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2024, Spititualité et pensées théologiuques
Dans un monde où le tumulte de l'existence humaine semble souvent éclipsé par la souffrance, la foi et l'espérance sont des phares qui guident nos âmes. «Pèlerinage Spirituel : Voyage au Coeur de la Vie Éternelle» est une invitation à explorer la profondeur de la vie éternelle, une promesse qui, bien que spirituelle, trouve des racines solides dans notre quotidien. À travers les pages de ce livre, nous découvrons que la mort n'est pas un point final, mais un passage vers une existence glorieuse dans la présence divine. Le texte s'appuie sur des Écritures emblématiques et des témoignages de saints, éclairant notre chemin avec la lumière du Christ qui nous assure que nous ne marchons jamais seuls dans nos épreuves. Les réflexions présentées ici s'inscrivent dans le tissu de notre humanité, à la croisée des souffrances et des joies. Chaque chapitre résonne d'une vérité profonde : l'existence terrestre est bien plus qu'une simple série d'événements; elle est une opportunité de construire notre connexion avec Dieu et les autres. Les Écritures résonnent comme un murmure d'espoir, nous rappelant que nos cœurs brisés peuvent être renouvelés par la grâce divine. Ce livre vise à offrir des promesses, des perspectives et des encouragements à ceux qui, face à la douleur de la perte ou à l'incertitude de la vie, recherchent un soutien spirituel. Il est essentiel de réaliser que notre voyage personnel vers l'éternité est parsemé de moments de grâce, souvent au sein des communautés de foi que nous tissons. La prière se révèle être une pratique centrale, un moyen de cultiver notre foi tout en nous unissant à nos semblables. En prenant le temps de prier, nous développons une relation personnelle avec Dieu, qui nourrit notre esprit et fortifie notre cœur. Chaque prière devient une bouffée d'oxygène, un souffle de vie spirituelle qui nous rappelle notre identité d'enfants de Dieu, appelés à vivre selon Son amour. Nous découvrirons, à travers les chapitres de ce livre, un réseau d'interconnexions qui relie chacun d'entre nous. La promesse de la vie éternelle est accessible à tous, nous rappelant que le royaume de Dieu ne s'adresse pas seulement aux saints, mais aussi à ceux qui, dans leur fragilité, cherchent avec sincérité. C'est une affirmation de notre dignité spirituelle, qui nous incite à vivre de manière authentique et généreuse, témoignant de l'amour de Dieu dans chaque détail de notre existence. «Pèlerinage Spirituel : Voyage au Coeur de la Vie Éternelle» propose également de porter un regard sur le concept d'incorruptibilité, une réalité fascinante qui met en lumière la gloire divine. En contemplant les corps des saints, nous percevons la puissance de la grâce en action, et nous sommes encouragés à aspirer à cette sainteté à laquelle tous les croyants sont appelés. La promesse de la résurrection et la puissance de la prière deviennent des instruments de transformation, non seulement pour nous-mêmes, mais pour notre communauté et jusqu’au-delà de la mort. À travers une synthèse enrichissante et des réflexions éclairantes, ce livre se veut un compagnon de route pour tous ceux qui cherchent à approfondir leur foi et à renforcer leurs liens avec le divin et les autres. Que chaque page soit un encouragement à vivre pleinement chaque moment, budgétant judicieusement notre temps pour la prière, l'amour et le service. Que ce voyage soit une source d'inspiration et d'espérance pour chaque lecteur, témoignant que la lumière de Dieu brille même dans les ténèbres.
Les vieux chemins de pèlerinage en Europe sont de nouveau parcourus par la foule de pèlerins. Même les protestants y marchent : sur le chemin de Trondheim en Norvège, des milliers de descendants de Luther se rendent vers la tombe de S. Olav. En Angleterre, les anglicans accourent à Durham, pour faire mémoire de Bède le Vénérable. Une nouvelle théologie protestante du pèlerinage émerge. Un pèlerinage à pied : « quelque chose qui marche » aujourd’hui !
