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2021, Zenodo (CERN European Organization for Nuclear Research)
A floristic treatment for Dioscoreaceae occurring in the Democratic Republic of the Congo, Rwanda and Burundi is provided. In this region, the family is represented by the genus Dioscorea (19 species). All species are described morphologically and information is given on the most important synonyms, distribution, habitat, vernacular names and uses, as well as the citation of representative herbarium specimens and references to additional literature. Preliminary global conservation assessments are given with 16 species assessed as Least Concern, one as Data Deficient (D. pynaertii), one as Near Threatened (D. knuthiana) and one as Vulnerable (D. paleata). Keys are provided to facilitate the identification of species using male, female (fruiting) and sterile material. Nine detailed line drawings and two photo plates assist species recognition. Two species are endemic to the flora area, D. knuthiana and D. paleata. Dioscorea is an economically important genus, with the tubers and/or bulbils of several species harvested from the wild for consumption and some being cultivated. Nouveau taxon :
2015
PDF version of treatment of Plumbaginaceae in Flore d'Afrique centrale series
2014
PDF version of treatment of Caricaceae in Flore d'Afrique centrale series
1983
PDF version of treatment of Najadaceae in Flore d'Afrique centrale series
Zenodo (CERN European Organization for Nuclear Research), 2020
A regional flora treatment, covering the Democratic Republic of the Congo, Rwanda and Burundi, is provided for three tribes of the Rubiaceae family: Colletoecemateae (one genus, Colletoecema, with one species in the area), Lasiantheae (two genera, Lasianthus and Trichostachys, with six species) and Urophylleae (two genera, Pauridiantha and Pentaloncha, with 15 species). This volume thus deals with five genera and 22 species; one species, Pauridiantha halleana Ntore & O.Lachenaud, is described as new, two new combinations are published, and several new synonymies are established. All 22 species treated in this volume occur in the Democratic Republic of the Congo, where four are endemic; Rwanda and Burundi have 3 species each, none endemic. Keys to all the taxa are provided. For every species, a full morphological description is presented, as well as data on their distribution, habitat, vernacular names and uses, a list of representative herbarium specimens, and bibliographic references. All species are illustrated with line drawings and, when available, colour photographs. 10 RUBIACEAE-XVII. Urophylleae
1993
Cette thèse de doctorat a été numérisée par l'Université libre de Bruxelles. L'auteur qui s'opposerait à sa mise en ligne dans DI-fusion est invité à prendre contact avec l'Université (
Acta Botanica Malacitana, 1996
RESUME. Flore (Pteridophyta et Spermatophyta) des zones humides du Maroc méditerranéen: Inventaire et écologie. Malgré l'intérêt qu'on porte de plus en plus aux zones humides à travers le monde, peu d'études ont été consacrées à la flore hygrophile marocaine. Après avoir prospecté 45 stations, on a évalué la diversité spécifique des hygrophytes du Maroc méditerranéen à partir de 70 relevés floristiques. Sur les 389 espèces reconnues dans cette étude, 175 espèces sont caractéristiques des zones humides. Les espèces rares ou nouvellement citées ont été soulignées. D'autre part, les phytocénoses observées ont été classées en fonction de la physionomie et de la composition spécifique. Une attention particulière a été consacrée à la discussion des principaux facteurs écologiques influant sur les groupements hygrophiles à savoir: la submersion, la salinité, la charge organique domestique, le mésoclimat et les travaux d'aménagement. Ainsi, on a pu regrouper les espèces dominantes en classes écologiques.
ne mise au point sur la systématique de trois espèces de la famille Cyatheaceae a été réalisée. La clé des espèces représentées dans des conditions écologiques du Parc National de Kahuzi Biega est proposée. La taille et la disposition des frondes, la nervation et la forme et la disposition des sores sur les nervures près de la marge, arrondi à indusies globuleuses sont des éléments qui sont à la base de différenciations de 3 espèces décrites. Simples ou bifurquées. Le matériel ayant servi à la réalisation de cette étude était essentiellement constitué des spécimen conservé dans les herbaria de la WCS/PNKB et du Centre de Recherche en Science Naturelles de Lwiro Mot clé : Pteridophytes, Cyatheaceae, Kahuzi, Biega.
