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2003, Ethnologie française
La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2003-1-page-111.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info. La trace des Masques Identité guadeloupéenne entre pratiques et discours
Les nouvelles de l'archéologie, 2009
Hommes » regroupe une quinzaine de chercheurs d'horizons variés (cnrS, université, ministère de la Culture, inraP, secteur privé) aux spécialités diverses (technologie lithique, archéozoologie, tracéologie) et rattachés à différents laboratoires.
Pierre Bédier, Député, Président du Conseil général des Yvelines, Président du groupe d'amitié France-Gabon à l'Assemblée Nationale.
Les cahiers de médiologie, 2000
« Attention, vous êtes tracé ! » : le texte, qui s'affiche à chaque mise en ligne, met en garde les employés d'une grande banque contre un usage intempestif d'Internet et du courrier électronique. « Seule la trace fait rêver », disait pourtant jadis René Char… L'efficacité conférée à la trace par les technologies du multimédia signerait-elle son désenchantement ? Nous obligerait-elles à basculer de la traçophilie vers la traçophobie ? Pour comprendre ce que fait la trace, mieux vaut peut-être tourner autour d'elle, comprendre ce qu'elle n'est pas et la saisir par ses limites. Si l'image, est l'absence d'un objet auquel elle ressemble, la trace ne possède que peu de points communs avec elle. Elle signe la réalité d'un crime auquel elle ne ressemble guère.
Traces, Paris, Horizons d'attente, 2024, 288-XXIX p., 2024
Comment aujourd’hui interpréter, travailler, déplacer les traces du passé colonial instituées en « collections ethnographiques » au sein des musées ? À cette question, Traces du dé/colonial au musée apporte un éclairage multisitué et plurivoque. Restituer/rapatrier, exposer/représenter, acquérir/s’approprier, imaginer/performer ces œuvres et artefacts collectés en contexte colonial sont les problématiques qui traversent ce livre collectif. Articles inédits, traductions et entretiens visent à rendre accessible aux personnels des musées, étudiants et étudiantes comme au public francophones les pensées tissées et débattues à cet égard dans d’autres contextes culturels.
C'est sous l'angle de sa "modernité" que l'oeuvre de Kiarostami a généralement été commentée. Son cinéma pose, en effet, avec une rare acuité, l'une des grandes questions du cinéma contemporain, celle du statut de la représentation filmique: illusion mensongère ou vérité paradoxale du simulacre?
Revue de Neuropsychologie, 2004
Cet article synthétis brièvemen nos travaux sur la mémoir auditive i l court terme. On y défen l'idé qu'il existe plusieurs modules (ou registres) de mémoir auditive à court terme, et en particulier un module spécialis dans la rétentio de la hauteur tonale. On y sugg5re égalemen que l'attention peut affecter l'encodage en mémoir d'une donné auditive, mais n'a plus aucune influence sur la rétentio mnésiqu de cette donné une fois son encodage effectué Mots clé : mémoir auditive, hauteur tonale, attention.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2023
, un récit dédié à la reconstitution de l'existence d'une jeune fille juive disparue durant l'Occupation. 2006 : Daniel Mendelsohn publie aux États-Unis Les Disparus, où il recompose une partie de la vie de sa famille exterminée à l'Est. Ces deux oeuvres, qui forment des jalons essentiels dans l'évolution de notre littérature, ont pu faire figure de météores à leur parution. Certes des enquêtes sur les victimes de la Shoah avaient été menées dès l'après-guerre, mais ces deux textes frappent parce qu'ils ont été entrepris plus de cinquante ans après les événements alors que tout laissait penser qu'il ne subsistait plus aucune trace. Ils inaugurent un nouveau temps pour la mémoire et pour l'écriture après la Shoah. Depuis, les récits d'enquête consacrés aux victimes du génocide se sont multipliés sur la scène littéraire internationale. La France ne fait pas