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2021, Genesis
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19 pages
1 file
Cahiers de Narratologie, 2006
Ce document a été généré automatiquement le 30 avril 2019. Cahiers de Narratologie-Analyse et théorie narratives est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 4.0 International.
Le document de la Commission biblique de 1993 exclut la typologie, de même que l’intertextualité dont elle fait partie, du domaine dit «scientifique» des méthodes; elles sont pour ainsi dire reléguées dans le champ de l’interprétation. Après une critique de la classification des «méthodes», il est montré comment l’intertextualité constitue une des opérations nécessaires à l’exégèse, et que, comme elle, la typologie doit et peut être fondée sur des critères raisonnables et contrôlables. Mots-clés: typologie, intertextualité, rhétorique biblique et sémitique, exégèse
Protée, 1999
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.
The theory that this doctor's degree aims to promote refers to the intertext reading in the key of Eliade's Myth of the Eternal Return (MER). The essential characteristics of the myth are checked for the intertext, if the latter is not seen as a simple transfer of a textual sequences from one page to another. Moreover, to identify intratextual correspondences from the epidermal surface of the text, special programs have been invented. In our case, the psychology of performance, some certain compe-tences of the mechanism, a series of signs from the depth of the (inter)text have tempted the critical eye. Talking about the myth, we have considered Eliade's Myth of the Eternal Return. Repetition produces a click and the whole mechanism is then put into motion: the implicit and creative differing, the tension that is released from overlapping (never complete), the escape from the profane to the sacred.
Cahiers du GEPE Outils de traduction outil du traducteur , 2010
Intertextualité et technologies de l'information et de la communication : principe et mise en oeuvre Résumé | Plan | Texte | Bibliographie | Citation | Auteur Résumés | Résumé | Abstract |
Gregorianum, 2013
RÉSUMÉ Le document de la Commission biblique de 1993 exclut la typologie, de même que l’intertextualité dont elle fait partie, du domaine dit «scientifique» des méthodes; elles sont pour ainsi dire reléguées dans le champ de l’interprétation. Après une critique de la classification des «méthodes», il est montré comment l’intertextualité constitue une des opérations nécessaires à l’exégèse, et que, comme elle, la typologie doit et peut être fondée sur des critères raisonnables et contrôlables. Mots-clés: typologie, intertextualité, rhétorique biblique et sémitique, exégèse ABSTRACT The 1993 document of the Biblical Commission excludes the typology, as well as intertextuality which it belongs, from the field of «scientific» methods. They are so to speak relegated to the field of interpretation. After a critics of the classification of the «methods», it is shown how intertextuality is one of the operations necessary to the exegesis, and that, just like it, typology owes and can be based on reasonable and controllable criteria. Keywords: typology, intertextuality, biblical and semitic rhetoric, exegesis
AFRREV IJAH: An International Journal of Arts and Humanities, 2019
La traduction et l'intertextualité sont des termes liés au texte qui ont beaucoup retenu l'attention au cours des dix dernières années. Ces deux termes étant toujours mentionnés ensemble, la confusion quant à leur démarcation est devenue monnaie courante, justifiant la tentative de la chercheuse à tenter de tracer une ligne de démarcation entre les deux termes, malgré le chevauchement des fonctions imminentes dans les deux. Dans cette tentative, des efforts ont été déployés pour expliquer clairement les deux termes, faisant ressortir leurs formes et leurs fonctions. Afin d'élucider la source de la confusion qui existe dans la compréhension des deux termes, la chercheuse s'est efforcée de faire ressortir les aspects qui se s'entrelacent dans leur pratique. Au cours de la recherche, il était découvert que l'intertextualité et la traduction sont deux faces d'une même pièce, se complétant de manière complémentaire, chaque partie ayant besoin de l'autre pour fonctionner.
