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Nietzsche-Studien
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29 pages
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The Thought of Eternal Recurrence: From Discourse to Doctrine. This article gives a new interpretation of eternal recurrence, based on the observation that the central debate about this idea in Nietzsche studies is quite unique in the history of philosophy. This debate is based on a rather radical conflict between Lehre and Rede, doctrine and discourse. Purely doctrinal interpretations tend to underestimate the significance of the discursive form chosen by Nietzsche to express his thought in favor of the Nachlass, whereas discursive readings are generally characterized by an anti-doctrinal, parodic and purely critical function. However, it is possible to reconcile the specificity of the discourse of the eternal recurrence in Nietzsche’s published works with his attempt to establish a real philosophical doctrine. By considering the fictional structure of eternal recurrence in Nietzsche’s published works, we can reinterpret the meaning of Nietzsche’s philosophy of affirmation, which i...
Transversalités, 2022
Il s’agit dans ce bref essai de s’interroger sur ce que le discours philosophique peut exprimer de la mort. Tout semble, d’un point de vue philosophique, rendre impossible la restitution fidèle de l’expérience de la mort. Et pourtant le discours philosophique ne cesse de s’emparer de cet objet. Au prix de plusieurs déplacements. L’objectif que nous poursuivons est alors – sous la forme d’un cheminement dont la méthode d’investigation consiste à suivre les déterminations majeures que l’expérience de la mort fait subir au discours philosophique – de penser une philosophie de la mort comme une philosophie de la perte et même de la pure perte. Si la philosophie est bien souvent séduite par les conceptualités (socio-historiques et esthétiques essentiellement) qui l’avoisinent, il nous reviendra d’interroger ces usages dans un premier moment, avant de montrer en quoi les philosophies et plus généralement les réflexions sur la perte (comme la psychanalyse freudienne et l’économie générale de Georges Bataille) nient ou neutralisent la perte dans une approche systématique. What a philosophical discourse can express about death? From a philosophical point of view, a faithful restitution of the death’s experience seems impossible. And yet the philosophical discourse constantly tries to seize this object. It inevitably costs several transformations of the object and of the discourse. Our method of investigation consists in following the main ways that the experience of death determines the philosophical discourse. If philosophy is very often seduced by the conceptualities (especially socio-historical and aesthetic) that surround it, we question these uses in a first moment, before showing in what way philosophies and more generally discourses on loss (like Freudian psychoanalysis and Georges Bataille’s general economy) deny or neutralize loss in a systematic approach. This essay leads to think a philosophy of death as a philosophy of the loss and even of the pure loss.
Révolution de la cosmogénèse La Revue Atlantico http://www.atlantico.fr/decryptage/big-bang-theorie-qui-pourrait-tout-changer publie le 5 janvier 2015 un article, mis à jour le 9 janvier 2015, sous le titre : Big Bang, la théorie, qui pourrait tout changer : ce ne serait pas l’origine de l’univers Selon l’auteur, Aurélien Barrau, professeur à l’Université Joseph Fourier, membre de l’Institut universitaire de France, c’est une idée qui fait son chemin. Ce n’est pas une certitude mais elle est confortée par « un faisceau d’indices » qui tend à démontrer que « le Big Bang n’est pas l’origine de l’Univers [notre Cosmos physique fini] mais que celui-ci serait éternel ». Il se serait donc déjà produit un nombre infini de fois dans le passé et il se recommencerait cycliquement en rebondissant sur lui-même. Bref, il s’agirait précisément de la théorie qui est développée — celle-ci avec certitude — ici même, sous le titre : Le Grand Rebond ou l’Eternel Retour Essai d’épistémologie et modèle philosophique de cosmogénèse Richard Sünder Rappelons que le Pr Robert Vallée, ancien maître de conférences à l’Ecole polytechnique (Paris), puis Professeur à l’Université de Besançon, a confirmé « l’intérêt de votre entité Zéro-Infini », c’est-à-dire de l’Arithmétique thermodynamique, qui est le point de départ de la