Le genre du récit de voyage, entendu comme compte rendu, produit par le voyageur lui-même, d'une expérience «viatique» présentée comme réellement accomplie 1 , semble naître et se développer, dans l'Antiquité, avec le pèlerinage chrétien 2 . Si le voyage est un thème littéraire fréquent, dans l'épopée, la poésie lyrique ou le roman grecs et latins, il demeure un motif, traité différemment selon les genres qui l'accueillent, isolé tel un fragment, ou filé dans des fictions dont il constitue la trame, ou bien encore utilisé comme garantie de sérieux par les géographes 3 . Mais aucun écrivain de l'Antiquité n'eut l'idée de narrer ses propres pérégrinations dans une oeuvre dont elles auraient fourni la matière exclusive, mis à part, peut-être, Arrien 4 , dans le Périple du Pont-Euxin, ou Rutilius Namatianus 5 , dans son De reditu suo. Le premier de ces textes rappelle le caractère éminemment technique et administratif d'une telle entreprise, réservée aux magistrats et aux hauts fonctionnaires chargés d'arpenter l'empire romain, même si Arrien, homme de lettres autant qu'homme d'Etat, réussit à rendre poétique son compte rendu en l'enrichissant de références littéraires propres à charmer Hadrien. Le second de ces textes est tardif, composé en vers au début du v e siècle par un ancien Préfet de Rome d'origine gauloise, et il n'est pas impossible qu'il soit une forme de «réponse» aux pèlerinages, de la part d'un «païen» attaché à la conservation de la coutume ancestrale 6 .
Cette édition numérique annotée de l’ouvrage de Lanza del Vasto paru en 1943 devrait permettre aux lecteurs moins familiers avec la culture Indienne d’accéder plus facilement à la richesse de son récit, grâce à des liens hypertexte vers différentes sources d’information accessibles en ligne. La priorité a été donnée à des sources en langue française, toutefois un certain nombre sont en anglais, en particulier en ce qui concerne des articles plus élaborés de l’encyclopédie wikipedia, Les graphies essentiellement phonétiques de l’auteur, basées sur ce qu’il entendait autour de lui, ont été placées en correspondance avec les orthographes actuelles. Enfin, une carte dynamique localisant les points du parcours de l'auteur a été mise à disposition.
« Le Purgatoire de saint Patrick – Un voyage intérieur », Poétique du Spirituel, dir. François Raviez, Arras, Artois Presses Université, 2016 , 2016
Le Purgatoire de saint Patrick-Un voyage intérieur Ce que je me propose d'explorer aujourd'hui est plus qu'un simple texte, c'est une légende, qui m'occupe, personnellement, depuis ma thèse, et qui a été beaucoup lue, entendue, copiée, à travers toute l'Europe, durant une large période qui s'étend du XII e au XV e siècle : il s'agit de la légende du Purgatoire de saint Patrick. Le premier texte qui la présente est le Tractatus de Purgatorio sancti Patricii d'un certain H., moine de Saltrey, mais la version la plus connue est certainement celle de Marie de France, en français. La légende est au moins double puisqu'elle rapporte à la fois la révélation d'une entrée terrestre de l'au-delà, faite à saint Patrick, pendant son ministère en Irlande, et le voyage du chevalier Owein dans l'autre monde, Purgatoire et Paradis terrestre, qui advient bien plus tard, du temps du roi Etienne. La légende s'appuie sur le fait qu'Owein est revenu parmi les siens et a raconté son expérience. En somme, il ne s'agit pas d'une autobiographie, mais du récit d'une expérience qui se présente comme réelle, historiquement datée et géographiquement située (du moins, au début…). Pour comprendre en quoi un tel récit peut croiser les préoccupations qui nous occupent ici, il faut garder à l'esprit le contexte médiéval : une certaine distance par rapport à ce que nous nommons maintenant autobiographie, une certaine familiarité avec les expériences spirituelles assez intenses (je pense notamment aux