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1997
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3 pages
1 file
2014
Livre en ligne ici : https://books.openedition.org/pus/7226 Aragon, trente ans après, sous la dir. d'Erwan Caulet, Corinne Grenouillet et Patricia Principalli-Richard, Presses Universitaires de Strasbourg, coll. « Recherches croisées Aragon / Elsa Triolet », n° 15, 2014, 276 p.
Interférences littéraires, 2019
Pendant les trois décennies qui se sont écoulées depuis la publication de "Seuils" (1987) de Gérard Genette, les études sur le paratexte se sont multipliées dans des disciplines très différentes et dans plusieurs champs littéraires. Pour couronner le trentième anniversaire de la publication de cet ouvrage pionnier, un colloque international a été organisé à Bologne, pendant lequel de nombreux chercheurs se sont interrogés sur l’actualité des études sur le paratexte. Le dossier thématique qui en constitue l’issue comporte une réflexion aussi bien sur les implications découlant des théories de Seuils que sur sa réception dans les domaines littéraires et médiatiques. Il y est question de détecter les évolutions, les distances et les connexions entre les sous-catégories indiquées dans l’essai d’une part et, d’autre part, entre les directions de recherche assumées par les chercheurs. Le présent article, qui constitue l’introduction au dossier, définit les bases théoriques de la recherche et synthétise les développements des articles qui le suivent.
L'Homme, 2000
© École des hautes études en sciences sociales N DEMI-SIÈCLE s'est écoulé depuis l'année 1949 qui vit la publication des Structures élémentaires de la parenté-ouvrage d'une portée si considérable que bien peu à l'époque 1 furent en mesure de soupçonner à quel point il allait marquer les futures générations d'ethnologues et renouveler entièrement le débat sur ce qui, quatre-vingts ans plus tôt avec Lewis H. Morgan, était devenu un des objets privilégiés de l'anthropologie sociale : la parenté. La dimension heuristique de l'oeuvre éclatera pourtant bientôt au grand jour, remettant à l'honneur un thème dont L'Homme-la revue que Claude Lévi-Strauss, Émile Benveniste et Pierre Gourou allaient créer par la suite-s'emparera aussitôt, lui consacrant en 1965 son tout premier « numéro spécial » 2. À compter de cette date l'histoire se précipite… Au terme de deux décennies de « structuralisme triomphant », la discussion portant sur la position centrale qu'occupait dorénavant cette problématique était déjà fort houleuse, la machine de déconstruction critique mise en branle par Rodney Needham (1971) s'employant à saper les bases d'un édifice que le scepticisme acerbe d'un David Schneider (1968, 1984) achèverait bientôt de mettre à bas. En effet, ce furent moins les hypothèses et les théories visant à rendre compte de ces phénomènes-faute sans doute d'alternative crédible-que la place de la « parenté » comme objet anthropologique discret qui était alors visé. Phénomène récurrent dans l'histoire des sciences-humaines en particulier-, lorsque ne parvient à percer aucune contre-proposition plausible à une théorie jugée trop exclusive, il se trouve toujours quelqu'un pour interpréter les signes et pour soutenir-avec plus ou moins de sincérité-que la faute en incombe à la définition même de l'objet sur lequel elle porte.
Gradhiva, 2016
Gradhiva-Pouvez-vous revenir sur la création de Gradhiva ? Jean Jamin-Gradhiva ? Ça s'est fait au Totem. Le Totem était le bistrot du musée de l'Homme, au rez-de-chaussée, côté jardins du Trocadéro. Michel Leiris et moi, depuis 1977, nous nous y rencontrions tous les matins pour prendre force tasses de café et de décaféiné, y réinventions le monde autant que l'ethnologie, parlions littérature, opéra, jazz et politique ou, simplement, météo, cuisine et vins i ns. C'est donc là que Leiris et moi nous avons lancé l'idée d'une revue et on s'est dit, comme ça, comme on abat une carte : « Pourquoi pas l'appeler Gradiva ? » Il connaissait Gradiva parce que c'était devenu une sorte d'égérie surréaliste. André Breton possédait une petite galerie à la i n des années 1930, rue de Seine (VI e), qui s'appelait « Gradiva » et il avait fait dessiner la porte de cette galerie par Marcel Duchamp. En 1939, André Masson, un des proches amis de Leiris (et même son mentor), avait peint un tableau intitulé Gradiva, d'inspiration encore très surréaliste, alors qu'il avait quitté le mouvement avec fracas en 1929 (fi g. 7). Et puis il y eut surtout Freud et son fameux essai sur la Gradiva de Wilhelm Jensen 2. Mais Leiris et moi on s'est dit que, nonobstant l'attirance du nom, sa symbolique (« celle qui avance »), son imaginaire, son emprise, sa chronique, il fallait justii er ce titre-Gradiva-pour qu'il puisse s'appliquer à une revue d'anthropologie et non de littérature, de musique ou d'histoire de l'art. Et c'est là que nous est venue l'idée de chercher un acronyme qui, j'avoue, nous demanda pas mal d'efforts, mais sans que, avec le temps, il apparaisse tiré par les cheveux puisqu'il fonctionne encore (même si, pour ses lecteurs actuels, le sens s'est quelque peu perdu) : Groupe de recherche et d'analyse documentaire sur l'histoire et les variations de l'anthropologie. Un H avait donc été introduit. Et le coup de génie de Jean-Michel Place, qui a été un remarquable éditeur fi g. 1 Gradhiva n° 1, vignette de couverture dessinée par l'artiste-peintre Michel Canteloup, septembre 1986. Vitrine consacrée aux travaux de Michel Leiris au musée de L'Homme, exposition Leiris & Co.
