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2007, XYZ. La revue de la nouvelle
2019
Un thé chez les Zumarán Type de publication: Article de revue Revue: Cahiers Lautréamont 2019-Nouvelle série, n° 1. varia Auteur: Pierssens (Michel) Résumé: À l'occasion de son passage à Montevideo, la délégation des Cahiers Lautréamont a rencontré Alberto Zumarán, descendant de Don Pedro Zumarán, à qui les Poésies d'Isidore Ducasse sont dédiées. Cette entrevue est l'occasion d'éclaircir quelques points méconnus de la vie de ce personnage important de la vie montévidéenne.
« La tasse, le mug, le bol. Petite histoire du temps domestiqué », Le sens, le sensible, le réel. Essais de sémiotique appliquée (Anne Hénault dir.), Sorbonne université presses, pp. 197-216., 2019
La tasse, le mug et le bol ne servent pas seulement à boire mais ils permettent de penser et de s'approprier le temps, illustrant ainsi la proposition de Leroi-Gourhan selon laquelle « le fait humain par excellence est peut-être moins la création de l'outil que la domestication du temps et de l'espace, c'est-à-dire la création d'un temps et d'un espace humain » (1964 : 139). Cette idée reformule l'événementialité de la connaissance. Elle suggère, en suivant Locke (1972[1689]), que l'événement n'est pas constitué par l'objet lui-même mais par la possibilité de conceptualisation par exemplification qu'il nous offre. En l'occurrence, les objets du quotidien permettent de maîtriser une temporalité qui, sans eux, resterait insaisissable. Le temps des objets se conçoit en premier lieu comme une diachronie mettant en évidence une succession, une suite de coupures. Au demeurant, le temps apparaît comme une
Terrain, 1989
Elle est certainement révolue l'époque, pas si lointaine cependant, où en France, l'usage du thé s'était presque perdu. Si la consommation progresse régulièrement durant le XVIII e siècle 1 , il me semble qu'avec la Révolution, le thé bu seul disparaît au profit du café tandis qu'en association avec le rhum, il bénéficie de la « grande vogue dans nos salons, vers la fin du siècle dernier, et pendant les premières années de l'Empire » de cette « boisson spiritueuse que les Anglais nous ont fait connaître », le punch, comme le rapporte en 1838 le Dr Roques. Lui-même ardent prosélyte du thé qu'il présente d'abord comme une panacée, excellente contre la goutte en particulier, lyrique, il écrit : « Dans ses ennuis, dans ses chagrins, l'amateur de Thé ne pourrait vivre sans ce breuvage ; c'est presque son unique consolation. Il est là, soucieux, inquiet, le front chargé de nuages, il l'attend avec impatience. Enfin l'eau frémit, elle bouillonne, le Thé est fait ; il boit l'oubli des douleurs. Dans ma longue carrière, dans mes fatigues à travers les montagnes, dans mes travaux, dans mes jours de tristesse ou de maladie, la tasse de Thé n'a jamais trompé mon espoir ; j'étais déjà soulagé en aspirant sa vapeur odorante. Ah ! surtout qu'on n'oublie point à mon heure dernière la tasse de Thé, je ferai moins tristement le voyage (...) « Ainsi le thé fait sa ronde dans les soirées, et on le recherche en France, en Angleterre et dans le Nord, comme une boisson délectable qui trompe les besoins du plaisir et l'inutilité des heures. Quand la conversation languit, le Thé est là pour la ranimer, et après quelques instants de silence, elle revient vive, plus colorée, plus piquante. L'homme grave devient aimable, délie sa langue ; le morose physiologiste oublie son scalpel, ses animaux et ses expériences vaniteuses ; l'astronome, perdu dans les nuages du ciel ou de la politique, daigne causer avec nous, et nous prédire de grands changements avec l'apparition d'une nouvelle comète. » 2 Les grandes villes se remettent à boire du thé mais si « l'époque fatale du choléra a déterminé un progrès sensible de cette consommation, dans nos campagnes et nos petites villes, on continue de le reléguer comme médicament au fond des pharmacies », écrit Houssaye en 1843, amateur et négociant en thés et « marchandises de Chine et des Indes » La ronde des thés Terrain, 13 | 2005
L'art est un moyen d'éprouver le devenir de l'objet, écrivait Chklovski. C'est précisément ce que François Lemieux se propose de faire avec Un soleil difficile, une exposition dans laquelle il investit la figure à la fois mythique et architecturale du verre comme médium et révélateur de notre modernité. Au plus loin du schéma hylémorphique qui suppose une matière inerte et une forme toute-puissante, Lemieux envisage le verre comme un flux de matière qui serait toujours déjà aussi une sorte de flux de conscience – une matière non pas tant soumise à des lois de la nature que possédant son propre nomos.
