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2017
Capitalisme contemporain et subjectivité chaPItre 1 Transformation des capitalismes, nouveaux modes de gestion du travail et subjectivité des salariés (1970-2016
Sociologie du Travail, 2000
Relations industrielles
Tous droits réservés © Département des relations industrielles de l'Université Laval, 2018
Deviance Et Societe, 2003
La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Travailler, 2009
Distribution électronique Cairn.info pour Martin Média. © Martin Média. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Journal des anthropologues, 2019
Nous renvoyons notamment à l'ouvrage Genre et savoirs qu'elle a coordonné avec Hélène Guétat-Bernard (2014).
Existe-t-il une bonne parole et une mauvaise parole en termes phénoménologiques ? À l'occasion de précédents travaux, j'ai abordé la question du rapport entre le dire et le dit dans la philosophie d'Emmanuel Levinas. L'éthique qu'il développe décrit une approche du langage dans le déploiement de la présence. L'humain, tout en s'ouvrant à l'éthique, permet au sens d'émerger dans le monde, porté par un pré-langage, une sorte de langue originaire par laquelle je me mets au service de l'autre.
Publié dans Actuel Marx, 2011.
Http Www Theses Fr, 2006
Revue Ouvertures, 2019
Cet article propose une réflexion clinique sur le malaise de la subjectivité humaine dans le discours médical courant et scientifique. Pourtant, la subjectivité humaine est là, bien vivante, dans l’expression quotidienne des maux du quotidien, de la difficulté de vivre, du mal-être existentiel et de la quête de chacun à être humain. Redonner une place à la dimension du sujet parlant et à son désir singulier- qui ne se réduit pas à un besoin à combler- pourrait-il permettre de mieux traiter la souffrance existentielle, celle qui est partout supposée, mais nulle part parlée ? This article proposes a clinical reflection on the malaise of human subjectivity in current medical and scientific discourse. Yet, human subjectivity is alive and vivid, in the day to day expression of daily life’s evils, the difficulty of living, the existential malaise and in the quest of everyone to be human. Restore a place to the dimension of the speaking subject and to his singular desire – which cannot be reduced to a need to be filled: could it allow to better treat existential suffering, everywhere assumed, but nowhere spoken
Pourquoi travaillons-nous ? Une approche sociologique de la subjectivité dans le travail, in (ed.) D. Linhart, 2008
“When work frees men: remarks on the subjectivity of inmate workers”, in D. Linhart (ed.) Why Are We Working? A Sociological Approach of Subjectivity at Work
Travailler, 2015
Dans cet article, nous proposons une discussion sur le statut et la qualité du sujet en ergonomie. Ce débat est d'une grande importance, le thème de la subjectivité n'a pratiquement jamais été directement traité en ergonomie dont les principales questions renvoient concernent les considérations physiques, cognitives et organisationnelles de l'activité. Or, la santé au travail tout autant que la performance économique des organisations, et pour des raisons liées, obligent aujourd'hui à (re)penser le « sujet » de l'activité et donc à poser la théorie du sujet qui permet de soutenir cette perspective. Faute de disposer de l'appareil conceptuel à hauteur de cet enjeu, il est alors nécessaire de s'adosser au dispositif théorique le mieux à même de permettre à l'ergonomie de relever ce défi. C'est la raison pour laquelle nous proposons de prendre appui sur le dispositif théorique de la psychodynamique du travail (PDT) pour travailler cette question, et relancer le débat, déjà ancien entre ces deux disciplines. Mots-clefs Ergonomie, psychodynamique du travail, sujet, subjectivité Resumo Neste artigo propomos uma discussão sobre a questão do sujeito em ergonomia. Este Palavras-chave Ergonomia, psicodinâmica do trabalho, sujeito, subjetividade
Questions vives recherches en éducation, 2014
La division du travail éducatif : deux figures de la subjectivité en tension ... Questions Vives, n° 21 | 2014 La division du travail éducatif : deux figures de la subjectivité en tension ... Questions Vives, n° 21 | 2014 La division du travail éducatif : deux figures de la subjectivité en tension ...