Études Océan Indien, 2008
En 1912, Rajaonah Tselatra publie dans le journal Vaovao frantsaymalagasy (Les Nouvelles franco-malgaches) des méditations sur les fleurs, Voninkazo 50 (50 Fleurs) 1. Écrivain prolifique, parfois critiqué pour son style jugé trop emphatique, il montre à travers ces dix textes, sortes de poèmes en prose, sa capacité à synthétiser l'esprit de plusieurs genres littéraires : le hainteny (joute poétique), le kabary (discours coutumier), le sermon, la poésie romantique, la prose morale du symbolisme floral, chrétien comme laïque. Nous verrons même qu'à l'occasion de ces pensées sur les fleurs, notre poète retrouve une logique du pouvoir des mots, qui est celle qu'on voit en oeuvre dans les rituels ancestraux et dans les incantations des devins-guérisseurs malgaches-et qui est aussi celle des récits bibliques de l'origine. Quelle est la position de la culture malgache vis-à-vis des fleurs ? Dans son célèbre essai sur La culture des fleurs, Goody (1994) avait relevé le contraste saisissant entre les références foisonnantes aux fleurs dans les civilisations de l'Asie et de l'Europe et l'absence quasi totale de ce trait culturel en Afrique. Ainsi on s'apercevait que l'attachement aux fleurs n'est pas universel. Dans la tradition malgache en tout cas, on ne peut pas dire que la figure poétique des fleurs soit absente. Mais l'intérêt porté aux fleurs n'est pas, comme c'est en général le cas en Europe, principalement visuel ; la fleur n'est pas considérée d'abord comme décorative. Il arrive bien que les expressions traditionnelles représentent la fleur 2 , mais c'est souvent en tant que préfiguration du fruit ou parce qu'elle est le signe et l'annonce des saisons. Ainsi, dans le hainteny (Paulhan 1913, rééd. 1991 : VI-15, p. 154) 3 : Ny akoholahy aza aty ambany aty Mahalala ny masoandro ho vaky Ary ny ambiaty an-tanety Mahalala ny ao am-pon'ny lanitra … … Le coq même qui est ici en bas Sait quand le soleil se lèvera Les fleurs de Tselatra Études océan Indien, 40-41 | 2008 1 Et l'ambiaty qui est sur la colline Sait quelles sont les intentions du ciel … …. la floraison de l'ambiaty (Vernonia appendiculata Less., Asteraceae) est évoquée parce qu'elle annonce le moment de faire les semailles du riz de printemps : comme le coq donne le signal du jour, l'ambiaty donne celui de l'an ou de la saison ; un autre hainteny dit de lui qu'il peut dompter, contraindre à l'obéissance l'année ou les saisons, mahafolaka am-bozona ny taona (Dahle 1877 : no 70, p. 22 ; rééd. Sims et Dahle 1962 : 234). On voit que ce qui intéresse ici la poésie traditionnelle, c'est, non la plante ou l'oiseau en eux-mêmes, mais leur mode de vie, leur inscription dans un ordre du monde, ce que le biologiste appelle leur écologie. D'autre part, on remarquera que la fleur peut occuper une place dans la question des senteurs, si importante à Madagascar 4 , comme on le voit, par exemple, dans le proverbe (Rickenbacher 1987 : no 7485) 5 : Voninkazo manitra anaty ahitra Hosihosena vao mamerovero Fleur parfumée perdue dans l'herbe C'est piétinée qu'elle embaume. On verra que Rajaonah Tselatra joue dans ses textes sur le vocabulaire du parfum et des odeurs, au point d'ailleurs que la traduction en français en devient parfois difficile : nous avons rendu hanitra par « parfum, fragrance, senteur » (dans l'évocation