Sigila, Architectures secrètes - Arquitecturas secretas, no. 28, 2011
BENOÎT JACQUET Dans les secrets du pavillon de thé, d'hier et d'aujourd'hui Georges Sand dit qu'on peut classer les hommes suivant qu'ils aspirent à vivre dans une chaumière ou dans un palais. Mais la question est plus complexe : qui a château rêve chaumière, qui a chaumière rêve palais. Mieux encore, nous avons chacun nos heures de chaumière et nos heures de palais.
L'empire du thé, le guide des thés chinois, 2022
L’empire du thé. Le guide des thés de Chine Thé vert, rouge, noir, bleu-vert, blanc, jaune, compressé, sculpté, parfumé... Selon le dicton, une vie ne suffirait pas à goûter toutes les variétés de thés de Chine ! Mais connaît-on vraiment ces derniers, créés et perfectionnés par le pays du Milieu depuis des millénaires ? Qu’est-ce qui différencie le thé chinois des succédanés que consomme majoritairement l’Occident depuis que les navires des Compagnies des Indes ont rapporté en Europe les premières caisses de « Tay » au xvii e siècle ? À l’heure du retour de la Chine au premier plan mondial, alors que les passionnés de culture et de cuisine chinoises sont de plus en plus nombreux, il manquait un ouvrage de référence sur le thé chinois, son histoire, sa civilisation, ses grandes aires géographiques à l’échelle d’un pays continent, la diversité de ses terroirs et jardins, nullement figés dans le passé. C’est chose faite avec L’empire du thé. Le guide des thés de Chine. De la graine à la tasse finale, L’empire du thé. Le guide des thés de Chine vous ouvre les portes de l’univers complexe du thé chinois et de plus de 200 jardins prestigieux ou moins connus. Mythes fondateurs, agronomie du Camellia sinensis, cueillette et multiples étapes de la transformation des feuilles, économie, cérémonie et art du thé à la chinoise, ustensiles et méthodes de préparation, vocabulaire de la dégustation, qualité de l’eau, conseils pour choisir le ou les thés les plus appropriés à son bien-être : tout y est ! Sans oublier, en fin d’ouvrage, un index détaillé de tous les thés, en pinyin et chinois, par couleur et par par région. Rédigé à partir des meilleures sources chinoises, enrichi de nombreuses cartes et informations inédites en Europe, ce livre rend hommage au thé, la boisson sans égale d’un pays unique. L’empire du thé. Le guide des thés de Chine apparaît d’emblée comme une référence incontournable dont aucun amoureux de la Chine, de sa gastronomie et de ses thés ne saurait désormais se passer.
Cinémas: Revue d'études cinématographiques, 2008
Résumé Un thé au Sahara (Bertolucci, 1990), tiré du roman éponyme de Paul Bowles, présente un exemple éloquent et original de road movie interculturel. Le mouvement qui juxtapose et relie sans cesse lieux, sons, paysages, visages, rythmes, lumières, route, dépaysement, voyage, expérience d’endroits inconnus et différences linguistiques constitue à la fois la forme et le contenu du film qui révèle et met en scène l’opacité de l’Autre (que cela soit au sein du couple, dans l’amitié, dans la folie ou encore dans l’autre ethnique et culturel). Ce road movie appelle le spectateur à faire l’expérience de la différence et à se méfier d’une interprétation guidée par le besoin de transparence.