L'Émancipation syndicale et pédagogique, 2006
L'année 2006 est l'occasion pour les syndicalistes de revisiter un pilier fondateur : la Charte adoptée par le congrès de 1906 de la C.G.T... Texte repris dans le dossier "100 ans de syndicalisme révolutionnaire dans l’éducation" (Emancipation tendance intersyndicale, stage des 28 et 29 mai 2010)
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2020
Depuis 2000, quatre chercheurs, Nonna Mayer, Guy Michelat, Vincent Tiberj et Tommaso Vitale, rejoints cette année par Yuma Ando, contribuent, par leur expertise solide et reconnue sur ces questions, aux rapports de la CNCDH. La qualité de leurs analyses et de leur recherche soutient et nourrit le regard de la CNCDH, dans un dialogue riche, étroit et ancien. Nonna Mayer, directrice de recherche émérite du CNRS au Centre d'études européennes et de politique comparée (CEE) de Sciences Po, a présidé l'Association française de science politique de 2005 à 2016. Elle dirige la collection « Contester » aux Presses de Sciences Po, consacrée aux transformations des répertoires d'action collective. Ses champs de recherches sont la sociologie des comportements politiques, le racisme et l'antisémitisme, l'extrémisme de droite, et l'impact politique des inégalités et de la précarité sociale. Guy Michelat, directeur de recherche émérite du CNRS, au Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF), a axé ses recherches sur les relations entre attitudes et comportements politiques et religieux, sur l'univers des croyances, les représentations de la laïcité, le racisme et l'antisémitisme.
Bref, le magazine du court métrage, 2012
Il existe en France trois coopératives de distribution du cinéma expérimental et indépendant, Le Collectif Jeune Cinéma (fondé en 1971), Cinédoc Paris Film Coop (fondé en 1974) et Light Cone (fondé en 1982). Elles ont été conçues sur le modèle de la The Film-Makers’ Cooperative de New York fondée en 1962 par Jonas Mekas : https://film-makerscoop.com/about/mission Ce phénomène est peu connu à l’international d’où la présence de ce texte. Cet entretien avec trois responsables de la coopérative Light Cone, Gisèle Rapp-Meichler, Emmanuel Lefrant et Christophe Bichon, a été réalisé en 2012 pour les trente ans de l’association et publié dans « Bref, le magazine du court métrage » n° 104-105 (automne 2012). On peut lire dans la continuité les textes consacrées à Cinédoc Paris Film Coop et au Collectif Jeune Cinéma sur ma page.
Anthropologie & développement, 2021
2 Le film est disponible sur vimeo : https://vimeo.com/270129069 (consulté le 16 septembre 2021). 3 Ce numéro a été conçu grâce à l'implication du comité de rédaction, mais aussi d'un comité ad hoc composé de :
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2022
Entretien avec Anne de Tinguy, par Corinne Deloy Les Entretiens du CERI, 07 février 2022 L'Union soviétique s'est effondrée il y a trente ans. Quel est le bilan démocratique du postsoviétisme ? Comment voyez-vous l'avenir ? Anne de Tinguy : Le bilan est très contrasté. Au lendemain de l'effondrement de l'URSS, les Etats issus de l'URSS affichaient un objectif de démocratisation que beaucoup d'entre eux entendaient poursuivre avec le soutien de leurs partenaires occidentaux. Dès les années 1990, les évolutions sont apparues en décalage avec cette trajectoire. Certains des Etats de la région ont continué à se référer à une volonté de démocratisation. D'autres se sont engagés sur la voie de régimes autoritaires. Tous se sont retrouvés confrontés à des difficultés liées au poids de l'héritage soviétique. Aujourd'hui, huit des douze Etats de cet espace (la Russie, le Bélarus, l'Azerbaïdjan et les Etats d'Asie centrale) sont classés par l'ONG Freedom House dans la catégorie des pays qui ne « sont pas libres ». Ces Etats peuvent avoir une façade démocratique, mais, à l'exception du cas particulier du Kirghizstan, ils se sont tous dotés de régimes fortement personnalisés, corrompus et oligarchiques dans lesquels le pluralisme politique est très limité, les processus institutionnels étroitement contrôlés, les inégalités sociales très importantes, les droits de l'homme bafoués, l'information fortement contrôlée.
Mondes en développement, 2010
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Classiques des sciences sociales., 2006
Regards croisés France-Québec, 2012
Comptabilité - Contrôle - Audit, 2005
Le Monde Diplomatique, 2021
Confluences en Méditerranée, 2005
Archives de sciences sociales des religions, 2007