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2010, Actes du 3e congrès international d' …
Titre de couverture : Actes du 3e congrès international d'études arabes chrétiennes, Louvain-la-neuve, septembre 1988.-Bibliogr. I. Astronomie médiévale. II. Astrologie arabe. III. Astronomie arabe.
On sait bien que le XIII e siècle a été l'âge d'or de la littérature copte d'expression arabe, et que celle-ci témoigne une érudition aux larges horizons, ouverte aux différentes traditions linguistiques et religieuses, tant anciennes que plus récentes ou contemporaines 1 . Les sommes théologiques, évidemment, illustrent le mieux cette vérité 2 . Deux de leurs auteurs font d'ailleurs le point sur leurs lectures, ou sur les bibliothèques auxquelles ils ont eu accès, en leur consacrant des chapitres propres: ch. 2 du Maómû' uúûl al-dín (MUD) d'al-Mu'taman Isüâq Ibn al-'Assâl, rédigé vers 1265, et ch. 7 du Miúbâü al-ÿulma (MZ) d'Abû al-Barakât Ibn Kabar, resté plus ou moins incomplet avant sa mort en 1324 3 . Préparant, de notre côté, l'édition partielle du Kitâb al-Burhân (KB) d'Ibn al-Râhib (IR) 4 , nous aimerions présenter déjà les résultats de notre * Sigles et abréviations en fin d'article. 1 A. SIDARUS, Essai sur l'âge d'or de la littérature copte arabe (XIII e -XIV e siècles), in
Érudition et culture savante, 2015
Sélections bibliographiques, 2018
Cette sélection bibliographique est un compte rendu du numéro 23 de la revue Oasis. Fondazione Internazionale Oasis (dir.) (2016), Le Coran et ses gardiens, Marsilio Editori spa. Ce numéro a pour objectif de faire un état des lieux du rapport des musulmans au Coran. Grâce à l’apport d’auteurs issus de diverses disciplines -, anthropologues, juristes, historiens, islamologues, etc. -, le dossier met en évidence la pluralité des approches en termes d’exégèse coranique en l’inscrivant dans une perspective historique et en donnant des clés pour en comprendre la complexité tout en proposant des pistes pour une lecture contemporaine adaptée. Auteure : Naïma El'Makrini.
ble conception, qui, de son vivant même, allait ouvrir carrière aux plus sublimes inventions analytiques. C'est qu'en effet Pascal, et c'est là certainement un des traits caractéristiques de ses travaux en mathé- matiques, dédaignait toute aide étrangère, toute méthode algébrique il recherchait le travail pour lui-même encore plus que pour ses résultats; d'ailleurs, comme on le voit par des lettres, écrites, ilest vrai, sur la fin de sa vie, il ne croit pas à la science: « elle doit-être, dit-il, J'essai mais non l'emploi de nos forces; » il ne croit pas surtout à la Les plaisirs innocens ont choisi pour asile Ce palais, où l'art semble épuiser son pouvoir: Si l'oeil de tous côtés est charmé de le voir, Le coeur à l'habiter goûte un bonheur tranouille. On y voit dans mille canaux Folâtrer de jeunes Naïades Les dieux de la terre et des eaux Y choisissent leurs promenades; Mais les maîtres de ces beaux lieux Nous y font oublier et la terre et les cieux. De ces beaux lieux, jeune et charmante hôtesse, Votre crayon m'a tracé le dessin: J'aurois voulu suivre de votre main La grâce et la délicatesse Mais pourquoi n'ai-je pu, peignant ces dieux en l'air. Pour rendre plus brillante une aimable déesse, Lui donner vos traits et votre air? VIE DE BLAISE PASCAL, PAR MME PÉRIER (GILBERTE PASCAL). Mon frère naquit àClermont, le 19 juin de l'année 1623. Mon père s'appeloit Etienne Pascal, président de la cour des aides; et ma mère, Antoinette Begon. Dès que mon frère fut en âge qu'on lui pût parler, il donna des marques d'un esprit extraordinaire par les petites reparties qu'il faisoit fort à propos, mais encore plus par les questions qu'il faisoit sur la nature des choses, qui surprenoient tout le monde. Ce com- mencement, qui donnoit de belles espérances, ne se démentit jamais; car à mesure qu'il croissoit il augmentoit toujours en force de raisonne- ment, en sorte qu'il étoit toujours beaucoup au-dessus de son âge. Cependant ma mère étant morte dès l'année 