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Cet article présente un environnement-tuteur d'apprentissage pouvant s'insérer dans une plate-forme de FOAD permettant à des étudiants de prendre connaissance et de réviser des contenus de cours. Cet environnement puise son originalité dans le fait qu'il allie une approche cognitive et des références à l'apprentissage dialogique pour permettre : -de fournir aux apprenants les cours les plus pertinents à étudier étant donné leur compréhension du cours ; -de délivrer des feedback sur la compréhension d'un cours et le contenu de résumés produits sur ce même cours ; -de renvoyer des feedback sur les fils de discussions menées dans des chats.
L e pe u d 'inté rê t accordé au Maroc à l'environnement côtier peut s 'explique r par le fait que le littoral maroca in , comparé aux rivages d 'a utres pays, apparaît comme un espace encore sousoccupé. En effet, e n dehors de quelques zones de nséme nt utilisées comme la zone comprise entre Rabat et Casablanca ou la baie de Tanger et ses environs o u celle d 'Agadir, o u e nfin le littoral de Té to uan , le reste des côtes marocaines est e ncore vide. Mais les rythmes et les processus d 'occupatio n de ce littoral par les différentes activités sont tels, qu 'il est souhaitable que des mesures é nergiques soie nt prises po ur que l'occupation future des zones côtiè res encore viè rges soit plus ratio nnelle . En effe t, o utre une littoralisatio n de plus e n plus nette du tourisme qui fait que les implantatio ns se font de préfé re nce sur la côte, d 'autres activités viennent se localiser égaleme nt sur ce trait de côte. Or, s'il est admis auj o urd 'hui que le littora l est partout dans le mo nde un milie u fragile à l'équilibre précaire , les côtes marocaines sont des écosystè mes forte me nt sensibles qui pe uvent se dégrader de manière irre-(') Dé parte me nt de Géogra phie-Faculté des Le ttres e t d es
Du Docteur LAWSON N'sinto Enseignant chercheur à la FDD 4 CORENTI Lelong, réfugié climatique : statut et traitement, p4. 5 ESSAM El Hinnawi, rapport du PNUE sur les réfugiés environnementaux 1985. 6 BROWN Oli, « migration et changement climatique », Rapport de l'OIM 2008.
Distribution électronique Cairn.info pour Fondation Nationale de Gérontologie. © Fondation Nationale de Gérontologie. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Aujourd'hui, 5 juin, est célébrée la Journée mondiale de l'environnement, instituée depuis 1972 lors de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement humain, à Stockholm. Cette date, qui a été choisie pour coïncider avec la tenue de cette conférence, a pour objectif principal d'attirer l'attention de toutes les sphères de la population mondiale sur les problèmes environnementaux et l'importance de préserver les ressources naturelles, qui jusqu'alors étaient considérés par beaucoup, inépuisable. Cette conférence, connue sous le nom de Conférence de Stockholm, a initié un changement dans la façon de voir et de traiter les problèmes environnementaux dans le monde, en plus d'établir des principes pour guider la politique environnementale à travers la planète. Malgré la grande avancée que représente la Conférence de Stockholm, cette date ne peut être commémorée en raison de la dégradation de l'environnement à travers la planète et de la menace du changement climatique qui peut survenir jusqu'au milieu du 21ème siècle et mettre en péril la survie de l'humanité.
The Environmental Kuznets Curve (EKC) hypothesizes that pollution first increases at low stages of development then decreases once a certain threshold has been reached. Most existing studies use per capita Gross Domestic Product (GDP) as an indicator of such development but this paper uses a broader measure of development, the World Bank's Adjusted Net Savings (ANS), as explanatory variable. We show that such a Revised EKC seems to be a valid hypothesis for CO 2 emissions while it is not the case for the standard EKC, at least for reasonable income thresholds. We also highlight the role played by human and natural capital in the downward sloping part of the environmentdevelopment relationship. Finally, we show that additional variables such as the share of manufacture in GDP and institutions are important actors in the relationship.
Érès | « Spirale » 2021/2 N° 98 | pages 130 à 137, 2021
Des soins transculturels aux mères et leur bébé sont pensés et organisés grâce aux concepts winnicottiens résumés dans une phrase célèbre « ... un bébé cela n’existe pas ». Le landau du psychanalyste trouve des équivalents de portage dans d’autres cultures, comme signe d’un environnement dont la qualité sera d’être « good enough ». Dans une préoccupation de soin dès la maternité, l’environnement du couple mère-enfant en exil est analysé scrupuleusement pour qu’il ne soit pas le contraire de « suffisamment bon » : carencé, instable, hostile impropre à favoriser les compétences mater- nelles. Les mères, souvent sujettes à des traumatismes graves, ne sont plus disponibles psychiquement à leur bébé, préoccupées par un quotidien envahissant et par une lutte psychique contre les effets du traumatismes.