du sahamborozano, du telovoninahitra, du vahia et du datura), fofony par « odeur », mais fofony mandraraka par « effluves odoriférants » (pour le vahia), famerovero par « effluves » (pour le datura), mais fehiloha mamerovero par « couronne odorante » (pour le vahia encore). Cependant, on aurait tort de croire que le parfum est, comme c'est souvent le cas en Europe, relié surtout à l'idée de fleur. Le mot même de manitra, « parfumé, embaumé », s'applique dans les expressions ancestrales généralement à la bonne odeur des fruits ou à celle du riz qui finit de cuire en attachant au fond de la marmite, et surtout au fumet de la viande boucanée ou grillée, comme on le voit dans le proverbe (Rickenbacher 1987 : no 5812a ; Cousins et Parrett 1871 ; Domenichini-Ramiaramanana 1971, n° 2342) : Sabora raiki-molaly Na manitra aza mangidy Gras de boeuf recouvert de suie, Bien sûr il embaume, mais il est amer. On se souvient que le linguiste Dahl (1992), expliquant le nom divin Andriamanitra, littéralement « Prince-parfumé » y reconnaît le sens étymologique de la bonne odeur de la viande brûlée des sacrifices, qui monte jusqu'à Dieu. Dans l'usage traditionnel qui est fait des plantes, les senteurs sont souvent celles des fruits, des feuilles, des racines, des bois, des écorces, des résines, autant et plus que des fleurs. Cela se retrouve dans les figures de la poésie orale, comme dans le hainteny
Adansonia, 2009
Le genre Stolzia (Orchidaceae) en Afrique centrale avec deux nouveaux taxons. Adansonia, sér. 3, 31 (1) : 25-40. RÉSUMÉ Les taxons du genre Stolzia Schltr. (Orchidaceae) présents en Afrique centrale sont révisés. Neuf taxons ont été identifi és. Deux nouveaux taxons collectés au Le genre Stolzia (Orchidaceae) en Afrique centrale avec deux nouveaux taxons 26 ADANSONIA, sér. 3 • 2009 • 31 (1) Droissart V. et al. Cameroun et en Guinée Équatoriale (Rio Muni et Bioko) sont décrits et illustrés. Stolzia repens (Rolfe) Summerh var. cleistogama Stévart, Droissart & Simo diff ère des deux autres variétés déjà décrites par son sépale dorsal soudé aux sépales latéraux sur plus d'un tiers de sa longueur, ainsi que par ses pièces fl orales plus petites et non réfl échies. Stolzia grandifl ora P.J.Cribb subsp. lejolyana Stévart, Droissart & Simo est proche de la sous-espèce type, endémique d'Éthiopie, mais présente une infl orescence bifl ore plus longue et des fl eurs plus petites. Il se rapproche également des diff érentes variétés de Stolzia repens (Rolfe) Summerh., mais s'en distingue par son infl orescence bifl ore et un pédoncule plus long et plus fi n. Stolzia cupuligera (Kraenzl.) Summerh. et S. peperomioides (Kraenzl.) Summerh. sont néotypifi és. Une nouvelle combinaison est proposée, Stolzia peperomioides (Kraenzl.) Summerh. subsp. thomensis (Stévart & P.J.Cribb) Stévart, Droissart & Simo. Plusieurs nouvelles signalisations sont données. Une clé d'identifi cation et un tableau synoptique des taxons présents en Afrique centrale sont proposés.
Heterotaxis faecalis (Orchidaceae), a showy flower with a fetid odour – The newly resurected genus Heterotaxis is poorly known in Guatemala where it is represented only by three species. A fourth species is presented, closely related to H. villosa (Barbosa Rodrigues) F.Barros, however characterized by its very fetid odour, adapted to its pollinators.
