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C'est juste un essai d'envol pour aller jusqu'aux principes de la raison et ses conséquences politiques ou relationnelles, dans nos actes. Y compris révolutionnaires, ce pourquoi je me suis permis de convoquer ici Saint-Just, simple référence et non allégeance. Référence à un des moments fondateurs de notre éthique "républicaine". Je parle de la raison universelle, pas de la raison instrumentale. La raison en tant que principe éthique - et donc indissociablement politique.
Cahiers de Fanjeaux, 1991
Les réceptacles des âmes d'après les statuts synodaux de Mirepoix Le débat sur la Vision béatifique est l'une des controverses théologiques les plus célèbres de la papauté d'Avignon1. De 1331 à 1334, elle a agité le pontificat de Jean XXII, les derniers instants du pape cadurcien en ont même été troublés2. C'est Benoît XII, le pape ariégeois, l'ancien évêque de Pamiers et de Mirepoix, qui a mis un terme à ces querelles en publiant la constitution Benedic¬ ts Des en 13363. Le sujet était aride : à partir de quel moment les âmes des saints jouissent-elles de la merces Jïnalis, de la récom¬ pense promise aux élus? Faut-il retarder cet instant jusqu'au Juge¬ ment dernier et à la Résurrection, comme le pensait Jean XXII (et par voie de conséquence retarder le châtiment des damnés4)? Faut-il l'accorder aux élus dès l'instant de la mort pour ceux qui n'ont rien à purifier, dès la purification terminée pour les autres, comme l'a imposé Benoît XII? Ces débats savants, dont le père Dykmans pensait qu'ils avaient laissé indifférent le simple fidèle5, ont-ils eu un impact sur ce Languedoc d'où étaient originaires les papes qui ont soulevé puis résolu cette question? Les statuts syno¬ daux de Mirepoix et le retable sculpté de Narbonne semblent le prouver.
Philosophiques, 2007
Comme l'a maintes fois souligné Jerry Fodor, il existe une différence épistémologique patente entre les sciences cognitives et les autres sciences de la nature. Depuis la révolution scientifique, les sciences de la nature ont renoncé à expliquer et prédire le comportement des particules élémentaires, des atomes, des molécules, des cellules et des étoiles en leur attribuant des perceptions, des émotions, des intentions, des croyances et des désirs. Mais, depuis la « contrerévolution » anti-béhavioriste qui leur a donné naissance au milieu des années 1950 2 , contrairement à la physique, la chimie et la biologie moléculaire (mais comme les sciences humaines et sociales), les sciences cognitives expliquent et prédisent certains comportements humains en attribuant aux agents des représentations mentales possédant un contenu ou ce que Franz Brentano nommait l'« intentionnalité ». Non seulement un agent humain est supposé former des représentations mentales, mais de surcroît certains de ses gestes sont supposés dépendre causalement du contenu de ses représentations mentales. Au début des années 1990, à la suite de Fodor et Dretske, cette asymétrie entre les sciences cognitives et les autres sciences de la nature m'est apparue comme une raison suffisante pour m'engager dans le programme métaphysique dit de « naturalisation de l'intentionnalité ». Naturaliser l'intentionnalité, c'est chercher à concilier le réalisme intentionnel avec une ontologie moniste physicaliste. S'engager dans ce programme, c'est assumer deux tâches. En conformité avec le monisme physicaliste, la première tâche consiste à indiquer la voie d'une réduction de l'intentionnalité d'un agent à des propriétés physiques, biologiques ou computationnelles (elles-mêmes non intentionnelles) de son cerveau et de son corps. Conformément aux exigences du réalisme intentionnel, la seconde tâche consiste à montrer que l'intentionnalité des représentations mentales d'un agent n'est pas dépourvue d'efficacité causale dans la production de ses gestes corporels 3 .