cosmogénèse de Richard Sünder. Ceci, après avoir vérifié la validité de la solution rigoureuse des équations d’Einstein pour le premier instant du Temps physique de notre Cosmos par l’Américain Howard Robertson et le Britannique Arthur Walker qui, sans se connaître, l’ont découverte, chacun de son côté, en 1935 (voir Jean Charon dans Vingt-cinq siècles de cosmologie, Livre de poche, La Connaissance de l’Univers, Le Seuil, et Jean-Pierre Luminet dans Géométries de la variété univers, Groupe d’astrophysique relativiste, Observatoire de Paris, section de Meudon). Les précédents papiers, qui ont ce même titre, sont des extraits du texte présent qui est le seul complet et à jour. Les cosmologistes se croient les seuls capables d'éclairer l'origine de notre Cosmos physique qui est actuellement fini. Stephen Hawking a montré que, faute de thermodynamique, les cosmologies ne sont que des systèmes d'équations inertes, sans aucun feu pour les mettre en mouvement. Le présent essai démontre que l'origine de notre Cosmos relève exclusivement de la métaphysique, c'est-à-dire du couple Zéro-Infini, qui est la solution du Théorème d'incomplétude de Kurt Gödel. "Je vous confirme l'intérêt de votre entité Zéro-Infini" a écrit à Richard Sünder le Pr Robert Vallée, ancien maître de conférences en mathématiques à Polytechnique (Paris), puis professeur à l’Université de Besançon, après avoir vérifié les travaux de Howard Robertson et d'Arthur Walker qui ont trouvé, séparément et sans se connaître, en 1935, la solution rigoureuse des équations d'Einstein, à savoir le point mathématique de volume spatial nul mais de densité et de température infinies, c'est-à-dire l'énergie infinie. Afin de tout comprendre, Richard Sünder avait fondé son modèle sur l'Infini vide, qui est l'inertie infinie. Il lui manquait le contraire dialectique de l'Infini, qui ne pouvait être que le Plein infini contenu dans un volume spatial nul, de densité et de température infinies, qu'il baptisa aussitôt… Zéro. Il avait L’Infini vide… Ne manquait que son contraire absolu : le Zéro plein ! L'Arithmétique — donc le couple Zéro-Infini — est la Thermodynamique absolue : température infinie en Zéro et température zéro en l'Infini. Elle met donc en mouvement le Modèle géométrique de l'Arithmétique parce qu'elle est le feu absolu et la glacialisation, donc la cristallisation, absolue. Research Interests: Philosophie, Métaphysique, Physique, cosmologie, cosmogénèse, and Epistémologie, Histoire des Sciences, Stephen Hwking, Jean-Paul Sartre, Être et Néant Abstract : Stephen Hawking constate que les cosmologies sont des systèmes d’équations dépourvus de toute dynamique. Ce sont des photographies mais ce n’est pas un film. « Qu’est-ce donc qui met le feu aux équations pour qu’elles produisent un monde ? » demande-t-il. Réponse : Rien ! Absolument rien ! Il faut alors recourir au « Créateur » ! Dieu ! Ce qui ne résout rien car se pose la question sans solution : « Et le Créateur ou Dieu, qui l’a créé, lui ! » Conclusion : les cosmologistes sont dans l’impasse. Le problème qu’ils cherchent à résoudre est sans solution ! Jean-Pierre Changeux constate que la conscience émerge du système cérébral comme l’iceberg émerge de l’océan, ce qui ne définit strictement en rien ce qu’est la conscience et son extension, l’esprit. La conscience et l’esprit n’ont donc aucune existence physique (Littré). Ce sont de « pures constructions de l’esprit » (Robert) qui relèvent de la mythologie, donc de la Métaphysique. Paradigme des paradoxes : pour récuser la Métaphysique, les scientifiques sont contraints d’utiliser la pensée, produit métaphysique de l’encéphale ! Auteur du Modèle géométrique de l’Arithmétique Thermodynamique, Richard Sünder démontre alors que la genèse de notre Cosmos physique fini relève bel et bien de la Métaphysique, que les cosmologistes sont mal armés pour la résoudre et que seul le métaphysicien est armé pour y parvenir ! Et il résout l’énigme métaphysique de l’origine… Aboli bibelot d’inanité sonore (Mallarmé).
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2021
Réflexions herméneutiques et systématiques à la suite de la lecture d'une étude remarquable sur l'ecclésiologie de Jean Zizioulas. Paru sous forme simplifié comme « Vision ecclésiale et ecclésiologie », dans Contacts n° 154 (2/1991), p. 106-123 (Paris) le texte a été remis à jour à cause de l’importance de problématique qui va au-delà du travail de G. Baillargeon et même de l'œuvre de J. Zizioulas et qui nous semble toujours actuelle.
