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2017, Journal d'exposition "La langue de ma bouche", Jean-Charles de Quillacq et Hedwig Houben, La Galerie, Noisy-le-Sec
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24 pages
1 file
2004
In this article the author discusses a method of lexicographic description which uses G. Gross's concept of object classes, ontological classification in the WordNet style, B. Boguraev and J. Pustejovsky's qualia structure, computer lexicography and automatic translation. The author focuses herself on the "object-oriented" approach to the proposed descriptions and adopts this approach to her analysis of the chosen names of body parts in French. The category of body parts, established on the basis of the ontological features of its elements, can be treated as an object c1ass. This conclusion is justified by the fact that two operators: avoir mal and soigner, which characterize every object of the category under analysis, allow us to treat this category as an object c1ass in the object-oriented approach.
Rappelons tout d'abord les propos de Laurence Roussillon-Constanty (2010) : « c'est qu'au-delà des siècles et des particularités culturelles propres à chaque pays, au-delà des différences entre objets d'art et objets de science, les problématiques concernant le patrimoine culturel universitaire n'ont guère changé. A chaque fois, les forces à mobiliser pour conserver et valoriser les collections passent par un désir de transmettre et de préserver, de faire revivre un héritage dont l'existence même nous porte non seulement vers le passé mais aussi vers le futur ». Pour Michel Melot (2004), cela vient du fait que l'objet patrimonial est au centre du fondement et de l'existence même de la société puisque celle-ci se représente dans ses objets qui lui subsiste. Mais comme l'écrit Michèle Antoine (2010), il faut également se demander « comment », « pour qui », « dans quel contexte » et surtout « dans quel but » préserver ces objets constituant les collections. Cette étude, que nous vous présentons ici, est la suite logique de deux autres publications ayant posées les bases d'une réflexion sur une autre vision de la place de ces objets au sein des collections mais également au sein des l'établissement qui les détiennent ; nous verrons dans un premier temps ce qui nous a permis d'aboutir à cette vision ternaire de la place d'un objet puis dans un second temps, nous l'expliquerons. I. Les prémisses d'une représentation triangulaire Susan Pearce (1994) explique la relation de l'objet avec le musée sous trois angles : objet faisant partie du patrimoine du musée, objet faisant partie d'une collection donc inscrit dans une thématique et objet en temps que spécimen, trésor que renferme le musée ; mais avant tout, elle montre que l'objet muséographique s'inscrit au sein de la politique des musées en tant qu'institutions sociales. C'est cette relation reprise dans la figure 1 qui a servi de base à notre réflexion sur la place d'un objet au sein d'une institution détentrice de collections. La figure 2 présente quant à elle, trois fonctions des collections muséales applicables aux universités, à savoir : conserver des exemples de l'enregistrement de la vie passée, fournir du 1 [email protected]
Journal de l'Association Paléontologique Française, 2012
Rappelons tout d'abord les propos de Laurence Roussillon-Constanty (2010) : « c'est qu'audelà des siècles et des particularités culturelles propres à chaque pays, au-delà des différences entre objets d'art et objets de science, les problématiques concernant le patrimoine culturel universitaire n'ont guère changé. A chaque fois, les forces à mobiliser pour conserver et valoriser les collections passent par un désir de transmettre et de préserver, de faire revivre un héritage dont l'existence même nous porte non seulement vers le passé mais aussi vers le futur ». Pour Michel Melot (2004), cela vient du fait que l'objet patrimonial est au centre du fondement et de l'existence même de la société puisque celle-ci se représente dans ses objets qui lui subsiste. Mais comme l'écrit Michèle Antoine (2010), il faut également se demander « comment », « pour qui », « dans quel contexte » et surtout « dans quel but » préserver ces objets constituant les collections.