Philosophiques, 2000
Revue de synthèse, 1994
REsuME : Des sa constitution comme domaine du savoir ala fin du xv! siecle, la psychologie se divise rapidement en deux tendances d'orientation dijferente. La premiere, d'inspiration naturaliste, se situe dans le prolongementdu commentaire de la Physica aristotelicienne et se developpe principalement dans les universites protestantes de Marburg et de Leyde. Dans ces etablissemems 014 regne alors un esprit humaniste, rationaliste et tolerant, se met en place la premiereforme du dualisme de l'ame et du corps. Mais ala meme epoque, dans des cerclesmystiques et hermetistes, se developpe une autre conception de la psychologie dont la methode interpretative s'inspire de l'exegese biblique et met en auvre des precedes therapeutiques, cure d'ame et cure magnetique, qui reposent sur l'influence psychologique.
2015
Date de création 5 septembre 2015 URL societe-voltaire.org/vn4.pdf Publié en France par la Société Voltaire, 26 Grand'rue, F-01210 Ferney-Voltaire Cette publication ne peut être mise en ligne ou commercialisée, sous forme électronique ou autre societe-voltaire.org Présentation La journée des jeunes chercheurs de la Société Voltaire s'est déroulée le 22 février 2014 à Lunel, au Musée Médard récemment rénové, en partenariat avec l'IRCL (Montpellier 3) et la Ville de Lunel, respectivement représentés par Magali Soulatges et Romuald Goudeseune, ancien conservateur du musée. Axée sur « l'esprit de collection », cette manifestation annuelle réunissait, dans le même esprit de convivialité que les éditions précédentes, de jeunes dix-huitiémistes, des chercheurs confirmés, spécialistes du fonds Médard et/ou de la collection bibliophilique, et des membres de l'association des « Amis du fonds Médard ». Les pages qui suivent rendent compte des échanges de cette journée. La première partie a permis de découvrir et d'apprécier à sa juste valeur la collection réunie par Louis Médard (1768-1841), négociant en indiennes. Magali Soulatges, dans son introduction, a éclairé la notion de « collection bibliophilique » en inventoriant notamment les gestes du collectionneur qui « réunit » des oeuvres selon des critères propres, les « organise », les « commente » dans le cas de Médard, pour mieux en « jouir », qu'il s'agisse d'un plaisir personnel ou d'une jouissance collective, ce fonds ayant été légué à la ville pour être mis à disposition des maîtres et élèves du collège local. Georges Dulac a retracé l'historique des quelque trente années nécessaires à l'inventaire, au catalogage, aux expérimentations et à la mise en ligne des notices descriptives (Sudoc et Ccfr), travaux auxquels il a lui-même participé au sein de l'équipe constituée alors par le Centre d'étude du XVIII e siècle de Montpellier, autour de personnalités comme Claudette Fortuny, Claude Lauriol, et avec le concours de Jules Vaché, bibliothécaire bénévole. Cette valorisation se poursuit aujourd'hui par l'active politique de numérisation du Musée Médard. Durant cette intervention, des « monuments » de cette collection ont été mis en relief, les quinze volumes du Répertoire du théâtre républicain _ un recueil factice de 213 pièces réunies par L. Médard _ , les Mémoires de madame de Maintenon, ou encore les Journaux de Marat. Dominique Varry a choisi quant à lui d'exploiter, dans le cadre d'une étude de cas, deux exemplaires d'un ouvrage licencieux