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2014, Linguistica
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HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2003
CO-ENONCIATION ET CO-LOCUTION. ARTICULATIONS Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER Sujet énonciateur et sujet de l'énoncé dans la relation d'interlocution fictive .
Ce texte sert à présenter mon dernier livre qui vient d'être publié par les Editions Universitaires Européennes. Cette présentation sera complétée par un autre texte qui doit expliquer les bases théoriques de la recherche sur le discours politique dans les textes littéraires.
@nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise
2006
Présentation du recueil, en forme de synthèse Les communications qui suivent sont issues d'un séminaire organisé sur deux années universitaires par l'équipe AGREAH de l'Université Stendhal. Le thème biennal choisi " Mention et citation dans et depuis l'Antiquité " avait vocation, par son caractère assez généraliste, à fédérer les centres d'intérêt spécifiques des chercheurs de l'équipe. À cet égard au moins, ce fut une réussite. Il se trouve que cette question, qui avait déjà cours à l'époque alexandrine chez les premiers philologues occidentaux, est et reste centrale dans les études littéraires. Outre l'incontournable Compagnon (1979), des publications très récentes vont dans le même sens que celle-ci : Biville (1999), consacré aux proverbes et sentences dans le monde romain, fait plus qu'effleurer la question de la citation, puisque c'est par les citations mêmes des écrivains latins qu'on a accès à ces énoncés particuliers, dans leur pérennité et leurs variations ; Calame & Chartier (2004) posent la question de l'identité de l'auteur, notamment antique, et, par le biais de la question implicite du droit d'auteur, se trouvent exactement dans notre perspective ; Darbo-Peschanski (2004) 1 aborde très précisément (et parallèlement à nos propres travaux) la question de la citation antique. Sans prétendre présenter une bibliographie générale de la problématique 2 , tâche insondable, les communications qu'on / (p. 8) lira ciaprès contribuent toutes à éclairer ou-n'est-ce pas la même chose au fond ?-à compliquer la question. Car rien n'est simple à ce sujet. Comme notre séminaire n'était pas un colloque, il n'y avait pas de prédéfinition des termes citation et mention. Chacun est donc arrivé sans consigne à cet égard. Si les uns ont choisi de préciser la valeur de ces termes, soit en se reposant sur la définition d'un autre, en faisant fonctionner l'argument d'autorité (mais il y a plusieurs autorités), soit en proposant une définition ad hoc (et il est rare alors que les définitions se recoupent toutes fonctionnellement), les autres ont considéré qu'il y avait assez de consensus sur ces notions. Les uns et les autres ont raison : on peut en effet se passer de (re)définir des termes a priori accessibles à tous et traiter d'un aspect spécifique de la question ; mais on peut aussi considérer que la difficulté à définir ces notions est précisément aussi un aspect spécifique de la question. Définies ou non, donc, la citation et/ou la mention ont amené les auteurs de ce recueil vers des notions connexes. Étant donné les spécialités des auteurs, on ne s'étonnera pas de croiser dans les pages qui suivent quelques termes consacrés de la philologie classique : aemulatio (B. Bureau, H. Casanova…), contaminatio (H. Casanova, B. Gain…), ekphrasis (L. Gosserez…), exemplum (L. Gosserez, G. Salamon…), inventio et imitatio (H. Casanova, L. Gosserez…), Quellenforschung (L. Gosserez…), retractatio (H. Casanova, L. Gosse-rez…), testimonium (L. Vianès), topos (H. Casanova…), variatio (H. Casanova, C. Laizé…). Mais, sans réelle surprise, il sera également question d'apocryphe et de falsification (B. Gain),
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