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1987, Santé mentale au Québec
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L'Année sociologique, 2006
L'abstraction en sociologie est analysée dans cet article comme un processus modifiant les aires de pertinence des énoncés dans un espace des phénomènes sociaux à trois dimensions. On commence par présenter ces trois dimensions (masse, durée, généralité) et les échelles qui peuvent leur être associées. Ensuite sont définis des opérateurs d'échelles, c'est-à-dire des processus déplaçant le niveau d'action ou d'analyse dans les trois dimensions. Les trois échelles et les opérateurs qui leurs sont associés permettent de définir l'abstraction comme une dimension d'un opérateur particulier, spécifique à l'échelle de généralité.
Psychologie du Travail et des Organisations
Le soutien social perçu (SSP) a été identifié comme un potentiel facteur modérateur du stress professionnel. Les études ont ainsi montré qu'un fort soutien social perçu s'accompagnait d'un niveau de stress plus faible. Cette étude à pour but de présenter et d'examiner les qualités psychométriques d'un Questionnaire de Soutien Social Perçu adapté au monde Professionnel (QSSP-P). Elle évalue la disponibilité et la satisfaction vis-à-vis de trois principales sources de soutien (le soutien des collègues, du ou des supérieurs et des fonctions supports) et prend en compte quatre principaux types de soutien (le soutien émotionnel, informationnel, matériel et évaluatif). L'échelle présente de bonnes qualités psychométriques.
2013
Cette échelle est remplie par la personne qui prendra en charge le patient durant la phase de remédiation cognitive. Elle sera réalisée lors de la séance suivant l’évaluation neuropsychologique. Il est important que la personne qui mène l’entretien connaisse le bilan cognitif et soit capable d’établir des liens entre celui-ci et les répercussions fonctionnelles exprimées par le patient. L’échelle est administrée pour les six domaines correspondant aux modules d’entraînement, y compris ceux pour lesquels le bilan neurocognitif n’a pas montré de difficultés.
Chercheur international sous contrat La question des échelles d'observation est née d'un problème pratique auquel je me suis heurté dans les années 1970 en réalisant des enquêtes sous contrat sur des projets de développement rural à Madagascar et au Congo. Elle est devenue ensuite une question théorique qui va permettre de penser autrement non seulement les différences entre les diverses écoles de pensée anthropologiques qui se terminent en « isme », comme évolutionnisme, diffusionnisme, marxisme, fonctionnalisme ou structuralisme, mais aussi les négociations avec les clients publics ou privés pour les amener à financer des enquêtes anthropologiques portant sur des processus d'innovation en entreprise, sur la vie quotidienne des consommateurs, sur des problèmes urbains, sur les pratiques de mobilité, les situations de handicap, des nouvelles technologies de la communication ou les conditions de travail dans les ateliers. Le relativisme méthodologique des échelles d'observation : comment expliquer que des résultats d'enquête soient contradictoires et vrais en même temps À Madagascar, entre1971 et 1975, je mène une étude de terrain sur un projet de développement rizicole sur les Hauts Plateaux malgaches. Il cherche à introduire plusieurs innovations agricoles : le repiquage du riz en ligne droite, une nouvelle pratique par rapport aux habitudes traditionnelles, la houe rotative qui permet de désherber plus vite entre les lignes de riz et l'engrais NPK (Azote Phosphate Potasse) qui favorise l'augmentation des rendements en riz. En partant du point de vue de l'organisation chargée de la mise en place de l'innovation et du résultat qui conduit à l'augmentation des usages de l'engrais, je conclus que les paysans sont dominés et qu'ils ne possèdent qu'une très faible marge de manoeuvre pour accepter ou refuser ces innovations. Ils sont contraints de sortir de leur économie de subsistance pour entrer dans une économie de marché. Mais cette enquête était peu centrée sur les paysans qui étaient comme une « boite noire » à l'intérieur du processus d'innovation. En se centrant sur la « bureaucratie », la domination devient l'explication principale du changement dans cette société agraire. Au Congo, entre 1975 et 1979, j'ouvre la « boite noire » des paysans et j'observe à l'inverse qu'ils sont des acteurs stratèges