pratiques et récits des mystiques), et surtout la nécessité d'une interprétation perpétuelle des êtres et des choses. Rien n'est jamais seulement ce qu'il a l'air d'être, tout a toujours une voire plusieurs significations. Et tout, choses, êtres, actes, se pense sous le regard de Dieu, toujours. Une fois ces préalables établis, nous pouvons explorer en quoi on peut parler ici d'une véritable écriture du sujet, en quoi un récit de voyage peut-être une forme privilégiée pour exprimer l'expérience spirituelle et quelle conception de la vie spirituelle se dessine. Écriture du Sujet François Raviez proposait plusieurs pistes de réflexions dans la présentation de son projet global et il évoquait notamment la question de l'autobiographie ou d'une écriture du sujet où celui qui dit son expérience en devient en même temps le héros. Il en va précisément ainsi pour Owein, l'homme qui décide d'entrer dans l'autre monde. Il est d'abord présenté comme un pécheur presque exemplaire par sa faute. Si Owein, cet homme qui a commis certains des pires péchés dont l'homicide, peut sortir vainqueur de l'aventure, a fortiori les autres hommes peuvent racheter leurs fautes. Pour autant, il ne faut pas oublier le caractère
« Littérature médiévale : passer par la merveille pour dire l’expérience spirituelle », Poétique du Spirituel, dir. François Raviez, Arras, Artois Presses Université, 2016 , 2016
En Occident, on associe le plus souvent la spiritualité à la transcendance voire à la nécessité d'une révélation, ce qui explique qu'on puisse être intimidé quand on cherche à exprimer l'expérience spirituelle qui semble relever de l'indicible. Sans pour autant accréditer cette conception restrictive de la vie spirituelle, j'envisagerai ici une de ses expressions plus abordable, familière, voire affective, que le merveilleux, au sens de « représentation du surnaturel sans évocation directe du divin », rend parfois sensible, notamment à l'époque médiévale. Au Moyen Âge, le merveilleux ne s'oppose pas au sublime, mais il le prolonge dans le cadre assez large d'une sensibilité riche au surnaturel. Il faut admettre que le merveilleux est avant tout une catégorie esthétique voire l'expression d'un travail de l'imagination et qu'il peut sembler naïf ou illogique de l'étudier sous l'angle de la vie spirituelle. Mais l'un des présupposés de cette étude est que l'imagination a un lien avec la vie spirituelle, en raison de son caractère intermédiaire entre corps et esprit, entre intelligence rationnelle et production intuitive-espace où se déploie peut-être également en partie la vie spirituelle. De fait, il semble que l'approche de certaines productions imaginaires peut être une voie d'accès privilégiée au lieu occupé par la vie spirituelle en l'homme, puisque telle est également notre conception que la spiritualité est une part de l'être, non pas seulement une instillation extérieure. D'autre part, au coeur de l'approche stylistique, l'observation des accointances entre spiritualité et merveilleux se situe du côté de l'étude des motifs, de la stylistique macro-structurale. Elle paraît pertinente pour l'étude des textes médiévaux à la fois par défaut, car le style du texte médiéval ne peut pas toujours s'appréhender comme celui d'un texte plus moderne, et positivement, car le merveilleux est une des colorations littéraires dominantes qui a traversé le Moyen Âge, notamment à partir de l'influence désignée comme celtique dans l'histoire littéraire. Certains traits de cette « merveille » spécifiquement médiévale seront évoqués pour souligner ses points de convergence avec l'expérience spirituelle, ce qu'elle dit de l'activité particulière qu'est l'écriture d'une expérience de cette nature puis vers quoi elle ouvre, en quoi elle se dépasse elle-même. Dans ses modalités particulières, le merveilleux médiéval, couramment désigné sous le terme de « merveille » dans les textes rejoint presque intrinsèquement l'expérience spirituelle. La « merveille » met en avant le caractère subjectif de la perception tout comme l'expérience spirituelle paraît engager la part irréductible du sujet. Elle est souvent présentée au travers
