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2022, The Notion of Humanist Photography
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A consideration of Jeff Weber's documentation of the restoration of Edward Steichen's The Family of Man.
Classiques des sciences sociales., 2003
« La prospérité de l'économie canadienne dépend des aléas de son commerce extérieur à un degré qui dépasse ce que connaît la plupart des pays développés... Les exportations du Canada, au surplus, sont concentrées essentiellement dans le secteur de l'exploitation des richesses naturelles et c'est l'état des marchés d'exportations de ces produits qui sera pour quelque temps encore le facteur déterminant pour l'établissement d'un bien-être économique pour le Canada. Il suit de ceci que la prospérité du Canada est particulièrement dépendante de sa politique commerciale » 4. Or, la dotation et la localisation des ressources naturelles tendent à consolider des « régions spécifiques qui établissent ainsi des liens privilégiés avec les États américains contigus : » « À certains égards, les liens économiques que les Provinces maritimes entretiennent avec la Nouvelle-Angleterre tendent à s'affermir davantage que ceux qu'elles entretiennent avec le reste du Canada ; et l'on peut avancer la même chose concernant les provinces du Centre, les Prairies et la Colombie-Britannique avec les zones correspondantes des États-Unis » 5 .
Nietzsche écrit dans Le crépuscule des idoles à propos de son ambition stylistique, que dans la « mosaïque des mots » produits, « chaque mot par son timbre, sa place dans la phrase, l'idée qu'il exprime, fait rayonner sa force à droite, à gauche et sur l'ensemble […] » [NIETZSCHE 1970 : 127]. Cette observation peut décrire également un aspect important de l'écriture chez Hemingway. Le détail, le fragment, s'articule avec le tout structurel du récit, dont l'organisation textuelle fait montre d'une conscience perceptive, capable de rassembler de manière syncrétique les relations que le lecteur, lui, est contraint de dérouler en fonction des lois de la successivité. Si le minimum peut ainsi agir de manière maximale et harmonieuse sur le tout, c'est parce que l'ensemble de la pensée et ses processus complexes et singulièrement précis, sont engagés dans l'acte d'écriture. Dire ceci, c'est avancer en même temps que chez Hemingway le style et...
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2021
Le pilotage dynamique de l'éclairage offre aujourd'hui de nombreuses possibilités de modélisation et de contrôle de la lumière. Ces technologies peuvent guider le regard Éclairer pour illuminer. L'éclairage, un dispositif muséal de médiation
Études photographiques, 2012
Thierry Gervais, “A Delicate Transition,” Études photographiques 29 (May 2012): 4–5.
2020
Lorsque les « sans-parts » se rallient au « pouvoir vivre ». Ethnographie des associations des gilets jaunes sur les ronds-points de l'Oise Résumé Le soulèvement des Gilets Jaunes a suscité un vaste mouvement de déprise intellectuelle et de reprise de parole des « sans parts ». Inédit dans ses formes et sa durée, ce soulèvement est apparu comme une re-politisation de la société française. Retraçant la chronologie du soulèvement dans le département de l'Oise, l'article suggère que le passage de l'agrégation d'individus se soulevant dans des ralliements à celui d'associations s'identifiant à un rondpoint, une assemblée ou des Fraternités, donne à comprendre le sens politique de l'utopie du rond-point. La description met à jour un mouvement enchâssé dans le quotidien. Cet ancrage éclaire les modalités d'une resocialisation du politique et d'un mouvement produisant ses propres catégories, exprimées dans les revendications d'un « pouvoir vivre », d'une autonomie citoyenne et d'un contre-pouvoir. En ce sens, l'article décrit le trajet de subjectivations politiques et l'émergence de visions politiques et sociales alternatives. Mots clefs : Insurrection du quotidien / Sans parts / Catégories populaires du politique / Oise / Pouvoir vivre. English title When the "Sans Parts" rally to "Power to live". Ethnography of the Yellow Vests associations on the "rond-point" of Oise district.
Revue medicale suisse, 2007
Faut-il parler d'un livre qui laisse une forte impression de clair-obscur, d'équivoque, de désarroi ? La réponse devrait être d'autant plus évidente que le côté obscur semble dominer. En toute bonne logique, on pourrait penser qu'un ouvrage dont plusieurs chapitres semblent vains, et surtout ne nous concernent pas puisqu'il s'agit de « peopeleries parisiennes», ne mérite pas forcément d'être fini, et encore moins de faire l'objet d'une chronique : il y a encore tellement de livres cruciaux à lire, et tant d'autres dont on aurait envie de parler. Et pourtant, on va jusqu'au bout, en sautant les chapitres dont on se sent exclus ; et pourtant, on ne l'oublie pas, après l'avoir terminé. Il s'accroche à une arrête de notre mémoire, sans se laisser museler. C'est un livre qui dérange. Par son côté abrupt d'abord, qui ne nous épargne pas les détails crus de la sexualité de l'auteur et de son milieu, mais, soyons juste qui ne s'y complaît pas non plus. Par un soupçon de perversité Guibert ensuite, qui semble manipuler une bonne partie de son entourage (et pourquoi pas ses lecteurs ?) ; mais aussi par un regard acéré, impitoyable et lucide sur son expérience du sida, sur ses proches, sur les soignants. Et voilà la raison pour laquelle on le lit jusqu'au bout, et celle qui justifie cette rubrique : ce regard dérangeant constitue le côté clair de ce texte, affine notre questionnement, révèle des comportements sociaux, médicaux et amicaux désarçonnants, illustre les innombrables difficultés liées à une maladie émergeante et résistante à certains de nos schémas mentaux, met à nu les oscillations intérieures, faites d'espoir et de découragement, de doutes et de certitudes. «J'entreprends un nouveau livre pour avoir un compagnon, un interlocuteur, quelqu'un avec qui manger et dormir, auprès duquel rêver et cauchemarder, le seul ami présentement tenable» (p. 12). Et presque malgré lui, le lecteur partage en partie du moins, les jours et les nuits, les rêves et les cauchemars de l'auteur, se perd dans son équivocité. Ce livre s'inscrit pleinement dans ce que Philippe Artières a appelé l'écriture autobiographique, «une écriture à la première personne du singulier».1 Quand la première personne, comme c'est le cas ici avec Guibert, met à nu ses ambiguïtés, ses tensions internes, avec clairvoyance et un talent dépouillé, le lecteur est entraîné malgré lui dans une expérience qui l'oblige à se défaire de ses jugements moraux pour appréhender et comprendre les influences souterraines que peut avoir la maladie. La maladie et l'écriture ont toujours été complices, si l'on considère la création littéraire liée à la tuberculose, à la dépression, à la souffrance mentale en général. La pratique de l'écriture n'est
Protée, 2003
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : [email protected] Article « Lumière en noir et lumière tangible : le "goût" du paradoxe » Marie Renoue Protée, vol. 31, n° 3, 2003, p. 69-80. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/008438ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.
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Archives de sciences sociales des religions, 2016