Philosophie by Philippe Gac
Version publiée dans Soyons logique (http://www.collegepublications.co.uk/cahiers/?00022)
""The early Russell (Principles of Mathematics, 1903) believed there is nothing essent... more ""The early Russell (Principles of Mathematics, 1903) believed there is nothing essentially
linguistic about propositions and viewed language as a mere psychological contingency.
Then it should be possible to conceive of propositions in such a way that logical
relationships are not dependent on linguistic forms. Here we examine such a contention for
simple propositions, i.e. that do not involve embedded propositions or their nominalized
counterparts. We discuss the construction of such a proposition from its building blocks:
things, concepts and predicates or relations. Many problems already occur and the semantic
chemistry is fraught with specific difficulties. ""

With « On Denoting » (OD, 1905), the philosophy of Russell takes a dramatic turn. Russell contend... more With « On Denoting » (OD, 1905), the philosophy of Russell takes a dramatic turn. Russell contends that the conception of a « denoting concept » he introduced in Principles of Mathematics (PoM, 1903) is wrong: the noun phrase has no correlate on the logical level and, if it is to reflect the logical structure, it should be broken up into quantification, variable et predicate. Russell's logico-semantic arguments relevant to the definite descriptions, especially those linked to the Gray's Elegy passage, will be investigated and discussed. In particular, Russell's distinction between « occurrence as entity » and « as meaning » is wrongly conceived. Once clarified and amended, it appears that the conception is, at least on this point, no longer aporetic: the (used) denoting complex, properly distinguished from the (mentioned) denoting concept, is really the source of no such irrecoverable difficulty. It turns out that Russell discarded his first model quite hastily.

"With « On Denoting » (OD, 1905), the philosophy of Russell takes a dramatic turn... more "With « On Denoting » (OD, 1905), the philosophy of Russell takes a dramatic turn. Russell
contends that the conception of a « denoting concept » he introduced in Principles of Mathem-
atics (PoM, 1903) is wrong: the noun phrase has no correlate on the logical level and, if it is to
reflect the logical structure, it should be broken up into quantification, variable et predicate.
Russell's semantic arguments relevant to the definite descriptions, especially those linked to the
Gray's Elegy passage, will be thoroughly investigated. The fallacy lies, as one could have
expected, in his confusing use and mention… Once clarified and amended, it appears that the
conception is, at least on this point, no longer aporetic: the (used) denoting complex, properly
distinguished from the (mentioned) denoting concept, is really the source of no specific diffi-
culty. It turns out that Russell discarded his first model quite hastily. "

En 1972, dans les conférences qui devaient constituer la matière de
Naming and nece... more En 1972, dans les conférences qui devaient constituer la matière de
Naming and necessity, Kripke semble révolutionner la théorie de la
référence, faisant d'un coup percevoir comme obsolète la théorie
classique dite de Frege - Russell. En 1994, au congrès de l'APA, Smith
suscite un certain émoi en contestant à Kripke l'originalité de
l'essentiel de ses idées, lesquelles auraient été développées dix années
auparavant par (Barcan) Marcus, connue surtout pour ses travaux sur
la logique modale. Il y a un échange assez virulent entre Smith et des
contradicteurs qui se prolonge dans des articles. En 1998, un livre
dirigé par Humphreys et Fetzer rassemble les principaux textes de
l'échange, ainsi que deux articles précurseurs tombés dans l'oubli,
mais ne prend pas partie.
Avant d'analyser les arguments des uns et des autres, il faudra d'abord
faire l'inventaire des différences conceptuelles et pratiques entre la
théorie classique et ce qu'on appelle « la nouvelle théorie de la
référence ». En même temps, comme cette théorie connaît des nuances
selon les auteurs, ce sera l'occasion d'étudier la généalogie des idées.
Il faudra bien entendu étudier en détail les deux travaux impliqués de
Marcus (1963) et Kripke (1972), ainsi que les travaux adjacents. On
s'attachera à étudier plus précisément les apports respectifs de Marcus
et Kripke, et l'on tentera d'établir si Marcus était effectivement un
précurseur, Kripke ayant alors pour seul mérite d'avoir assuré la
popularité du modèle.
Ensuite, on examinera aussi soigneusement les travaux d'autres philo-
sophes de l'époque dont l'un ou l'autre aurait pu s'inspirer, et l'on
tentera de comparer les apports de chacun d'entre eux.