Chantiers de la Création, 2011
Pétrarque consacre deux traités au loisir et à la solitude, le De otio religioso (OR) et le De vita solitaria (VS) 1. Le premier est adressé aux Chartreux de Montrieux, que Gherardo, le frère de Pétrarque, avait rejoints quelques années plus tôt 2 Le leitmotiv du traité est ce passage du Psaume 45/46 : Vacate et videte quoniam ego sum Deus. Lui-même leur avait rendu visite en 1345, et la vie de ces religieux contemplatifs l'avait vivement impressionné, tant et si bien qu'il songea à leur adresser un traité consacré à leur loisir. Ce texte sur le repos-car c'est là un autre aspect du terme otium-religieux, note Jean-Luc Marion, « est écrit par celui qui, précisément, vient d'y renoncer, et, depuis sa demeure dans le monde retrouvé, dans le monde comme il va, c'est-à-dire comme il ne va pas, en parle d'autant plus éloquemment qu'il ne le pratique justement pas » (préface à OR, p. 6). 3. Ce propos synthétise la vie des religieux contemplatifs, et la tradition exégétique, que Pétrarque connaît bien (Augustin, Grégoire, etc.) a été attentive à souligner à la fois les bienfaits de l'otium et ses dangers. On le sait, en effet, selon la formule chère aux scolastiques, corruptio optimi pessima : le meilleur, s'il se corrompt, devient le pire 4 La réflexion sur ce passage des Psaumes est l'occasion, pour Pétrarque, de souligner les bienfaits du christianisme, qui a enfin rendu la vacance possible. Non seulement possible, mais souhaitable. Non seulement souhaitable, mais, en un sens, obligatoire, puisque la sagesse biblique en fait un précepte du Très-Haut. Quel contraste, dans ces. 1 Le texte original des oeuvres de Pétrarque est intégralement disponible sur le site web de la Biblioteca italiana (http://www.bibliotecaitaliana.it). Je cite le traité sur La vie solitaire dans la traduction de Pierre Maréchaux (Payot & Rivages, coll. « Rivages poche / Petite Bibliothèque », n°266, 1999 ; le texte latin sur base duquel est réalisée cette traduction est celui de Marco Noce, Mondadori, 1992). La même année paraissait une autre traduction française du même ouvrage, due à Christophe Carraud (Jérôme Millon, coll. « Atopia », 1999 ; cette édition est bilingue). C'est la traduction, par le même Christophe Carraud, du traité sur Le repos religieux (Jérôme Millon, coll. « Atopia », 2000 ; édition bilingue, préfacée par Jean-Luc Marion) que je cite dans ces pages.
Cap Aux Diamants La Revue D Histoire Du Quebec, 1994
Théophilyon, 2012
L'avènement intermédiaire chez Bernard de Clairvaux. Une ouverture à l'eschatologie par l'expérience spirituelle. « Il y a en effet un troisième avènement, intermédiaire entre les deux autres : en lui reposent avec délices ceux qui Tont reconnu. Car si les deux autres avènements sont manifestes, celui-ci ne l'est pas. Dans le premier, le Seigneur a été visible sur la terre et il a vécu parmi les hommes : c'est le temps où, selon son propre témoignage, ils l'ont vu et ils l'ont pris en haine. Lors du dernier avènement, toute chair verra le salut de notre Dieu, et les hommes verront celui qu'ils ont transpercé. L'avènement intermédiaire, lui, est intime: en cette venue, seuls les élus le voient au-dedans d'eux-mêmes, et leur âme en est sauvée. Dans le premier donc, il vient dans la chair et la faiblesse. Dans celui du milieu, il vient dans l'Esprit et la puissance. Dans le dernier, il vient dans la gloire et la majesté. (...) Cet avènement intermédiaire est ainsi un chemin par lequel on va du premier au dernier. Dans le premier, le Christ a été notre rédemption; dans le dernier, il apparaîtra comme notre vie; dans celui-ci, il est notre repos et notre réconfort, de sorte que nous demeurions en repos entre les deux héritages. y Bernard de Clairvaux, Sermon pour l'Avent 5, l 1 ' SC *.