exception, et a vu naître, au cours de ces dernières années, des investigations très diverses. Certaines se présentent comme des fictions, comme L'Origine de la violence de Fabrice Humbert, quand d'autres relèvent de la non-fiction, comme Lettres d'amour en héritage de Lydia Flem, C'est maintenant du passé de Marianne Rubinstein, Histoire des grands-parents que je n'ai pas eus d'Ivan Jablonka, Sur la scène intérieure de Marcel Cohen ou Gare d'Osnabrück à Jérusalem d'Hélène Cixous. Les formes mobilisées sont elles aussi plurielles, du roman graphique (Nous n'irons pas voir Auschwitz de Jérémie Dres) au documentaire (Les Enfants du 209 rue Saint-Maur de Ruth Zylberman), en passant par le film de fiction (Lune de miel d'Élise Otzenberger). Encouragées par le retour au récit qui a animé la littérature à partir des années 1980 1 , ces investigations contribuent aux inflexions les plus décisives de l'écriture contemporaine 2. Elles accompagnent le développement d'une « littérature relationnelle 3 » en tissant, de mille manières, des liens entre les enquêteurs et leurs ancêtres mais aussi avec les témoins qu'ils interrogent, les différentes personnes qu'ils rencontrent durant leurs investigations et enfin avec leurs propres parents, lorsque leur quête leur donne l'occasion de remodeler une relation rendue défaillante par les non-dits et les secrets. Car à l'origine de ces textes, se tient une impulsion commune : le désir d'un enquêteur ou d'une enquêtrice, sans expérience directe des événements, de découvrir ce que fut la vie de certains disparus. Pour cela, l'écrivain se rend sur les lieux, interroge des témoins, ausculte des documents. Dans une époque caractérisée par son goût de l'archive 4 et par sa prédilection pour les récits de filiation 5 , ces enquêtes partagent une même ligne d'horizon : restituer les choses le plus fidèlement possible. Pareil impératif proscrit pour elles toute possibilité de jouer avec les faits et les documents, de brouiller la frontière entre le réel et la fiction, de subvertir le savoir, comme le font
2022
Le récit de l'Oasis de Djerba et invitation à réfléchir sur le sort des Oasis maghrébines
Cahier d'école, 2018
« La critique d’une histoire sans faille sert de fondement au réquisitoire contre l’idéologie du progrès. Benjamin esquisse une réflexion qui explore des régions de l’histoire jusqu’ici négligées et méprisées, et ce faisant, il dévoile ce qui ne l’avait encore jamais été. Sur la trace de la fêlure, il propose une nouvelle histoire des dépouilles des vaincus. »
Faire trace, Corti, 2023
Heinrich Himmler, chargé de mettre en route la solution finale, exhortait les nazis à emporter le secret dans leur tombe. Les charniers sont nettoyés, les camps démantelés, les preuves liquidées, les témoins assassinés et le souvenir de leur mort est voué à disparaître. Même si de nombreuses traces ont subsisté et que les historiens ont reconstitué les événements, les faits et la factualité ont été attaqués autant que possible, préparant un oubli sur le long cours dont le négationnisme a su tirer profit. C’est face à ces formes d’anéantissement que la littérature a dû elle aussi réagir. Travaillée par un mal d’archive et un mal du savoir, elle a cherché à faire trace en s’écrivant contre l’effacement, c’est-à-dire à la fois tout contre l’effacement et à l’encontre de celui-ci. C’est de la sorte qu’elle se confronte à ses propres moyens et à ses limites. Des textes survivants, écrits parfois aux portes des chambres à gaz et cachés sous la cendre, aux enquêtes contemporaines des descendants des disparus, c’est la riposte des œuvres face à la dissolution des faits que ce livre retrace. Comprendre une telle riposte, c’est pénétrer au cœur des écritures de la Shoah. Mais c’est aussi donner à entendre cette littérature afin que l’effacement programmé, dont les répercussions sont toujours vives, n’en vienne pas à triompher. Sans quoi, ni le souvenir des victimes ni les générations futures ne seront à l’abri.
