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2011
This paper seeks to contribute to the emerging stream of literature on the limits of accountability and the possibilities of accounterability by questioning whether and how accounterability can so alter accountability as to enrich or transfigure it. This paper considers three intrinsic limits of accountability: as strong ideological grounding in neoclassical microeconomics; the disputability of any legitimacy to demand accounts on behalf of a Higher-Stakeholder; and the impossibility of giving an account and of recording everything. Se show that accounterability only exists because accountability has intrinsic limits which accounterability responds to and alters. Both are heavily intertwined and forms of resistance merely serve as moments for reflection and reflexivity.
Revue Française de Gestion, 2015
Cet article propose une lecture des lettres des présidents des entreprises du SBF 120 en mobilisant le cadre théorique de Greimas, appelé schéma actantiel. Les informations narratives apparaissent régies selon une logique de reddition des comptes, contingente par rapport à la stratégie poursuivie, et aux propriétés de taille ou de performance des entreprises ; elles obéissent aussi à la codification sous-jacente d’un conte, qui permet de mieux en comprendre la structure.
Article dans L’Encyclopédie critique des mots du témoignage et de la mémoire, Maître d’œuvre : Philippe Mesnard (CELIS / UBP Clermont-Ferrand) ; direction du projet : Philippe Mesnard et Luba Jurgenson (Eur’ORBEM / Paris IV - CRAL.EHESS), novembre 2017.
Alter
Comment répondre à la crise environnementale et aux menaces qu'elle fait peser sur la poursuite de notre mode de vie ? Devons-nous mobiliser nos forces pour lutter contre la crise, changer radicalement nos comportements ? Ne faudrait-il pas plutôt veiller à nous adapter à une situation transformée ? Ces deux pôles sont présents dans les politiques environnementales. Pour répondre au changement climatique on envisage à la fois des politiques d'atténuation (mitigation) des émissions de gaz à effet de serre, et d'adaptation aux nouvelles conditions climatiques. Entre le volontarisme de la réduction et le naturalisme de l'adaptation, il n'y a d'ailleurs pas lieu de choisir, comme l'a bien montré Dale Jamieson : même si nous arrivions à réduire drastiquement nos émissions, voire même à les supprimer, le changement climatique, conséquence des émissions antérieures, est déjà enclenché : il faut bien s'adapter à une situation transformée et qui, quoi qu'on fasse, continuera à l'être 1. Se préoccuper d'adaptation ne doit certes pas conduire à délaisser tout effort de réduction des émissions, mais on est également obligé de s'adapter. 2 Il importe donc de réfléchir aux normes morales qui peuvent guider ces deux types d'action, volontariste et adaptative. La philosophie morale de Hans Jonas peut-elle nous aider dans cette recherche ? Le volontarisme peut certainement trouver, dans le principe de responsabilité 2 , ce qui peut le justifier et l'orienter. C'est à l'heuristique de la peur et au recours au scénario du pire que s'est référé un catastrophisme inspiré de Jonas, caractérisé, notamment avec Jean-Pierre Dupuy 3 , par une mobilisation volontariste autour de l'action visant à écarter la menace. On s'est moins interrogé, en revanche, sur la façon dont la lecture de Jonas pourrait guider une politique d'adaptation. La réflexion sur le naturalisme de Jonas a, en effet, surtout concerné l'interrogation sur les fondements, sur la possibilité de passer de l'être au devoir-être, d'enraciner l'impératif moral dans une philosophie de la vie 4. Mais on s'en est tenu, le plus souvent, à ce niveau méta-éthique, sans se demander si le naturalisme de Jonas ne pouvait pas aussi s'appréhender comme une philosophie morale de l'adaptation, fondée sur une conception de l'évolution. Vunérabilité et responsabilité : un autre Jonas ? Alter, 22 | 2014 10 Si les propositions 2 et 3, qui engagent la responsabilité humaine à l'égard de la nature, procèdent directement de ce que dit Jonas, la proposition 1, sur la vulnérabilité du vivant (indépendamment des actions humaines) n'est nullement étrangère à cette philosophie, en ce qu'elle est une philosophie de la vie, en continuité avec sa philosophie de l'homme : c'est bien parce que la vie n'est pas seulement mécanique que la mortalité n'est pas réservée à la seule humanité 13. Les trois propositions, et l'éthique de la vulnérabilité qu'elles définissent, sont donc en accord avec la philosophie de la vie de Jonas, comme avec sa philosophie de la responsabilité. Elles permettent cependant de la découvrir sous un aspect que ne connaissent pas ceux qui s'attachent surtout à l'heuristique de la peur et au scénario du pire. Ce n'est pas le Jonas romantique, adoptant la posture, à la Caspar Friedrich, de celui qui, du sommet de la montagne, annonce la catastrophe, se plaçant, comme un prophète, « sous l'éclairage orageux de la menace venant de l'agir humain » 14. C'est un Jonas plus attentif à la vulnérabilité du vivant, un Jonas dont la philosophie de la responsabilité peut être rapprochée de celle des éthiques du care.