&# CO`Wa# (&&*# ^% ',/$'-'% FOcT ^`nQWaW]\ Q]\b`OW`S# ZSa b`ORcQbW]\a a]\b S[$ ^`c\bnSa j F]c`QSa 6V`nbWS\\Sa% '' << Sab W\bWbcZn De medio adventu et triplici innovatione, x ? Odo\S[S\b W\bS`[nRWOW`S Sb \]b`S b`W^ZS `n\]dObW]\ y# ^O` ZO b`ORWbW]\ [O\caQ`WbS% 12 5S`\O`R Sf^ZWQWbS a]\ ]PXSQbWT S\ AdvA '# 1 F6 *.&# ^% /,#1. (*! 0 diligenter pensate rationem adventus, x ^SaSh OdSQ a]W\ ZSa []ROZWbna RS QSb 4dS\b y% <Z O ZcW$[p[S []RWTWn Z ]`R`S QV`]\]Z]UW_cS RS `nROQbW]\ RS QSa aS`[]\a# ^ZOmO\b Oc QS\b`S ZSa RScf aS`[]\a RS `nROQbW]\ ZO ^Zca O\QWS\\S * Sb +# an`WS 5 nQ`WbS S\b`S '')/ Sb ''*.!% d]W` 6Z% FbS`QOZ# Il « médius adventus ». Saggio di lettura degli scritti di Bernardo di Clairvaux# Bibliotheca cisterciensis /# E][S '//(# ^% (+$)'% ') << a OUWb RS ZO dWaW]\ RS Z S\TO\bS[S\b Rc IS`PS ^O` ZO IWS`US# ^]c` OW\aW RW`S S\ bS[^a `nSZ# `SZObnS ^O` :S]TT`]g R 4cfS``S# Fragment +# Analecta Bollandiana +&# '/)(# ^% /'# j ^O`Orb`S RO\a F6% '* SCt-*# +$-F6 +''# CO`Wa (&&,# ^% ',*$'-'!% '+ 6Wb]\a S\ ^O`bWQcZWS` ZS (S Sermon sur l'Avent RS :cS``WQ R <U\g F6 ',,# CO`Wa '/-&# ^% '&*$'',!1 ZSa Sermons pour l'Avent R 4SZ`SR RS EWSdOcZf ESORW\U$6Zc\g 1 ' Sb (# ?W\Q]Z\ '!1 CWS``S RS 5Z]Wa# Sermon pour l'Avent) C? (&-# Q% +-'!% I]W` j QS acXSb CV% A]chWZZS# op. cit., ^% ,'$,/ Sb ',-$(-' 1 :% EOQWbW# x ?S [SaaOUS a^W`WbcSZ%%% y# ^% (('# \% ')% ?S C% 7% 5S`b`O\R# _cS \]ca bS\]\a WQW j `S[S`QWS` ^]c` aO `SZSQbc`S ObbS\bWdS RS QSb O`bWQZS# a]cZWU\S RO\a aO Q]\b`WPcbW]\ Oc Q]ZZ]_cS Q]\aOQ`n j 4SZ$ `SR j G]cZ]caS S\ [O`a (&'&# x ? 4^]QOZg^aS RS ZO QVO`Wbn aSZ]\ 4SZ`SR RS EWS$ dOcZf y# Z W\TZcS\QS RS 5S`\O`R ac` a]\ RWaQW^ZS ^]c` ^S\aS` ZS bS[^a Q][[S RSdS\W` RS ZO QVO`Wbn S\b`S ZSa RScf Odo\S[S\ba% '&' d]W` 8% 6cdWZZWS`# x ?S bS[^a [SaaWO\W_cS 0 `nTZSfW]\a ac` ZO bS[^]`OZWbn QVSh COcZ y# W\ Paul# une théologie en construction# RW`% 4% 7SbbeWZS`# =%$7% >OSabZW# 7% @O`$ UcS`Ob# :S\odS (&&*# ^% ((&% '&(I]W` RB-0 `Sa^SQb Sb ]PnWaaO\QS S\dS`a ZSa ac^n`WSc`a (reverentia Sb oboedientia!1 Q]\aSWZ Sb OaaWabO\QS S\dS`a ZSa nUOcf consilium Sb auxilium)1 dWUWZO\QS Sb Q]``SQbW]\ S\dS`a ZSa W\Tn`WSc`a (custodia Sb disciplina). '&) Op. cit., ^% '-($'-+% '&/ Prope est verbum in ore tuo, et in corde tuo0 Adv A '#'& (op. cit., ^% ''-#'%'-$'/!1 AdvA +#) RS TOm]\ OZZcaWdS# ^% '-(#'%''# ^cWa S\ TW\OZS Rc aS`[]\# ^% '-*#'% (*!% ''& Si quis diligit me, sermonem meum (sermones meos) servabit, et Pater meus diligit eum, et ad eum veniemus, et mansionem apud eum faciemus. A]b]\a _cS QS bSfbS PW$ PZW_cS nbOWb RnXj RO\a C a ssie n , Inst. I# '-#) QWbn S\ \%. ac^`O# <\b`]RcQbW]\!% ''' AdvA)# *1 AdvA +# (Sb) (op. cit., ^% '*&#'% ,$.1 ^% '-&#'%)$* Sb ^% '-(#'%'$(!% ''(Studeamus ei templum aedificare in nobis, primo quidem solliciti, ut in singulis, deinde ut in omnibus simul inhabitet (SBO I# ^%
TK-21 la revue No 107, 2020
Avec la crise de la démocratie à Athènes, la parresia devient une pratique ambiguë, elle se produit dans la démocratie mais aussi dans la monarchie; il peut produire le résultat souhaité et même un résultat inverse, mettant en péril la vie de la personne qui l’assume. Ainsi se forment les quatre grands problèmes de la pensée politique ancienne: la recherche d’un régime, d’une politeia qui, par son indexation à la vérité, permet d’éviter le jeu dangereux de la parresia, c’est le problème de la ville, de l’État idéal; laisser la parole à tous, la démocratie, ou à un prince illustré par un bon conseiller, la monarchie; comment former des citoyens qui auront la responsabilité de guider les autres, comment former le prince au discours de la vérité; la parresia devrait être entre les mains de qui pour éduquer les citoyens ou le monarque, quelles sont leurs connaissances, la rhétorique ou la philosophie.
