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2024, KWS 92
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Alors les grandes paroles vinrent ; le grand message fut envoyé d’un continent à l’autre par-dessus l’océan. La grande nouvelle chemina toute cette nuit-là au-dessus des eaux par des questions et des réponses. Pourtant, rien ne fut entendu.
Jeu Revue De Theâtre, 2014
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L'Analisi linguistica e letteraria, 2021
Pour Ramuz, la haute montagne est un chaos de pierres et de glaces, où le silence apparemment éternel cacherait la menace d’un cataclysme assourdissant, mettant en danger l’existence même de l’homme. Nous analysons les périphrases que Ramuz utilise pour évoquer le silence des sommets dans La Grande Peur dans la montagne et Si le soleil ne revenait pas : ses stratégies stylistiques et rhétoriques traduisent l’innommable qui surplombe l’homme. Par cela, ces romans développent une sensibilité à l’égard de la nature qui est très actuelle : une lecture écopoétique du « silence des hautes Alpes » est proposée en conclusion.
Aleksandra Komandera, Quêtes littéraires nº 1, 2011 : Ecrire l'absence
In his short novel Bruges-la-Morte Georges Rodenbach presents an inconsolable widower, Hugues Viane, who tries to immortalise his dead wife by the worship of her souvenirs and installing himself in Bruges, a “dead town”. The aim of the study is to examine how the absence changes into presence. Firstly, the Dead returns in Hugues Viane’s mind, the spouse appears in multiple portraits the widower contemplates every day and especially in the cult of her hair. Then, she reveals herself also in the history and the actual state of Bruges. Finally, the dead woman returns in her “double” – Jane Scott, a theatre dancer, who becomes for Hugues Viane his wife risen from the dead, unfortunately only for a while. Georges Rodenbach chooses absence as the main aspect of his novel but he joins it to all kind of attempts, especially related to the fantastique, to transform it into presence.
de SOTO J., « Tombes » sans défunt laténiennes et du Haut-Empire en Gaule. Pour une relecture hérétique », dans GUICHARD V. et PERRIN F. (éd.), L'aristocratie celte à la fin de l'âge du fer (IIe s. av. J.-C., Ier s. ap. J.-C.), Glux-en-Glenne, 2002, p. 189-197. BOURGEOIS L., « Une sépulture de l'âge du Bronze dans le département du Loir-et-Cher », Revue archéologique, nouvelle série, 16 e année, t. XXIX, 1875, p. 73-77. BRADLEY R., The Passage of Arms. An archaeological analysis of prehistoric hoards and votive deposits. Cambridge, 1990. BRIARD J., Les Tumulus d'Armorique, Paris, 1984 (L'âge du Bronze en France, 3). BRIARD J., Le culte des eaux en Armorique à l'Age du Bronze. Synthèse et actualisation. Dans L'Helgouac'h J. et Briard J. (dir.), Systèmes fluviaux, estuaires et implantations humaines de la Préhistoire aux grandes invasions, actes du 124 e congrès national des Sociétés savantes, Nantes, 1999, Paris, 2001, p. 91-101. BRUN P. et MORDANT C. (éd.), Le Groupe Rhin-Suisse-France orientale et la notion de Civilisation des Champs d'Urnes. Actes du colloque de Nemours, 1986, Nemours, 1988. CHARPY J.-J., « Aperçu des rites du feu dans le milieu celtique champenois », dans KRUTA V. et LEMAN-DELERIVE G. (éd.), Feux des morts, foyers des vivants. Les rites et symboles du feu dans les tombes de l'Âge du Fer et de l'époque romaine, Lille, 2007, p. 87-96. CHEVILLOT Ch., 1989. Sites et cultures de l'Age du Bronze en Périgord, Périgueux, 1989 (Archéologies, 3). CORDIER G., L'âge du Bronze dans les pays de la Loire moyenne, Joué-lès-Tours, 2009. DECHELETTE J., Manuel d'Archéologie préhistorique, celtique et gallo-romaine, t. II, 1 e partie : Age du Bronze, Paris, 1910. DUCONGE S. et GOMEZ DE SOTO J., « Les dépôts à caractère cultuel en milieu humides et dans les cavités naturelles du Centre-Ouest de la France à l'âge du Fer », dans BARRAL PH., DAUBIGNEY A., DUNNING C., KAENEL G., ROULIERE-LAMBERT M.-J. (éd.), L'âge du Fer dans l'arc jurassien et ses marges. Dépôts, lieux sacrés et territorialité à l'âge du Fer. Actes du XXIXe colloque international de l'AFEAF, Bienne, 5-8 mai 2005, Besançon, 2007, p. 477-492. DURAND J.-L., « D'un territoire comme sanctuaire », dans BRUNAUX J.-L. (éd.), Les sanctuaires celtiques et le monde méditerranéen, Paris, 1991, p. 276-278. FOGELIN L., « The Archaeology of Religious Rituals », Annual Review of Anthropology, 36, 2007, p. 55-71. GOMEZ DE SOTO J., « Chars funéraires, Chars rituels ou chars de combat ? De la nature du pouvoir dans les sociétés de l'Age du Bronze final en France et dans l'aire de la culture des Champs d'Urnes d'Allemagne du Sud et d'Europe centrale », Eléments de Pré et Protohistoire européenne, Hommages à J.-P. Millotte, Paris, 1984, p. 605-615. GOMEZ DE SOTO J., Le Bronze moyen en Occident. La culture des Duffaits et la civilisation des Tumulus, Paris 1995 (L'âge du Bronze en France, 5). GOMEZ DE SOTO J., « Oiseaux, chevaux, hommes et autres images. Les « signes » sur céramique en Gaule, du Ha A2/B1 au Ha. D. Genèse, apogée, décadence et postérité », dans BUCHSENSCHUTZ O.,
Tangence:, 2008
Résumé Le roman russe est pour Charles Ferdinand Ramuz, dès ses débuts, l’occasion d’une réflexion sur le genre romanesque, et sur la nécessité de sa « regénération » dans l’espace francophone. La lecture de Dostoïevski lui donne accès à un modèle dont il s’inspirera, indirectement, dans ses premières tentatives de « révolutionner » le roman, en particulier lors de l’écriture de Jean-Luc persécuté. Mais cette adhésion fervente sera suivie, pendant la maturité de Ramuz, d’une phase de désaffection, à l’issue de laquelle le grand Russe auquel le romancier suisse tendra à s’identifier sera Tolstoï.