L'ensemble sera l'occasion d'une étude d'une des théories les plus
importantes de la philosophie analytique, dans son évolution de
Russell à Kripke.
Compte rendu de lecture "L'irrationnel" de Gilles Gaston Granger
Après la polémique du livre Impostures intellectuelles de Sokal et Bricmont
Sur la «mémoire de l'eau», suite à une conférence de Jacques Benveniste.
Linguistique by Philippe Gac

NERBONNE (On fera référence à cet article par F&N) (Computational Linguistics 18.3, Sept 92, p269... more NERBONNE (On fera référence à cet article par F&N) (Computational Linguistics 18.3, Sept 92, p269..309) 1. Les compléments adjectivaux infinitifs en anglais (infinitive avec to) a) Panorama On [S. GREENBAUM, R. QUIRK, Student's Grammar of the English Language 16.40] peut distinguer en anglais 7 classes d'adjectifs acceptant une infinitive comme complément, que l'on retrouve en français avec des prépositions différentes : Bob is silly to wait Bob est stu pide d'atten dre Bob is slow to react Bob est len t à réagir Bob is happy to leave Bob est joyeux de partir Bob is relu ctan t to leave Bob est réticen t à partir Bob is hard to con vin ce Bob est dur à con vain cre The food is ready to eat Le plat est prêt à servir It is im portan t to be accu rate Il est im portan t d'être précis Dans les quatre premières phrases, le sujet de la proposition principale peut être considéré comme celui vide de l'infinitive subordonnée ; dans les deux suivantes au contraire, le sujet de la proposition principale est plutôt son objet. Dans le seul premier cas, on peut insérer un objet dans la phrase infinitive, dans le seul second cas, on peut lui spécifier un sujet ; dans le septième paradigme, à phrase principale impersonnelle, on peut ajouter à la fois un sujet et un objet : Bob is silly to do that Bob est stu pide de faire cela Bob is slow to u n derstan d the joke Bob est len t à com pren dre la blague Bob is happy to hear his son Bob est joyeu x d'en ten dre son fils Bob is relu ctan t to leave Paris Bob est réticen t à qu itter Paris The food is ready Le plat est prêt Avec le cas , les propriétés concordent pour les adjectifs anglais et leur homologue français : This tool is am usin g to u se Cet ou til est am usan t à utiliser This prom ise is (im p ossible + ...) to keep Cette prom esse est (im p ossible + ...) à ten ir This book is (difficult + p leasant + am usin g + annoy ing + boring + dep ressing + ...) to read Ce livre est (difficile + agréab le + am usan t + ?contrariant + ennuy eux + dép rim ant + ...) à lire

A partir d'une certaine intuition de la notion d'incidence, on parvient à expliquer
... more A partir d'une certaine intuition de la notion d'incidence, on parvient à expliquer
naturellement les diverses distributions observées. Si le cadre méthodologique
s'écarte du dogme transformationnaliste, l'examen systématique des propriétés sur un
large échantillon a permis de vérifier les affirmations et de réfuter quelques préjugés.
D'une part, on met en évidence quelques propriétés cohérentes intuitivement
naturelles et distributionnellement systématiquement vérifiées, d'autre part, on
montre que d'autres propriétés traditionnellement associées à l'incidence, et parfois
même considérées comme définitoires, n'y sont en fait liées qu'accidentellement.
On définit d'abord trois niveaux d'incidence de l'adverbe. Dans le cadre de ces
«incidences primordiales», on peut préciser des incidences "secondaires",
caractérisées au moyen de propriétés syntaxiques plus spécifiques. On n'obtient pas
toujours une partition, mais parfois seulement des propriété structurantes, du fait
qu'on s'est refusé à suivre aveuglément des critères. Cela fournit un panorama
représentatif des adverbes, dans des emplois auparavant laissés de côté, et permet de
consolider les frontières «primordiales». Enfin, on vérifie que ce découpage se
retrouve plus ou moins dans les propriétés syntaxiques autant que logico-
sémantiques.
