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2020
La paix et le développement durable des populations mondiales et locales sont au centre des recherches avec à la clé l’usage des langues internationales. Mais, cette étude fait le constat de l’exclusion des langues locales de ces débats socio-politiques et économiques, sources du développement et de paix. A partir des données quantitatives et qualitatives collectées et analysées selon l’approche sociolinguistique, il apparait que la traduction en langue locale participe, de par son caractère identitaire, interculturel et multiculturel, à la consolidation de la paix et au développement intégral des sociétés locales qui constituent en elles-mêmes le soubassement de la nation toute entière.
Revue internationale et stratégique, 2008
Distribution électronique Cairn.info pour Armand Colin. © Armand Colin. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Dialogue Chine-France, 2023
Plongez dans le monde fascinant de la diplomatie du panda avec le dernier numéro de la revue Dialogue Chine-France. Découvrez comment le panda géant, ambassadeur de l'amitié et symbole de l'écologie, tisse des liens indissolubles entre la Chine et la France. Dans ce numéro, nous explorons l'histoire riche et complexe de la relation entre ces deux nations, symbolisée par le panda géant. De la découverte du panda par le naturaliste français Armand David en 1869, aux échanges diplomatiques de pandas entre les deux pays, jusqu'à la naissance de Yuan Meng, le premier bébé panda né en France, chaque page est un voyage à travers le temps et l'espace. Nous rendons hommage à Yuan Meng, qui a récemment quitté la France pour retourner en Chine, et nous célébrons la naissance des jumelles Huan Lili et Yuan Dudu, les nouvelles stars du ZooParc de Beauval. Nous vous invitons à découvrir comment ces adorables créatures ont non seulement captivé le cœur des Français, mais ont également renforcé la coopération sino-française en matière de protection de l'environnement et des animaux sauvages. Ce numéro met en lumière la coopération décennale entre la Chine et la France dans la protection des pandas géants, une initiative qui a donné une nouvelle impulsion à la conservation de la biodiversité à l'échelle mondiale. Il souligne également comment le panda est devenu un symbole de l'amitié de la Chine avec d'autres pays, y compris l'Australie, le Royaume-Uni, le Canada, l'Espagne et la Belgique. Ne manquez pas ce numéro de Dialogue Chine-France, une célébration de l'amitié internationale, de la coopération environnementale et de l'incroyable histoire du panda géant. Ont participé à ce numéro : By Ma Li,membre de la rédaction ; GAO FUHUA est secrétaire adjoint du conseil des affaires de l’Association pour la promotion de la culture et de l’environnement du panda géant du Sichuan ; WANG HUIMING est chef du district de Baoxing ; JAMES AYALA est chercheur en comportement animal, Base de recherche sur l’élevage des pandas géants de Chengdu ; LI DESHENG est directeur adjoint et expert en chef du Centre chinois de recherche et de conservation des pandas géants ; XIA YUANYUAN, membre de la rédaction GUO CHAOKAI et MA SHUAISHA sont journalistes de China News Service YU XIANGJUN membre de la rédaction FAN BINBIN est chroniqueuse spécialisée JIANG YA est conceptrice et peintre du Groupe de tourisme culturel de Ya’an MARGOT CHEVESTRIER, membre de la rédaction
2004
La fin de la bipolarité avait pu faire espérer la construction d'un monde plus pacifié. L'euphorie autour de l'idée d'un « nouvel ordre international » qui aurait permis la mise en oeuvre d'une « sécurité globale »-avec tous les faux-semblants qui accompagnaient ce discours-fut pourtant de courte durée. Certes, la fin des années 1980 a transformé sensiblement le contexte inter-étatique dans lequel les questions de sécurité étaient posées, en particulier au sein de l'Organisation des Nations Unies (ONU). Elle a notamment permis une réactivation sensible des activités du Conseil de sécurité qui, pour la première fois depuis quatre décennies, n'était plus systématiquement paralysé par l'opposition Est-Ouest et l'usage du droit de veto (1). Cela a concouru, pendant de brèves années, à l'idée d'une « renaissance des Nations Unies », que marqua particulièrement l'« Agenda pour la paix » de Boutros Boutros-Ghali (2). Les années qui ont suivi nous ont montré bien des faux-semblants d'une césure moins évidente qu'il n'y paraissait. Il n'en est pas moins vrai que les débats sur ces questions n'ont jamais cessé, en particulier autour du fameux continuum rétablissement-maintien-consolidation de la paix. Le fait que l'ONU ait été appelée à intervenir dans un nombre croissant de conflits internes n'est pas étranger à