LC. Revue de recherches sur Le Corbusier, 2021
We are pleased to introduce the third issue of LC. Revue de recherches sur Le Corbusier, adding up to its progressive consolidation as a research journal. Once more we thank the attention of our readers, the significant number of online visits received, and the increasing presence of new articles in our pages, published in a larger number than before, always after a rigorous selection process (for which we want to express our gratitude to the excellent and generous work of our referees). Once again, this journal aspires to echo the importance given by Le Corbusier to the plastic attributes of editorial work that he himself developed as author, designer, and typesetter of books and magazines. Hence the weight that graphic materials provided by Fondation Le Corbusier still have in our journal. The journal's cover reflects this same meaning. For this occasion, cover design has been in charge of the Australian designer Paul Davies, whose luminous colors pose a response to these somber times.
Brochure CSN, 2019
Cultures Selon Nature - CSN - La nature travaille pour se nourrir et se perpétuer ... Cela faisant, elle construit et maintient les conditions pour la Vie.
Dans La vie devant soi1 d’Émile Ajar-Romain Gary (1975) et son adaptation filmique par Moshe Mizrahi, sous le titre de Madame Rosa2 (1977), la Seconde guerre mondiale et le génocide des Juifs sont remémorés, mêlés à des évocations de la guerre d’Algérie. Le roman et, à sa suite, le film mettent en scène un phénomène relationnel et tout en même temps mnésique : ils tissent dans leur narration et dans leur énonciation une relation d’interdépendance entre une femme devenue adoptive et un enfant devenant l’adoptant. Nourri par l’affection que se vouent l’un l’autre cet enfant d’une prostituée algérienne et cette ancienne prostituée juive, le lien entre ces deux êtres est d’autant plus fort qu’il se déroule dans un présent sous tension. La vieille femme, rescapée d’Auschwitz, est terrorisée par son passé, un « retour de mémoire » traumatique de la menace nazie. L’enfant-adolescent se trouve quant à lui assailli de questionnements sur son avenir. Ce présent est mis en scène et territorialisé dans un « ici » précis : le quartier de Belleville où vivent des gens pauvres, des immigrés, des marginaux.
Pour Mémoire, 2018
« Le propre de notre civilisation occidentale est d’attendre le Père Noël des techniques » (Dominique BOURG). Cette attente est particulièrement notable depuis le XIXe siècle, siècle scientiste par excellence, où le progrès semblait permettre tous les espoirs : aucun problème en effet qui ne paraisse trouver une solution par une invention ; aucune difficulté qui ne paraisse pouvoir être résolue par la science. Ce mythe du progrès a pourtant été bien contesté dès sa naissance (cf. François JARRIGE, Technocritiques, Paris, La Découverte, 2014), et considérablement écorné au XXe siècle, lorsque les bouleversements apportés par la technique au monde naturel ont semblé trop considérables (menace nucléaire, pollutions chimiques, agriculture intensive, impact du changement climatique par exemple). Reste qu’on peut s’interroger aujourd’hui encore sur notre rapport à cette idéologie. La notion d’anthropocène elle-même, qui pointe l’ampleur des dégâts provoqués par l’espèce humaine à la planète, peut amener certains à suggérer d’user de cette puissance anthropique pour régler les problèmes qu’elle a créés (que l’on songe par exemple aux propositions d’injecter de grandes quantités de dioxyde de souffre dans l’atmosphère pour enrayer le réchauffement climatique). Il convient donc d’interroger historiquement la façon dont cette foi dans les capacités de la science à protéger l’environnement, à résoudre les défis que l’humanité lui pose, s’est construite et transformée, s’est imposée, a été contestée mais reste prégnante. Au-delà de la question du climat, on pourra ainsi s’intéresser à la sauvegarde de la biodiversité, à la question de l’indépendance de la recherche et de l’expertise face aux lobbies industriels, aux conséquences des interventions techniques sur les écosystèmes. Au final, il s’agira bien de se demander si l’innovation scientifique est en mesure d’absoudre l’homme d’une remise en cause de ses modes de vie.
Publié en 1996 , cette collection d'articles porte sur les transformations des rapports entre science et politique dans le domaine de l'environnement et sur le rôle des experts et de l'expertise. Devenue indispensable , celle ci connaît néanmoins une forte crise de légitimité et doit se transformer pour s'adapter aux nouvelles exigences de la démocratie . L'enjeu est de mettre en place une " démocratie cognitive" dans laquelle la place des experts et son organisation seront redéfinis -au profit d'une implication plus forte des citoyens
2012
C'est vraiment alle tres vite. En 20 ans, notre environnement s'est peuple d'une multitude d'objets intelligents - etiquettes, capteurs divers et bien sur telephones portables - qui detectent, activent et communiquent entre eux via les infrastructures de telecommunication, des reseaux de capteurs voire des mini reseaux personnels. Une revolution qui a su profiter des progres constants de la microelectronique et des telecommunications sans fil.