avec des marges de manoeuvre qui leur permettent de réinterpréter les objectifs du projet agricole. Celui-ci cherche à développer le maraîchage dans les bas-fonds de la région du Pool. Les paysans développeront la culture du manioc ce qui n'était pas prévu au point de départ du projet. Avec ce nouveau découpage, les marges de manoeuvre sont plus explicatives que les effets de domination. Je découvre donc que suivant le découpage choisi pour faire une enquête le résultat n'est pas le même. Le découpage de la réalité sociale est donc déterminant dans la façon de déchiffrer la réalité observée en termes de domination, de marge de manoeuvre ou de liberté. Pour une entreprise qui cherche à comprendre ses consommateurs, un gouvernement qui cherche à mettre en place une politique publique ou une O.N.G. qui veut développer un nouveau service d'aide aux populations, le choix de l'échelle d'observation est donc stratégique. Plus tard, je découvrirai à travers de très nombreuses enquêtes qualitatives menées en Afrique, en France, aux États-Unis, au Brésil et en Chine pour des entreprises, des administrations ou des O.N.G., que plus je choisis une échelle macrosociale plus j'observe des effets de domination et plus je me centre sur l'individu et plus j'observe de la liberté. Aux échelles d'observation intermédiaires, j'observe des marges de manoeuvre c'est-à-dire des situations où les acteurs ne sont ni entièrement libres, ni entièrement dominés, mais qu'ils agissent sous contraintes de situation. Si on continue à descendre vers des échelles de plus en plus micro, on constate que la liberté disparaît au profit des déterminations biologiques ou chromosomiques. Paradoxalement, toutes ces observations sont vraies : dans la réalité sociale, on peut observer soit de la domination ou des formes de déterminisme, soit des marges de manoeuvre, soit de la liberté, mais pas les trois en même temps. De façon métaphorique, on retrouve le principe d'Heisenberg en physique quantique qui déclare qu'on ne peut observer en même temps la position et la vitesse d'une particule, mais que la masse reste constante. Cela veut dire qu'on ne peut observer en même temps tous les éléments de la réalité sociale, mais que la réalité observée reste la même. Les résultats de l'observation et leur interprétation dépendent donc d'abord de l'échelle d'observation qui a été choisie et ensuite, mais ensuite seulement, du choix d'une théorie « déterministe » ou du libre arbitre. Le terme déterministe est utilisé entre guillemets parce que dans les sciences humaines et sociales il n'existe pas vraiment de déterminisme à l'inverse de ce qui existe dans les lois physiques. Le plus compliqué à comprendre dans l'approche méthodologique en termes d'échelles d'observation, dans les sciences humaines et sociales, est que le modèle théorique est dépendant du découpage qui a été fait par l'anthropologue. La théorie n'est pas absente, mais elle devient une variable dépendante de l'observation, à l'inverse de ce qui est le plus souvent enseigné dans les milieux académiques. Cela ne veut pas dire que les théories sont fausses, mais veut dire que leur portée interprétative est limitée à l'échelle d'observation à partir de laquelle elles ont été construites. En un sens, toutes les théories sont vraies, sous réserve que le recueil des données ait été fait avec rigueur. C'est pourquoi elles sont plus cumulatives qu'antagonistes, si on accepte qu'il ne soit pas possible d'expliquer les réalités sociales de la géopolitique à l'individu d'un seul coup d'oeil explicatif et donc qu'aucune théorie n'est généralisable à l'ensemble des comportements humains. Il n'existe pas d'approche globale. Il n'existe que des généralisations limitées à une échelle d'observation. Cela veut dire que si la réalité forme un tout, l'observation de cette réalité est discontinue. Cela veut dire aussi que l'explication causale change en fonction des échelles. Ces deux conclusions sont souvent très difficiles à admettre parce qu'elles heurtent le besoin de cohérence et de maîtrise de la réalité qui est en chacun de nous. À l'inverse, l'approche par les échelles permet d'accepter que l'on n'ait pas tout vu et que des collègues ou des concurrents aient vu des choses tout aussi intéressantes, mais avec des découpages différents. L'avantage est que cette méthode justifie les approches pluridisciplinaires et permet des négociations pragmatiques pour résoudre les problèmes qui sont posés aux