L'EMPIRE DU THÉ, LE GUIDE DES THÉS DE CHINE, 2022
L’empire du thé. Le guide des thés de Chine Thé vert, rouge, noir, bleu-vert, blanc, jaune, compressé, sculpté, parfumé... Selon le dicton, une vie ne suffirait pas à goûter toutes les variétés de thés de Chine ! Mais connaît-on vraiment ces derniers, créés et perfectionnés par le pays du Milieu depuis des millénaires ? Qu’est-ce qui différencie le thé chinois des succédanés que consomme majoritairement l’Occident depuis que les navires des Compagnies des Indes ont rapporté en Europe les premières caisses de « Tay » au xvii e siècle ? À l’heure du retour de la Chine au premier plan mondial, alors que les passionnés de culture et de cuisine chinoises sont de plus en plus nombreux, il manquait un ouvrage de référence sur le thé chinois, son histoire, sa civilisation, ses grandes aires géographiques à l’échelle d’un pays continent, la diversité de ses terroirs et jardins, nullement figés dans le passé. C’est chose faite avec L’empire du thé. Le guide des thés de Chine. De la graine à la tasse finale, L’empire du thé. Le guide des thés de Chine vous ouvre les portes de l’univers complexe du thé chinois et de plus de 200 jardins prestigieux ou moins connus. Mythes fondateurs, agronomie du Camellia sinensis, cueillette et multiples étapes de la transformation des feuilles, économie, cérémonie et art du thé à la chinoise, ustensiles et méthodes de préparation, vocabulaire de la dégustation, qualité de l’eau, conseils pour choisir le ou les thés les plus appropriés à son bien-être : tout y est ! Sans oublier, en fin d’ouvrage, un index détaillé de tous les thés, en pinyin et chinois, par couleur et par région. Rédigé à partir des meilleures sources chinoises, enrichi de nombreuses cartes et informations inédites en Europe, ce livre rend hommage au thé, la boisson sans égale d’un pays unique. L’empire du thé. Le guide des thés de Chine apparaît d’emblée comme une référence incontournable dont aucun amoureux de la Chine, de sa gastronomie et de ses thés ne saurait désormais se passer.
2021
Depuis mars 2020, sans vraiment l’avoir voulu, je me retrouve à faire sur mon blogue une petite théologie circonstancielle de la pandémie de la COVID-19. « Théologie circonstancielle », l’expression peut sembler un peu compliquée, mais les deux mots sont appropriés : je fais une théologie, parce que j’interprète ce que je vis à partir de ma confiance en Dieu ; ma théologie est circonstancielle parce que je réagis aux circons-tances, à ce que je vois, entends ou lis, aux questions que des journalistes me posent, aux demandes que des Églises me font. Qu’elle soit circonstancielle la rend petite, modeste, fragmentée, évolutive, bref humaine. Un an plus tard, en avril 2021, j’ai rassemblé les billets de mon blogue (« Une théologie au quotidien », olivierbauer.org), mes gazouillis sur Twitter (@Bauer_Olivier) et mes citations dans les médias pour en faire une petite théologie d’une pandé-mie. J’ai choisi de les reproduire dans leur état original — à peine ai-je parfois corrigé quelques c...
Le mobil ier des phases 6 et 5 regroupe 15 des 17 pièces mosaïquées disponibles à Olbia. L'individu le plus précoce (n°Il) provient de la phase augustéenne 6A 1, le n°14 est issu d"un niveau de rue datable des années 40/60, le reste des fragments provient des remblais de la phase 5 (v. 60180). 1 Pour un aperçu de la répartition régionale des éléments moulés polychromes voir le tableau réccI1l1l1eni établi par O. Foy et M.-O. Nenna (2003. tableau 1.234). Catalogue 1 Mxt 6 -11. VI sud -phase 5. Coupe (bord) moulée mosaïquée. matrice cobalt et sections de baguette blanc opaque. 0 B : 16 Clll.
