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1997
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2 pages
1 file
Éditions Safran, 2019
L’histoire de Masr al Gadîda, l’Héliopolis d’Égypte, remonte à la nuit des temps. Sa situation géographique et son histoire en ont fait un lieu de passage et de rencontres culturelles multiples depuis l’Antiquité. À l’époque pharaonique, elle est le berceau d’un temple dédié au culte du Soleil ; la ville nommée par les Grecs « Cité du Soleil », Héliopolis, renommée par la science et le savoir de son clergé, attire de nombreux savants et philosophes tels Platon. La ville et le temple antiques ont été démantelés. In situ, subsiste un seul des nombreux obélisques qui s’y dressaient autrefois. Le toponyme arabe Aïn Chams (« Source du Soleil ») conserve la mémoire du temple antique. Les fouilles archéologiques contemporaines révèlent des pans méconnus de ce passé prestigieux. Au sud du site antique, une tradition médiévale situe à Matareyya (Matarieh) un lieu de séjour de la « Sainte Famille » chrétienne. Elle a entraîné des pèlerinages à cet endroit pendant des siècles. Nombre de voyageurs occidentaux et orientaux rapportent leur visite en ces lieux. C’est à proximité de ces endroits chargés d’une histoire plurimillénaire qu’au début du XXe siècle, l’industriel belge Édouard Empain ainsi que Boghos Nubar élaborent le projet d’une nouvelle cité moderne sortie des sables du désert, l’Héliopolis moderne, connue sous le nom de Masr al Gadîdah (le « Nouveau Caire » ou la « Nouvelle Égypte »). Lieu de rencontre entre les cultures depuis des millénaires, l’Héliopolis moderne témoigne aussi des liens culturels privilégiés entre l’Orient et l’Occident. Détails et table des matières sur http://www.safran.be/proddetail.php?prod=CEA19
EchoGéo, 2008
Ce texte est issu du travail effectué par des étudiants de Master 1 dans le cadre de l'enseignement « l'enquête de terrain en Géographie humaine » au premier semestre 2006-2007 (Université Paris 1). La consigne était d'effectuer une mini enquête de terrain à Paris ou dans ses environs, par groupes de 2 à 4. Pour ce faire, les étudiants devaient choisir un thème et délimiter un terrain d'étude, y effectuer des observations, des enquêtes et/ou des questionnaires et synthétiser l'ensemble sous forme de mini dossier. Le but était de confronter les étudiants à une expérience de recherche où ils devaient tout prendre en charge, du choix du sujet à sa formalisation. Ces premiers travaux de recherches trouvent naturellement leur place dans la rubrique « Sur le terrain ».
Les Cahiers de la recherche architecturale et urbaine
* Architecte, enseignant à l'Énsa de Paris-Malaquais (responsable du département « Architecture, villes, territoires »), membre associé au laboratoire IPRAUS (UMR AUSser 3329), membre du collectif pluridisciplinaire « Bazar urbain ». Il prépare une thèse sur Marcel Poëte et sa collection iconographique, sous la direction de Jean-Louis Cohen et Yannis Tsiomis. Exposition « La vie populaire à travers l'image et l'illustration » de 1907. Photographie 1907. Collection photographique de la BHVP. D.R.
2014
Dans la série des Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters, les personnages féminins font l'objet d'un traitement différent de celui des personnages masculins. Bien qu'elles échappent à l'hypersexualisation et à l'inconsistance qui caractérisent une large part des représentations de femmes en bande dessinée, les femmes des Cités obscures sont le plus souvent montrées à travers le prisme du désir masculin, ce qui restreint leur latitude d'expression. Pourtant, quelques titres de la série proposent des modèles différents et exploitent habilement le potentiel narratif des personnages féminins.
10 Emmanuelle Fournier-Lorentz, 'La Jonction perd un lieu de convivialité bon marché ', Le Courrier, 17 avril 2013. 77 Ceci pourrait également s'expliquer par le peu d'intérêt ou la méfiance qu'a suscitée notre étude.