2011
Conservation and sustainable use of genetic resources of priority food tree species in sub-Saharan AfricaConservation et utilisation durable des ressources génétiques des espèces ligneuses alimentaires prioritaires de l'Afrique subsaharienneLa publicación de esta hoja divulgativa ha sido financiada con la acción complementaria nº AC-2008-00050-00-00, titulada "Publicación de hojas divulgativas: Uso y gestión sostenible y conservación de especies forestales para la alimentación (ELA) en Africa Subsahariana" solicitada por el Centro de Investigación y Tecnología Agroalimentaria de Aragón (CITA), investigador responsable: Eduardo Notivo
Resumen Heterotaxis faecalis (Orchidaceae), una bella flor con un olor fetido-El género Heterotaxis en Guatemala ha sido poco estudiado a pesar de ser un género pequeño en número de especies, esto derivado de que la mayoría de los tipos de herbario asignados a los nombres provienen de otros países, lo que hace complejo el proceso comparativo. Se presenta una nueva especie del género Heterotaxis, con flores muy llamativas de color anaranjado, pero de un olor repulsivo, esto con la finalidad de atraer a dípteros que son sus polinizadores. Résumé Nous présentons ici une nouvelle espèce de Heterotaxis du Guatemala, proche de H. villosa. Outre divers caractères morphologiques particuliers, cette nouvelle espèce se caractérise par son odeur fétide, probablement adaptée pour attirer les diptères qui assurent sa fécondation. Abstract Heterotaxis faecalis (Orchidaceae), a showy flower with a fetid odour-The newly resurected genus Heterotaxis is poorly known in Guatemala where it is represent...
Systematics and Geography of Plants
A list of 108 endemic taxa from Atlantic Central Africa occuring in Cameroon is given. Among these, 72 (67%) are epiphytes, 7 (6%) are facultative epiphytes and 29 (27%) are terrestrial. These figures may present important local variations: from lowland to montane forest, the proportion of epiphytes decreases with about 20%. Fourty three (40%) taxa are known only from Cameroon and the specific endemism for Orchidaceae in this country is ca. 8.8%. Two genera, Gastroida R.Br. and Ossiculum P.J.Cribb & Laan, are endemic to Cameroon. The species Polystachya bipoda Stévart, Ancistrorhynchus obovata Stévart inedit., Cyrtorchis submontana Stévart inedit., Tridactyle anthomoniaca (Rchb.f.) Summerh. subsp. nana P.J.Cribb & Stévart, Ancistrorhynchus crystalensis P.J.Cribb & Laan and Polystachya kubalae Szlach. & Olsz. are newly recorded for the flora of Cameroon. Twenty four taxa were not recorded in Cameroon by Szlachetko & Olszewski (1998, 2001a & 2001b), but were already cited in the liter...
BOIS & FORETS DES TROPIQUES, 2017
La rythmicité intra-annuelle de la crois- sance diamétrique des arbres n’est connue que pour très peu d’espèces tropicales africaines. Dans cet article, une combinaison de méthodes expéri- mentant le marquage cambial séquen- tiel, l’analyse anatomique et la mesure des cernes a été utilisée pour détermi- ner la périodicité et les variations de la croissance diamétrique de trois espèces d’Afrique centrale produisant un bois d’œuvre de grande qualité : Baillonella toxisperma (moabi), Entandrophragma cylindricum (sapelli) et Erythrophleum suaveolens (tali). En outre, des interac- tions avec la phénologie foliaire et repro- ductive et le climat ont été recherchées. Pour les trois espèces, les cernes de croissance sont anatomiquement dis- tincts, annuels et se forment au rythme des saisons, avec un accroissement qui est maximal pendant la petite saison pluvieuse (de mars à mai). Les variations saisonnières de la croissance se sont avérées significatives pour le moabi et le sapelli et non ...
Adansonia, 2012
Notes taxonomiques et chorologiques sur quelques Orchidaceae endémiques d'Afrique centrale atlantique 24 ADANSONIA, sér. 3 • 2012 • 34 (1) Droissart V. et al.
