Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
2013, Cahiers d'études africaines
Cahiers de civilisation médiévale, 2018
La revue Cahiers de civilisation médiévale est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 4.0 International.
Esclavages & Post-esclavages Slaveries & Post-Slaveries, 2020
Pratiquer l'histoire par les arts contemporains Photographier les mémoires de l'esclavage Le cas du vodun Tchamba Photographing the memories of slavery. The case of Tchamba vodun Fotografiar las memorias de la esclavitud. El caso del vodun Tchamba Fotografar as memórias da escravidão. O caso do vodun Tchamba
Brésil(s), 2017
Cet article examine la manière dont la mise en esclavage de personnes libres a été jugée et punie au Brésil tout au long du XIXe siècle. Reposant sur des affaires de « réduction à l’esclavage de personnes libres » jugées dans le Rio Grande do Sul, notre analyse – encore préliminaire – porte sur l’application de l’article 179 du code pénal brésilien. Nous souhaitons attirer l’attention sur le profil des victimes, le contexte dans lesquels ces cas se sont produits et sur les décisions qui furent prises. Les différentes affaires étudiées ont été divisées en trois groupes selon les circonstances de la mise en esclavage : Africains introduits illégalement après l’interdiction de la traite atlantique et leurs descendants, affranchis (libertos) dont les manumissions furent révoquées pour différentes raisons, noirs libres ou affranchis qui furent kidnappés et vendus comme esclaves.
2018
C et article, fondé sur mes deux derniers ouvrages, aborde le problème de la mémoire publique de l'esclavage et du commerce atlantique des esclaves dans les sociétés impliquées 1 . Dans cet essai, la mémoire publique est conçue comme la façon dont certains acteurs et groupes sociaux s'engagent dans le processus de commémoration et de patrimonialisation de la traite et de l'esclavage dans l'espace public en développant des discours, des activités de commémoration et des marqueurs permanents, dont des monuments et des mémoriaux. Ce travail part du principe que durant les siècles où l'esclavage a existé et la période qui a suivi son abolition, une mémoire culturelle et une mémoire collective restent vivantes chez les descendants, les propriétaires et les marchands d'esclaves. Cependant, ce n'est qu'après la fin de la seconde guerre mondiale, quand les horreurs de l'Holocauste ont été révélées au monde, qu'un nombre croissant d'initiatives visant la patrimonialisation de l'esclavage a commencé à émerger dans les sociétés ayant participé à la traite atlantique.
Cahiers d'histoire, 2012
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
2022
Des ossements, de l'écume et de l'oubli Sépultures ou charniers, les esclavagisé.e.s reposent-iels en paix dans le récit national guadeloupéen ? Of Bones, Foam and Oblivion Sepulchres or mass graves, do the enslaved rest in Guadeloupe's national narratives ? Stéphanie Melyon-Reinetten PhD Sociologue et chercheure indépendante Performer, poétesse (Nèfta Poetry).
Advocacy for an Intercontinental Slavery Museum as one of the major recommendations of the Truth & Justice Commission Report (2011) hits the headlines of the media in Mauritius from January to 1st February 2019. This portrays the struggle for contested memories in post-colonial Mauritius. Attached a review of press articles on the subject matter.
Études internationales, 1972
Tous droits réservés © Études internationales, 1972 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
Ce colloque vise à promouvoir une approche comparatiste entre la mémoire relative à
Revue d'histoire du XIXe siècle, 2015
Cette idée, formulée par l'abolitionniste Joaquim Nabuco en 1900, ne pouvait être plus vraie. Elle a traversé le XX e siècle, et se trouve chantée à présent par Caetano Veloso dans son album Noites do Norte, de 2000 2. Il est indiscutable que les marques de l'esclavage, qui resta en vigueur au Brésil durant près de trois cent cinquante ans (depuis l'arrivée des premiers Africains réduits en esclavage au milieu du XVI e siècle, jusqu'à l'abolition en 1888), sont encore présentes dans la société brésilienne. Peut-être est-ce pour cette raison que peu de sujets ont bénéficié, autant que celui-ci, de l'attention des historiens brésiliens. L'esclavage constitue en effet l'épine dorsale de la société coloniale brésilienne, et ses traces perdurent aujourd'hui encore ; il est presque impossible d'étudier l'histoire du Brésil sans se pencher, à un moment ou un autre, sur l'existence du régime du travail servile. Penser l'esclavage brésilien implique d'explorer de vastes objets : fuites, révoltes et formations de quilombos 3 ; religion et confréries ; conditions de vie et de travail ; participation aux guerres ; familles et relations sociales ; commerce, trafic atlantique et trafic intérieur ; criminalité, droit et justice ; affranchissement et autres formes d'obtention de la liberté ; culture matérielle ; relations entre maîtres et esclaves ; santé et maladie ; réduction en esclavage des indiens ; relation entre ces derniers et les Africains et leurs descendants ; plantations et production de sucre et de café ; modèles de propriété servile ; démographie des esclaves ; couleur et questions raciales ; esclavage urbain ; frontière et relations internationales ; Africains, afro-descendants et vie quotidienne ; abolitionnisme et abolition ; affranchis,
Esclavages & Post-esclavages, 2020
Ce document a été généré automatiquement le 29 novembre 2020. Les contenus de la revue Esclavages & Post-esclavages / Slaveries & Post-Slaveries sont mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 4.0 International.