Informatique by Philippe Gac
Laboratoire d'Automatique Documentaire et Linguistique
Wimel est un éditeur entièrement écrit en CAML dont l'intérêt, plus
que de fournir un éditeur... more Wimel est un éditeur entièrement écrit en CAML dont l'intérêt, plus
que de fournir un éditeur utilisable et performant, est de formaliser
dans ce langage ce qu'est un éditeur plein écran de lignes, c'est à
dire un programme permettant d'éditer de manière interactive un
texte structuré en lignes de caractères. Renonçant à l'efficacité, les
données ont été structurées au maximum et les actions
décomposées selon ces structures.
Dans son état actuel, Wimel comporte toutes les fonctions
fondamentales d'un éditeur (insertion, suppression, déplacement) et
gère les scrollings horizontaux et verticaux. Il peut manipuler
plusieurs textes affichés dans des fenêtres différentes, un même
texte pouvant être visible dans plusieurs fenêtres.
Philippe Gac Laboratoire d'Automatique Documentaire et Linguistique Université PARIS VII 2 Place ... more Philippe Gac Laboratoire d'Automatique Documentaire et Linguistique Université PARIS VII 2 Place Jussieu 75005 PARIS Un interpréteur de formatage lundi 22 décembre 2003
Listing commenté de l'intégralité de l'implémentation du système et du langage Basic dans la ROM ... more Listing commenté de l'intégralité de l'implémentation du système et du langage Basic dans la ROM du Sharp PC-1500.
XMON est un environnement de programmation en langage machine sur Sharp PC-1500. Il comprend édit... more XMON est un environnement de programmation en langage machine sur Sharp PC-1500. Il comprend éditeur, moniteur, assembleur, déassembleur. Ce manuel d'utilisation inclut un cours de langage machine et une description complète du système.
Éditeur pleine page pour Sharp PC-1500.
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Philosophie by Philippe Gac
linguistic about propositions and viewed language as a mere psychological contingency.
Then it should be possible to conceive of propositions in such a way that logical
relationships are not dependent on linguistic forms. Here we examine such a contention for
simple propositions, i.e. that do not involve embedded propositions or their nominalized
counterparts. We discuss the construction of such a proposition from its building blocks:
things, concepts and predicates or relations. Many problems already occur and the semantic
chemistry is fraught with specific difficulties. ""
contends that the conception of a « denoting concept » he introduced in Principles of Mathem-
atics (PoM, 1903) is wrong: the noun phrase has no correlate on the logical level and, if it is to
reflect the logical structure, it should be broken up into quantification, variable et predicate.
Russell's semantic arguments relevant to the definite descriptions, especially those linked to the
Gray's Elegy passage, will be thoroughly investigated. The fallacy lies, as one could have
expected, in his confusing use and mention… Once clarified and amended, it appears that the
conception is, at least on this point, no longer aporetic: the (used) denoting complex, properly
distinguished from the (mentioned) denoting concept, is really the source of no specific diffi-
culty. It turns out that Russell discarded his first model quite hastily. "
Naming and necessity, Kripke semble révolutionner la théorie de la
référence, faisant d'un coup percevoir comme obsolète la théorie
classique dite de Frege - Russell. En 1994, au congrès de l'APA, Smith
suscite un certain émoi en contestant à Kripke l'originalité de
l'essentiel de ses idées, lesquelles auraient été développées dix années
auparavant par (Barcan) Marcus, connue surtout pour ses travaux sur
la logique modale. Il y a un échange assez virulent entre Smith et des
contradicteurs qui se prolonge dans des articles. En 1998, un livre
dirigé par Humphreys et Fetzer rassemble les principaux textes de
l'échange, ainsi que deux articles précurseurs tombés dans l'oubli,
mais ne prend pas partie.
Avant d'analyser les arguments des uns et des autres, il faudra d'abord
faire l'inventaire des différences conceptuelles et pratiques entre la
théorie classique et ce qu'on appelle « la nouvelle théorie de la
référence ». En même temps, comme cette théorie connaît des nuances
selon les auteurs, ce sera l'occasion d'étudier la généalogie des idées.
Il faudra bien entendu étudier en détail les deux travaux impliqués de
Marcus (1963) et Kripke (1972), ainsi que les travaux adjacents. On
s'attachera à étudier plus précisément les apports respectifs de Marcus
et Kripke, et l'on tentera d'établir si Marcus était effectivement un
précurseur, Kripke ayant alors pour seul mérite d'avoir assuré la
popularité du modèle.
