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Le développement durable à découvert
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HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2013
Ambiances, 2008
Experiencing on ambiance with architecture How can research on architectural and urban environments capture spatial and material experiments? While experimentation in architecture is often limited to materials and implementations, technical and constructive devices, prototypes and archetypes, can the atmosphere be experienced ?
2003
L'expose relate dans ce qui suit a ete structure en deux temps : le premier, en echo a la presentation d'Alain Lefebvre, repose la question d'une definition formelle de la notion d'espace public ; le second, en reponse aux questions ecrites et orales des etudiants doctorants, aborde celle de l'"indefinition" de la notion d'ambiance urbaine. Entre les deux, s'ouvre un monde ou les methodes des sciences sociales et celles de la conception urbaine ne peuvent plus eviter de se rencontrer.
Environnement Urbain, 2018
La présence-absence des études urbaines en France Vers une écologie ambiante de l'urbain
Communications, 2002
Il arrive qu'un terme, d'un emploi courant et banal, acquiert une valeur scientifique et contribue à fonder un nouveau domaine d'investigation. Ce changement d'ordre de discours dans l'usage du mot n'est pas sans poser de problèmes théoriques et épistémologiques qui requièrent de toute évidence de nombreuses précautions. Qu'en est-il du terme « ambiance » en train de devenir un des enjeux de la recherche architecturale et urbaine ? Mettre la notion d'ambiance à l'épreuve de la pensée urbaine nécessite à la fois de tester sa portée heuristique et de faire oeuvre de clarification. Autrement dit, comment et à quelles conditions une problématisation de la notion d'ambiance est-elle possible ? En quoi celle-ci nous permet-elle de renouveler nos façons de concevoir l'habiter ? Pour répondre à de telles questions, trois modes complémentaires peuvent être adoptés.
Les Annales De La Recherche Urbaine, 1992
Les espaces publics sont si divers qu'il est impossible d'en faire une catégorie unique ou une entité homogène. Cette diversité se lit dans l'espace, les formes et l'environnement matériels, comme dans les niveaux de définition de l'espace public. Celui-ci ne désigne-t-il pas tour à tour un "espace" politique, social, architectural et urbanistique? Nous nous intéressons pour notre part aux espaces que l'épreuve pratique et ordinaire des villes nous révèle : il s'agit de l'espace urbain que j'arpente et des interactions auxquelles il donne l'occasion de se produire sans cesse. Formes spatiales et formes sociales s'y rencontrent. C'est d'ailleurs là que réside l'intérêt et la difficulté d'une notion comme celle d'espace public ainsi que les enjeux de son aménagement. Celui-ci croise des dimensions de l'environnement (son, lumière, visibilité... objets saisis au niveau sensoriel et physique), du milieu (interactions, échanges, sociaux) et du paysage (formes saisies au plan esthétique), si l'on suit ces distinctions proposées par Amphoux (1992) pour l'environnement sonore. Comment penser en termes de co-détermination les relations entre ces trois dimensions que sont les formes sensitives, les formes sociales et les formes spatiales? Comment mener une approche interdisciplinaire susceptible d'aider l'analyse de nos espaces communs et de renouveler les catégories de conception de l'espace public urbain? Nous supposons que l'expérience et la conception de l'espace public urbain reposent sur des qualités sensibles à partir desquelles les dimensions spatiales et sociales sont étroitement mêlées. Si l'usage des lieux, l'appréciation du cadre urbain et les formes de l'échange social produisent et utilisent ces qualités, comment rendre compte alors de la construction sensible de l'espace public? La porosité du public et du privé L'échelle de saisie urbanistique n'est généralement pas liée à celle de la perception ordinaire, les unités morphologiques se découpent selon une logique de constitution des tissus urbains. Or, l'appréhension sensible a sa propre échelle. L'oeil esthétique porté sur l'espace urbain suppose la mise à distance, en privilégiant le paysage il se met en quelque sorte hors champ.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2022
2000
L'odeur focalise facilement les inquietudes des habitants des villes vis-a-vis de la qualite de l'air. Pour observer les ambiances olfactives en milieu urbain il faut cependant depasser la notion de nuisance et confronter les savoirs, afin de connaitre et comprendre les caracteristiques de la perception olfactive in situ et les phenomenes odorants en rapport aux configurations urbaines.
Rachel THOMAS, 2018
Le propos de cette habilitation à diriger des recherches est de s’interroger sur la possibilité de formuler une critique à l’égard de l’urbain à partir d’une attention aux ambiances et à leurs transformations : quels sont leurs effets sur l’expérience sensible du piéton, ses manières de faire, de percevoir et d’être en public ? La critique n’est pas absente des travaux sur les ambiances architecturales et urbaines. Mais elle est le plus souvent implicite et exclusivement formulée à l’égard des champs de la conception et de l’aménagement à qui nous reprochons leur négligence des dimensions sensibles de l’espace et leur focalisation sur les dimensions techniques et normatives. Ces travaux ont certes contribué à asseoir l’intérêt de la notion d’ambiance pour mieux comprendre la nature des rapports de l’homme à son environnement. Mais ils ont jusqu’à présent laissé de côté la question des enjeux sociétaux - voire des problèmes politiques et moraux - que posent les transformations physiques et sensibles de nos cadres de vie. L’enjeu de ce mémoire d’habilitation à diriger des recherches est précisément de s’emparer de cette question, en proposant des pistes pour construire théoriquement ce que j’appelle une critique sensible de l’urbain. Il s’agit aussi d’essayer de transporter la critique sociale et politique sur le terrain du sensible. Concrètement, je me questionne sur la part des ambiances dans la mise en place de processus de normalisation des conduites piétonnes qui peuvent créer du trouble dans les mécanismes de la civilité, accentuer la vulnérabilité du citadin, reconduire des formes d’exclusion. Qu’est-ce que les cadres spatiaux et sensibles font aux corps et aux sens du piéton ? Quelle est leur part dans le déploiement des pratiques urbaines, dans un attachement au milieu de vie, dans la possibilité d’un « prendre part » à la société ? De quelles manières contribuent-ils à produire ou à reproduire des « mises à l’écart », des indispositions à l’action, des impossibilités à la mobilisation et au partage ?
in La participation créative : vers une gouvernance renouvelée, sous la direction de Yvette Lazerri, 2015
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Les Annales de la recherche urbaine, 1992
Cosmopolitiques: aimons la ville, 2004
VertigO, 2011
Http Www Theses Fr, 2014
Cosmopolitiques - Cahiers théoriques pour l’écologie politique, n° 7, pp. 137-148, 2004
Ecologie & politique, 2004
GéoProximitéS, 2023