L'Information géographique, 2016
Si les religions organisent l’espace et faconnent les paysages depuis des siecles par le biais de reseaux de lieux de cultes, elles sont egalement a l’origine de flux de personnes a toutes les echelles. De la petite procession villageoise de la Fete-Dieu au grand pelerinage international du Hajj, ce sont des millions de personnes qui voyagent dans le but de se rendre dans des lieux etablis comme saints. En depit de la secularisation croissante des societes occidentales, le pelerinage ne faiblit pas. Bien au contraire, il connait un regain de pratique depuis les annees 1990. Si, en Europe, les pratiques et les signes religieux disparaissent peu a peu de l’espace public, ils perdurent dans les espaces bien specifiques que sont les sanctuaires. Ceux-ci, secularisation oblige, sont desormais le siege de pratiques hybrides entre pelerinage et tourisme.
La Sainte Écriture, lue dans la Tradition de l’Église, est le fondement de la vie spirituelle chrétienne catholique. C’est dans les Écritures, dans l’Ancien Testament et le Nouveau Testament, que nous rencontrons la Parole de Dieu destinée à prendre chair en nous et nous rendre ainsi participant du plan bienveillant de Dieu pour l’humanité. Dans cette brève étude, nous allons considérer les approches qui relèvent de notre responsabilité et, dans la dernière partie, l’œuvre de l’Esprit Saint en nous, dans notre homme intérieur et dans notre corps, pour la réalisation de cette œuvre de synergie avec le Dieu Trinité.
Société de Géographie, Paris, 2024
Journée d'étude. UNE APPROCHE ETHNOLOGIQUE INTERCULTURELLE Évènement interdisciplinaire placé sous le parrainage de la Société de Géographie Mercredi 5 février 2025 de 9h00 à 17h00
TK-21 la revue No 102, 2020
Les quatre derniers séminaires de Michel Foucault au Collège de France, de 1980 à 1984, peuvent être interprétés comme une histoire de la spiritualité pendant le paganisme, du Ve siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, une histoire et un sauvetage de la spiritualité contre ce qu’il appelle le moment cartésien de l’histoire de la philosophie qui n’a pas seulement à voir avec Descartes mais avec toutes ces positions qui dès le début de la philosophie, et jusqu’à aujourd’hui, ont essayé de voir la connaissance comme un problème méthodologique, d’application de la méthode et des instruments appropriés pour obtenir la connaissance, et non comme un processus impliquant la transformation du sujet de la connaissance. Il se concentre sur la période mentionnée ci-dessus mais en dialogue permanent avec toute l’histoire de l’Occident.
2016
Editions Karthala | « Histoire, monde et cultures religieuses » /4 n° 40 | pages 93 à 109 ISSN 2267-7313 ISBN 9782811118518 Article disponible en ligne àDistribution électronique Cairn.info pour Editions Karthala. © Editions Karthala. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Powered by TCPDF (www.tcpdf.org) Document téléchargé depuis www.cairn.info-Université de Lausanne-130.223.239.8-13/06/2017 09h38. © Editions Karthala Document téléchargé depuis www.cairn.info-Université de Lausanne-130.223.239.8-13/06/2017 09h38. © Editions Karthala
Terre sainte Magazine, 2021
Une réflexion sur le pèlerinage à l'heure de l covid-19 sur les enjeux humains et spirituelle de la reprise. Article commandé par terre sainte Magazine (revue francophone de la Custodie franciscaine de Terre sainte)
La spiritualité d’Eucher se révèle plus proche de celle d’Honorat, auquel Cassien l’associe dans la dédicace de ses Conférences, que de celle de Fauste de Riez.
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