2000
Dans cette orientation, la démarche architecturale est proposée comme un temps de recherche personnelle et de réflexion à l'orée du projet final. À la différence de la plupart des orientations de la maîtrise, celle-ci ne se présente pas comme une spécialisation professionnelle, mais plutôt comme une ouverture à des thématiques contemporaines situées au coeur même des enjeux disciplinaires. La pédagogie proposée vise à permettre aux futurs architectes de se donner une démarche historique et théorique fondée sur la recherche en architecture et sur le développement d'une attitude critique et réflexive dans la pratique du projet. • une scène à l'échelle urbaine et un casino harmonieusement intégré au site (conçu avec un souci écologique et muni d'un toit vert) • un spa submergé sous une cascade d'eau et un parc accueillant (outre le chapiteau du Cirque du Soleil) toutes sortes de festivités • un bassin Peel mis en valeur pour les sports nautiques et un quai des artistes, dédié aux arts et à la culture • sans oublier : la reconquête et la décontamination d'un site délaissé, ainsi que la revitalisation d'un quartier défavorisé. Le tout devant constituer une « nouvelle destination internationale ». École d'architecture / Faculté de l'aménagement / Université de Montréal
Téoros Revue de recherche en tourisme, 2006
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2008
Chers amis. Pour toute une série de raisons, je suis à la fois très heureux et un peu mal à l'aise de prendre la parole parmi vous. Heureux parce que je trouve que ce que vous faites est épatant. Heureux aussi d'avoir appris, récemment, qu'Intersection était née, il y a quelques années, de l'initiative de quelques étudiants qui, suivant mon cours d'histoire culturelle, se sont dit qu'il serait opportun de mettre quelque chose sur pied. Que l'idée d'Intersection soit, d'une certaine manière, liée à mon enseignement me touche et m'honore. Mal à l'aise aussi, parce que je ne sais pas très bien à quel titre je prends la parole aujourd'hui. Serait-ce déjà en qualité de vieille barbe ? J'espère que non ! Quand on est, comme je le suis, un peu entre les générations et lorsque l'on refuse, autant que je le fais, d'être embrigadé par ce que j'appellerais « l'effet de génération », quand on se méfie autant du poids et de la clôture des catégories, on a parfois le sentiment d'être un peu nulle part, et de n'être finalement habité que par le conscience des écarts : écarts des temps, écarts des lieux, écarts des savoirs, écarts des émotions ... C'est là, peut-être, le prix à payer pour une liberté, durement conquise, mais qui reste, tout bien considéré, la meilleure chose à cultiver et à partager. Et zut ! Voilà, déjà, que je moralise et que, comme une vieille barbe, je me laisse aller à la confidence ! Sans doute ferais-je mieux, ici comme ailleurs, de mieux tenir mon rôle et de respecter, sans trop de scrupules ni d'échappatoires, les règles du jeu. Voilà ce que je devrais faire : vous proposer un exposé méthodologique ou épistémologique sur les fondements de ma discipline, vous parler, par exemple, d'une « poétique de l'histoire »-voilà un très beau titre !-, une poétique de l'histoire qui conçoit le passé, non pas comme un espace à décrire, ni l'histoire comme un lieu de vérité, mais qui envisage bien plutôt l'historicité comme un instrument de pensée et qui confère aux phénomènes leur signification. Voilà un bien beau thème de réflexion, et qui en appelle aussitôt aux vertus de la multi, de la pluri ou de la trans-disciplinarité : on ne peut pas être historien, vous dirais-je, sans être en même temps un petit peu anthropologue, philosophe, sociologue, linguiste ou géographe. « Intersection », concluerais-je : c'est à la croisée des
2022
Les objets technico-industriels ont une « vie ». Leur biographie est une source de l'Histoire, en particulier de l'histoire économique, de l'histoire des techniques et de l'archéologie industrielle. Ils sont en même temps des protagonistes de la construction du récit historique. L'importance que nous accordons à ces artefacts technico-industriels est associée à la valeur qu'on attribue à notre culture technique, à l'importance des processus d'industrialisation pour le développement régional et local, aux phénomènes de désindustrialisation et de tertiarisation du tissu économique. On se propose d'étudier le cas de la machine à coudre : un objet créé pour le monde du travail, au xix e siècle, toujours en usage dans les grandes usines et les petits ateliers, mais qui a subi un procès de patrimonialisation, raison pour laquelle on trouve désormais la machine à coudre dans les musées.
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Le Voyage et la mémoire au XIXe siècle, dir. S. Moussa et S. Venayre, Paris, Créaphis Editions, 2011
L'Orientation scolaire et professionnelle, 2023
A. Badiou, Il sesso, l'amore (a cura di F. leoni e di S. Lippi), 2019