Actualités en analyse transactionnelle, 2020
Dans Actualités en analyse transactionnelle Actualités en analyse transactionnelle 2020/2 (n° 170) 2020/2 (n° 170), pages 76 à 78 Éditions Institut français d'analyse transactionnelle Institut français d'analyse transactionnelle
2013
; A tous ceux qui m'ont encouragé et inspiré ! l'importance de la détection d'une vision particulière d'un « quintuple mouvement » (p. 385) qui serait caractéristique à Lévinas. 1 Dans notre présentation de la structure repérée de l'éthique lévinassienne, nous verrons que souvent les structures proposées par les chercheurs ne prennent pas une forme concrète qu'on pourrait exprimer par un schéma. Pourtant, en parlant de la recherche d'une structure correspondante, nous voudrions voir une visualisation de ce qui renvoie à la construction. 2 Elle sera considérée comme le mode de définition selon laquelle la proximité mais aussi tout élément trouvant sa place dans ce « système » dynamique prend une position par rapport aux autres concepts ou notions s'éclaircissant les uns les autres. 3 Parmi les conclusions, nous pouvons rappeler que ces introductions et les manuels relatifs à la philosophie lévinassienne sont nombreux. A notre avis, nous devrions d'abord consulter les « commentaires classiques » et les « commentaires des classiques » de Lévinas. Ce qui compte, ce sont plutôt des encouragements pour compléter les études déjà existantes. Un quatrième groupe de publications traite la notion même de la proximité selon Lévinas. Comme un des exemples d'une recherche de la « généalogie du concept », nous devrions mentionner le livre de Joseph Libertson Proximity. Levinas, Blanchot, Bataille and communication 4. Dans les pages consacrées à Lévinas, l'auteur montre les liaisons que la notion de 'proximité' garde et acquiert dans la pensée lévinassienne. Nous y reviendrons dans notre chapitre 2.1, mais déjà maintenant, nous constatons que Libertson nous a laissé une des meilleures recherches sur la proximité en tant qu'expression de la communication, à la fois l'insérant dans le contexte d'une étude comparative et juxtaposant ainsi les trois grands penseurs. Les passages qui concernent le plus notre sujet sont : le chapitre IV, « Proximity and Philosophy » (pp. 173-222) ainsi que les sous-chapitres « Cogito and Temporality in Proximity » (pp. 260-273) et « Separation in Proximity » (pp. 310-318). Bien que l'auteur montre la place et la spécificité du concept, son contexte général au sein de l'éthique et de la 1 Cf. ibid. : « Une réflexion sur l'immanence » (p. 385) ; « l'immanence du Moi-même » (p. 387) ; « la transascendance » (p. 388) ; « une métaphysique de l'Eros », « une approche de la "relation" » (p. 390) ; « Audelà de l'ontico-ontologique ou la subjectivité comme hétéro-immanence » (p. 397). 2 De telles schémas nous trouvons, par ex., chez SALANSKIS,
2014
1. Le droit comme processus / 2. La doctrine sociale de l’Eglise / 3. L’importane de la technique juridique Papal encyclicals and their interest in value-implementation rather than in the mere self-fulfilment of formalistic schemes—of either democracy, or parliamentarism and human rights, or of the overall setup of legal instrumentality—are examined in parallel with the duality of contradicting arguments offered by legal technique, focussing on either formal consequence or implementation of contents, such as ones by SHAMMAÏ vs. HILLEL, LABEO vs. CAPITO, moreover, KELSEN vs. SCHMITT, and positivism versus post-war RADBRUCH. Conceiving of law as both craftsmanship and arts, i.e., ars in Latin, presents law in a state of equilibrium from the very beginning, in which the questions of “wherefrom?” and “along what standards?” to start reasoning are complemented by those of “where to?” and “arriving at what result?” to channel reasoning. Genuine use of legal technique may help in that continuous pondering and balancing, together with the subordination of institutional operation to the cause of the person, his family and nation (taken as the reproductive community for the development of the person and his dignity) can in fact be increasingly realised in everyday judicial practice. in [Universitatea „Petru Maior” din Târgu-Mureş Facultatea de Ştiinţe Economice, Juridica şi Administrative Centrul de Cercetare pentru Drept şi Ştiinţe Socio-Umane] Conferinţa internaţională Răspunderea persoanelor juridice în contextul activităţii de codificare în drept / Conférence internationale La responsabilité de la personne morale dans le contexte de l’activité de codification en droit (26–28 noiembrie 2009 Sovata) coord. Ioan Sabău-Pop (Bucureşti: Universul Juridic 2009), 58–63
Médecine, santé et sciences humaines (ed. Collège des Enseignants de SHS en Médecine), 2011
Les références aujourd'hui les plus souvent évoquées en matière d'éthique chez les soignants sont le Code de déontologie médicale et les Principles of Biomedical Ethics, de T. Beauchamp & J. Childress. Or, le premier est davantage un corpus de normes qu'un travail d'éthique proprement dite, et le second est à la fois discutable dans sa construction et malaisé dans son application. Dans ce texte, plutôt qu'un catalogue de normes ou qu'un traité des principes, nous proposons une démarche éthique, reposant sur quatre temps : l'explicitation des valeurs et de leur organisation sous la valeur du bien, l'élaboration d'un jugement délibératif vis-à-vis de l'action à faire, le recueil des enseignement à tirer de l'action réelle et de ses conséquences attendues ou inattendues, et la nécessaire étape du jugement réflexif à porter sur l'action faite, la délibération, les valeurs. Une telle méthode à le triple mérite d'être cohérente, applicable et compatible avec les modélisations de la démarche médicale (elle se rapproche de certaines formulations récentes de la démarche d'Evidence Based Médicine tout en étant plus complète).