à l'histoire éditoriale complexe : l'Histoire du Prince Apprius de Beauchamps de 1729. Il a livré un aperçu de son enquête de bibliographie matérielle, analysant reliures, filigranes, foliotation, ainsi que le matériel ornemental, en l'occurrence suffisamment commun pour masquer la véritable provenance… 1 Pour finir, Romuald Goudeseune et Claire Costenoble ont organisé la visite du musée qui présente des pièces remarquables telles que les manuscrits médiévaux, le cabinet des curiosités, l'enfer, ou encore d'imposants fers de reliure. Des ouvrages du XVIII e siècle, sélectionnés par Georges Dulac, avaient par ailleurs été exposés pour le plus grand plaisir des connaisseurs. L'esprit de collection s'est décliné, dans un second temps, autour des pratiques et de la matérialité des ensembles constitués. Dans le cadre de sa thèse sur les collections turinoises (autres que livresques) qu'il cherche à reconstituer, David Rousseau a exposé ses méthodes d'investigation de diverses sources (notariales, épistolaires, diplomatiques et institutionnelles) et leurs écueils. Il a pour sa part mis l'accent sur l'exposition et sur le rôle du destinataire pour mieux définir la « collection ». Jean-Noël Pascal a tenté quant à lui de cerner plus précisément le goût de Louis Médard en étudiant minutieusement l'apparat critique manuscrit dont ce collectionneur a pris soin d'agrémenter deux recueils factices de pièces concernant Gresset. Ses conclusions, qui tendent à repérer une 1. La communication de D. Varry n'a pas été donnée dans cette publication car elle reprenait, sous l'angle spécifique du fonds Médard, les analyses et conclusions déjà exposées dans « Priape sous le manteau. Regard sur les éditions lyonnaises de l'Histoire du prince Apprius, roman licencieux du Siècle des Lumières », Gryphe revue de la Bibliothèque municipale de Lyon, n o 14, septembre 2006, p. 12-19.
Laval théologique et philosophique, 1989
1 Intitulée « Le phénomène charismatique (1983) », elle est basée sur le livre du jésuite fervent du Renouveau charismatique qu'était le P. Jean Van den Eynde, s.j., Charismes et ministères et notes sur la prière charismatique, Maison Notre-Dame du Travail, Fayt-lez-Manage, Belgique, 1979, ouvrage publié à compte d'auteur. 2 Comme je l'explique dans l'avant-propos de mon étude de 1983, évoquée dans la note précédente, ce qui m'a décidé à en rendre public le texte, c'est la mise en ligne, par le site de l'agence de presse catholique Zenit, de Rome, le 27 mars 2015, de la Cinquième prédication de Carême du P. Raniero Cantalamessa, prédicateur de la Maison pontificale, qui, malgré la grande qualité de son exposé, me semblait idéaliser par trop ce courant spirituel et passer sous silence ses aspects inquiétants que de récents événements avaient mis au jour. 3 Discours du Pape François aux membres du Renouveau Charismatique, Place Saint Pierre, vendredi 3 juillet 2015. 4 Elle est d'autant plus méritoire que le Pape François n'a pas caché qu'il s'était fermement opposé à ce mouvement quand il était provincial des jésuites en Argentine. Voir « La conversion du pape François dans sa vision des groupes du Renouveau charismatique ». 5 L'histoire de la spiritualité atteste que c'est là un phénomène endémique. Thérèse d'Avila, entre autres, évoque à plusieurs reprises les souffrances que lui causèrent des confesseurs trop scrupuleux ou arrogants.