cette évolution. La transition guerre-paix ne s'y joue plus sur des champs de bataille ou le long de lignes de front, mais avant tout au coeur de l'articulation Etat-société, physiquement et symboliquement, dans la triple crise du lien politique (relation à l'Etat), social (lien à la communauté et à l'environnement le plus immédiat comme le quartier) et domestique (lien familial et inter-générationnel), que traduisent la plupart des guerres contemporaines. Pourtant, les ajustements opérés dans les opérations de paix comme dans les programmes de l'en-(*) Chercheur au Centre d'Etudes et de Recherches Internationales (CERI). (1) Les Etats-Unis et l'URSS avaient pu s'entendre, à l'époque, pour une inscription de la décolonisation à l'ordre du jour de l'Assemblée générale ; mais le respect du principe de non-ingérence a, par la suite, fait l'objet d'un assez fort consensus entre les grandes puissances et les Etats nouvellement indépendants. Les cas de l'apartheid et de la Rhodésie du Sud furent les deux exceptions à cette règle, sachant qu'ils ont euxmêmes été inscrits dans la perspective de la décolonisation. (2) Agenda pour la paix, DPI/1247, Nations Unies, New York, juin 1992. Bien que moins connu, le Rapport sur l'état de l'organisation préparé par le précédent Secrétaire Général, Javier Perez de Cuellar, fut considéré par un certain nombre d'observateurs comme marquant le commencement d'une nouvelle époque dans les relations interétatiques et les efforts pour résoudre les conflits : cf.
Le Verbe, 2022
Entrevue avec Sabrina Di Matteo donnée par James Langlois, rédacteur au magazine Le Verbe dans le cadre du numéro spécial COMMUNION.
L’étude des catégories, techniques et usages du dialogue relève de plusieurs champs du savoir. Cet essai interroge l’épaisseur culturelle du terme de dialogue comme des pratiques qu’il recouvre. En prolongement, il ébauche une approche de «l’universalité» fondée sur le constat de la diversité des modes dialogiques et de leurs ancrages. Il débute par une catégorisation de différents «styles dialogiques» qu’il relie à la notion de «jeu de langage», tout en soulignant l’écart entre les deux concepts: le changement constant de «règles du jeu» caractérise les pratiques dialogiques. Il continue en inscrivant cette approche des styles dialogiques dans une réflexion sur l’origine et la variété des pratiques culturelles, révélant la fragilité d’un ordre symbolique qui ne subsiste que d’évoluer dans l’échange. En fin de compte, c’est la fluidité du dialogue qui en fait l’universalité. Il est alors possible de voir l’histoire comme la trame d’une conversation souvent coupée et toujours en attente d’être continuée. GREGORIANUM 96, 2 (2015) 303-318
Roman 20-50
Distribution électronique Cairn.info pour Société Roman 20-50. © Société Roman 20-50. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
1 ère édition Dialogues en humanité au Bénin : du 9 au 11 mai 2014 Nous, participants des Dialogues en humanité réunis au Bénin, à Porto Novo, sous les arbres ancestraux du Jardin des Plantes et de la Nature, souhaitons faire ensemble la déclaration suivante :
2014
Chaque livre est un apprentissage. Ces pages écrites par un frère de la Communauté de Bose cherchent à « penser entre les spiritualités », c’est-à-dire apprendre à mûrir la vie chrétienne dans un dialogue entre traditions spirituelles diverses. Une spiritualité qui retrouve son identité profonde comme identité « plurielle», dans laquelle on entend une polyphonie de voix. Les enjeux de la lectio divina, la prière de Jésus au XXème siècle, le sens de l’ascèse aujourd’hui, la théologie de l’espérance après Auschwitz, l’expérience mystique : autant d'étapes dans ce parcours ouvert à tous les chercheurs de Dieu.
2021
Le mot PAIX, très utilisé dans les organisations et les relations internationales, est un terme polysémique qui ouvre des perspectives intéressantes dans les langues africaines. Dans les langues ivoiriennes, la notion de PAIX implique des composantes culturelles, sémantiques et lexicales se référant à des éléments du corps humain ; elle montre à quel point ce mot renvoie à des connotations et manifestations diverses liées à ses différents usages. Sollicitant une approche sociolinguistique, cet article se propose de réfléchir sur l'importance du mot PAIX dans les résolutions des conflits sous l'arbre à palabres africain. Plus précisément, il s'agit d'identifier, à partir d'une enquête menée auprès de locuteurs de quelques langues ivoiriennes, des notions et des concepts relatifs à la culture de la paix en langues africaines. Cela peut contribuer à renforcer l'unité nationale dans un pays comme la Côte d'Ivoire, qui est actuellement en voie de réconciliation suite à des conflits divers.