Thierry Theurillat, Guy Ackermann, Marc Duret, Simone Zurbriggen, Les thermes du centre, ERETRIA XXV, Fouilles et recherches, 2020
Le corpus pris en considération dans cette étude est constitué de la verrerie récoltée dans l’emprise des thermes du centre à Erétrie (cour à péristyle, pièces à hypocauste, autres pièces thermales et aire de service) et à l’intérieur des fours à chaux (fours 1 à 4). Cela représente trois cent quatre-vingt-six attestations dont la forme et le type ont pu être déterminés.
La question de la santé constitue, depuis toujours, un centre de l'intérêt récurrent des chercheurs. Plus particulièrement cet intérêt est porté par les médecins, biologistes, épidémiologistes, qui cherchent tous à comprendre les causes des maladies et les facteurs qui favorisent la bonne santé. L'intérêt porté par les anthropologues et les sociologues à la question a permis de renouveler les perspectives conceptuelles autour de la santé et de la maladie en établissant des relations entre les systèmes médicaux, les systèmes de pensées et le mode de vie des populations (TREMBLAY, 1982. p3). Il est certain que les sciences sociales ont fait leur entrée dans le domaine de la médecine à travers l'analyse de la relation de soin entre le soignant et le soigné. Cependant, elles ont, surtout, marqué cette présence par l'intérêt porté aux différents acteurs et au contexte social. Ces derniers sont considérés désormais, parmi les déterminants de la santé et de la maladie. En effet, « les effets des déterminants de la santé se manifestent sur les individus, mais leur origine peut aussi bien se situer « au-delà » qu' « en deçà » de l'individuel ». (EVANS, 1996. P3) Evans utilise des déterminants de la santé et de la maladie « au sens large », c'est-à-dire, ceux qui vont au-delà des individus et des circonstances dans lesquelles ils naissent, grandissent et vieillissent pour parler des systèmes politiques et économiques en place. Dans cette boucle, l'alimentation est classée en premier, puisqu'elle est un élément étranger qui rentre dans le corps humain et qui peut le fortifier comme l'affecter. Elle bénéficie d'un intérêt particulier de la part des différents chercheurs dans le domaine médical et, depuis peu de temps, elle attire les chercheurs en sciences sociales : ethnologues, historiens, géographes, économistes, anthropologues, sociologues, psychologues et sémiologues. Souvent, la recherche sur l'alimentation se fait par collaboration entre ces différentes disciplines.
Arts et savoirs, 2018
Le 17 juin 1874, Gustave Flaubert écrit à Edma Roger des Genettes, une de ses correspondantes préférées, et même si (ou peut-être plutôt parce qu') il se sent « fatigué et triste », tout « abîmé de douleurs dans tous les endroits de [sa] vieille machine », il trouve l'occasion de lui recommander un livre : « Ce livre est plein de faits et d'idées. C'est une des lectures les plus substantielles que je sache. » 1 À peu près quatre semaines plus tard, le 14 juillet, en écrivant de son séjour thérapeutique à Kaltbad, dans les montagnes suisses, mais se plaignant de s'ennuyer « à crever », il recommande le même livre à la même Edma une deuxième fois. Visiblement, Flaubert a oublié qu'il lui en a déjà parlé car, dans le contexte, il emploie pratiquement les mêmes formules-à l'exception de son jugement sur le livre qui, s'il est toujours positif, voire enthousiaste, est couché dans des termes complètement différents. Flaubert écrit : « J'ai lu un livre qui fait joliment rêver. » 2 D'une part « la lecture substantielle », les « faits », d'autre part le « rêve » ; d'une part l'information sûre, d'autre part la mise en marche de l'imagination. « Faits » et « rêves » ne se contredisent pas forcément, car si Flaubert change de termes dans ses lettres, il change aussi de perspective : la première