anthropologues. Cela veut dire aussi que la vérité absolue n'existe pas, mais qu'il n'existe que du vrai limité sous contrainte de méthode. Accepter que le vrai est limité, et non pas absolu, tout en restant vérifié et rigoureux, permet de négocier et donc de coopérer et d'agir. Des niveaux d'observation aux échelles d'observation ou la mise en évidence de la discontinuité de l'observation et de la variabilité des causalités Il n'est pas trop difficile de comprendre que quand on change de niveau d'observation (level of observation), que l'on passe de l'individu à la famille, de la famille à l'organisation et de l'organisation à la classe sociale le contenu de l'observation change 1. Ce qu'on observe à un niveau disparaît de l'observation quand on change de niveau 2. Cependant, une erreur de méthode classique est de penser que si l'on mène des observations au niveau individuel et que l'on n'observe pas de classes sociales, celles-ci n'existent pas. L'approche par les échelles d'observation demande d'être agnostique et d'accepter que si on ne voit pas quelque chose cela ne veuille pas dire qu'elle n'existe pas. En changeant de niveau d'observation ou de découpage
Réanimation, 2008
Clinical assessment of consciousness in the acute setting is of considerable importance. Precisely determining severity of consciousness alteration allows not only establishing vital and functional prognosis but also to follow efficiently the clinical evolution of brain damaged patients and to optimize resources use. In the present article, we review the main coma scales. We particularly focus on a recently published tool, the ''Full Outline of UnResponsiveness'' (FOUR) Scale. This new scale represents indeed a major advance in the clinical assessment of patients suffering from consciousness disorder. Among the significant improvement brought by this scale, one can mention its ability to contribute to the diagnosis of locked-in syndrome, minimally consciousness state or brain death. We think that, regarding its clinical input at the acute setting of consciousness disorders, the FOUR Scale should be preferred to the classic Glasgow Coma Scale.
La quantité d'information numérique produite et consultée a considérablement augmenté et sa diversité s'est accrue. Or, le facteur d'échelle joue un rôle important dans la quantité et la qualité des traitements que l'on peut appliquer aux informations, aussi bien de manière intrinsèque que perçue par l'utilisateur. Cet article propose un panorama des problèmes qui découlent de ces évolutions ainsi que quelques pistes de recherche afin de répondre à ce qui semble bien être un nouveau défi de « passage à l'échelle
2011
L'approche competence apporte une nouvelle vision aux problematiques auxquelles les organisations sont confrontees. Dans cet article, nous presentons une demarche d'identification des competences requises ainsi que son application dans le domaine de la logistique. Notre demarche est basee sur une approche fonctionnelle.
Revue du Rhumatisme, 2007
Ce travail présente une partie des étapes de la validation de l'échelle fonctionnelle de Copenhague pour l'évaluation des cervicalgies. Méthodes.-Réinterprétation, a posteriori, des données d'un essai thérapeutique sur la cervicalgie. Les patients sont recrutés localement et examinés en insu par un médecin indépendant des traitements délivrés. Le recueil de données comprend des mesures de douleurs par échelle visuelle analogique (EVA), le questionnaire de qualité de vie SF 36, le montant des prestations remboursées par la sécurité sociale, l'opinion du patient et du médecin. L'évaluation est réalisée à l'entrée dans l'étude, en fin de traitement, à trois mois et à six mois. Résultats.-La répartition des valeurs de l'échelle est normale. La concordance des valeurs et de leurs variations est bonne avec les autres critères de jugement. L'échelle de Copenhague est moins sensible au changement que l'EVA de la douleur mais plus sensible au changement que les autres critères de jugement. Conclusion.-L'échelle fonctionnelle de Copenhague paraît être un instrument utile pour l'évaluation des cervicalgies. Il faudra encore mesurer sa reproductibilité pour en connaître sa validité. Elle vient donc s'ajouter aux échelles déjà existantes qui ont été traduites ces dernières années et qui sont destinées à la recherche clinique. Nous pensons que sa simplicité d'emploi pour les patients lui donnera également une place dans la pratique clinique.
