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2008, Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement
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Le Carnet Psy, La Douleur, 2014
« L'enfant avait jusque-là presque toujours joué seul, tranquille et heureux, absorbé, à la différence de l'adulte qui lui ne jouait pas, sombre, crispé sur lui-même » (Peter Handke, Histoire d'enfant, 1981) Actes de la journée scientifique du Laboratoire de Psychologie Clinique et Psychopathologie, LPCP organisée par le Pr Catherine Chabert La douleur -2 e partie le Carnet PSY • mars 2014 19 Alexandrine SCHNIEWIND Vincent ESTELLON Catherine AZOULAY Maurice CORCOS Françoise NEAU Benoît VERDON Temporalités douloureuses et le vécu de l'ennui La douleur d'exister Psychose, douleur et création : des liaisons singulières Eros doloris Se survivre en penser La maladie d'Alzheimer, entre présence et absence à soi-même
"Les formes brèves offrent cet attrait que pour « peu » de lecture, on reçoit un volumineux bagage à méditer. Il existe deux champs possibles pour le décryptage : l’un concerne le sens, la substance quasi philosophale de l’aphorisme, du trait d’esprit ; l’autre s’attarde sur sa forme, ses moyens en langue, toujours identifiables ou presque par une figure : ellipse, parallélisme ou antilogie, euphonie ou allitération, euphémisme et litote… Il s’ensuit un véritable plaisir à nommer ces figures, à en restituer le nom particulier, de la même façon qu’un arbre sort de l’anonymat s’il est désigné comme un hêtre, un bouleau ou un laurier. La langue se montre sous son meilleur jour lorsqu’elle rapproche de la chose, qu’elle installe une familiarité avec les phénomènes. Qu’est-ce qu’une forme brève ? Bien sûr, on y trouve le proverbe, la sentence, le slogan et l’humour mais aussi un simple titre, une épitaphe, un hyperlien, un texto ; c’est-à-dire toute forme qui fait usage de concision pour d’une part frapper l’attention et d’autre part optimiser l’expressivité. Dans tout le non dit de la brièveté se loge le sens, laissé libre de forme et disponible à l’interprétation. La forme brève sollicite, elle a une fonction phatique, un pouvoir d’attraction ; elle est aussi au cœur de la manière dont le monde contemporain s’écrit et s’exprime. "
Mouvements, 2001
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Microtextualidades. Revista Internacional de microrrelato y minificción, 2017
Situant le genre de la microfiction dans la ligne des écritures de vies, cet article prend l’exemple des Vies pøtentielles de Camille de Toledo pour réfléchir aux bénéfices de la forme très brève comme évocation des potentialités de vie autre. La multiplication des scénarios imaginaires traduit la position de l’individu contemporain, son défaut ontologique, son désir impossible de se résumer à une histoire.
Virologie, 2015
Jean-Claude Ameisen, Raymond Ardaillou, Armand Bensussan, Christian Schmitt, Pascale Borensztein, Hervé Chneiweiss, Alain Ehrenberg, Jacques Epelbaum, Évelyne Ferrary, Pascal Ferré, Gérard Friedlander, Thierry Galli, Michel Garbarz, Hélène Gilgenkrantz, Simone Gilgenkrantz, Richard Hamelin, Stéphane Hatem, Dominique Labie, Fanny Lanternier, Olivier Lortholary, Anne-Marie Moulin and Christian de Rouffignac
Jeu, 2018
Analyse féministe du dernier texte de l'autrice québécoise Annick Lefebvre, présenté à La Colline Théâtre National (Paris) à l'automne 2017, dans une mise en scène d'Alexia Bürger, avec Marie-Ève Milot.
2018
La diffusion ou la divulgation de ce document et de son contenu via Internet ou tout autre moyen de communication ne sont pas autorisées hormis dans un cadre privé.
2018
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Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement, 2009
Disponible sur Internet le 7 février 2009 MOTS CLÉS Diplômes d'université ; Capacité ; Diplôme d'enseignement supérieur complémentaire Résumé Décrire l'évolution de l'enseignement de la douleur sur ces dix dernières années n'est pas une mince affaire en raison de l'organisation thématique à la fois pluridisciplinaire et pluriprofessionnelle ! Néanmoins, grâce à la volonté de chacun, d'importants progrès ont été enregistrés avec successivement la reconnaissance du thème « Douleur » parmi les modules d'enseignements préparant à l'Examen classant national (ECN), le développement des D.U. « Prise en charge de la douleur par le personnel soignant » à l'intention des infirmiers, des psychologues, des kinésithérapeutes et des pharmaciens, le maintien de la Capacité d'évaluation et de traitement de la douleur, véritable pierre angulaire de cet enseignement à l'intention des médecins généralistes et spécialistes et enfin la naissance progressive du D.E.S.C. « Médecine de la douleur et Médecine palliative », permettant de répondre aux besoins communs de ces deux spécialités en termes de formation en vue d'un encadrement médical d'un haut niveau des structures de soins respectives. Ces efforts pédagogiques sont par ailleurs illustrés par l'attractivité d'autres D.U. plus spécialisés ayant pour thème « la douleur chez l'enfant », « la douleur aiguë » ou encore « Psychopathologie et douleurs ».
à replonger dans son oeuvre avec un regard neuf, et on peut y remarquer une double constante : un goût pour le rire couplé à une volonté de mordre. Du Lutrin à L'Arrêt burlesque, du Chapelain décoiffé au Dialogue des héros de roman, le comique irrigue l'ensemble de sa production, et accompagne presque toujours une prise de parole critique, une attaque envers ses contemporains ou les moeurs de son époque. Nombreux sont ceux qui ont perçu son rire comme une morsure, par exemple Chapelain quand il le nomme « Monsieur le petit Dogue » 1 , René Le Pays qui parle de son style « qui mord et qui nous fait rire » 2 , Pierre Perrin dans La Bastonnade 3 jusqu'à Bonnecorse dans le Lutrigot, où Apollon commente : « Je sçay […] qu'il sçait mordre, & médire » 4. D'ailleurs, même des oeuvres dont le but premier n'était pas la critique des moeurs ou des mauvais auteurs contiennent des traits contre ses cibles préférées, qu'on pense aux attaques contre Scudéry, Chapelain, Perrault ou Quinault dans le Lutrin, L'Art poétique, sa correspondance ou ses Réflexions sur Longin. Il en ressort que Boileau, autant qu'un théoricien de la chose littéraire, qu'un courtisan malhabile, voire qu'un partisan bourru de la cause des Anciens, aurait été parmi les premiers auteurs comiques, héritier de la verve des Furetière, Lignières et de son frère Gilles. Le Boileau rieur, mordant et médisant a déjà attiré l'attention de la critique 5 , notamment à travers
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Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement, 2009
Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement, 2009
médecine/sciences, 2005
Traité de bioéthique, ERES, 2012
Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement, 2010
Le Fablier. Revue des Amis de Jean de La Fontaine, 2007
Journal de Pédiatrie et de Puériculture, 2001
Lingue, Culture, Mediazioni, 2019