2015
la géométrie de l'infini que des Entretiens sur la pluralité des mondes. Dans ce qui suit, nous déployons ces deux registres discursifs enchevêtrés comme les moments d'une trajectoire philosophique qui conduit de la recherche des fondations du savoir à la constitution d'une disposition à l'égard du savoir. Ainsi, nous voudrions essayer de situer et de formuler ce qui constitue, pour Fontenelle, le problème posé par la théorie du jugement chez les Modernes, et montrer comment seul l'ajout d'une histoire de l'esprit permet de surmonter sa difficulté principale. Dans un second temps, nous voudrions montrer comment cette histoire de l'esprit peut, à son tour, donner lieu à une nouvelle métaphysique du jugement, comprise à l'aune d'une théorie du vraisemblable. Or de façon tout à fait remarquable, comme nous le verrons enfin, cette théorie du vraisemblable prend appui sur la réflexion que Fontenelle mène dans les années 1690 2 sur l'expérience dramatique et qui le conduit, à partir d'une réflexion sur l'histoire des oeuvres, à l'élaboration du programme d'une véritable esthétique. La démarche philosophique fontenellienne trouve ainsi son sens dans le fait que ses stratégies d'écritures forment autant de dispositifs qui visent à produire chez le lecteur une certaine attitude de spectateur-philosophe. Nous suggérons ainsi la séquence chronologique suivante : l'Histoire du théâtre français jusqu'à M. Corneille, la Vie de M. Corneille et les Réflexions sur la poétique (oeuvres non datées) seraient contemporaines du Parallèle de Corneille et de Racine (publié en 1693), dont elles offrent les développements et le soubassement théoriques nécessaires à sa compréhension. Cette réflexion sur le vraisemblable dramatique n'est pas close par les Réflexions sur la poétique, mais tout au contraire ouvre le programme non seulement d'une philosophie esthétique développée dans Sur la poésie en général 3 (publié en 1751 mais dont la rédaction peut dater des années 1710) mais aussi, c'est notre hypothèse de lecture, d'une métaphysique du jugement développée dans les Fragments et dont la dimension temporelle ou historique, ou, plus précisément encore : moderne, est portée précisément par le concept de vraisemblable élaboré d'abord pour l'art dramatique. Ainsi, on pourrait situer la rédaction des Fragments, pour lesquels on ne dispose d'aucun élément de datation 2 D'après Trublet, l'ensemble constitué par l'Histoire du théâtre français jusqu'à M. Corneille, la Vie de M. Corneille et les Réflexions sur la poétique, publié en 1742 seulement, est mis au net à la fin des années 1690. Voir Trublet, Mémoires pour servir à l'
Revista online della Fondazione Centre Studi Campostrini, Vol 2, Anno 2012 Interrogazione sula fenomenologia di Jan Patocka
La figura di Jan Patočka è nota al grande pubblico per il suo coraggioso ruolo di portavoce del movimento Charta 77, un manifesto di critica ed opposizione al regime sovietico nella Cecoslovacchia del 1977, anche perché questo ruolo ha portato Patočka alla morte, seguita agli estenuanti interrogatori della polizia ceca. Il pubblico filosofico, che ne conosce la formazione negli anni 30 presso Edmund Husserl e Martin Heidegger a Friburgo in Bresgovia, si è molto soffermato sui suoi studi di filosofia della storia, mentre -almeno in Italia -meno conosciuto resta il suo contributo dato alla fenomenologia. È senza forzature che invece è possibile salutare il lavoro fenomenologico di Patočka, nel solco di Husserl, Heidegger e Eugen Fink, ma anche e soprattutto nella sua originalità, come uno dei più significativi del XX secolo. Almeno quattro importanti pubblicazioni italiane recenti segnano un rinnovato interesse per la fenomenologia di Patočka: l'antologia patočkiana curata da Alessandra Pantano Il mondo naturale e la fenomenologia (Mimesis, Milano 2003), il saggio di Roberto Terzi Il tempo del mondo. Husserl, Heidegger, Patočka (Rubbettino, Soveria Mannelli 2009), l'antologia patočkiana da me curata Che cos'è la fenomenologia? Movimento, mondo, corpo (Edizioni Fondazione Centro Studi Campostrini, Verona 2009) e il saggio di Alessandra Pantano Dislocazioni. Introduzione alla fenomenologia asoggettiva di Jan Patočka (Mimesis, Milano 2011). Con il volume Interrogazione sulla fenomenologia di Jan Patočka, allora, si vuole aggiungere un tassello importante allo studio della sua fenomenologia attraverso un'interrogazione filosofica tutta incentrata sui problemi che essa pone. Il taglio esplicitamente problematico credo costituisca un momento imprescindibile di studio e una testimonianza di vitalità della fenomenologia del filosofo ceco. Questo tipo di approccio e buona parte dei testi qui raccolti sono la prosecuzione dei lavori seminariali svoltisi nel giugno del 2010 a Verona presso la Fondazione Centro Studi Campostrini, lavori organizzati in occasione della pubblicazione della succitata antologia Che cos'è la fenomenologia? presso le Edizioni della stessa Fondazione. La giornata di