Marie-Hélène Robert Spiritus n° 174, mars 2004
Le dialogue interreligieux, pour la « tendance missionnaire » la plus répandue, semble être à la fois cause et conséquence des modifications de nos représentations de Dieu : avoir rencontré un croyant d'une autre religion ne peut pas m'avoir laissée indifférente et ne pas avoir déplacé mes conceptions de Dieu, forcément plus limitées avant qu'après la rencontre. A contrario, le dialogue n'est possible que comme conséquence d'une transformation de mes schémas sur Dieu. Cela se vérifie par l'attitude opposée : aucun fondamentaliste convaincu, d'une religion ou d'une autre, ne souhaiterait entrer en dialogue avec des croyants d'une autre religion si ce dialogue doit remettre en question ou seulement transformer sa vision de Dieu, héritée d'une tradition sûre, éprouvée par le temps. Mais aussi, paradoxalement, la tendance missionnaire ouverte rejoint celle d’une conception très traditionnelle. Quel croyant en un Dieu de relation, créateur d’une humanité bonne, libre, raisonnable et perfectible, orientée vers son Créateur de son principe à sa fin, peut-il refuser d’entrer en dialogue avec la pensée et la foi d’un croyant qui pourtant ne partage pas sa propre foi en Jésus-Christ ? On a reconnu le point central de la pensée de Thomas d’Aquin. Ce théologien du XIIIe siècle a su laisser se déplacer l’héritage de sa vision – essentiellement augustinienne – sans renier l’ensemble de l’héritage de la tradition chrétienne.
Białostockie Archiwum Językowe, 2015
Le mot dialogue apparaît très souvent aussi bien dans le langage courant que dans la langueécrite, par exemple dans la presse. Dans le dictionnaire de langue générale on trouve les définitions suivantes : N.m.-dialoge 1200 ; repris 1580 ; lat. dialogus, gr. dialogos, rac. logos : « parole » 1. Entretien entre deux personnes. ⇒ colloque, conversation, têtea-tête. Dialogue vif, animé. Dialogue des sourds. Spécialt. Le dialogue-contact et discussion entre deux partiesà la recherche d'un accord, d'un compromis. ⇒ concertation, négociation, pourparler.Établir, rompre, renouer le dialogue. C'est un homme de dialogue. Le dialogue Nord-Sud (entre pays riches et pays pauvres). 2. Ensemble des paroles qu'échangent les personnages d'une pièce de théâtre, d'un film, d'un récit, manière dont l'auteur fait parler ses personnages. « Platon n'écrit pas en vers et joue de la plus souple des formes d'expression, qui est le dialogue. » (Valéry). Postsynchronisation des dialogues d'un film. 3. Ouvrage littéraire en forme de conversation (⇒ dialogique). Les dialogues de Platon. 4. Inform. Echange d'informations entre deuxéléments d'un système informatique. Dialogue homme-machine : ensemble deséchanges entre l'ordinateur et l'utilisateur (⇒ interactivité, conversationnel). contr. Monologue (Petit Robert, p. 716) Dans le dictionnaire d'analyse du discours la définition du terme dialogue estélargie :
Cette recherche porte sur le dialogue entre minorités et État, en particulier les stratégies d'alliance, les mesures de distinction menées en direction des populations n'appartenant pas au groupe dominant et les politiques d'identité nationale. Tout en interrogeant les identités collectives politiques et les représentations politiques des groupes, cette thèse entend également interroger un champs d'étude encore peu développé par l'anthropologie française, celui de la citoyenneté. Cette anthropologie politique des processus de reconfigurations identitaires, des modalités d'identification et des conditions de citoyenneté, s'appuie sur une étude menée sur la minorité tcherkesse d'Israël. Les spécificités à la fois de ce cadre géopolitique et de cette population sont multiples: Israël est un État jeune, un État en guerre et un État qui se définit ethniquement comme État juif; la minorité tcherkesse qui ne compte que 4500 membres dans ce pays est méconnue et n'a suscité que peu d'intérêt scientifique. Etudier les marges semble être devenu un lieu commun en anthropologie, mais au-delà du fait que ces marges constituent autant de groupe d'acteurs sociaux complexes et intéressants en eux-mêmes, nous souscrivons à l'idée de Clifford Geertz (1999) qui rappelle que " (...) le lieu d'étude n'est pas l'objet de l'étude. Les anthropologues n'étudient pas des villages (ou des tribus, des villes, des quartiers); ils étudient dans les villages ". Ainsi, l'objet d'étude de cette thèse - la minorité tcherkesse d'Israël - sert de focale pour réinterroger des questionnements déjà largement soulevés (la question minoritaire en Israël) tout en proposant une approche nouvelle et originale car cette population ne répond ni aux mêmes attributs catégoriels, ni à un même rapport à l'État, que