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2020, Atlas du Karst Wallon
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Le Mésolithique commence, dans nos rég ions, il y a environ 12.000 ans et se t ermine vers 6.000 à 5.000 avant notre ère. Cette période correspond aux derniers chasseurs-cueilleurs nomades. Le climat se réchauffe progressivement et la forêt se développe. La production lithique est surtout centrée sur des armatu res de flèches ou d'armes de jet (microlithes). l'arc à flèches, apparu au Paléolithique supérieu r, est en plein développement, plus approprié à la chasse en forêt que le propu lseur. La chronolog ie d e cette période, qui se t ermine avec le début de l'agriculture, varie assez fortement d'une région à l'autre.
Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre | BUCEMA, 2006
Ce document a été généré automatiquement le 15 septembre 2020. Les contenus du Bulletin du centre d'études médiévales d'Auxerre (BUCEMA) sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International.
ORGANON, 2017
Abstract. The first research on Prehistory in Alsace took place in 1865 in Haut–Rhin, in the foothold of a naturalistic society founded in 1859 in Colmar. Collections of stone tools and fossil bones attributed to prehistoric times, were built from this period, in a way inspired by the discoveries made in France and Belgium. After these early beginnings, the four changes of nationality that took place in Alsace be- tween 1870 and 1945 led to deep changes in the life of scientific societies and museums. Nevertheless, prehistoric research has continued in this region de- spite these constraints. Researchers like Paul Wernert took advantage of this situation by establishing the link in their work between the French and German traditions.
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(Il s'agit en substance d'une conférence donnée le 10/12/2018 à la faculté des Sciences humaines de l'université de Tunis, au laboratoire des études méditerranéennes, sur l'invitation du professeur Habib Ben Younès, archéologue tunisien, et en présence d'autres membres de la Faculté du 9 avril. Il a paru souhaitable de résumer ici cette conférence, donnée à partir de simples notes, afin de la partager plus amplement.) La Faculté a laissé le champ libre à l'auteur pour le choix du sujet. Il a donc semblé opportun de parler des 'Numides', résultant de recherches effectuées dans ce domaine, en essayant de focaliser l'attention sur le territoire tunisien proprement dit. Il est bien entendu que le terme de numide est une appellation de convenance, correspondant à l'aire géographique étudiée, comprenant l'est algérien et l'ensemble du territoire tunisien actuel. Il s'agit donc du peuple Amazigh de cette région, dont les habitants ont été d'abord appelés Libyens par les Grecs, en relation avec leur colonie de Cyrénaïque. Le terme de « creuset » a, quant à lui, été choisi en fonction des diversités et des influences qui se sont greffées sur ce territoire, considéré, à juste titre, comme étant à l'origine du Maghreb actuel. Ceci étant, il semblait alors logique de partir de la Préhistoire pour essayer de brosser un portrait général de ce peuple jusqu'à la fondation de Carthage, une limite volontairement établie en fonction du temps imparti. 1. La topographie et le cadre physique. Comme Gabriel Camps l'avait déjà fait remarquer, l'histoire du Maghreb a été modelée par la géographie physique tout autant que par le climat et le périmètre de son étendue. Il y a donc quatre territoires. G. Camps les définit comme étant la Berbérie occidentale, la Berbérie centrale, la Berbérie orientale, et la Berbérie saharienne. Le cas de la Numidie (Berbérie orientale) mérite une attention particulière. Tout d'abord, parce que le cadre physique révèle un décrochement et une ouverture significatifs sur le bassin méditerranéen, au nord, sur la côte est, et même au sud. La Tunisie est donc le seul pays maghrébin où la mer Méditerranée a joué un rôle essentiel dans les échanges. La pêche et la navigation font partie de sa culture depuis fort longtemps. L'image omniprésente du poisson sur les vases ou les portes atteste de cette vieille tradition de fécondité protectrice. On ne s'étonnera pas alors de la retrouver comme un symbole de la chrétienté à l'époque romaine, du temps de sainte Monique, de saint Augustin, ou même de saint Cyprien. Par ailleurs, la Numidie occupe une place clé au nord du continent africain. Elle a toujours été une terre de passage pour les vagues migratoires successives venues de l'Est, et éventuellement de l'Ouest. Le choix des Phéniciens d'établir une colonie à Carthage permettait d'offrir une étape stratégique entre la Méditerranée orientale et sa partie occidentale. Enfin, il faut aussi considérer les effets stratégiques du canal de Sicile, avec la proximité de Malte, de la Sardaigne ou encore des îles italiennes du détroit comme Lampedusa ou Pantelleria. Ces lieux de proximité ont joué un rôle important dès la Préhistoire. Tout ceci explique pourquoi la Numidie a été, de tout temps, une terre de rencontres justifiant l'appellation de « creuset » donnée à cet exposé. Ces croisements n'ont pas uniquement été horizontaux (Est/Ouest), mais aussi verticaux (Nord/Sud). Si l'expansion horizontale a été limitée par l'océan Atlantique et les Canaries (peuplées par les Guanches), elle a été forcément plus ample en direction du Sud, par l'intermédiaire des Garamantes, que l'on pense être les ancêtres des Touareg (sg. Targui). À ce propos, il faut tenir compte du fait que la désertification du Sahara a commencé plus tardivement, au Mésolithique, il y a environ 6,000 ans, et qu'elle s'est faite progressivement. 2. Le creuset préhistorique. L'Afrique du Nord est peuplée depuis des temps immémoriaux. On pensait récemment encore que les Ibéromaurusiens, de la partie occidentale et centrale, en étaient un premier maillon.
