Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
12 pages
1 file
La décision de financement est étroitement liée à la décision d'investissement. Elle permet de prendre en compte les interrogations sur la manière dont les fonds seront recueillis pour financer les projets d'investissements jugés rentables. Il existe des sources très diverses concernant l'origine des moyens servant à financer l'entreprise. Mais toutes comportent un coût dont le calcul permet de guider le choix des dirigeants. D'autre part, le choix d'une politique de financement a une incidence sur la structure du capital de l'entreprise. Ainsi, si l'on tient compte de la rentabilité requise par les apporteurs de fonds propres et du coût de la dette, une structure de financement optimale serait celle qui permet aux actionnaires de maximiser la valeur de leurs fonds propres compte tenu du risque financier lié à l'endettement. Le tableau de financement du Plan Comptable Général nous donne les différentes composantes de la politique de financement d'une entreprise.
La politique budgétaire est définie comme l'action qui consiste pour l'Etat (le gouvernement) à agir sur le niveau et la structure des dépenses publiques et des taxes pour agir sur la demande globale et orienter l'activité économique dans un sens jugé souhaitable.
Exercice n° 1 : (E. GINGLINGER, Les décisions d'investissements, éditions NATHAN, 1998)
La démarche budgétaire consiste à établir les programmes d'action chiffrés (budget). Les budgets sont établis dans un certain ordre. Ainsi, le budget des ventes est le premier construit. C'est en effet les prévisions de vente qui conditionnent les prévisions de production, et éventuellement, de nouveaux investissements.
Projet de thèse sur le thème : « La finance invisible dans un environnement multiculturel : le cas de la finance invisible au Bénin» 3 De multiples courants de recherche offrent des vues très contrastées des rapports entre la culture et le développement. Certains imputent les difficultés de développement aux cultures traditionnelles et à la résistance au changement qu'elles engendrent, ce qui les conduit à préconiser des politiques de modernisation. D'autres mettent au contraire en avant les effets de situations de dépendance, génératrices d'une culture d'apathie, ce qui les conduit à préconiser des politiques d'empowerment. Certains s'intéressent à l'esprit d'entreprise, d'autres considèrent plutôt les questions de coordination et de coûts de transaction. Toutefois, ces divers courants de recherche ont un point commun : ils regardent la culture comme un ensemble de coutumes, de croyances, de valeurs. Dans ces conditions, ils conduisent à affirmer qu'un changement de culture est nécessaire pour obtenir une transformation des pratiques permettant la sortie du sous-développement. Un ensemble de travaux empiriques comparant le fonctionnement des entreprises en divers points de la planète a conduit à une autre vision de la culture comme constituant un cadre de sens associé à une conception générale de l'homme et de la société. Ce cadre est très stable à l'échelle des siècles et il n'est pas possible de le modifier pour permettre le développement. Par contre, il est compatible avec des pratiques très diverses. Beaucoup peut être fait pour construire, dans le fonctionnement des entreprises et dans les institutions, des pratiques qui, tout en prenant sens dans ce cadre, soient favorables au développement.
L'année 2001 a été caractérisée par la poursuite de la correction boursière initiée en 2000, mouvement qui a particulièrement touché les places européennes, ainsi que par la mise en oeuvre d'un processus d'intégration technique et juridique des places boursières d'Euronext.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Chapitre 3.1 : Découpage d'un projet et organigramme des tâches., 1996
« Ils aiment pas le français »