les autres minorités de l'espace israélo-palestinien. Les Tcherkesses présentent la spécificité de ne se reconnaître dans aucun des deux groupes dominants au prisme desquels la majorité des recherches effectuées questionnent l'identité, l'ethnicité ou la citoyenneté dans l'espace israélo-palestinien: ils ne sont ni Juifs ni Palestiniens. Parallèlement à cette énonciation identitaire en opposition aux deux groupes majoritaires, nous verrons que les Tcherkesses pourraient se reconnaître dans des sphères d'identification communes, cette fois, avec les Juifs et avec les Palestiniens. Ils partagent avec les Palestiniens un religion commune (l'islam) et sont, à ce titre, considérés comme des membres de l'Umma (la communauté des musulmans): les Tcherkesses appartiennent donc, par définition, à la minorité non juive du pays. Cependant, contrairement à leurs coreligionnaires - et en particulier depuis le déclenchement de la seconde Intifada, ils ne revendiquent pas une identité politique palestinienne. Pour les Tcherkesses, la Palestine ne représente ni une patrie historique ni une cause politique à défendre: ils sont Nord Caucasiens, leur terre d'origine - avec laquelle ils entretiennent des liens à la fois symboliques et physiques - est identifiée et loin du Proche-Orient. L'Empire ottoman, puis la Palestine mandataire et enfin l'État hébreu ne sont, pour eux, que des dénominations différentes d'une même société d'accueil, aussi n'éprouvent-ils aucune difficulté à se définir aujourd'hui comme pleinement Israéliens. Or, l'espace israélo-palestinien est un espace en guerre dans lequel les énonciations identitaires sont perçues comme partisanes. En se définissant comme Israéliens, les Tcherkesses bousculent les catégorisations attendues: ils sont Israéliens sans être juifs et ils sont musulmans sans être Palestiniens ou Arabes. En d'autres termes, les Tcherkesses refusent de répondre à l'injonction inhérente au conflit: en étant israéliens et musulmans, ils refusent de choisir entre deux sphères d'appartenance qui ne leur semblent pas être contradictoires. Mais la réalité du terrain est autre: ils se heurtent à des critiques nourries de certains Palestiniens qui voient en eux des " traîtres au service du sionisme " tout en évoluant dans un cadre politique qui a pensé une citoyenneté différenciée qui privilégie une ethnicité spécifique. Autrement dit, et nous empruntons cette phrase à une habitante de Kfar Kama: " Pour les Juifs, nous ne sommes que des musulmans, et pour les Arabes, nous sommes des Israéliens ". À partir d'observations locales de ces interactions, cette recherche souhaitait, et pour reprendre les termes de Claude Lévi-Strauss (1997), extraire les Tcherkesses d'Israël d'un certain mythe d'insularité, pour les faire réintégrer la nation. À travers leur exemple, c'est bien la société israélienne dans son ensemble que cette thèse interroge.
Cet article interroge les rapports entre langue, vision du monde et identité. Il cherche notamment à comprendre d’abord, dans quelle mesure l’apprentissage d’une autre langue, implique l’intégration d’une nouvelle culture; ensuite, à supposer qu’il y a effectivement, parallèlement à l’appropriation d’un nouveau code linguistique, assimilation d’une nouvelle culture, si celle-ci, définissant une autre manière de voir le monde, procure une nouvelle dynamique identitaire.
L'identité militaire représente un objet d'étude en soi pour les sociologues du militaire, voire le coeur de leur réflexion pour certains d'entre eux. Il en résulte une pluralité d'acceptions reflétant différente perspectives sociologiques, selon les faits étudiés (par exemple, les mécanismes de socialisation, les relations professionnelles, etc.) ou bien encore les processus de professionnalisation. Comme toute autre identité, l'identité militaire est alors interrogée à différentes échelles (individuelle et collective) et dans différents contextes (par exemple, sur le territoire national, en opération extérieure, dans un environnement multinational, etc.). Même si elle demeure sous-jacente, la fonction d'outil étatique sur la scène internationale n'est pas nécessairement et explicitement mobilisée dans ces efforts de caractérisation de l'identité militaire. En tant que complexe de normes formelles et informelles, de croyances partagées et de valeurs,...
Documents Pour L Histoire Du Francais Langue Etrangere Ou Seconde, 2006
Hommes & migrations, 2017
2022
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L'archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d'enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
Hermès (Paris. 1988), 2004, 40, fascicule …, 2004
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