Auguste comte place la médecine mentale, l'aliénisme qui ne s'appelle pas encore psychiatrie est en pleine construction clinique et théorique, au centre de son système qui se déploie. Outre le fait de la théoriser, Comte est un usager du médecin mental, en particulier à la suite de sa crise de démence de 1828 qui lui valut son séjour dans la maison de santé d'Esquirol [J-F.Braunstein, 2008] (1). Nous ne ferons pas ici la biographie du fondateur du positivisme, ni la description des manifestations de ce que certains de ses contemporains ont appelé sa folie. John-Stuart Mill a parlé de « seconde carrière » marquée par la folie et de « décadence d'un grand esprit » [Braunstein, 2008] (2). Son positivisme est imprégné de ce mysticisme étrangement romantique, alors même que le positivisme est considéré comme le fossoyeur du romantisme. La distinction entre romantisme et positivisme, tient plus à la différence d'angle de vue qu'à la doctrine. Le romantisme propose une vision esthétique globalisante du monde au travers des émotions ; le positivisme espère se détacher des émotions pour comprendre l'universel à partir de l'étude rationnelle et isolée des objets. Le romantisme étudie le cadre à partir de la perception de l'universel, le positivisme cherche l'universalité dans l'étude du cadre. Le romantisme est un humanisme, le positivisme est une doctrine, et chacun réclame ce qui est dans le champ de l'autre. Ces différences sont structurelles et pourtant leurs confusions sont fréquentes au XIXème siècle. Ces oppositions éthiques et esthétiques ne sont pas sans effets dans les rapports entre science, psychanalyse et parapsychologie. Nous verrons que Freud n'est – de ce point de vue-pas un positiviste et qu'il a appelé de ces voeux une approche plus esthétique des études psychanalytiques à l'opposée d'une pensée et d'une éthique contemporaine et naturaliste et matérialiste qui fait aujourd'hui de la pensée freudienne et de la vie même de Freud l'expression d'une perversion bourgeoise et libérale. Jean Guillaumain donne une interprétation très freudienne des crises de Comte en s'appuyant sur la notion de Moi négatif : partie manquante où viennent se bousculer l'absence, le manque, l'inconnu, sous la forme d'une demande de réponse angoissée (3). Il en résulterait « un manque à signifier, un irreprésentable résiduel particulièrement lourd et étendu [..] ». (4) Pour l'auteur, « les nouveaux rationalistes célèbrent les divers modes d'une unique science, la Wissenschaft, qui promet l'unification définitive du monde du savoir ». J. Guillaumain cite conjointement trois personnages illustres et trois modes de pensée qui, selon lui, correspondent aux mêmes modes de clivages et des cohabitations étranges de modes contradictoires : « […] étrange, absurde même, comme chez auguste Comte, entre positivisme et religiosité délirante, ou chez Théodor Fechner, entre physiologie et psychophysique expérimentale d'une part, mysticisme exalté d'autre part. En philosophie, quelque chose de ce clivage se retrouve dans la pensée de F. Hegel […] ». On peut s'interroger sur la source même du positivisme, non pas comme une cohabitation de Comte avec sa part délirante, mais comme la source même de son inspiration au sens propre du terme, puisque Comte lui-même décrit ces moments de saisissement et d'inspiration extatique. Voici ce qu'écrit Pierre Janet à ce sujet : « Auguste Comte at -il écrit le cours de philosophie
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Sens-Dessous, 2017
Ethics, Medicine and Public Health, 2018
Bulletin d'analyse phénoménologique, 2012
Agone (Philosophie, Critique & Littérature). Qu'est-ce que croire ?, 2000
Apostolia, publication de la Métropole Orthodoxe Roumaine d'Europe Occidentale et Méridionale, Paris, 2019
DIEUX, ROIS ET CAPITALES DANS LE PROCHE-ORIENT ANCIEN (RAI 65, PARIS), 2023
Zeitschrift für Religionskunde | Revue de didactique des sciences des religions, 2024