonnes et voyelles s'alternent obligatoirement (CV,CVC,VC et VCV). - À l'opposé du français, l'assimilation progressive est fréquente en arabe surtout dans la forme VIII du verbe. - Les quatre emphatiques arabes (/ḍ/ ض, /ṣ/ ص -, /ẓ/ ظ et /ṭ/ ط) qui n'ont pas d'équivalent en français, assimilent généralement l'infixe "t" de la forme VIII du verbe malgré la différence du point d'articulation. - En français moderne, l'assimilation totale de sonorité ou de surdité paraît au cas d'un parler rapide spontané. En arabe moderne et classique, l'assimilation est toujours totale avec l'article défini أَل /ʔ al/ qui est assimilé par la première consonne solaire du nom qui le suit.
Cahiers D Ethnomusicologie Anciennement Cahiers De Musiques Traditionnelles, 2013
watch ?v=xba_kWmVLNo On manque cependant de recul historique. L'une des plus anciennes date de la fin des années 1960 : Michel Polnareff : http://www.youtube. com/watch ?v=M61YoURoL1o. Je ne me référerai pas ici au phénomène beatbox, qui est plus récent, et uniquement rythmique.
Cette étude en linguistique contrastive est propre à l'interférence entre l'arabe et le français en vue de profiter des traits communs entre les deux systèmes à faciliter le processus de l’enseignement du FLE et / ou d’éviter particulièrement les erreurs dues surtout à l’influence négative de leur langue maternelle - l’arabe - sur la langue cible c’est-à-dire le français. Cette étude a trois objectifs: - d'abord passer en revue le système phonique des deux langues en vue de préciser les causes des erreurs phonologiques ; - ensuite décrire et interpréter ces erreurs en vue d’aider nos informateurs(enseignants et étudiants) à les éliminer de leur discours . - proposer des remèdes aux erreurs phonologiques propres aux arabophones.
Cahiers de musiques traditionnelles, 1999
L'évolution de la notation rythmique dans la musique arabe du ixe à la fin d... Cahiers d'ethnomusicologie, 12 | 1999 L'évolution de la notation rythmique dans la musique arabe du ixe à la fin d...
Égypte/Monde arabe
1Depuis que les mouvements islamistes monopolisent l'intérêt, l'étude des phénomènes nationalistes dans le monde arabe n'a plus guère droit de cité dans les sciences sociales1. Conséquence ou non de cette mutation, les pays arabes semblent à l'abri du regain des fièvres ...
Tahar 2ème Conférence …, 2002
Résumé–Abstract Notre article présente les composants nécessaires à la synthèse de la parole arabe. Nous nous attarderons sur la transcription graphème phonème, étape primordiale pour l'élaboration d'un système de synthèse d'une qualité acceptable.
Encyclopédie de l'humanisme méditerranéen, 2014
La tradition arabe de la rhétorique A lire en : ]ﻋﺮﺑﻲ[ [français] Khatâba renvoie à plusieurs significations. Ce mot peut se référer à une qualité (éloquence), à une activité (énonciation d'un discours public) ainsi qu'à l'art oratoire (fann al-khatâba). Dans une acception plus technique, khatâba désigne la « rhétorique hellénisante », parallèlement à falsafa qui désigne la philosophie hellénisante. Cette acception de khatâba est liée à la traduction arabe de la Rhétorique d'Aristote (Rîtûrîqâ ou Khatâba) et à la réception de la tradition grecque classique dans la culture arabo-musulmane. Khatâba, dans un sens plus restreint, peut encore identifier un type de syllogisme rhétorique (enthymème). On peut distinguer une période qui précède la traduction de la Rhétorique d'Aristote, qualifiée d' « ancienne » dans al-Fihrist (L'Index) d'Ibn al-Nadîm (Xe siècle) et sans doute antérieure à l'époque marquée par l'activité de Hunayn b. Ishâq (809/873), et une période suivant cette traduction. Au cours de cette deuxième période, le mot khatâba, tout en gardant les sens traditionnellement connus dans la culture arabe, acquit un sens spécifique qui découle de l'inclusion de l'art oratoire dans le domaine de la falsafa, et notamment de la logique (mantiq). Il faut aussi remarquer, à un moment donné, le croisement de la khatâba philosophique avec la khatâba arabo-islamique. Khatâba et art oratoire Dans les sources lexicographiques, les définitions de khatâba tiennent toutes à la pratique de l'allocution publique (khutba), typique de la civilisation arabe. Dans le Lisân al-ʿarab (La Langue des Arabes) d'Ibn Manzûr (m. 1311), khatâba est le nom verbal du verbe khataba/yakhtubu, par référence au sermon que le prédicateur prononce du haut de la chaire. Khatâba est aussi le nom verbal du verbe khatuba, « devenir khatîb », c'est-à-dire être éloquent (hasan al-khutba), parler bien ou être un bon prédicateur. Le mot désigne donc soit une activité d'énonciation, soit une qualité (l'éloquence). Al-Firûzâbâdî (m. 1415), dans al-Qâmûs al-muhît (Le Dictionnaire exhaustif), définit khatâba comme étant l'activité « du prédicateur qui parle du haut de la English 'ﻟﻌﺮﺑ"ﺔ Français
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Bulletin d’études orientales, 2017
Middle Arabic and Mixed Arabic, 2012
Revue québécoise de linguistique
Études et Documents Berbères
Dictionnaire des philosophes antiques, vol. I, 1989
Le médiéviste et l'ordinateur, 1983