1626, que mon frère n'a- voit que trois ans, mon père se voyant seul s'appliqua plus fortement au soin de sa famille; et comme il n'avoit point d'autre fils que celui-là, cette qualité de fils unique, et les grandes marques d'esprit qu'il recon- nut dans cet enfant, lui donnèrent une si grande affection pour lui, qu'il ne put se résoudre à commettre son éducation à un autre, et se résolut dès lors à l'instruire lui-même, comme il l'a fait, mon frère n'ayant jamais entré dans aucun collége, et n'ayant jamais eu d'autre maître que mon père. Pendant cet intervalle il ne le laissoit pas inutile, car ill'entretenoit de toutes les choses dont il le voyoit capable. Il lui faisoit voir en géné- ral ce que c'étoit que les langues, il lui montroit comme on les avoit réduites en grammaires sous de certaines règles; que ces règles avoient encore des exceptions qu'on avoit eu soin de remarquer, et qu'ainsi l'on avoit trouvé le moyen par là de rendre toutes les langues communica- bles d'un pays en un autre. Cette idée générale lui débrouilloit l'esprit, et lui faisoit voir la raison des règles de la grammaire, de sorte que, quand il vint à l'apprendre, il savoit pourquoi il le faisoit, et il s'appliquoit précisément aux choses à quoi il falloit le plus d'application. Après ces connoissances, mon père lui en donna d'autres; il lui par- 1. Que la somme des angles d'un triangle est égale à deux droits. 2. Ces conférences, qui furent l'origine de l'Académie des sciences, se tenaient chez leP.Mersenne. laisser, et il se servit de ma soeur pour ce dessein, comme il s'étoitautrefois servi de mon frère lorsqu'il avoit voulu retirer ma soeur des en- gagemens où elle étoit dans le monde. Elle étoit alors religieuse, et elle menoit une vie si sainte, qu'elle édifioit toute la maison: étant en cet état, elle eut de la peine de voir que celui à qui elle étoit redevable, après Dieu, des grâces dont elle jouissoit. ne fût pas dans la possession de ces grâces; et comme mon frère la voyoit souvent, elle lui en parloit souvent aussi; et enfin elle le fit avec tant de force et de douceur, qu'elle lui persuada ce qu'il lui avoit persuadé le premier, de quitter absolument le monde; en sorte qu'il se résolut de quitter tout à fait les conversations du monde, et de retrancher toutes les inutilités de la vie au péril même de sa santé, parce qu'il crut que le salut étoit préférable à toutes choses. Il avoit pour lors trenteans,etilétoittoujours infirme; etc'estdepuisce temps-là qu'ila embrassé la manière de vivre oùil a été jusqu'à la mort1. Pour parvenir à ce dessein et rompre toutes ses habitudes, il changea de quartier, et fut demeurer quelque temps à la campagne; d'où étant de retour, il témoigna si bien qu'il vouloit quitter le monde, qu'enfin le monde le quitta; et il établit le règlement de sa vie dans cette retraite sur deux maximes principales, qui furent de renoncer à tout plaisir et à toutes superfluités; et c'est dans cette pratique qu'il a passé le reste de sa vie. Pour y réussir, il commença dès lors, comme il fit toujours depuis, à se passer du service de ses domestiques autant qu'il pouvoit. Il faisoit son lit lui-même, il alloit prendre son dîner à la cuisine et le portoit à sa chambre, il le rapportoit; et enfin il ne se servoit de son monde que pour faire sa cuisine, pour aller en ville, et pour les autres choses qu'il ne pouvoit absolument faire. Tout son temps étoit employé à la prière et à la lecture de l'Ecriture sainte: et il y prenoit un plaisir 1. Voici le texte d'un écrit de sa main, trouvé après sa mort cousu dans son habit: t L'an de grâce 1654, Lundi, 23 novembre, jour de saint Clément, pape et martyr, et autres au martyrologe, Veille de saint Chrysogone, martyr, et autres, Depuis environ dix heures et demie du soir jusques environ minuit et demi, Feu. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob. (Exode, III, 6, etc.; Matth., XXII,32,etc.) Non des philosophes et des savans. Certitude. Certitude. Sentiment. Joie. Paix. Dieude Jésus-Christ. Deum meum et Deum vestrum. (Jean, XX, 17.) « Ton Dieu sera mon Dieu.» (Ruth, i, 16.) Oubli du monde et de tout, hormis Dieu.. Il ne se trouve que par les voies enseignées dans l'Évangile. Grandeur de l'âme humaine. «Père juste, le monde ne t'a point connu, mais je t'ai connu.» (Jean, XVII.25.) Joie, joie,joie,pleursdejoie. Je m'en suis séparé: Dereliquerunt me fontem aquae vivae. (Jérém., II, 43.) «Mon Dieu, me quitterez VOUS?» (Matth., XXVII, 46.) incroyable. Il disoit que l'Écriture sainte n'étoitpas une science de l'es- prit, mais une science du coeur, qui n'étoit intelligible que pour ceux qui ont le coeur droit, et que tous les autres n'y trouvent que de l'obscurité. C'est dans cette disposition qu'il la lisoit, renonçant à toutes les lu- nières de son esprit; et il s'y étoit si fortement appliqué, qu'il la sa- roit toute par coeur; de sorte qu'on ne pouvoit la lui citer à faux; car lorsqu'on lui disoit une parole sur cela, il disoit positivement : «Cela l'est pas de l'Ecriture sainte,» ou: « Cela en est; » et alors il marquoit précisément l'endroit. Illisoit aussi les commentaires avec grand soin; car le respect pour la religion où il avoit été élevé dès sa jeunesse étoit ilors changé en un amour ardent et sensible pour toutes les vérités de la foi; soit pour celles qui regardent la soumission de l'esprit, soit pour cellesqui regardent la pratique dans le monde, à quoi toute la reli- gion se termine; et cet amour le portoit à travailler sans cesse à détruire tout ce qui se pouvoit opposer à ces vérités. Il avoit une éloquence naturelle qui lui donnoit une facilité merveil- leuse à dire ce qu'il vouloit; mais il avoit ajouté à cela des règles dont on ne s'étoit pas encore avisé, et dont il se servoit si avantageusement, qu'il étoit maître de son style; en sorte que non-seulement il disoit tout ce qu'il vouloit, mais il le disoit en la manière qu'il vouloit, et son discours faisoit l'effet qu'il s'étoit proposé. Et cette manière d'écrire naturelle, naïve et forte en même temps, lui étoit si propre et si particu- lière, qu'aussitôt qu'on vit paroitre les Lettresauprovincial, on vit bien qu'elles étoient de lui, quelque soin qu'il ait toujours pris de le ca- cher, même à ses proches. Ce fut dans ce temps-là qu'il plut à Dieu de guérir ma fille d'une fistule lacrymale qui avoit fait un si grand progrès dans trois ans et demi, que le pus sortoit non-seulement par l'oeil, mais Que je n'en sois pas séparé éternellement. « Cette est la vie éternelle, qu'ils te connoissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. » (Jean, XVII, 3.) Jésus-Christ. Jésus-Christ. Je m'en suis séparé; je l'ai fui, renoncé, crucifié. Que jen'en sois jamais séparé. Il ne se conserve que par les voies enseignées dans l'Évangile: Renonciation totale et douce. Soumission totale à Jésus-Christ et à mon directeur. Éternellement en joie pour un jour d'exercice sur la terre. Non obliviscar sermones tuos. (Ps. CXVIII, 16) Amen. Mme Périer ne parle pas de l'accident du pont de Neuilly. En voici le récit, d'après un manuscrit des pères de l'Oratoire de Clermont: « M. Arnoul (de Saint-Victor), curé de Chambourcy, dit qu'il a appris de M. le prieur de Ba- rillon, ami de Mme Périer, que M. Pascal, quelques années avant sa mort, étant allé, selon sa coutume, un jour de fêle, à la promenade au pont de Neuilly avec quelques-uns de ses amis, dans un carrosse à quatre ou six chevaux, les deux chevaux de volée prirent le frein aux dents à l'endroit du pont où il n'y avoit point de garde-fou; et s'étant précipités dans l'eau, les laisses qui les attachoient au train de derrière se rompirent, en sorte que le carrosse demeura sur le bord du précipice. Ce qui fit prendre la résolution à M. Pascal de rompre ses promenades et de vivre dans une entière solitude. » 1. Il fallait dire quatre ans; depuis trente et un jusqu'à trente-cinq. 1. Domat. 1. C'était l'usage de plusieurs communautés, et entre autres, decellede Port-Royal, d'envoyer tous les mois à certaines personnes des...