Les séminaires auxquels j'ai participé, répartis sur deux séances coordonnées par Mme Patricia HEINIGER-CASTERET et M. Alain CHAMPAGNE, concernaient principalement la méthodologie de l'enquête sur le terrain, les interdisciplinarités des sciences humaines et leurs interférences avec des sciences naturelles, surtout l'anthropologie et l'archéologie. Ont été présentées des recherches sur des espaces variés pastoraux et paysans durant différentes périodes (préhistoire, antiquité, moyen-âge, époques moderne et contemporaine) et la méthodologie de collection et d'analyse des chiffres et des données. D'un autre côté, ils illustraient les relations liant l'homme, la société, l'environnement et la diversité de la vie pastorale et du nomadisme. Finalement, on peut dire que cette intervention était très constructive et instructive sur ce qui permet à l'homme de prendre possession du territoire et de le préserver du cadre culturel comme l'exploitation des ressources, l'organisation symbolique de l'espace, etc. 1ère journée : Pratiques et espaces La première journée portait sur le sujet des pratiques et des espaces. Elle a été consacrée au dialogue entre l'histoire, l'anthropologie et l'archéologie, puis la discussion s'est recentrée sur l'homme et son milieu ou plus exactement sur les relations et interactions entre un territoire et un espace pastoral. On a donc assisté à des présentations de méthodologie effectuées d'abord par deux archéologues, puis par un historien et pour finir par les naturalistes. Rémy BERDOU a été le premier orateur, il s'est exprimé à propos de la Méthodologie d'une enquête ethnologique sur l'usage des terres collectives de la vallée d'Ossau. Son intervention a traité de l'ethnologie d'enquête sur l'usage et la gestion des terres collectives de la vallée d'Ossau qui est une vallée du Béarn, située au nord des Pyrénées et au sud de Pau, dont l'activité principale jusqu'au XX e siècle était le pastoralisme. Il existait dans cette société une commission de syndicat, créée au milieu du XIX e siècle dont le but était de gérer la terre. De plus, depuis les années soixante, l'agriculture en général a subi de profonds changements qui ont eu un impact sur la société ; s'est alors posée la question de savoir comment adapter les institutions qui gèrent les terres collectives
Notre ville a un goût insatiable à l’énergie et à la démesure. Elle est consommatrice vorace des ressources non-renouvelables. L’extension urbaine et son corollaire la croissance économique à n’importe quel prix ne sont plus de mise dans un monde où l’environnement global est menacé. Il y a désormais des urgences à mettre à terme à la surexploitation des ressources et à la consommation abusive de l’énergie. Il y a nécessité absolue de promouvoir un développement durable qui simultanément respect l’environnement, limite l’épuisement des ressources naturelles et d'énergie et préserve l'avenir des générations futures. L'article essaye de montrer qu'une bonne partie des problèmes de notre environnement est due à la façon avec laquelle on a planifie, conçu et géré la ville et ses bâtiments. Une ville tracée pour servir l'automobile ne peut que polluer et détruire son environnement. II esquisse aussi les grands axes d'une nouvelle conception des agglomérations urbaines qui aurait le moins d'impact sur l'équilibre des écosystèmes, la ville et son environnement. Il s'agit de développer une approche écologique en architecture et en planification urbaine. Pour ce faire, de nouvelles orientations conceptuelles et pratiques sont avancées et proposées afin de favoriser et d'induire un développement durable de la ville et de son environnement. Pour que ce développement soit fiable et efficace, l'article met l’accent sur la nécessité de développer une architecture écologique. C'est une approche qui a pour objet de protéger le cadre de vie de l'homme et son écosystème et préserver son cadre bâti. Mots clés : Environnement, Ecologie urbaine, Ville, Energie, Ressources renouvelables, Ecosystème, Développement durable, Pollution, Conservation d’énergie, Architecture.
L'environnement question sociale , 2001
La situation de l'environnement en France est paradoxale. D'un côté, celui-ci a acquis, face à l'extension des enjeux et la diversification des risques (de la pollution atmosphérique urbaine au développement durable), une place reconnue dans l'univers collectif, à travers le développement scientifique et l'innovation technologique, la multiplication des dispositifs législatifs et réglementaires, l'intégration dans les cadres socioéconomiques, techniques et politiques. En même temps, le caractère apparemment neutre, indifférencié du terme, sa dimension communicationnelle en favorisent des usages multiformes, mais aussi souvent opportunistes de la part de nombreux acteurs (entreprises, communautés territoriales, instances politiques, médias…).
Dialogue, 1991
Qu'il y ait une détérioration de l'environnement présentant des risques pour le bien-être et même pour la survie de l'humanité tout entière est actuellement hors de doute. Que cette détérioration soit due à une pratique, qui suppose un anthropocentrisme et une conception instrumentaliste de la nature, est incontestable. Pour résoudre donc le problème environnemental, ne serait-il pas nécessaire aux hommes qu'ils changent leur pratique et qu'ils établissent des relations d'un nouveau genre avec la nature? Ne devraient-ils pas adopter de nouveaux comportements à son égard, se donner une nouvelle éthique de l'environnement? Pour certains environnementalistes, c'est dans cette direction que les hommes devraient s'engager; ils croient fermement que les risques d'une catastrophe écologique ne peuvent être enrayés que par une conversion des hommes à de nouvelles valeurs et à une nouvelle perception de leur situation dans le monde. Le problème qui s&#...
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