J.-B. Guillon, Le libre arbitre. Perspectives contemporaines. http://books.openedition.org/cdf/4959 See below the english version (Drafts)
I argue that one can be responsible for a certain state of affairs, one has brought about, or one has let happen, only if one could have avoided it, by omitting or by performing a certain action. I limit my argument to the consequences of actions and omissions (vs actions and omissions themselves), and to the conditional ability of avoiding the consequences by an alternative behaviour (vs the absolute ability to behave otherwise). Even within those limits, the argument challenges the Causal Conception of Moral Responsibility and the strategy mounted by Frankfurt against the Principle of Alternate Possibilities. It is a step in favor of the idea that the ability to do otherwise (free will) is a necessary condition for moral responsibility.
2018
Historique bref de l'articulation entre l'irresponsabilité constitutionnelle et la souveraineté (nationale et populaire) et de son évolution à l'aune de la construction européenne.
Philosophiques, 2000
LA RESPONSABILITÉ DE LA CLARTÉ par Claude Panaccio Je proposerai ici quelques réflexions que je voudrais moins originales que justes sur la question suivante : qu'est-ce qu'une société comme la nôtre est en droit d'attendre de la discipline « philosophie » ? Et, bien sûr, étant moi-même philosophe de métier, il me faudra commencer par un retour sur la formulation de la question.
In: Revue française d’éthique appliquée 3, 117-123, 2017.
hal-02498573, 2019
Sommaire: I. Qu'y avait-il avant la responsabilité contractuelle ?-II. Depuis quand parle-t-on d'équivalent d'exécution ?-III. Quand la « responsabilité contractuelle » devient-elle autre chose qu'une expression d'usage commode ?- IV. De quels enjeux socio-économiques, la controverse sur la responsabilité contractuelle s'est-elle nourrie ?- V. De quels arrière-plans politiques, la thèse de l'unité et celle de la satisfaction par équivalent sont-elles dotées ?-VI. La réforme du Code civil a-t -elle mis fin à la controverse ?
L'Homme, 2017
Palerme, 11 novembre 1987. S'achèvent les 349 audiences du Maxiprocès intenté à l'association mafieuse Cosa Nostra, à ses 474 membres et à ses chefs en tant que mandataires de plusieurs centaines d'homicides perpétrés en Sicile pendant la « seconde guerre de la mafia ». Magistrats et jurés s'apprêtent à quitter l'estrade du bunker où ils ont siégé pendant près de deux ans, pour se retirer en chambre du conseil-ils y délibéreront durant trente-cinq jours avant de rendre leur jugement. Le chef de Cosa Nostra, Michele Greco, demande à s'exprimer. La cour lui accorde ce droit. On assiste alors à un retournement spectaculaire des rôles : l'accusé rappelle aux juges la difficile tâche de juger, la responsabilité d'attribuer des responsabilités ; celui qui était surnommé « le Pape » signifie aux représentants de l'État qu'il y a plusieurs sources d'autorité, et que la loi divine, incarnée par Moïse, prime sur la loi humaine. Une menace de mort, à peine voilée par la « douceur » de ses mots, conclut sa prise de parole. C'est ainsi que la responsabilité vient, peut venir, à l'ethnologue : par des scènes où se confrontent plusieurs ordres normatifs, où se croisent plusieurs temporalités-des moments d'incertitude où la source d'autorité, celle qui attribue les responsabilités, sujette à des revirements, peut vaciller, chavirer-; par des scènes où la fonction du tiers, assurée par certaines instances, peut être mise à l'épreuve par d'autres instances, qu'elles soient plus grandes ou 2. En 2007, dans leur introduction à un numéro de la revue Terrain consacré à « La morale », Nicolas Baumard et Dan Sperber encourageaient « les anthropologues à participer par leur réflexion théorique et par leurs travaux ethnographiques à un débat interdisciplinaire dans lequel il serait légitime et fécond qu'ils occupent une place centrale » (2007 : 12). On regrettera d'autant plus l'absence de contributions anthropologiques aux publications collectives qui, ces dernières années, ont abordé le thème de la responsabilité dans une perspective interdisciplinaire, à l'instar de la Revue française de science politique (Guillarme, ed. 2008). 