Nouvelles pratiques sociales, 2005
Depuis quelques années, l'étude des « émotions » est devenu un nouveau domaine d'investigation dans le contexte des recherches in ternationales. Les progrès énormes réalisés dans les domaines des neurosciences et de la cognition, les développements parallèles en psychologie, en parole et en prosodie, en musicologie, et la perspective des applications commerciales qui ne cessent de se diversifier, expliquent ce foisonnement extraordinaire des recherches (Caelen-Haumont, à paraître 2005). Pour notre part, l'étude de la subjectivité en prosodie entamée depuis l'origine de cette recherche nous permet de concevoir le domaine de l'affectivité, non pas comme le champ exclusif des « émotions », mais comme un champ diversifié, celui des états affectifs. En effet, au côté du champ des émotions et des attitudes bien recensé par la littérature, un état nous semble important en prosodie, sinon prioritaire, à savoir celui de l'émotion que nous appelons l'émotion ordinaire. C'est à cet état affectif particulier qu'est consacré cet article, et nous l'envisagerons dans le domaine de la parole et du chant spontanés. Dans le domaine de la parole affective, et en dehors de la pathologie, il semble bien en effet que l'on puisse distinguer trois états subjectifs différents, à savoir ceux propres à « l'émotionracine », aux « émotions typées », et aux « attitudes ». Selon Caelen-Haumont et Bel 2000, l'émotion-racine est « l'émotion ordinaire », c'est-à-dire l'émotion à la source de l'individu, qui en dehors d'émotions spécifiques telles la joie, colère etc., instancie dans l'instant, souvent à son insu, la personne avec ses croyances, ses motivations, ses impulsions, ses inclinations et ses répulsions. Cet état subjectif, toujours présent, se manifeste spontanément dans le discours ou la conversation pour peu que la personne s'investisse dans sa performance. Il est en relation avec le contenu des échanges, se mobilisant et se démobilisant tour à tour, pour se manifester à nouveau de manière tout aussi transitoire. C'est le sentiment intérieur qui s'exprime, et s'il a le champ libre, il s'exprime en relief, au premier plan. Cet état est référencé au singulier, ce qui montre son caractère général liée à la subjectivité perçue comme l'élément fondamental de la personne. Il semble que ce soit essentiellement dans la parole que se manifeste cette émotion-racine. Les émotions typées caractérisent des états bien connus de tout individu, expérimentés soit par le truchement de la parole, ou en dehors d'elle. Une émotion violente ou causée par surprise peut en effet bloquer momentanément l'expression verbale, de même qu'un interdit social par exemple peut réprimer son expression affective. On recense les émotions d'extraversion, telles que par exemple l'excitation, l'admiration, la joie, etc., et les émotions d'introversion, telles que la tristesse, l'ennui, la timidité, etc.. Les attitudes constituent un autre état affectif. La première tentative de définition du terme a été proposée par Couper-Kuhlen 1986 qui oppose ainsi l'émotion comme état du locuteur, à l'attitude comme type de comportement.
« Tout est cinéma. Tout est construction » nous annonce le narrateur dans Reconstruction de Christoffer Boe. Un peu plus tard, il ajoute: « il faudra lutter un peu. Que la lutte commence ! », sans expliquer s'il parle d'une lutte entre les personnages, ou si le spectateur devra s'engager dans une afin d'effiler l'intrigue complexe du film. Cette confusion est caractéristique d'une structure narrative qui brouille les points de vue. Il en résulte une version des faits dans laquelle il est difficile de discerner une objectivité. Le spectateur se sent esbroufé et, en fin de compte, perdu. Reste à voir si on a vraiment à faire avec "une lutte". La question centrale de mon article veut formuler une réponse sur le fonctionnement des points de vue subjectifs d'une façon disruptive dans un récit scénaristique (et dans un sens plus large, dans un récit cinématographique). Je propose de regarder de plus quelques cas intéressants: The Lady in the Lake (1947) 1 , Providence 2 , The Singing Detective (1986) 3 et Reconstruction (2003) 4 .
Meta: Research in Hermeneutics, Phenomenology, and Practical Philosophy, 2016
My paper aims to elucidate the emergence of subjectivity from the interplay between living beings and their environment. This attempt to give account of becoming-subject within the life itself leads to a confrontation between the phenomenology of life pursued since at least two decades by Renaud Barbaras with Canguilhem´s philosophy of biology. It starts with a criticism of Merleau-Ponty’s and Patočka´s respective failures to overcome the contrast between the level of bare life and the level of human existence. In order to answer such a prejudicial separation between unexamined life and self-reflected existence, I adopt in the second part a bio-centric perspective on human existence, inspired by Canguilhem and Guillaume Le Blanc, in order to re-evaluate the notion of life in terms of normative, expansive movement that both shapes the living being itself and individuates the elements on which it acts. The final part of the paper seeks to understand the emergence of subjectivity from ordinary life-challenges such as illness and experiences of vulnerability or fragility, thus bypassing the need for stipulating a self-referencing consciousness as a primary mode of self-disclosure.
Journal des Anthropologues, 2019
The creative work of fashion, one of the most powerful industries of today’s capitalism from both an economic and a symbolic standpoint, requires the production of subjectivities that conform to the imaginary of luxury, exception, and beauty that fashion produces. But beyond this, an ethnography of fashion work positions demonstrates that this professional environment also requires that the subjectivities of workers correspond to the place that they occupy in the hierarchy and to their professional role. Whereas the professional world of fashion presents itself as egalitarian and horizontal, it proves to be strongly asymmetrical and structured by very rigid rules.
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