fois, c'est celle de la réception, du savoir acquis par la lecture ; la deuxième fois, c'est celle de la production, de ce que la lecture a, pour ainsi dire, déclenché dans l'écrivain. Quel est donc ce livre si intéressant, si suggestif qu'il fait rêver Flaubert ? Il s'agit d'un fameux livre d'Ernst Haeckel, Natürliche Schöpfungsgeschichte. Gemeinverständliche wissenschaftliche Vorträge über die Entwickelungslehre de 1868, traduit en français en 1874 sous le titre Histoire de la création des êtres organisés d'après les lois naturelles 3. Les deux pôles de la lecture de Flaubert, « faits » et « rêves », me semblent très bien caractériser les écrits de Haeckel : d'une part, ils se présentent comme une exposition rigoureuse de faits rigoureusement scientifiques, d'autre part, ils sont très suggestifs, pratiquent et invitent à la spéculation, jusqu'à déployer les grandes ailes philosophiques d'une « Weltanschauung », du « monisme » aux accents religieux. Le véhicule argumentatif préféré de cette « Weltanschauung » est l'évidence visuelle : Haeckel, qui était lui-même un aquarelliste doué, parsème systématiquement ses oeuvres d'illustrations jusqu'à produire des oeuvres où les images tiennent la place principale, tels que ses fameuses Kunstformen der Natur. Ce côté visuel et esthétique a fait « rêver » beaucoup d'écrivains et surtout d'artistes. Haeckel, par contre, ne s'est que peu intéressé aux arts en tant que tels et encore moins à la littérature. Dans le premier temps de ma contribution, je vise à exposer le rôle joué par l'esthétique dans l'oeuvre de Haeckel, et j'aborde aussi la question de savoir pourquoi Haeckel ne développe pas une esthétique littéraire explicite au sein de son « monisme ». Dans un deuxième temps, je propose une lecture de l'étude-manifeste Die naturwissenschaftlichen Grundlagen der Poesie, « Les fondements scientifiques de la poésie » Le « chainon manquant »
On utilise aussi de nos jours des éponges micropores qui nettoient sans agresser les matériaux, ni abîmer les céramiques.
Reflets de la physique
Les verres d’usage courant sont produits dans des fours de grande taille. Les matières premières portées à haute température y réagissent pour former un liquide très visqueux libérant une grande quantité de CO2. Pour réduire l’empreinte carbone et préserver les ressources minières, l’utilisation de verre recyclé est devenue inéluctable. Nous montrons dans cet article comment le procédé de fusion et le processus de recyclage dépendent de la création et de l’évolution des bulles. Nous exposons tout d’abord comment ces bulles naissent et évoluent dans les fours industriels et quels sont les moyens pour les éliminer. Certains verres domestiques et industriels ne peuvent pas être refondus dans les fours. Afin de valoriser ces déchets, des solutions existent, qui tirent profit des bulles, et sont présentées dans cet article.
Liberte, 1997
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Environmental Policy and Law, 2000
L’acces de tous a l’eau potable est un objectif politique deja largement atteint dans les pays industrialises. En 1999, il a ete inscrit dans le Protocole de Londres sur l’eau et la sante et le Conseil europeen du droit de l’environnement a convenu que: “Nul ne peut etre prive d’une quantite d’eau suffisante pour satisfaire a ses besoins essentiels”. La meme annee, la Region wallonne (Belgique) a adopte un decret qui stipule que “toute personne a droit de disposer d’une eau potable de qualite et en quantite suffisante pour son alimentation, ses besoins domestiques et sa sante”. En 2000, l’Academie de l’eau a adopte une Charte Sociale de l’Eau dans laquelle elle affirme que “l’acces a tous doit etre un droit imprescriptible”.
Revue d'anthropologie des connaissances, 2018
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