4e Congrès du Réseau Asie & Pacifique, 14-16 sept., 2011
Faculté des lettres et des langues Département de langue et littérature française Présenté en vue de l'obtention du mémoire de Master En science des textes littéraires D'une omniprésence de la mort à la primauté de la vie Dans : L'équation africaine de Yasmina Khadra : Présenté par Islam Abdessamad BETCHINE tement de Langue et Littérature , Dépar Pr. Nedjma BENACHOUR : Présidé par Françaises, Université Mentouri -Constantine. A, Département de Langue et assistante -Maître , Mme Soumeya MERAD : Examiné par Littérature Françaises, Ecole Normale Supérieure -Constantine. Sous la direction de Mme Amina BENELHADJ, Maître-assistante A, Département de Langue et Littérature Françaises, Université Mentouri -Constantine. Année 2011 -2012 2 الرحيم الرحمان اهلل بسم A ma tendresse qui était toujours à mes côtés, à mon oncle qui a toujours cru en moi, à ma défunte mère qui aurait été fière de moi. 3 Remerciements : Je tiens à remercier Mme Benelhadj pour ses conseils savamment prodigués et sa confiance cordialement accordée. Elle a fait preuve de patience et de bon sens tout au long de la recherche. Sa disponibilité et sa vertu ont été exemplaires, sans elle mon travail n'aurait pas eu tant de consistance et d'épaisseur. Le mérite revient aussi aux enseignants qui m'ont transmis tout au long de mon cursus de Master à travers leurs savoirs, leurs goûts et leurs proximités cet amour de la littérature, cette ivresse de la lecture et ce sens de la recherche. Je pense notamment à M. Ali Khoudja et à Mme Benachour, à M. Abdou et M. Tebbani et particulièrement à M. Dadci et à M. Saïdi. Ma reconnaissance est destinée également aux enseignants qui m'ont marqué d'une manière ou d'une autre par leurs qualités, leurs spécificités et leurs complexions, je pense spécialement à M. Boussabat et à sa pédagogie « coup de fouet », à Mlle Terki et à sa culture littéraire, à Mme Boumendjal et à sa verdeur éloquente, à M. Yahou et à ses cours « théâtraux » et ses goûts cinématographiques éthérés. Ma gratitude est cordiale pour Mme Maouchi pour son initiation à la recherche qu'elle a mise en oeuvre avec un tonus indéfectible et un enthousiasme intarissable.
Classiques des sciences sociales., 2007
La mort, un vide pour la représentation, un corps pour la peinture" (1994) 4 Rose-Marie Arbour "La mort, un vide pour la représentation, un corps pour la peinture". Un article publié dans l'ouvrage sous la direction de Nycole Paquin, De l'interprétation en arts visuels, pp. 39-54 Montréal : Éditions Triptyque, 1994.
Depuis la première empreinte de main sur la paroi d'une caverne, l'homme s'est ingénié à intégrer dans l'oeuvre d'art les éléments fondateurs et constitutifs de sa vie, dont la mort, qui semble en marquer le terme. Selon les contrées et les époques, le passage dans l'au-delà a donné lieu à des célébrations, été l'objet de cultes et inspiré un art funéraire extrêmement riche ou au contraire a été occulté, nié jusqu'à devenir tabou. Et l'humanité a jalonné son his ˇtoire de récits qui nous «parlent» de l'expérience de mort et du passage dans l'au-delà, mais comment a-t-elle permis à l'artiste de nous les montrer? Comment les peintres, à travers les âges, ont-ils abordé ce thème? Que nous ont-ils laissé à voir?
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dans Séverine Blenner-Michel, Matthieu Brejon de Lavergnée, Charles Mercier (sous dir.), Frédéric Ozanam (1813-1853). Facettes d’un itinéraire, Revue d’histoire de l’Eglise de France, t.100, n°244, janvier-juin 2014, p.121-141.
La traducción. Metodología / Historia / Literatura. Ámbito hispanofrancés, 1995
Charles Ferdinand Ramuz, silence(s), bruit(s), musique(s)
Bulletin de philosophie médiévale, 2024
Conférence "hors les murs", sous l'égide de l'Académie nationale de Metz, à l'occasion du 450e anniversaire du décès de Rabelais (23 novembre 2003).
Nouvelles perspectives en sciences sociales, 2016
Atlantide, 2023
Bulletin de la Société préhistorique française, 2011
CONFERENCES, 2012