En cet été 2010, voici que, pour la troisième fois de ma vie, m'arrive le passage céleste de Saturne sur la position zodiacale qu'il occupait à ma naissance le 1 er octobre 1921 : à 29° de la Vierge, côtoyé par Jupiter à 1° de la Balance, leur conjonction étant en secteur VII. Au premier transit de 1950-1951, sa boucle trentenaire avait accompagné mon mariage, suivi de la naissance de ma fille Anne. Au Saturne 15° plus loin, ce fut la sortie du livre collectif « Jupiter-Saturne » (précisément mais sans nulle préméditation), du Centre International d'Astrologie. Au deuxième de la soixantaine, il s'agissait du retour de la conjonction Jupiter-Saturne sur elle-même, avec son passage sur mes luminaires à 7° -9° de la Balance ; temps même d'une sorte d'aboutissement de carrière consacré par une franche culmination de diffusion générale de mes ouvrages : comme si j'avais rempli ma tâche. Maintenant qu'il est revenu, en dissonance, à sa position première me revient le désir de me pencher une fois de plus sur lui. Un espoir d'en éponger le cours sur mes méninges, rien ne valant mieux en conversion saturnienne que le travail de l'esprit. Il n'a, il est vrai, jamais cessé de m'intéresser comme en témoignent diverses
Mots clefs : Utopie, technopole, Sophia Antipolis, Silicon Valley, aménagement du territoire. Résumé Quelles similitudes on peut établir entre les cités radieuses imaginées et parfois entreprises par les utopistes et les projets de technopoles; et notamment le projet de la technopole de Sophia Antipolis ? En effet, cette dernière à toutes les caractéristiques des grands projets utopistes, à la lumière de quoi nous dégageons un premier bilan, moins pour dire ce qu'elle est, que ce qu'elle n'est pas, en abîmes de ce qu'elle voulait être à ses origines. Le phénomène des technopoles est devenu une évidence dans les années 1980, lorsque les acteurs de l'aménagement des territoires, technocrates et élus confrontés aux restructurations du tissu industriel, ont découvert que le secteur tertiaire à haute valeur ajoutée, alliant recherche et nouvelles technologies, pouvait être un bon moyen de revaloriser les régions en crise 2 .. Des expériences plus anciennes, la ZIRST de Meylan à Grenoble et Sophia-Antipolis sur la Côte d'Azur, avaient ouvert la voie à une époque où il n'était encore question que de croissance économique. Leurs initiateurs en avaient eu l'intuition, avant tous : « Les industries lourdes associées par tous, au XIXe siècle, aux brumes et aux fumées de Pittsburgh, de Birmingham, de la Lorraine, de la Ruhr », correspondent à une période révolue, « le progrès et l'avenir ne dépendent plus désormais des matières pondéreuses, charbon ou minerais…
Archives de sciences sociales des religions, 2017
2014
20 février 2014 – Communication à la Bibliotheca Wittockiana Au début des années 1980, François Schuiten et Benoît Peeters s'associent pour donner naissance à une ville si présente et charismatique, qu'elle devient personnage. Le héros est abaissé à un rang secondaire. L'expérience se prolonge pour les deux collaborateurs : la série des Cités obscures, prend de l'ampleur et se conjugue comme une dimension parallèle de notre monde. Les albums constituant cette série de fiction réaliste retracent la confrontation entre l'humain et l'urbain. Il n'y a aucune logique de suite. N'importe quel album peut être une porte d'entrée aux 'Cités obscures', et les ouvrages ne sont pas tous des BD. Les Cités obscures tracent le destin extraordinaire d'une civilisation, où mythes et imaginaire documenté s'entrelacent. La série interroge par le biais de divers médias l'évolution de la ville en tant qu'architecture, histoire humaine. Son imaginaire est basé sur le regard des deux créateurs habitant Bruxelles qui, fascinés par les multiples facettes de cette ville, décident de rendre hommage à son aspect contradictoire. Leur vision est influencée par une littérature tentaculaire borgesienne et une culture plastique sans cesse renouvelée. La série joue sur les expériences transmédiatiques, élargissant le champ de la bande dessinée aux autres formes de langages artistiques (affiches, peintures, etc.) et littéraires (livres d'images, journaux, revues). Bruxelles est une mine d'informations autant que de questionnements. Cette ville est une des principales sources nourrissant l'écriture de Schuiten et Peeters. Les Cités obscures en déclinent les facettes et le développement hors du commun. La ville, à l'échelon du continent obscur, se trouve éclatée en plusieurs cités. Le territoire obscur fonctionne comme un prétexte géographique (2). « Certains se demandent si la Belgique selon Chaland a réellement existé. Même avec les Cités obscures, ce type d'interrogation n'a jamais été mon problème. Pour que ce soit « belge », ou plutôt « bruxellois », il n'est pas vraiment important de dessiner des rues qui ont existé. En réalisant des compositions imaginaires, on peut créer des rues qui sont véritablement « bruxelloises ». (L'Horloger du rêve, p. 28 propos de FS)
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Actes des congrès de la Société française Shakespeare, 2014
Mètis - Anthropologie des mondes grecs anciens 7, 2009
New Covenant Publications International, 2020
Dialogues D'Histoire Ancienne, 44/2, p.139-190., 2018