Le phénomène Campaniforme intervient à la fin du Néolithique Européen. On parle aussi de « culture », de « phénomène » ou « d'énigme » pour le désigner. En effet, vers-2900 ans, on retrouve des objets et des rites très standardisés sur une aire géographique très large, allant de l'Est de l'Europe (Pologne, par exemple), au Maghreb, et même sur des espaces insulaires (Irlande, Sicile). Qu'est-ce que le Campaniforme ? Comment peut-on expliquer ce « phénomène » ? -Caractéristiques du Campaniforme -Le « set » ou panoplie Campaniforme -Les théories successives : de la « théorie diffusionniste » à la diffusion de l'idéologie -Conclusion
Situé entre Arles et les Alpilles, le Castelet bénéficie d’un environnement propice à son développement. L’occupation protohistorique, installée sur des vestiges néolithiques, débuterait vers le milieu du VIIe s. au plus tôt, pour s’éteindre vers 50 av. n. è. Au travers de l’observation des différents contacts commerciaux, ce sont les liens qui ont pu unir le Castelet à son environnement qui nous ont intéressés, ainsi que les implications socioculturelles et technologiques résultants de ces rapprochements. L’ensemble des données recueillies a permis d’insérer le Castelet dans la dynamique culturelle et territoriale de la basse vallée du Rhône, où Arles a joué un rôle prépondérant pour l’heure mal défini.
7 FIChE SIGNALéTIqUE Résultats identité du site Région : Nord/Pas-de-Calais Département : Pas-de-Calais Commune : GUiNes Lieu-dit ou adresse : RD 231, la Rue d'Ardres N° INSEE : 62 397 Cadastre année : Section : As Parcelle(s) : 58p, 10p Coord. Lambert X : Y : altitude : Propriétaire du terrain : Maître d'ouvrage des travaux : Habitat 59/62 Picardie Protection juridique : Arrêté de prescription n° : 13/248/DiAG daté du : 3/12/2013 Arrêté de désignation n°: 13/248/DiAG/DesiGNAtioN daté du : 14/08/2014 Titulaire : Vincent Merkenbreack Organisme de rattachement : Centre départemental d'Archéologie Raison de l'urgence : Viabilisation d'un lotissement, création d'un cimetière communal et aménagement d'un giratoire Dates d'intervention sur le terrain : 18/08/2014 au 22/08/2014 Surface du projet : 61396 m² Surface diagnostiquée : 7432 m² soit 12,10 % Côte d'apparition des vestiges (depuis TN) : -40 m épaisseur de la stratification : de 0 à 1 m Densité : moyenne Extension supposée du site : Problématique de la recherche : Nature des vestiges par périodes : Âge du Bronze final, céramique, ambre, la tène, Haut-empire, enclos, fosse, céramique Lieu de dépôt du matériel archéologique et de la documentation : Centre départemental d'Archéologie, Dainville l'opération archéologique Centre départemental d'Archéologie du RD 231 RFO diagnostic (SRA 13/248)
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Courrier scientifique du Parc naturel régional du Luberon et de la Réserve de biosphère Luberon-Lure, n° 13 - 2015, p. 8 à 18
Ecole française de Rome, 2011
50 ans d’archéologie française au Soudan, 2020
Archéologie de la montagne européenne. BAMA - 4, 2010
Bulletin de la Société préhistorique française, 2019
Revue du Nord, 2011
Revue Archéologique de l'Allier, n° 2, 2021
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