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LA GENTRIFICATION DANS LA, 2008
Rérat, P., Söderström, O., Besson, R. et Piguet E. 2008: Une gentrification émergente et diversifiée : le cas des villes suisses. Espacse et Sociétés : Le gentrification urbaine, 132-133 (1-2) : 39-56 7 LES PRODUCTEURS DE LA GENTRIFICATION Thuy-Van Nguyen et Isabelle Schoepfer 1.
Édition de travail bilingue et exemplifiée par Raphaël Picazos, 2023
Tractatus Johannis de Muris de arte contrapuncti is a brief treatise on counterpoint at- tributed to the teaching of Jean de Murs (ca.1295-ca.1349). In around ten concise rules, it explains the intervals used in coun - terpoint (perfect then imperfect), the principle of their natural movements, the harmonic corrections to be applied to certain in- tervals according to their sequence and it ends with some considerations of order general. It will be noted that what was for - merly called 'chant' in the treatises on deschant is here called 'teneur', and what was formerly called 'chant' becomes here 'chant'. The rules being stated without a musical example, this is why we offer here a new edition exemplifying these rules to facilitate understanding and possible learning. The text was copied in around ten manuscripts over a century from the end of the 14th to the end of the 15th century, that is to say well after the author's death. It will be noted that it is taken up or inserted a little later by Goscalcus as an article in his treatise (US-Bu 744). The Latin version referring here is mainly the oldest, that of Brussels II 4144. For a critical and philologi - cal study, we will refer to the work of Christian Meyer (op. cit. p.223-229). Note that this abridgement 'according to' Jean de Murs is probably the plagiarism confessed by a student of the oral teaching of his master (compilata) or of his tradition; apo- cryphal or not, it nevertheless remains perfectly significant on the educational and structural level of the contrapuntal thought of the mid-14th century. until the second half of the 15th century. Résumé français : Tractatus Johannis de Muris de arte contrapuncti est un bref traité de contrepoint attri- bué à l'enseignement de Jean de Murs (ca.1295-ca.1349). En une dizaine de règles concises, il expose les intervalles utilisés dans le contrepoint (parfaits puis imparfaits), le principe de leurs mouvements naturels, les corrections harmoniques à appli- quer à certains intervalles selon leur enchaînement et il s'achève sur quelques considérations d'ordre général. On remarquera que ce qui jadis dans les traités de déchant s'appelait 'chant' se nomme ici 'teneur', et ce qui était autrefois nommé 'déchant' devient ici 'chant'. Les règles étant énoncées sans exemple musical, c'est pourquoi nous proposons ici une nouvelle édition exemplifiant ces règles pour en faciliter la compréhension et l'apprentissage éventuel. Le texte a été recopié dans une dizaine de manuscrits durant un siècle de la fin du 14e à la fin du 15e siècle, c'est-à-dire bien après la disparition de l'auteur. On remarquera qu'il est repris ou inséré un peu plus tard par Goscalcus comme un article de son traité (US-Bu 744). La version latine faisant référence ici est principalement la plus ancienne, celle de Bruxelles II 4144. Pour une étude critique et philologique, on se reportera au travail de Christian Meyer (op. cit. p.223-229). Notons que cet abrégé 'selon' Jean de Murs est vraisemblablement le plagiat avoué par un élève de l'enseignement oral de son maître (compilata) ou de sa tradition ; apocryphe ou non, il demeure néanmoins parfaitement signifiant sur le plan pédagogique et structurel de la pensée contrapuntique du milieu du 14e s. jusqu'à la deuxième moitié du 15e s.
Avec la fondation de la « Nouvelle Rome » par Constantin en 326, celui-ci inaugurait, en fait, l'Empire byzantin qui maintiendra le souvenir de la Rome antique pendant près de mille ans. La ville nouvelle, construite à l'emplacement de Byzance, prendra ultérieurement le nom de Constantinople. Avec elle l'architecture conserve assez fidèlement les formes classiques. L'évolution de ce qui constituera « l'art byzantin » sera essentiellement orientée par les conséquences de la christianisation et de la polarisation sur Constantinople, bien que les autres villes rivales comme Alexandrie, Antioche et Rome conservèrent leurs traditions artistiques. Après les nombreuses construtions de son fondateur, la seconde phase de construction interviendra sous Théodose (379/395).
Notre étude comparative des deux cartes d 'Eratosthène (250 av.J.C) et de Piri Reis (1513) nous est venue d'un constat. Eratosthène a négligé la partie Océan Atlantique , tandis que Piri Reis nous a laissé seulement la partie Atlantique et une esquisse du Nouveau Continent. Nous avons présenté la carte d'Eratosthène comme la réunion de trois cartes principales circulaires. A l'ouest, la carte phénicienne centrée sur Gades, au centre la carte grecque centrée sur Rhodes et à l'est la carte alexandrine centrée sur le fleuve Indus.Puis nous avons remarqué la division en latitudes nord de la carte d'Eratosthène espacées de 12° chacune, selon G.Aujac (2001). Le port phénicien de Gades peut être au centre de 4 cercles concentriques. Le premier cercle a pour rayon la distance Gades (36°N)-Carthage, est tangent au tropique du cancer passant par Syène (24°N).et passe par les îles Canaries d'après les coordonnées données par la carte de Piri Reis et .C.Hapgood (1981). Le deuxième cercle a pour rayon la distance Gades-Cyrène le double du premier rayon est tangent à la latitude 12°N puis passe par les îles du Cap Vert, d'après les coordonnées de Piri Reis et C.Hapgood (1981). Le troisième cercle a pour rayon la distance Gades-Méroé, le triple du premier rayon, est tangent à la ligne équatoriale et passe un peu au nord de l'île « Brasil » de la carte de Piri Reis. Enfin le quatrième cercle a pour rayon la distance Gades-Ectabane le quadruple du premier rayon est tangent à la latitude de 12°S puis passe par la région de Parahiba-Récife de la côte nord est du Brésil selon les coordonnées de Piri Reis et C.Hapgood (1981). Cette structure nous permet d'identifier une carte phénicienne centrée sur le port phénicien de Gades avec les ports phéniciens de Carthage et de Kerne. Ce dernier est au centre d'un cercle de rayon Kerne-Gades et Kerne-Syène-Méroé, et tangent à la ligne équatoriale. Ce qui permet de conclure que les phéniciens de Gades et de Carthage connaissaient les coordonnées cartographiques des archipels des Açores, de Madère, des Canaries, du Cap Vert et peut être d'une grande île à l'emplacement actuel de la côte nord est du Brésil. Cet île est peut être à l'origine de l'île « Brasil » malencontreusement située à l'ouest de l'Irlande sur les portulans du XIV.XVème siècles. DAVOUST MICHEL.TARBES.
Ce troisième section de L'art, l'icône et la Russie (Message à un iconographe) est une traduction française du premier document russe sur l'icône.
Cette quatrième section de L'art, l'icône et la Russie contient un article savant sur Joseph Vlaminirov, «Joseph Vladimirov et son traité sur l'art », et la traduction du document, « Lettre d'un certain iconographe, Joseph, à l'iconographe du Tsar, le très sage peintre, Simon Fédorovitch ».
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Positif, Nº 509/510, july-august, 2003, p 10-16., 2003
Bull. Séanc. Acad. R. Sci. Outre-Mer Meded. Zitt. K. Acad. Overzeese Wet2 (2019 – 1): 203-223, 2019