International Journal of Biological and Chemical Sciences
Dakar s'est lancé dans une programme de connaissance des unités taxonomiques à diversité élevée ou peu connue de la flore du Sénégal. Le genre Indigofera L. Fabaceae Lindl. (Leguminosae Juss.) est le genre le plus diversifié de la classe des Magnoliopsida (Dicotyledonae) des plantes à fleur de la flore du Sénégal avec 44 espèces. Cette étude est une contribution à la systématique des espèces du genre Indigofera au Sénégal. Des missions de prospection ont permis la collecte d'une espèce qui se révèle différente des autres espèces répertoriées jusqu'ici au Sénégal. La comparaison des caractères macro et micromorphologiques de cette espèce avec ceux des échantillons déposés dans les collections des herbiers DAKAR et IFAN de l'Université Cheikh Anta Diop n'ont pas permis de l'identifier avec précision. Des échantillons doubles de cette espèce envoyés à l'herbier de Kew Botanic Gardens semblent le rapprocher de Indigofera brevifilamenta Gillet. La présence de poils simples glanduleux et de poils naviculaires indique que cette nouvelle espèce du genre Indigofera appartient à la section des Viscosae. Une étude comparative de caractères descriptifs de Indigofera brevifilamenta Gillet par rapport aux deux espèces de la section des Viscosae de la flore du Sénégal que sont Indigofera colutea (Burm.) Merril et I. secundiflora Poir. montre que Indigofera brevifilamenta se distingue principalement des autres par sa taille relativement plus petite, ses folioles à poils naviculaires sans poils glanduleux et son inflorescence lâche.
Entandrophragma cylindricum (Sprague) Sprague (Meliaceae), a competitive tree species in Central Africa. A review Introduction. Nowadays, the management of forest resources is no longer focused on the exclusive extraction of timber; it must also consider the use and management of non-timber forest products. Entandrophragma cylindricum (Sprague) Sprague, whose trade name is " sapelli/sapele " , and which belongs to the Meliaceae family, perfectly illustrates this issue. This article proposes an overview of the existing literature regarding E. cylindricum and presents some information on its host caterpillar. Literature. Sapele is among the most exploited tree species in Central Africa, due to its valuable timber. This tree is common in the semi-deciduous rainforest of the Guinean–Congolese domain. It is a non-pioneer, light-demanding species, its dispersal mode is anemochorous and the phenology is regular. Logging coupled with thinning boosts the diametric growth of individuals by up to 0.82 cm. year-1. Sapele is also the host of an edible caterpillar species that is rich in protein, Imbrasia oyemensis
2013
Phytoecological analysis of the woody flora of High Sangha (Republic of Congo). The flora of the High Sangha, just like that of Congo as a whole, develops in the corridor of the “Sangha River” of Guineo-Congolian area. Still badly known, it is studied according to a North-eastern South-western floristic gradient, corresponding to a phytogeographical distribution extending from the Atlantic element (Nigero-Cameroono-Gabonese) to the Cameroono-Congolese element. On both side of the Sangha River, the surface of study is subdivided in three sectors whose central zone is the floristic junction between South-west and the North-East. The inventory of the individuals of dbh ≥ 10 cm counts 387 species of which 12 mark the South-western sector, 18 for the North-eastern sector and six for the central sector. The vertical distribution distinguishes three layers from unequal importance, of which the percentage of species oscillates from 24 to 42%. Floristic diversity, interpreted by the indices ...
Adansonia, 2014
Cinq autres espèces sont douteuses du fait de l'absence de types nomenclaturaux et une autre (L. schubotziana K.Krause) a été exclue. Une sous-espèce, deux variétés et trois espèces ont été placées en synonymie. Deux espèces, anciennement considérées comme des synonymes de L. platyphylla Dewèvre et L. laurentiana (Hiern) Wernham sont reconnues et rangées comme des variétés. Une clé d'identification, des cartes de distribution et la liste des exsiccata sont fournies pour les 19 espèces.
2012
Résumé Véla, E., R. Ouni & R. Martin (2012): Serapias nurrica Corrias (Orchidaceae), nouveau pour la flore de Tunisie.-J. Eur. Orch. 44 (2): 381-392. L'exploration botanique de l'archipel de la Galite (NW-Tunisie) est demeurée longtemps incomplète et n'est toujours pas achevée si l'on en croit diverses découvertes récentes. A l'occasion d'une exploration co-organisée par l'APAL et l'initiative PIM en mai 2008, une orchidée inhabituelle fut observée en fleurs sur l'île principale.
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