Égypte/Monde arabe
Éditeur CEDEJ-Centre d'études et de documentation économiques juridiques et sociales
Stephen Hawking constate que les cosmologies sont des systèmes d’équations dépourvus de toute dynamique. Ce sont des photographies mais ce n’est pas un film. « Qu’est-ce donc qui met le feu aux équations pour qu’elles produisent un monde ? » demande-t-il. Réponse : Rien ! Absolument rien ! Il faut alors recourir au « Créateur » ! Dieu ! Ce qui ne résout rien car se pose la question sans solution : « Et le Créateur ou Dieu, qui l’a créé, lui ! » Conclusion : les cosmologistes sont dans l’impasse. Le problème qu’ils cherchent à résoudre est sans solution ! Jean-Pierre Changeux constate que la conscience émerge du système cérébral comme l’iceberg émerge de l’océan, ce qui ne définit strictement en rien ce qu’est la conscience et son extension, l’esprit. La conscience et l’esprit n’ont donc aucune existence physique (Littré). Ce sont de « pures constructions de l’esprit » (Robert) qui relèvent de la mythologie, donc de la Métaphysique. Paradigme des paradoxes : pour récuser la Métaphysique, les scientifiques sont contraints d’utiliser la pensée, produit métaphysique de l’encéphale ! Auteur du Modèle géométrique de l’Arithmétique Thermodynamique, Richard Sünder démontre alors que la genèse de notre Cosmos physique fini relève bel et bien de la Métaphysique, que les cosmologistes sont mal armés pour la résoudre et que seul le métaphysicien est armé pour y parvenir ! Et il résout l’énigme métaphysique de l’origine… Aboli bibelot d’inanité sonore (Mallarmé).
Tangence, 2013
L’histoire littéraire du contemporain n’est pas une nouveauté. En fait, on n’a jamais cessé de vouloir faire l’histoire du contemporain, et l’histoire littéraire, dès sa naissance à l’époque romantique, semble avoir été inventée pour penser ce contemporain absolu que paraissait être la littérature postrévolutionnaire. Or on voit bien quels risques épistémologiques fait courir à l’histoire littéraire cette perpétuelle tentation. La question qui se pose aujourd’hui est donc de se demander en quoi le contemporain du xxie siècle se distinguerait de ses avatars du passé et, plus généralement, si le contemporain peut être regardé comme un concept du point de vue de la science historique, ou s’il n’est qu’un mot, servant à la fois à renouveler le vocabulaire critique et à traduire en termes esthétiques (en les masquant du même coup) les transformations de la demande sociale en matière de littérature. Pour éviter un débat où les enjeux idéologiques sont très évidemment prépondérants, je me ...
Il semble qu'au regard d'une réception assez largement répandue, Nietzsche passe pour avoir été une sorte de prophète ; il s'inscrirait ainsi dans une tradition qui débuterait avec la dernière des trois questions que Kant pose à la fin de la Critique de la Raison pure : « Que suis-je en droit d'espérer ? ». Nietzsche prophétise-t-il ? Au sens flou du terme, on peut considérer que Nietzsche se livre du moins à des pronostics sur l'avenir proche : il prédit, par exemple, la venue d'une « époque qui sera celle des grandes guerres » 1 , il affirme « voir venir une Europe unie » 2 pour le gouvernement secret de laquelle il appelle de ses voeux la formation d'une « nouvelle caste », dont la volonté serait « capable de fixer des buts pour des millénaires » 3 , et l'avenir de cette Europe lui semble dépendre « aussi bien des Juifs que des Russes qui, désormais, sont probablement les deux facteurs qui entreront le plus certainement en jeu dans le grand conflit des forces » 4. Ce « prophétisme » découle au moins d'une représentation du temps historique qui permette de situer, dans son déroulement, le moment où Nietzsche dit qu'il pronostique : « Nous vivons au milieu du temps imparti à l'homme » 5 , et « le temps vient où l'on mènera la lutte pour la domination de la terre » 6. Nietzsche est d'ailleurs le premier responsable de cette image de lui puisqu'il l'a directement forgée dans Ecce homo en se présentant comme « un joyeux annonciateur 7 comme il n'y en a jamais eu » 8 au point que « ce n'est qu'à partir de moi qu'il y a de nouveau des espérances » 9 ce qui implique d'être tout autant et « nécessairement l'homme de la fatalité » qui prédit encore une fois qu'il y aura « des guerres comme il n'y en a encore jamais eu sur 1
African Diaspora, 2022
The issue of the return of African migrants settled in Europe is far from new, with work focusing essentially on the aspirations to return, and the processes of its realisation. As relevant as it may be, this focus is based on a limited approach, due to the privilege given to the spatiality of the phenomenon, which betrays a normative conception inherited from immigration and development policies. Submitting our understanding of return, to a category that is inseparable from the management of migratory flows, does not allow us to adequately consider return as a spatial, but also political, cultural and identity-based displacement, that must be resituated in the long history of this Afro-European space. This change of temporal scale implies a change of epistemological regime that we wish to explore from the point of view of people of Congolese and Rwandan descent who were born, socialised, or both, in Belgium.