1998
De nombreuses légendes évoquent le fait que l'origine du Compagnonnage (et de la Franc-Maçonnerie) se situe lors de la construction du temple de Jérusalem, sous le règne de Salomon. Il est difficile, en l'état actuel de nos connaissances, de confirmer ou d'infirmer cette revendication. Mais il est un point qui a été trop négligé par les chercheurs, certains étant trop prompts à mettre cet épisode au compte des mythes sans fondement historique : car ce faisant, ce thème légendaire suppose qu'il y eut transmission non seulement dans le temps, depuis une antiquité dont on peut douter, mais aussi dans l'espace. En admettant qu'il y a peut-être là une part de vérité, il convient donc de se poser la question de savoir si cette transmission de l'Orient à l'Occident, quelles qu'en soient les circonstances et l'époque exactes, n'a pas laissé des traces dans les contrées traversées. L'on peut en effet difficilement imaginer qu'un tel voyage puisse s'être accompli sans étapes. Cela étant admis, l'on doit bien avoir présent à l'esprit que ce qu'il convient de rechercher ne se situe pas nécessairement sur le plan des ressemblances formelles : nous savons qu'en France même, durant la période pour laquelle la documentation permet d'en relativement bien saisir les usages et les apparences, les compagnonnages ont beaucoup évolué. Ainsi, certains emblèmes sont-ils apparus tardivement ou, du moins, ont-ils pris une importance qu'ils n'avaient pas auparavant : la canne en est un exemple caractéristique, celle-ci n'étant probablement devenue l'un des emblèmes majeurs du Compagnon que vers la fin du XVIIIe siècle. De même, le cas des tailleurs de pierre illustre combien l'itinérance n'est pas un facteur aussi constant et déterminant qu'il y paraît-les Compagnons considérant aujourd'hui qu'elle est la caractéristique sine qua non du Compagnonnage. Il est donc souhaitable d'orienter les recherches vers la caractéristique que l'on peut considérer comme étant la plus fondamentale, la plus immuable : les compagnonnages sont des fraternités de métiers à caractère initiatique, c'est-à-dire des organisations dont les membres pratiquent le même métier (ou un ensemble cohérent de métiers, par exemple ceux du Bâtiment) en tant que support à une voie spirituelle, à laquelle ouvre une cérémonie initiatique. S'il existe dès lors quelques pistes intéressantes-dont la plupart se referment aussitôt faute d'une documentation suffisante-un cas se détache nettement : celui des organisations initiatiques de métiers du monde musulman, notamment dans l'aire culturelle du chiisme.
You may download this work and share it with others so long as you credit the source completely. You cannot change this work in any way nor can you use it commercially. Attribution-NonCommercial-NoDerivs CC BY-NC-ND Table des matières Chapitre 1 : Le pacte du Prophète avec les moines du Mont Sinaï Chapitre 2 : Le pacte du Prophète avec les chrétiens de la Perse Chapitre 3 : Le pacte du Prophète avec les chrétiens de Najran Chapitre 4 : Le pacte du Prophète avec les chrétiens du monde (Manuscrit du Mont Carmel) Chapitre 5 : Le pacte du Prophète avec les chrétiens du monde (Manuscrit du Caire) Chapitre 6 : Le pacte du Prophète avec les chrétiens assyriens Les pactes du Prophète avec les chrétiens du monde Témoignages L'Initiative des Pactes 4 CHAPITRE 1
2016
Texte manuscrit français de : « Die Kalender der Araber vor dem Islam », dans Nora Schmidt, Nora Katharina Schmid & Angelika Neuwirth (édd.), Denkraum Spätantike. Reflexionen von Antiken im Umfeld des Koran, Wiesbaden (Harrassowitz), 2016, pp. 299-386.
(éds), Le corps et le sacré en Orient musulman. Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée (REMMM), nos 113-114.
Association des etudiants musulmans de IAI, 2020
Louange à Allah seigneur de l'univers, qui nous a préféré à toutes les créatures et nous a fait le don de l'islam la religion parfaite et complète. Que les bénédictions infinies d'Allah soit sur le prophète Muhammad , le meilleur exemple pour l'humanité.