Palimpsestes, 2006
Il y a quelque temps déjà, j'ai tenté de répondre à la question de savoir si le dictionnaire était un conservatoire de clichés et mon propos était alors la représentation en lexicographie bilingue des clichés 1. Parmi ceux-ci, j'avais évoqué les citations usées, et, ce faisant, avais abordé ce que j'appellerais de l'intertextualité consignable, en reconnaissant bien vite les limites auxquelles les dictionnaires bilingues se trouvent confrontés, puisqu'ils ne peuvent d'une part enregistrer tout des deux cultures qu'ils représentent, d'autre part, prévoir ou prédire ce qui sera cité, pastiché, détourné, utilisé en allusion, etc., tout ce qui aura une charge ou une épaisseur intertextuelle dans chacune des cultures-laissant donc aux dictionnaires de citations, unilingues, le soin de répertorier ce qui est, ou peut être, mis à contribution par d'autres, dans d'autres textes, à d'autres fins, voire sous d'autres formes. Au dictionnaire bilingue, donc, le soin d'enregistrer les citations usées à force de « traîner partout », tellement clichés qu'elles n'ont plus grande valeur culturelle ni effet intertextuel au-delà de l'identification de leur auteur et du texte dont elles sont tirées, éventuellement. 2 C'est une préoccupation similaire qui m'a entraîné à me pencher aussi, ailleurs, sur la traduction des titres de presse, dans lesquels se cristallisent, me semble-t-il, les problèmes liés au non-dit à traduire et à l'allusion culturelle. En effet, le titre de presse anglo-saxon, dans sa grande tradition, le titre jeu de mots ou le titre clin d'oeil, est typiquement un texte qui en cache, plus ou moins, un autre, qui est la clé du décodage et de l'appréciation du titre. Le titre de presse entraîne le lecteur à opérer des rapprochements avec des éléments culturels aussi divers qu'oeuvres littéraires (par allusion à leur titre ou citation), films, chansons, discours connus, mais aussi dictons ou proverbes, slogans, etc. Le lecteur est donc amené à décoder la référence, selon le degré d'enfouissement de celle-ci, et ensuite à en apprécier la justesse et l'adéquation au fur et à Entre l'esquive et la mise à plat : traduire l'intertextualité chez James Thu...
Atelier de traduction, « Avez-vous dit culturel ? II, Destination Beyrouth », 2017
What are the limits of translatability? They are embedded in culture, stemming from intertextuality and idiomaticity. In the first part of the article, through various examples, I discuss the problem of translating texts that develop intertextual semiotic strategies: how intertextuality can be preserved in spite of idiomaticity, or compensated if lost, and whether it is intertextuality or a specific intertext that is lost in translation. In a second part, I delve further into the problem of translating texts based on idiomaticity: how meaning can be preserved in spite of idiomaticity, how the loss can be compensated, and why in certain cases all we can do is to appreciate the untranslatability of such texts. Quelles sont les limites de la traduction ? Il y a celles de telle traduction, celles de tel traducteur, celles de l’état du savoir sur une langue, mais il y a des limites plus essentielles à la traduction elle-même : des références culturelles qui se perdent quand on passe d’une langue à une autre ; des particularités linguistiques sur lesquelles reposent certains textes qui passent à la trappe quand on traduit. Que peuvent les efforts et l’ingéniosité du traducteur face à la menace de perdre quelque chose d’essentiel à la compréhension, voire à l’existence-même du texte original ? Cette menace est presque toujours présente pour le traducteur, et d’autant plus quand il s’agit de textes littéraires ou artistiques (titres de film, paroles de chanson, etc.), où les références culturelles plus ou moins évidentes sont nombreuses, et où un texte peut s’élaborer à partir des propriétés graphiques ou phonétiques de certains mots. A partir d’exemples précis, nous examinerons comment diverses stratégies sémiotiques s’élaborent en tenant compte de paramètres textuels et contextuels. Nous apprécierons comment certaines de ces stratégies parviennent à préserver l’intertextualité ou à en compenser la perte, et marquerons la différence entre la sauvegarde de l’intertextualité et celle d’un intertexte spécifique. En un deuxième temps, nous nous concentrerons sur les difficultés posées à la traduction par l’idiomatisme, en examinant trois types d’exemples, ceux où le sens peut être relativement préservé malgré (la perte de) l’idiomatisme, ceux où l’idiomatisme est si important pour la structuration du texte qu’un dilemme émerge entre une traduction privilégiant le sens des termes et une autre retrouvant le sens du travail d’écriture grâce à prise de distance par rapport au sémantisme, enfin ceux où l’idiomatisme annihile pour des raisons plus ou moins objectives l’approche traductrice.
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مجلة العلوم الإنسانية, 2017
Cahiers d’études germaniques, 2020
Polysèmes
Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, 2017
Romanica Cracoviensia, 2019
The Arbutus Review, 2015
Cahiers de praxématique, 1999
Bonhomme Marc Lugrin Gilles, 2006
Cahiers du plurilinguisme européen
La prière dans le Nouveau Testament. Regards croisés, Cahiers de la Revue des Sciences Religieuses, 2012
Годишњак Филозофског факултета у Новом Саду
in Ph. Mudry et O. Thévenaz (éd.), Nova studia Latina Lausannensia, 2004
TTR : traduction, terminologie, rédaction, 1989