Que sont devenus les intellectuels?

Relations, 2013

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Savoir/Agir, 2015

Distribution électronique Cairn.info pour Éditions du Croquant. Distribution électronique Cairn.info pour Éditions du Croquant. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-savoir-agir-2015-3-page-5.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.

Bulletin d'histoire politique

1982

La question du rapport entre les intellectuels et le pouvoir peut être abordée de diverses façons*. Certains analyseront les rapports entre les intellectuels et le pouvoir politique institutionnalisé, l'État. D'autres privilégieront un point de vue éthique. Pour ma part, la réflexion sera surtout d'ordre méthodologique. Je vais suggérer un cadre d'analyse permettant de rendre compte du pouvoir des intellectuels, et par extension, des rapports de pouvoir qui s' établissent entre les agents de ce groupe.

Lawyer,editorial writer

Cahiers Internationaux De Sociologie, 2008

Distribution électronique Cairn pour les éditions Presses Universitaires de France . © Presses Universitaires de France . Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, de reproduire (notamment par photocopie) partiellement ou totalement le présent article, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public sous quelque forme et de quelque manière que ce soit. 1 L'avènement de l'intelligentsia moderne en Iran, comme dans tous les pays musulmans, est la conséquence de l'interaction avec l'Occident, en des termes inégalitaires. C'est pourquoi, dès le début de leur apparition dans la société iranienne dans la seconde moitié du XIX siècle, celle-ci éveille méfiance et suspicion (les intellectuels sont les vecteurs de l'influence malfaisante de l'Occident) ainsi qu'entichement et fascination (ils peuvent proposer des solutions pour surmonter l'infériorité technologique et plus généralement « matérielle » des sociétés musulmanes vis-à-vis de l'Occident). La tradition islamique, on le sait, connaissait le alim (pluriel, ulama : savant religieux), le filsouf (pluriel falasafa : philosophe au sens aristotélicien ou néo-platonicien du terme), le soufi (mystique musulman), le cheikh (titre honorifique lié à l'âge, à la prééminence religieuse mais aussi au savoir islamique). Dans le monde chiite, des titres comme akhund (religieux reconnu des fidèles comme susceptible d'être suivi et « imité ») et à partir du début du XX siècle, ayatollah et grand-ayatollah. Ces notions étaient très différentes de celle d'intellectuel. e [1] e 2

Clio, 2001

In Coutinho, Ana Paula; Almeida, José Domingues; Outeirinho, Maria de Fátima (Dir.). Lasemaine.fr. Porto: Universidade do Porto, Faculdade de Letras.., 2013

Revue internationale d'éducation de Sèvres, 2008