Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
81 pages
1 file
Rapport réalisé à la demande de l'ONPES. Co-auteurs: Elodie Alberola, Nelly Guisse. Sous la direction de Sandra Hoibian. « Le constat probablement le plus marquant de l’investigation est l’ampleur du sentiment d’invisibilité sociale. La moitié des Français estiment être confrontés personnellement « très souvent » ou « assez souvent » à des difficultés qui ne seraient pas considérées par les pouvoirs publics ou les médias. »
2004
Resume : L’auteur s’interroge sur les raisons de privilegier dans les evaluations paysageres une des trois composantes du paysage (matiere, aspect, percu). Il souligne que les scientifiques preferent travailler a partir du paysage matiere (plus « objectif » et plus « stable ») en negligeant souvent que, dans l’action meme d’evaluer, les representations et les ordres de valeur sont omnipresents ; l’invisible prenant le pas sur le paysage visible. Mots cles : Paysage, Perception, Evaluation des paysages, Epistemologie
Thaêtre, 2018
Dans le champ des arts de la scène, le mot énergie est paradoxalement incontournable : souvent spontanément utilisé par de nombreux praticiens, chercheurs et critiques pour qualifier une réalité sensible que la langue peine à saisir, il est par là même suspecté de n'être qu'un mot-valise désuet et teinté de mysticisme, que l’on gagne donc à exclure des usages. C’est précisément la persistance et la résistance du terme qui nous confronte à l’urgence de l’étudier : en proposant un protocole de recherche à même de confronter visions, vocabulaires et pratiques de l'énergie, il s’agit de rendre au terme sa richesse et son potentiel opératoire pour une pensée des pratiques et processus de création. Travailler à l'étudiabilité de l'énergie consiste donc pour nous à hisser cette notion hors des limbes, hors de la confortable (?) fange que constitue son aura aux atours mystiques, afin de lui rendre un vocabulaire pour la dire, des concepts pour l'étudier, des pratiques pour la travailler. « L’invisible en jeu », dans la veine de l’anthropologie écologique – c’est-à-dire incarnée et située – développée par Tim Ingold, fait du corps du chercheur-praticien le creuset et l’outil d’une recherche qui ne distinguerait pas « la matérialité des sens » de « l’idéalité du sens », pour reprendre les termes d’un autre anthropologue, François Laplantine.
Hommes & migrations, 2013
Ce document est un fac-similé de l'édition imprimée. Tous droits réservés 1. Marc Abélès, "Le terrain et le sous-terrain", in Christian Ghasarian (dir), De l'ethnographie à l'anthropologie réflexive. Nouveaux terrains, nouvelles pratiques, nouveaux enjeux, Paris, Armand Colin, 2002, pp. 35-43. 2. Par "majoritaires" au sens sociologique du terme, nous entendons ceux qui ont le pouvoir de nommer, désigner, catégoriser des individus qui vont être infériorisés selon certaines différences culturelles : les minoritaires en pouvoir et parfois en nombre. 3. Pierre-Jean Simon, Pour une sociologie des relations interethniques et des minorités, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2006 ; Abdelmalek Sayad, La Double Absence. Des illusions aux souffrances de l'immigré, Paris, Seuil, 1999. 4. Chantal Crenn, "Alimentation et santé des familles d'émigrants au Maroc : acculturation et ethnicité", in Dynamiques locales de la mondialisation. Les Afriques en perspective, Paris, MSHA/Kathala, 2003, pp.167-202. 5. Par "pied-noir", j'entends ici la population européenne ayant vécu en Tunisie,
Revue Ecole Emancipée, 2018
À l'heure d'une surpopulation carcérale record (1 er août 2018, 70 710 personnes incarcérées, 53 prisons en surpopulation extrême, 1 667 matelas au sol, source OIP), la question de la place des femmes en détention et de la spécificité de leur condition liée à leur sexe restent encore des impensés tant sociaux qu'institutionnels. Une note de la direction de la maison d'arrêt de Rennes sur les tenues vestimentaires des détenues à l'été 2017 est significative de la persistance des stéréotypes : « Les vêtements laissant paraître des parties du corps dénudées doivent être interdits au-delà de la cellule. Il en est ainsi des vêtements suivants : short court (en deçà du genou), débardeur (laissant paraître la poitrine et les bras nus), ... ». Au 1 er janvier 2018, 2 975 femmes étaient détenues sur un total de 68 974 personnes incarcérées, soit 3,7 % des détenu-es.
Atelier Médicis website, 2020
Avec ce nouvel exercice de conversation, réalisé dans le cadre de ma résidence d’écriture aux Ateliers Médicis à Clichy-sous-Bois (banlieue de Paris), et qui fait écho à celui que j’avais produit avec Joachim Ben Yacoub en 2019 (Variations Décoloniales), je tente de poursuivre mon exploration critiques des pratiques artistiques et culturelles aux marges des institutions, ici dans le contexte d’une banlieue populaire. En parcourant les mangroves de formes culturelles de faible intensité, fragiles et sans nom, je tente d’opposer quelques motifs à la stratégie de mise en spectacle des corps minoritaires et à leur consumation. Et je reviens aussi sur un récit possible de mon propre parcours qui m’amène à examiner les formes de la veillée.
2018
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Politique africaine, Vol. 79, No. 3, pp. 5-16., 2000
Revue d'éthique et de théologie morale, 2009
Ethnographiques Org, 2004
Parcours anthropologiques, 2003