Les échelles de l’habiter (coord. J. LEVY) remis au PUCA par le Groupe Scalab (représenté par J. LEVY), mars 2004, 2004
Chercheur et enquêteur pour le module 2 (Vie quotidienne des lieux) au sein du Groupe SCALAB constitué en 1999 et dirigé par Jacques Lévy. Après 4 années de travail organisé comme suit, le rapport a été achevé en 2004. Module 1. Les voisinages de l’individu. Responsable : Jacques Lévy (VillEurope) Chercheurs : Dominique Andrieu (MSH de Tours), Mickael Breton (MSH de Tours), Laurent Cailly (MSH de Tours), Christian Calenge (MSH de Tours), Pierre Granier (MSH deTours), Serge Thibault (MSH de Tours), Olivier Vilaça (VillEurope). Développement informatique. Boris Beaude (VillEurope). Cartographie: Dominique Andrieu (MSH de Tours). Enquêteurs: Mathilde Derôme Marc Dumont, Claire Mulonnière, Lionel Rougé, Amandine Spire. Module 2. La vie quotidienne des lieux. Responsable, rédaction : Serge Thibault (MSH de Tours). Chercheurs : Laurent Cailly (MSH de Tours), Christian Calenge (MSH de Tours), Élisabeth Dury (VillEurope), Pierre Granier (MSH de Tours), Fanny Letissier (VillEurope), Jacques Lévy, Jérôme Rollinat (MSH de Tours), Serge Thibault (MSH de Tours). Enquêteurs: Marie Chenet, Cécile Dacremont, Élisabeth Dury, Pauline Frachon, Clément Gayet, Fanny Letissier, Tony Perrone, Isabelle Verdage, Laura Verdelli, Laure Verdier. Module 3. Stratégies d’habitat. Responsable : Anne Péré (Urbane) Chercheurs : Alice Chevalier (Urbane), Anne Péré (Urbane), Lionel Rougé (Urbane). Enquêteurs : Alice Chevallier, Lionel Rougé. Module 4. Lieux remplis, lieux vidés. Responsables, rédaction : Olivier Lazzarotti (MIT), Sylvine Pickel (MIT), avec la collaboration de l’équipe MIT. Enquêteurs : Maud Bendinelli, Eugène Cailleau, Alexandre Gautier, Sylvine Pickel, Nathalie Violeau. Module 5. Dynamiques du peuplement. Responsable, rédaction : François Moriconi-Ebrard (CNRS/Université d’Avignon). Chercheurs : Jean-Paul Hubert (FUNDP, Namur), François Moriconi-Ebrard Cartographie : Frédéric Dinard (Université de Caen). Les sites et les zones. La recherche s’est déroulée principalement sur quatre sites : Île-de-France, aire urbaine de Toulouse, aire urbaine de Tours, aire La Rochelle-Île-de-Ré. L’animation des enquêtes sur chacun de ces sites a été réalisée par Christian Calenge (Tours), Anne Péré (Toulouse), Patrick Poncet (Île-de-France), Sylvine Pickel et Isabelle Sacareau (La Rochelle-Ré). Chaque site a été découpé en zones relativement homogènes afin de prendre en compte les différents gradients d’urbanité dans chaque site, assurer une meilleure préparation typologique des enquêtes et une meilleure cohérence dans l’interaction entre les modules. Il y avait en tout , 14 en Île-de-France, 8 à Toulouse, 6 à Tours et 5 à La Rochelle-Ré. La réalisation du rapport. Rédaction. Chapitres 1, 2, 7 : Jacques Lévy. Chapitre 3 : Serge Thibault. Chapitre 4, Annexe 2 : Alice Chevalier, Anne Péré. Chapitre 5 : Olivier Lazzarotti, Sylvine Pickel. Chapitre 6 : François Moriconi-Ebrard. Annexe 1 : Lionel Rougé. Coordination éditoriale. Jacques Lévy. Édition. Dominique Andrieu, Alain Ravaz. Achèvement du rapport : février 2004.
