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1996, Jeu Revue De Theâtre
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Présentation de la Cité de Dieu d'Augustin d'Hippone et des exemplaires remarquables de la Bibliothèque municipale de Lyon sur Numelyo (Bibliothèque numérique de la Ville de Lyon). https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_00GOO01001THM0001cite_de_dieu
2014
20 février 2014 – Communication à la Bibliotheca Wittockiana Au début des années 1980, François Schuiten et Benoît Peeters s'associent pour donner naissance à une ville si présente et charismatique, qu'elle devient personnage. Le héros est abaissé à un rang secondaire. L'expérience se prolonge pour les deux collaborateurs : la série des Cités obscures, prend de l'ampleur et se conjugue comme une dimension parallèle de notre monde. Les albums constituant cette série de fiction réaliste retracent la confrontation entre l'humain et l'urbain. Il n'y a aucune logique de suite. N'importe quel album peut être une porte d'entrée aux 'Cités obscures', et les ouvrages ne sont pas tous des BD. Les Cités obscures tracent le destin extraordinaire d'une civilisation, où mythes et imaginaire documenté s'entrelacent. La série interroge par le biais de divers médias l'évolution de la ville en tant qu'architecture, histoire humaine. Son imaginaire est basé sur le regard des deux créateurs habitant Bruxelles qui, fascinés par les multiples facettes de cette ville, décident de rendre hommage à son aspect contradictoire. Leur vision est influencée par une littérature tentaculaire borgesienne et une culture plastique sans cesse renouvelée. La série joue sur les expériences transmédiatiques, élargissant le champ de la bande dessinée aux autres formes de langages artistiques (affiches, peintures, etc.) et littéraires (livres d'images, journaux, revues). Bruxelles est une mine d'informations autant que de questionnements. Cette ville est une des principales sources nourrissant l'écriture de Schuiten et Peeters. Les Cités obscures en déclinent les facettes et le développement hors du commun. La ville, à l'échelon du continent obscur, se trouve éclatée en plusieurs cités. Le territoire obscur fonctionne comme un prétexte géographique (2). « Certains se demandent si la Belgique selon Chaland a réellement existé. Même avec les Cités obscures, ce type d'interrogation n'a jamais été mon problème. Pour que ce soit « belge », ou plutôt « bruxellois », il n'est pas vraiment important de dessiner des rues qui ont existé. En réalisant des compositions imaginaires, on peut créer des rues qui sont véritablement « bruxelloises ». (L'Horloger du rêve, p. 28 propos de FS)
Piotr Sadkowski, Quêtes littéraires nº 3, 2013 : Entre le sacré et le profane
Throughout the centuries French and Francophone writers were relatively rarely inspired by the figure of Moses and the story of Exodus. However, since the second half of 20th c. the interest of the writers in this Old Testament story has been on the rise: by rewriting it they examine the question of identity dilemmas of contemporary men. One of the examples of this trend is Moïse Fiction, the 2001 novel by the French writer of Jewish origin, Gilles Rozier, analysed in the present article. The hypertextual techniques, which result in the proximisation of the figure of Moses to the reality of the contemporary reader, constitute literary profanation, but at the same time help place Rozier’s text in the Jewish tradition, in the spirit of talmudism understood as an exchange of views, commentaries, versions and additions related to the Torah. It is how the novel, a new “midrash”, avoids the simple antinomy of the concepts of the sacred and the profane. Rozier’s Moses, conscious of his complex identity, is simultaneously a Jew and an Egyptian, and faces, like many contemporary Jewish writers, language dilemmas, which constitute one of the major motifs analysed in the present article. Another key question is the ethics of the prophetism of the novelistic Moses, who seems to speak for contemporary people, doomed to in the world perceived as chaos unsupervised by an absolute being. Rozier’s agnostic Moses is a prophet not of God (who does not appear in the novel), but of humanism understood as the confrontation of a human being with the absurdity of his or her own finiteness, which produces compassion for the other, with whom the fate of a mortal is shared.
Confluences Méditerranée, 2004
Docteur en science politique et artiste-peintre, Sadri Khiari est membre fondateur du Conseil national des libertés en Tunisie (CNLT) et de RAID (Attac/Tunisie). Il a écrit un livre dont la thèse principale est que la défaite du mouvement populaire a entraîné une insertion de la Tunisie dans l’économie mondialisée, dont l’effet immédiat est la décomposition économique, sociale et politique du pays. Cette défaite a eu par ailleurs pour conséquence de laisser le champ libre à une opposition islamiste dont les progrès gênent aujourd’hui le réveil de l’opposition démocratique, divisée sur la question des rapports à avoir avec cette mouvance. L’auteur tente de démontrer cette thèse à l’aide d’une analyse rigoureuse et pertinente de la situation politique tunisienne en montrant la continuité, et les différences, des régimes de Bourguiba et de Ben Ali.