Le Bulletin Association Franco Japonaise Nº 150 , 2021
In a survey of major masking traditions, the German ethnologist Andreas Lommel prefaced his comments on Japanese masks with an intriguing opinion. “All forms of artistic expression reach a peak of refinement in Japan. Here we find the purest possible translation of life into art—a complete ‘artificiality’—in a strict, absolute, and utterly unnatural stylization.” Setting aside the applicability of his assessment to every genre of Japanese art, Noh masks exemplify the aesthetic of “strict, absolute, and utterly unnatural stylization,” as reflected in a sophisticated and complex iconography. This essay explores the configurations, signification, and origins of this iconography.
La déconnexion électorale, 2017
Les résistances à l'adoption pour tous Les élections régionales des 6 et 13 décembre 2015 interviennent peu après le troisième anniversaire du collectif de La Manif pour tous dont la première manifestation en opposition au projet de loi Taubira sur l'ouverture du mariage aux couples de même sexe se tenait le 17 novembre 2012. Quatre ans et demi après sa fondation et quatre ans après l'adoption définitive de la loi à l'Assemblée nationale le 23 avril 2013, le collectif est toujours mobilisé. L'abrogation de la loi Taubira reste au coeur des revendications du mouvement mais il s'est saisi de nouveaux enjeux. De même, ses répertoires d'action ont évolué et se sont diversifiés. La dernière manifestation de rue organisée à Paris remonte au 16 octobre 2016. Par ailleurs, plusieurs groupes affiliés au mouvement investissent l'espace public avec leurs actions. Le collectif a aussi développé ses activités de lobbying et s'est saisi de toutes les échéances électorales pour interpeller les candidats et les inviter à se prononcer sur ses revendications. Dans le cadre des élections régionales, huit meetings ont été organisés, intitulés « Questions pour un président de région », durant lesquels des têtes de liste des Républicains, de l'UDI, du MoDem, du FN et de Debout la France ont accepté de répondre aux questions axées sur les compétences des régions concernant la « vie quotidienne des familles » 83. La volonté de ce mouvement est d'inscrire dans le champ politique la défense d'un ordre social fondé sur l'altérité sexuelle. Ses revendications 95 83. Voir le communiqué de presse « Régionales 2015 : pari gagné pour La Manif pour tous », posté le 3 décembre 2015 sur leur site internet, ainsi que le site Internet dédié à la campagne des régionales :
Revue Française de psychanalyse, 2024
... la trace, c'est celle du meurtre. Elle en témoigne en le défigurant de mille manières et rend son effacement impossible. ET, si la trace mnésique liée à "la part inconciliable de la réalité psychique ... appelle l'art de l'interprétation" qu'on pourrait aussi décrire comme une sorte de chasse, c'est pour saisir une chance pour la vie psychique.
Escritura e Imagen, 2012
Este artículo se cuestiona, desde una voz plural, el lugar estratégico que juega el psicoanálisis en el pensamiento de derrida. ¿acaso no sostienen ambos un comprometido y continuado pensamiento de la "huella"? Conceptos claves del psicoanálisis como Nachträglichkeit, Verspätung, inconsciente, Unheimlichkeit serán revisitados desde la herencia propiamente derridiana, para terminar postulando un nuevo parentesco.
Docteur en philosophie et maître de conférences à l'Université Paris-Sorbonne, Claude Romano s’intéresse tant à la métaphysique, la philosophie contemporaine, l’herméneutique qu’à la phénoménologie. À ce sujet, il a composé une dizaine d’ouvrages philosophiques, dont L’événement et le monde (PUF, 1998), L’événement et le temps (PUF, 1999), Il y a (PUF, 2003) et Le chant de la vie : Phénoménologie de Faulkner (Gallimard, 2005). Par ailleurs, ses recherches dans le domaine de l’herméneutique l'ont amené à redéfinir l’aventure humaine à partir de la notion d'événement. À ce titre, l’exposé qu’il a donné le 9 mars dernier se voulait à la fois un approfondissement des questions philosophiques liées à cette interprétation phénoménologique de l’Homme et le limon d'un débat fertile sur l'« écriture de l'événement ».