Études rurales, 2006
Recherches féministes, 2000
1. L'idée d'une «douceur» de l'esclavage lignager a été récemment critiquée par Harris Memel-Foté (1996a).
L'Homme, 2013
1980]), ainsi que le film réalisé par Werner Herzog, Cobra verde (1987). 4. Je reprends ici en partie une description que j'ai déjà présentée dans « Restaurer le futur : sur la Route de l'Esclave à Ouidah, Bénin » (Ciarcia 2008a). Gaetano Ciarcia 90 ou de dénégation est maintenant confronté à l'injonction qui est faite publiquement de commémorer le phénomène historique de l'esclavage, à travers l'évocation du rôle joué par les commerçants négriers européens et américains ou de celui des lignages esclavagistes locaux. Cette thématique se mêle de manière inextricable au traitement officiel des narrations à transmettre aux nouvelles générations et à « échanger » avec les destinataires/partenaires potentiels d'une mémoire culturelle en chantier : agences internationales du développement, touristes, chercheurs, cinéastes et photographes, visiteurs issus des « diasporas » afro-américaines, investisseurs, etc. Une route de fictions, entre oublis et retours Menant du centre de la ville de Ouidah-qui, d'après les estimations de l'historien Robin Law (2004), fut le port négrier le plus important d'Afrique, après celui de Luanda en Angola, en nombre d'esclaves y ayant transité, soit un million-à la plage, la Route de l'Esclave est à la fois un programme international et un parcours en terre battue, long d'un peu plus de trois kilomètres qui se compose en six étapes principales : la place de la Vente aux enchères-dite aussi place Chacha du surnom de Felix Francisco de Souza, le plus connu de tous les négriers d'Afrique, dont le pouvoir et les richesses en tant qu'allié du roi Guézo d'Abomey ont pris dans les mémoires locales une dimension légendaire 3 ; l'Arbre de l'Oubli ; la case zomaï ; le mémorial dans le village de Zoungbodji ; l'Arbre du Retour ; la Porte du Non-Retour 4. Conçus comme emblématiques de l'histoire de la traite à Ouidah, ces lieux sont reliés par vingt-deux sculptures aux styles différents qui jalonnent le trajet. Un tel aménagement devrait rappeler à la fois : la souffrance des captifs ; la dimension sacrée des cultes vodun ; la puissance et le prestige des souverains d'Abomey ayant dominé le territoire de Ouidah, après l'avoir arraché, en 1727, à la dynastie « autochtone » huéda, jusqu'à la colonisation française en 1892. Ainsi, mêlant matériaux, compositions plastiques et diverses images de la sujétion, du pouvoir, de la douleur, de la vie religieuse et profane, ces sculptures inscrivent l'histoire locale dans une sorte d'arène commémorative où le souvenir du passé de l'esclavage est associé à la domination des rois du Danhomé ayant précédé (et résisté à) la colonisation française. À cet égard, il faut préciser que les statues commémorant les monarques Site de l'Arbre de l'Oubli, Route de l'Esclave, Ouidah, Bénin. OEuvre de Dominique Gnonnou "Kouas" (cl. Gaetano Ciarcia, 2011).
Études internationales, 1987
Études littéraires africaines, 2012
Tous droits réservés © Association pour l'Étude des Littératures africaines (APELA), 2013 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'
Matériaux pour l'histoire de notre temps, 2007
Cet article propose une histoire de la mémoire de l’esclavage colonial dans les Antilles françaises. Au départ réalité historique dont le souvenir fut soigneusement évité dans une perspective citoyenne et républicaine, l’esclavage devient une donnée mémorielle dans les années 1930, avec le mouvement de la négritude. A partir des années 1990, des groupes de pression deviennent porteurs de revendications spécifiques...
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.