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2006, Cahiers du Genre
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10 pages
1 file
Horizons philosophiques, 2005
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Politique africaine, 1999
Parmi les nombreuses questions que soulève la privatisation de l'État 1 , il est au moins deux thèmes qui devraient retenir l'attention. Le premier 2 porte sur la confusion possible entre la globalité d'un phénomène -en l'occurrence la diffusion des modes de gouvernement indirect médiatisé par des acteurs privés -et sa signification précise dans un contexte historique donné, ici la formation et la construction de l'État. Le second découle de la notion même d'« État », dont l'emploi peut paraître trop flou : celui-ci désigne en effet tantôt les classes dirigeantes, tantôt le bloc au pouvoir, voire l'appareil d'État, ou encore les réseaux articulés à l'État, etc. Certes, les auteurs répondent en récusant toute démarche normative, mais cette réponse laisse dans le vague ce qui distingue, par exemple, un pouvoir exercé par un mouvement armé sur les zones qu'il contrôle de celui d'un État reconnu internationalement et disposant de ressources symboliques et matérielles autrement plus diversifiées. Le texte qui suit essaie d'éclairer ces deux réserves à partir de l'analyse d'un spectre de pratiques liées au don 3 et à la bienfaisance dans deux sociétés différentes, le Soudan et le Somaliland. En effet, ces actions privées par Privatisation de l'État et bienfaisance au Soudan et au Somaliland À partir des exemples de la bienfaisance en Afrique orientale, cet article vise à souligner la spécificité du phénomène global de « décharge » en fonction du contexte sociopolitique et historique local. Alors qu'au Soudan, ces pratiques de bienfaisance contribuent au renforcement de l'État, au Somaliland, même si elles permettent la survie du pouvoir étatique, elles minent la construction d'un appareil d'État.
Weyrich , 2021
En dépit des luttes des peuples du Sud, la situation y reste préoccupante. C’est pourquoi il est urgent de se demander si les solutions mises en œuvre jusqu’à aujourd’hui sont adéquates, suffisantes, en particulier celles élaborées à partir des pays auxquels la situation actuelle profite le plus. L’aide internationale est-elle une réponse satisfaisante, durable, digne ? Les populations vivant dans les périphéries et les marges du système ne se voient guère sortir de la pauvreté endémique dans un horizon raisonnable, même si les taux de croissance et les résultats, provisoirement positifs, atteints par quelques pays (qu’on dit émergents), ont pu laisser croire que le rattrapage de l’Occident riche et développé était possible… Le présent livre nous invite à interroger nos pratiques concrètes et nos politiques de solidarité internationale, car il est manifeste que les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances. Après des décennies de travail aux côtés d’organisations partenaires et sur des enjeux sociaux fondamentaux, force est de constater que les avancées sont faibles, fragiles, aléatoires. Certes, l’histoire des progrès sociaux est parsemée de défaites, de reculs… Mais ce fait ne peut nous dispenser de nous interroger sur l’efficacité de nos actions
18-20 heures)-5 semaines jeudi 17 novembre 2016, 22:08 -D. Catala. Term. S.
Revue de l'OFCE, 1998
Une projection de l'économie mondiale à l'horizon 2005 * Au tournant de l'an 2000, la mondialisation triomphe. C'est la capacité à s'intégrer dans l'économie mondiale qui différencie la réussite des économies. En même temps, la mondialisation a ses périls : pression sur les salaires et les emplois, instabilité des mouvements de capitaux, des Bourses et des taux de change, fracture des solidarités nationales. Notre projection de l'évolution de l'économie mondiale à l'horizon 2005, réalisée à l'aide du modèle multinational MIMOSA, est relativement optimiste. La crise asiatique déclenchée l'été dernier ne serait que transitoire ; au delà de 2000 les Dragons et les pays d'Asie retrouveraient un rythme de croissance dynamique (6 %). L'Amérique latine, l'Afrique et les pays de l'ancien bloc socialiste connaîtraient des croissances de l'ordre de 4,5 %. Les prix du pétrole croîtraient de façon modérée. * Cette étude a été effectuée au sein de la Division économie internationale du Département analyse et prévision par une équipe dirigée par Henri Sterdyniak et comprenant Hélène Baudchon, Odile Chagny, Bruno Coquet, Hervé Le Bihan, Frédéric Lerais, Catherine Mathieu, Olivier Passet et Christine Rifflart. Elle a été présentée au colloque de réflexion économique organisé sous l'égide de la Délégation du Sénat pour la Planification. La projection présentée ici a été réalisée à l'aide du modèle multinational MIMOSA. Division économie internationale 1. Passet O., 1997 : « Le rôle des déficits publics dans la formation des taux d'intérêt », Revue de l'OFCE, n°62.
2002
Distribution électronique Cairn.info pour L'Esprit du temps. © L'Esprit du temps. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Réseaux, 2015
Variations critiques, dissonances et consonances de l'économie politique de la communication et des cultural studies
M@ ppemonde, 2006
Premier sport olympique, l'athlétisme est un des sports les plus mondialisés, mais l'analyse des résultats complets des championnats du monde permet de constater de fortes disparités entre États. De bipolaire, au temps de la Guerre froide, la localisation de l'excellence athlétique ...
Études
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Premier poncif : la mondialisation est récente / ancienne L'heure est à la « mondialisation ». C'est elle qui vide les usines, appauvrit les plus pauvres, nivelle les différences, procure le bonheur, contient le malheur, permet de voyager en low cost, est responsable du réchauffement climatique, déclenche la guerre économique et fournit à l'homme l'espoir d'un monde qui ressemblerait à une plate-bande. On l'aura compris, la « mondialisation » est bien le laminoir intellectuel de notre temps. Comme les aciéries de nos aînés, reléguées aujourd'hui en Asie du Sud-Est par les relocalisations, la « mondialisation » se nourrit d'un minerai assez répandu, puisqu'il s'agit de la paresse intellectuelle. De même que la tôle d'acier devait passer par l'écrasement de cylindres pour devenir plus fine, nos idées d'aujourd'hui passent par le rouleau compresseur de la « mondialisation », qui permet de réduire la diversité et la complexité des points de vue. Son caractère incantatoire est à la portée des feignants qui puisent dans son évocation le remède absolu. Élevée au rang de vide-poche de la critique sociale contemporaine, elle sert sans distinction toutes les causes et tous les combats. Or ce vide-poche de la critique sociale en vient à fonctionner comme le cache sexe d'un capitalisme pudique. Réduisant la diversité et la complexité, il permet de voiler, dans le même temps qu'il en assure la reproduction, des rapports économiques et sociaux dissymétriques. Ainsi, la question reste celle de savoir à qui profite le flou? 1 Nous avons retenu trois des plus grands poncifs qui se rapportaient au discours sur la « mondialisation », en tentant toujours de montrer le vernis sur la forme et la poussière accumulée au coin des esprits ; la manière, en somme, dont la « mondialisation » masquait des processus en se posant comme une variable trop générale pour être informative.
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Classiques des sciences sociales., 2003
Revue d'éthique et de théologie morale, 2009
L'Information géographique, 2007
L Économie politique, 2005
Vox Poetica, 2006
L'Homme et la société, 2015
Reflets et perspectives de la vie économique, 2008
Comprendre la mondialisation III, 2000
Études internationales, 1984
Revue Francaise De Gestion, 2013
Droit international et nouvelles approches sur le tiers monde: entre répétition et renouveau/International Law and New Approaches to the Third World: Between Repetition and Renewal, 2013