Retorica biblica e semitica 3. Atti del terzo convegno RBS, dir. R. Meynet et J. Oniszczuk, Bologne, EDB, 2013
En suivant l’exemple de Pascal, cette étude entend montrer comment, en pleine apothéose cartésienne, un auteur français du XVIIe siècle en est venu à rompre avec la tradition occidentale d’une rhétorique déductive et linéaire héritée du monde gréco-romain, pour revendiquer et mettre en œuvre l’héritage biblique d’une rhétorique moyen-orientale privilégiant la symétrie à l’enchaînement, l’enroulement méditatif et la réverbération du même à la progression rectiligne du discours, et, en dernière instance, un mode de construction du sens délibérément poétique plutôt que strictement logique.
Erudition et culture savante, sous la dir. de Fr. Brizay et V. Sarrazin, Presses universitaires de Rennes, 2015, p. 117-143
Cet article évoque brièvement les conditions du travail érudit de Samuel Bochart, puis se propose d'en éclairer un aspect particulier : la recherche et l’exploitation de sources en langue arabe. Elles mettent l’accent sur l’impact de la période de formation du jeune érudit sur ses travaux ultérieurs.
Aux sources des liturgies indo-iraniennes, 2020
Les temps sont mûrs pour définir un nouveau type de comparatisme indo-iranien, qui serait fondé sur une approche globale de littératures pareillement constituées à des fins liturgiques : la védique et la mazdéenne. Telle était la conviction commune aux organisateurs du colloque intitulé Aux sources des liturgies indo-iraniennes, qui s’est tenu à l’Université de Liège, les 9 et 10 juin 2016, avec l’appui du Fonds National pour la Recherche Scientifique. Le présent volume, fondé sur les contributions présentées à ce colloque, est destiné à permettre à des indianistes et à des iranistes spécialisés dans ces questions de faire le point sur l’état des connaissances en présence les uns des autres. Compte-rendu par J. Martínez Porro (2023) : https://fu-berlin.academia.edu/JaimeMart%C3%ADnezPorro/Reviews
Semiotica, 2000
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MRAIZIKA FLORENCE
Les derniers šāhid (témoins) de la composition du culte islamique 1 Mraizika Florence (EPHE, doctorante Histoire : textes, documents) PARTIE 2 Le corpus coranique, dans ses versions actuelles ou anciennes, contient-il des stigmates d'une intervention politique concernant la genèse du culte islamique ? Le témoignage des anciens codex est primordial puisque leurs folios sont les seuls témoins, les seuls šāhid d'époque ! Dans une première partie, nous avons montré, en groupant bon nombre de faits discontinus, que la sphère politique, elle-même discontinue avait été ostensiblement aux premières loges lors de la recension et de la composition coraniques : c'est elle qui, simultanément à cette compilation de folios, avait organisé le culte islamique dans sa variante hiérosolymitaine (omeyyade) puis mecquoise (abbasside). Hormis ces deux témoignages sur le culte, l'un inscrit dans les méandres des lignes multicolores des parchemins d'époque et l'autre tapis dans les gestes et les « pierres » 2 sacrés du culte, nous avons les « narratifs» islamiques et les disparates récits de contemporains des faits. 3 Ainsi, selon les récits de la tradition, Umar, aux commandes de processus de collections coraniques a aussi donné son nom à une porte et à une mosquée de Jérusalem, il aurait, de surcroît, occupé le mihrab de David pour y légiférer. 4 Mu'awiya, dont les documents officiels comportaient une croix (Document 1), avait élu, pour lieu d'allégeance, l'esplanade du Temple et pour lieu de prière, le Mont des Oliviers, Gethsémani. 5 Uthman, illustre pour son activisme dans la destruction des codex d'Hafsa, avait choisi le titre judéo-chrétien de faruq (sauveur) lors de son entrée à Jérusalem sur un âne. Ainsi, la double activité du pouvoir sur le corpus sacré et sur le culte qui s'y lit, n'est donc niée, ni des « récits » ni des « pierres ». Document 1 : Inscription Grec du bain (hamam), Hamman Gadara., au nom du Calife Muawiya (radi Allah anhu). The early history of islam. The hiddens origins of islam. Heinz Ohlig et Gert Puin.
The paper disscuses the common sources of Jewish Mysticism viz. Kabbala and the Sufism. The Article has been published in Belgium in French
© Institut français d'archéologie orientale -Le Caire en ligne en ligne en ligne en ligne en ligne en ligne en ligne en ligne en ligne en ligne AnIsl 38 (2004), p. 285-304 JAVIER APELLÁNIZ RUIZ DE GALARRETA (Francisco)
Muhammad est-il une épithète de Jésus ? Is Muhammad an epithet of Jesus?
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