3. Cf. « Taking Nature to the Courtroom : Development Projects, Protected Areas and Religious Reform in South Asia », projet de recherche international dont Daniela Berti est l'une des coordinatrices. entre droit et morale Commençons par l'étymologie du mot « responsabilité » : du latin respondeo, la responsabilité renvoie à la capacité de répondre de ses propres actes devant ses semblables et suppose la faculté de décrire une action, avec ses tenants et ses aboutissants, pour en rendre compte, permettant ainsi son évaluation-évaluation qui sera éventuellement déléguée à un tiers en cas de conflit. Dans ce sens, la responsabilité apparaît comme un trait distinctif, non seulement des humains (Arendt 1998 [1958])-en tant qu'êtres dotés de compétences langagières-, mais aussi des démocraties modernes, fondées sur l'idée de « rendre des comptes » (accountability), qu'il s'agisse des citoyens vis-à-vis des États ou de l'inverse (Hage & Eckersley 2012). Les appréciations de l'agir humain et la thématisation des défaillances en tant que « fautes » font partie de la vie courante, qu'elles se déroulent dans un cadre familial ou professionnel (Chateauraynaud 1991), dans l'espace
2011
Maroy, C. (2011). Accountability et confiance dans l'institution scolaire. Education comparée, 5, 127-154. En éducation, l'accountability tend à être synonyme de nouvelles formes de régulation basées sur les résultats, qui tendent à se susbtituer ou à se superposer aux régulations bureaucratico-professionnelles prévalant jusqu'ici (Maroy, 2006, 2008). Elles impliquent d'un côté des dispositifs d'évaluation des performances des établissements scolaires, référés à certains objectifs curriculaires de référence, de l'autre des mécanismes de sanction positive et négative, supposés favoriser des processus d'ajustement et de correction des pratiques et fonctionnements des établissements en vue d'améliorer leurs résultats. La montée de ces nouvelles formes de « reddition de compte » méritent d'être mis en relation avec le thème de la confiance. Dans quelle mesure la montée de l'accountability et du testing en éducation est-elle synonyme d'un déclin de la confiance de l'Etat, des administrateurs scolaires et des usagers de l'école dans la capacité des organisations scolaires à remplir correctement leurs missions. En particulier, n'est-elle pas symptômatique d'une perte de confiance à l'égard des enseignants, de leur professionnalisme et de leur engagement dans leur fonction. Simultanément, les nouveaux dispositifs d'accountability ne contribuent-ils pas à transformer l'institution politique de l'école en une organisation productive, alors même que la notion d'accountability s'origine au départ dans un registre institutionnel et politique. Nous traiterons ces questions en proposant une réflexion théorique avant tout exploratoire, qui cherche à dégager les termes d'une problématique sans pouvoir, à ce stade, proposer des éléments empiriques pour la documenter. Nous commencerons par présenter le caractère polysémique de la notion d'accountability, en montrant qu'elle tend à changer de sens quand elle est transposée du champ politique au champ de l'éducation. Nous présenterons ensuite une courte synthèse de quelques limites et problèmes suscités par les nouvelles formes d'accountability, qui recourrent en fait à des instruments de régulation basés sur les connaissances. Nous développerons alors de façon succincte, quelques unes des idées clés des théories de la confiance en sciences sociales. Nous distinguerons en particulier les réflexions théoriques qui s'interrogent sur les conditions de confiance dans les transactions économiques et d'autres qui raisonnent la confiance politique des citoyens dans les institutions. Dans une dernière partie, nous discuterons les effets potentiels, directs et indirects, de la mise en place d'outils d'évaluation sur la confiance à l'égard des enseignants et de l'école, mais aussi sur la confiance et l'engagement des enseignants à l'égard du système scolaire ou des établissements qui les emploient. Nous argumentons l'hypothèse que ces dispositifs tendent surtout réduire l'incertitude et l'opacité des clients/managers, en vue de favoriser la bonne marche du marché ou de l'organisation productive scolaire, mais au risque d'une perte d'autonomie professionnelle des enseignants, et sans pour autant que l'Ecole ne redevienne une institution politique digne de confiance.
Archives de sciences sociales des religions (en ligne), 2013
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