Histoire Antique et Médiévale, 2017
Asclépios le héros Fils d'Apollon, vieux demi-dieu thessalien, héros, puissance chtonienne, Asclépios a revêtu différentes identités au cours de l'Antiquité. La réputation d'Asclépios comme guérisseur se répand dans tout le monde méditerranéen dès l'épopée homérique et se renforce particulièrement à l'époque classique. Si les sources divergent quant à son origine géographique (Thessalie, Arcadie, Argolide), la plupart d'entre elles s'accordent pour lui reconnaître un fort ascendant épidaurien. Clémence Weber-Pallez, ENS de Lyon, doctorante en histoire ancienne, membre du laboratoire HISOMA, membre du laboratoire junior ERAMA Statue d'Asclépios, en marbre pentélique, trouvée dans le sanctuaire d'Asclépios à Épidaure. Statue du type d'Este, copie d'un original du IV e siècle av. J.-C., vers 160 apr. J.-C. Musée archéologique national, Athènes. Photo : Marsyas. CC BY 2.5. Vue du sanctuaire d'Asclépios (Asclepieion), île de Cos, Grèce. © DeAgostini/Leemage. Buste d'Hippocrate de Cos, dit le Grand (vers 460-vers 370 av. J.-C.), médecin de la Grèce antique, considéré comme le père de la médecine. Sculpture de marbre d'après un original grec du IV e siècle av. J.
Cap-aux-Diamants : La revue d'histoire du Québec, 2009
New Covenant Publications International, 2020
Le roi, le clergé et la noblesse furent livrés aux atrocités d’une populace en démence. L’exécution du roi excitant la soif de vengeance, les hommes qui avaient décrété sa mort le suivirent bientôt à la guillotine. Le massacre général de tous ceux qui étaient suspects d’hostilité à la Révolution fut décidé. Les prisons étaient combles: à un certain moment, elles n’abritaient pas moins de deux cent mille captifs. Dans les villes de province, on n’assistait qu’à des scènes d’horreur. La France était devenue un champ clos où s’affrontaient des foules en proie à la fureur de leurs passions. “A Paris, où les tumultes succédaient aux tumultes, les citoyens étaient partagés en factions ne visant qu’à leur extermination mutuelle. Pour comble de malheur, la France avait sur les bras une guerre dévastatrice avec les grandes puissances. “Le pays était acculé à la faillite; les armées réclamaient leur solde arriérée; Paris était réduit à la famine; les provinces étaient ravagées par des brigands, et la civilisation faisait place à l’anarchie.”
10 Emmanuelle Fournier-Lorentz, 'La Jonction perd un lieu de convivialité bon marché ', Le Courrier, 17 avril 2013. 77 Ceci pourrait également s'expliquer par le peu d'intérêt ou la méfiance qu'a suscitée notre étude.
In Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine, Paris, 21-29, 2020
L'article étudie le thème de l'amour de la cité (to philopoli) chez Pollux. Philopolis et son opposé misopolis sont des termes qu’il semble considérer comme importants dans le vocabulaire qui s’applique au rapport avec la communauté. Philopolis/misopolis trouvent une application, selon Pollux, lorsque l’on doit exprimer des louanges ou un blâme à l’encontre de personnages politiques, comme le rhètor ou le dèmagogos : cela correspond, surtout pour philopolis, à l’usage que l’on retrouve dans les sources, qui recourent à ce vocabulaire pour une définition du bon citoyen et du bon gouverneur. Que Pollux puise à l’œuvre de Thucydide est une certitude. Il donne de l’importance à l’utilisation de philopolis à propos du bon dirigeant (à partir de l’autoreprésentation de Périclès) et il renvoie très probablement à Thc. VI, 93, 2, révélant un intérêt pour la redéfinition du terme et de sa valeur de la part d’Alcibiade.
La première manifestation de l'interprétation du Royaume de Dieu dans un contexte politique est dû à l'influence qu'elle exerça la compréhension apocalyptique d'une vision du monde qui se rapporte à la théologie judaïque et son assimilation par les Romains. Ce phénomène s'est produit pendant le premier et le deuxième siècle, dans une période où les attentes d'Israël pour une libération imminente du joug des Romains se sont multipliées amplement. L'empereur Hadrien a suivi une politique d'appropriation des symboles puissants du judaïsme avec la construction de Jupiter Capitolinus, une réplique du temple de Capitol de Rome, érigé sur les ruines du temple de Salomon, qui fut nommé par l'empereur romain Colonia Aelia Capitolina, une sorte de colonie secondaire d'après le Capitol romain. Parallèlement, il a commencé la construction d'un temple aux dimensions énormes à Rome, qu'il dépasserait en magnificence le temple de Salomon que les Romains ont détruit à Jérusalem. 1 L'architecte du temple serait l'empereur luimême, selon le modèle de Salomon, qui suiva des instructions divines à la construction de son temple.
L'Homme, 2020
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Cahiers d’études du religieux
Revue de Synthèse, 2006
À propos de l'ouvrage d'Alain Bresson, La cité marchande, Bordeaux, 2000.
Jeu Revue De Theâtre, 1987
les langues et, à l'intérieur d'une même langue, selon les époques. De la vie sexuelle au contrat social, en passant par les concepts de beauté ou d'amour, tout est en perpétuelle mouvance. L'amour ne sera pas toujours l'amour, et il ne l'a pas toujours été. De retour au tragique, de retour à la tragédie, de retour à Médée. Les tragédies des temps passés nous permettent, je crois, d'accéder à un tragique, mais nous permettent-elles d'accéder à ce qui serait notre tragique ? paul lefebvre
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