Economie et Statistique / Economics and Statistics
Travail rémunéré et travail domestique : une évaluation monétaire de la contribution des femmes et des hommes à l'activité économique depuis 30 ans. Revue de l'OFCE, à paraître.
@ 2007, EDP Sciences, 17, avenue du Hoggar, BP 112, Parc d'activités de Courtahoeuf, 91944 Les Ulis Cedex A et CNRS ÉDITIONS, 15, rue Malebranche, 75005 Paris.
« Introduction : Les échelles de l’événement », in Benjamin Lellouch et Nicolas Michel (eds.), Conquête ottomane de l’Égypte (1517). Arrière-plan, impact, échos, Leyde, Boston, Brill, 2013, p. 1-48., 2013
Selīm Ier », in Curiel (Raoul) et Gyselen (Rika) (ed.
Géographie et cultures, 2012
Territoire ou territorialité… Est-il nécessaire de relancer un débat déjà ancien ? Assurément oui, tant le titre de ce numéro spécial, Les échelles des territorialités, y invite… Mais aussi au regard de l'actualité scientifique, en particulier de la tenue de colloques qui posent la question d'une science des territoires 1 .
Espaces des origines, origines des espaces, 2021
Transformer, c'est-à-dire mettre en forme des propositions de mondes où se disposeront des existences, comme se plaît à le dire Nicolas Hannequin. Le célèbre architecte américain Louis Kahn parle de l'architecture comme d' "un monde dans le monde". En ce sens, la photographie est architecture puisqu'elle constitue un espace habité, construit par le sens d'un regard informé. Ces merveilleuses disciplines ont cela en commun qu'elles ne peuvent être que des propositions généreuses de réalités singulières, qu'elles s'éprouvent plus qu'elles ne cherchent à prouver, qu'elles constituent des traces de cette fabuleuse aventure de l'esprit humain.
2012
Distribution électronique Cairn.info pour A.D.B.S.. © A.D.B.S.. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Canadian journal on aging =, 2016
Different care settings in Quebec use levels of medical intervention forms, also called levels of care (LOC), to determine the code status of patients and to improve end-of-life care planning. It is not currently possible to know whether the levels of care in hospitals benefi t patients and staff in facilitating the decision making process of treatment options and resuscitation measures. No study, to the best of the authors' knowledge, has been published about LOC, particularly in Quebec and Canada. This literature review was undertaken on levels of care in order to clarify this topic. Relevant articles are discussed under different themes that are pertinent to LOC. The themes addressed in this article include care at the end of life, do-not-resuscitate orders, treatment withdrawal, and decision making at end of life. RÉSUMÉ Plusieurs milieux de soins au Québec utilisent des formulaires de niveaux d'interventions médicales (NIM) ou de niveaux de soins afi n de déterminer le statut de code des patients et d'améliorer la planifi cation des soins en fi n de vie. Il est actuellement impossible de savoir si les NIM font bénéfi cier les patients et le personnel en centre hospitalier d'une prise de décision plus facile à l'égard des traitements offerts et de la réanimation car aucune étude, à la connaissance des auteures, n'a été publiée à leur sujet, particulièrement dans un contexte canadien et québécois. Une recension des écrits fut entreprise au sujet des NIM afi n d'éclaircir le sujet, et les articles conservés sont discutés sous des thématiques liées aux NIM. Les thèmes abordés sont les soins en fi n de vie, les ordonnances de non-réanimation, l'arrêt de traitement et la prise de décision en fi n de vie.
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