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2000, Meta: Journal des traducteurs
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17 pages
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1996
Fondee sur l’experience concrete de la traduction d’un ouvrage sur les jeux, le commentaire et la reflexion portent sur l’ensemble de l’operation traduisante.
La traduction de toute oeuvre littéraire est une activité laborieuse de ré-écriture et de re-création d'un univers fictionnel qui doit correspondre aux goûts et aux attentes des lecteurs de la languecible, pour permettre la diffusion de l'oeuvre. Elle suppose donc un travail «à quatre mains», pareil à une symphonie jouée simultanément par deux musiciens, qui doivent suivre la même partition, mais dont un seulement est le compositeur. Cette activité double implique l'existence d'un pacte de lecture établi entre l'écrivain et son traducteur d'un côté, et entre le traducteur et les lecteurs étrangers de l'autre.
Debate Terminológico, 2012
With the notion of translation competence as its starting point, this work correlates neological creation and translationactivity, advocating the need for more implication in producing secondary neologisms. It does so by presenting a sample ofLacanian neology, which is analyzed and classified from its formal and functional aspects. After that initial classification,translations of neologisms in Seminars published in Brazil were analyzed as well, in search of a pattern of translation criteria.Association of both analyses led to the proposal of a set of equivalence criteria for Lacanian neologisms in Portuguese. Therefore,the aim of this article is to describe and comment on the formal and functional classifications, and present the proposal fortranslation equivalence in Portuguese, with examples, and correlate it to translation competence. The research takes as its theoreticalframework studies on neology, Lacanian psychoanalysis, corpus linguistics, and translation. Results obtained ...
Biens Symboliques / Symbolic Goods, 2018
La reverie serait-elle un bon instrument pour la connaissance de la traduction ? Une reflexion sur le travail de la traduction implique qu’on interrompe le travail pour observer ce que l’on fait en le faisant. Ainsi, puisant dans son experience de traducteur de la correspondance de Walter Benjamin, l’auteur montre comment une part de reverie – associations spontanees de l’inconscient, faculte de constituer un monde separe de la realite selon Freud – entre dans les operations concretes de la traduction. Il propose ainsi de reformuler l’adage « traduire, c’est trahir » : traduire, c’est faire entendre une chose dans une langue, c’est-a-dire la faire reconnaitre dans cette langue aux personnes qui la parlent, tout en trahissant la maniere dont l’autre langue la fait reconnaitre. La reverie serait alors le mode de perception de cette difference, dont la restitution concrete est, de fait, impossible.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2005
« En principe, n'importe quel genre peut s'introduire dans la structure d'un roman, et il n'est guère facile de découvrir un seul genre qui n'ait été, un jour ou l'autre, incorporé par un auteur ou un autre. » (Mikhaïl Bakhtine, 1978, p. 141) « Le gouvernement est l'émanation du peuple. Si le peuple est en désaccord avec le gouvernement, alors il faut dissoudre le peuple et en élire un autre. » (Berthold Brecht 1) « La recherche, d'ailleurs, est-elle tenue de se traduire dans une pratique ? » (Meta, 50 e anniversaire, appel à communications) RÉSUMÉ Cette communication est l'oeuvre d'un praticien devenu enseignant, puis chercheur. Parce qu'il existe des traductions sans traducteurs et que les traducteurs se limitent de moins en moins à la traduction, nous pensons qu'une traductologie proactive doit choisir entre ces deux pôles et, en l'occurrence, se construire autour des problèmes concrets rencontrés par les traducteurs : comment s'agencent, pour les praticiens, les questions de la confiance, des différentiels de savoir, de l'erreur, de la transparence des textes… En assumant l'impureté consubstantielle à cette profession, on parviendra ainsi à une réflexion opératoire sur la mise en cycle des savoirs, l'hybridation et le dialogue des disciplines. Nous explorons, exemples à l'appui, deux de ces dialogues possibles entre, d'une part, la traduction pragmatique et, d'une part, la terminologie et narratologie. Familier des espaces liminaires, le traducteur est ainsi idéalement placé pour se livrer à un ensemble de raisonnements aux limites, qui pourront à bon droit sembler simplistes, mais dont le caractère opératoire est attesté par une pratique.
Meta: Journal des traducteurs, 2000
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998.
Maziar Mohaymeni, 2014
En dépit de son caractère second, clos et limité, l'activité du traducteur peut se définir à partir de la même double tâche que Gérard Genette assignait à l'écrivain, mais aussi au critique littéraire : écrire, se taire. Le silence du traducteur et de l'oeuvre traduite se donnerait, dès lors, le même type d'explications que le silence de la littérature, considérée, depuis deux siècles, comme un discours « pétrifié », non communicatif, non communicationnel, autoréférentiel, autoréflexif. Ce « mutisme » est le lieu où la théorie de la traduction, telle qu'elle est reçue du romantisme allemand, de Schleiermacher, et rediscutée par Rudolf Pannwitz, puis par Walter Benjamin, rejoint la voix dominante de la théorie littéraire de la seconde moitié du XX e siècle. Si ce n'est pas en écrivant que le traducteur peut affirmer son statut d'écrivain, ce statut serait-il déductible du "silence" de l'oeuvre traduite ? Voilà la question qui meut cette réflexion.
2016
Traduction en français de Rachele Antonini, Natural translator and interpreter, Handbook of Translation Studies Volume 2 (2011), pp. 102–104. Traduction : 2016. Article original: 10.1075/hts.2.nat
TTR : traduction, terminologie, rédaction, 1997
Résumé L'abandon du traducteur — Un des jalons majeurs pour la traductologie contemporaine, l'essai sur la traduction de Walter Benjamin est aussi un texte central dans son oeuvre et dans la pensée moderne par ses liens à la philosophie du langage et à la philosophie de l'histoire. C'est dans cet éclairage que L. Lamy et A. Nouss proposent cette nouvelle traduction enrichie d'un important appareil de notes destiné à la fois à en faciliter la compréhension et à lui restituer toute sa densité conceptuelle.
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Linguistica Antverpiensia, New Series – Themes in Translation Studies, 2021
Mémoires du livre / Studies in Book Culture, 2017
TTR : traduction, terminologie, rédaction, 2004
Grass (ed) : Traduction des normes et normes de traduction dans l'espace européen, 2011
« Traduire en poète », éd. Geneviève Henrot et Simona Pollicino, Artois PU, 2017
Revue Annales du patrimoine, 2006