Ce chapitre est la conclusion tome I de la série L'Homme-trace (CNRS éditions, 2011). Il résume les apports des auteurs qui ont participé à l'ouvrage et présente la notion de trace comme vecteur d'interrogations sur ce qui fonde l'humanité de l'Homme.
Plein droit, 2016
Distribution électronique Cairn.info pour GISTI. Distribution électronique Cairn.info pour GISTI. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-plein-droit-2016-3-page-3.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
Vacarme, 2011
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L'Autre, 2003
A u regard de la prolixité des descriptions littéraires qui traitent, en Occident, de toute la gamme d'expressions et d'émotions liées au « sentiment amoureux », les traditions orales des sociétés de l'Afrique subsaharienne semblent singulièrement pudiques. S'il peut être question, dans les mythes, les légendes ou les contes, de coïts fantastiques ou périlleux, désir et sentiments n'y sont guère exposés. Serait-ce que dans la vie sociale, ils n'aient aucune légitimité ? Résumant le contexte dans lequel s'inscrivent les contes africains à thématique sexuelle, Suzanne Lallemand (1985 : 45) écrivait : « En Afrique traditionnellement, l'inclination mutuelle est plutôt perçue comme un frein aux tractations familiales concernant le mariage, et la polygynie n'a que faire de l'exclusivité du lien amoureux ». Que les rapports entre institution matrimoniale et « amour » n'aient rien de nécessaire, qu'ils puissent même être antinomiques, on le sait depuis longtemps par la littérature et les travaux des historiens et ethnologues. Mais là où l'amour conjugal n'est pas requis, désir, affinités et privautés sentimentales peuvent se déployer, voire se cultiver, dans d'autres espaces. Il arrive même qu'au prix de bien des détours, ils réinvestissent la relation matrimoniale. Du ressenti de l'autre, notamment en matière « d'amour », l'ethnologue ne peut rien dire. Comment, confronté à d'autres configurations culturelles, pourrait-il savoir quelque chose d'un sentiment dont il doute lui-même chez son « autre » le plus proche ? Il ne dispose que de traces -fragments de discours, dispositifs institutionnels, gestes, formes de jalousie -qui lui permettent d'en approcher quelques modes d'expression et de représentation. Au-delà ou en deçà des figures conventionnelles, institutionnelles ou rhétoriques, saisir les affects de l'autre, ou tout au moins les situations qui l'affectent, est une tâche pour laquelle il (elle) se sent particulièrement désarmé. C'est en quelque sorte « à l'estime » et par petites touches, que je tenterai ici d'abord d'évoquer ces traces, avant d'interroger certains procédés qui peuvent modeler, contraindre et éduquer l'expression des sentiments. Nombreuses sont les sociétés africaines qui semblent réserver amitiés particulières, jeux érotiques et rapports électifs entre garçons et filles à
Images Re-Vues, 2018
Les Monstres des hommes ou trente-sept pages et quarante-huit images pour rendre la voix des subalternes du XIII e siècle Les Monstres des hommes or 37 pages and 48 images to Give Voice to Subordinate People from the XIII th century Pierre-Olivier Dittmar Pourtant, les nuits des bons saints, alors qu'ils devraient jeûner, ils mangent et boivent tant et tant qu'ils s'urinent dessus, et qu'ils disent, complètement saouls, leurs mâtines en Hurepoix, qu'ils rotent et toussent de l'outrance de viandes et de boissons (v. 740-746
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