Astérion, 2013
Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ». Il n'est pas rare de voir dans l'incipit du Discours de la Méthode un de ces énoncés cartésiens qui, par leur simplicité et leur transparence, marquèrent une rupture avec la technicité de la philosophie scolastique des siècles précédents. Pourtant, à se pencher sur les commentaires qui ont été produits de ce texte, dès sa publication, il apparaît que pour un certain nombre de contemporains de Descartes, il y avait là une référence à la théorie dite de l'intensio et remissio formarum -ou latitude des formes -qui, de Pierre Lombard à Nicolas d'Oresme en passant par Richard de Middleton, fit l'objet de discussions soutenues pendant plus de six siècles. Cette théorie énonce que seules les qualités accidentelles sont susceptibles de variations intensives dans une substance, contrairement aux propriétés essentielles qui, elles, sont invariables. L'énoncé de Descartes, aux atours de simple proverbe, cacherait en réalité un tour de force argumentatif : tenant pour acquis que la pensée constitue l'attribut essentiel de l'âme, Descartes mobiliserait la théorie de l'intensio et remissio formarum pour affirmer qu'en chaque âme, cette pensée n'est pas susceptible de plus et de moins. Il devient alors possible de définir certaines opérations épistémiques élémentaires qui s'observent à part égale en chacun de nous, et ne sont pas soumises à la variabilité des compétences individuelles. Mais ce point d'interprétation du texte de Descartes ne conserverait qu'un intérêt herméneutique s'il ne trouvait, outre-manche et quelques dizaines d'années plus tard, un remarquable rebondissement: En 1690, John Locke, dans L'Essai sur l'entendement humain, identifie parfaitement la référence médiévale sous-jacente à cet énoncé canonique du cartésianisme, et la discute avec la plus grande rigueur. En indexant la pensée sur l'attention, et en remarquant que cette attention est susceptible de variations d'intensité au cours du temps, Locke en vient à se demander s'il ne faut pas renoncer au postulat cartésien selon lequel la pensée constituerait l'essence de l'âme, et lui préférer l'hypothèse selon laquelle cette pensée ne serait pour l'âme qu'une activité. Mots clés : intensio, remissio, Descartes, Locke, âme, bon sens. Abstract : « Good sense is, of a all things among men, the most equally distributed ». This sentence stands out as one of the most famous in Descartes' philosophy. We often consider this simple statement a clear break from the « obscurity » of the so-called scholastic tradition. However, some contemporary commentators of the Discourse on Method, such as father Poisson, understood this sentence as an implicit reference to an ancient scholastic theory, called the theory of intensio et remissio formarum. This theory states that where the accidental qualitites of a substance undergo increase or decrease, i.e variations in intensity, the essential qualities of a substance do not. According to these commentators, Descartes uses it as a way to prove that Thought, or « good sense », knows no variation in one's mind, that it is distributed equally amongst all men, and that the soul « always thinks ».
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Laval théologique et philosophique, 2000
Pratiquer les sciences sociales au Maghreb. Textes pour Driss Mansouri, 2014
Cahiers de l'École Pastorale 109, 2018
Apostolia, publication de la Métropole Orthodoxe Roumaine d'Europe Occidentale et Méridionale, Paris, 2019
Les Etudes Platoniciennes, 2022
Modèles linguistiques
in CRETTIEZ Xavier, SOMMIER Isabelle (dir.), Les Dimensions émotionnelles du politique. Chemins de traverses avec Philippe Braud, Rennes : PUR, 2012, p. 225-240, 2012
La société au miroir du discours hagiographique, 2018
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2020
Cahiers balkaniques, 2020
ThéoPhiLyon Tome XXV, Vol. 1, 2020
Laval théologique et philosophique, 2000