Ensuite, on examinera aussi soigneusement les travaux d'autres philo-
sophes de l'époque dont l'un ou l'autre aurait pu s'inspirer, et l'on
tentera de comparer les apports de chacun d'entre eux.
L'ensemble sera l'occasion d'une étude d'une des théories les plus
importantes de la philosophie analytique, dans son évolution de
Russell à Kripke.
Linguistique by Philippe Gac
naturellement les diverses distributions observées. Si le cadre méthodologique
s'écarte du dogme transformationnaliste, l'examen systématique des propriétés sur un
large échantillon a permis de vérifier les affirmations et de réfuter quelques préjugés.
D'une part, on met en évidence quelques propriétés cohérentes intuitivement
naturelles et distributionnellement systématiquement vérifiées, d'autre part, on
montre que d'autres propriétés traditionnellement associées à l'incidence, et parfois
même considérées comme définitoires, n'y sont en fait liées qu'accidentellement.
On définit d'abord trois niveaux d'incidence de l'adverbe. Dans le cadre de ces
«incidences primordiales», on peut préciser des incidences "secondaires",
caractérisées au moyen de propriétés syntaxiques plus spécifiques. On n'obtient pas
toujours une partition, mais parfois seulement des propriété structurantes, du fait
qu'on s'est refusé à suivre aveuglément des critères. Cela fournit un panorama
représentatif des adverbes, dans des emplois auparavant laissés de côté, et permet de
consolider les frontières «primordiales». Enfin, on vérifie que ce découpage se
retrouve plus ou moins dans les propriétés syntaxiques autant que logico-
sémantiques.
Informatique by Philippe Gac
que de fournir un éditeur utilisable et performant, est de formaliser
dans ce langage ce qu'est un éditeur plein écran de lignes, c'est à
dire un programme permettant d'éditer de manière interactive un
texte structuré en lignes de caractères. Renonçant à l'efficacité, les
données ont été structurées au maximum et les actions
décomposées selon ces structures.
Dans son état actuel, Wimel comporte toutes les fonctions
fondamentales d'un éditeur (insertion, suppression, déplacement) et
gère les scrollings horizontaux et verticaux. Il peut manipuler
plusieurs textes affichés dans des fenêtres différentes, un même
texte pouvant être visible dans plusieurs fenêtres.
linguistic about propositions and viewed language as a mere psychological contingency.
Then it should be possible to conceive of propositions in such a way that logical
relationships are not dependent on linguistic forms. Here we examine such a contention for
simple propositions, i.e. that do not involve embedded propositions or their nominalized
counterparts. We discuss the construction of such a proposition from its building blocks:
things, concepts and predicates or relations. Many problems already occur and the semantic
chemistry is fraught with specific difficulties. ""
contends that the conception of a « denoting concept » he introduced in Principles of Mathem-
atics (PoM, 1903) is wrong: the noun phrase has no correlate on the logical level and, if it is to
reflect the logical structure, it should be broken up into quantification, variable et predicate.
Russell's semantic arguments relevant to the definite descriptions, especially those linked to the
Gray's Elegy passage, will be thoroughly investigated. The fallacy lies, as one could have
expected, in his confusing use and mention… Once clarified and amended, it appears that the
conception is, at least on this point, no longer aporetic: the (used) denoting complex, properly
distinguished from the (mentioned) denoting concept, is really the source of no specific diffi-
culty. It turns out that Russell discarded his first model quite hastily. "
Naming and necessity, Kripke semble révolutionner la théorie de la
référence, faisant d'un coup percevoir comme obsolète la théorie
classique dite de Frege - Russell. En 1994, au congrès de l'APA, Smith
suscite un certain émoi en contestant à Kripke l'originalité de
l'essentiel de ses idées, lesquelles auraient été développées dix années
auparavant par (Barcan) Marcus, connue surtout pour ses travaux sur
la logique modale. Il y a un échange assez virulent entre Smith et des
contradicteurs qui se prolonge dans des articles. En 1998, un livre
dirigé par Humphreys et Fetzer rassemble les principaux textes de
l'échange, ainsi que deux articles précurseurs tombés dans l'oubli,
mais ne prend pas partie.
Avant d'analyser les arguments des uns et des autres, il faudra d'abord
faire l'inventaire des différences conceptuelles et pratiques entre la
théorie classique et ce qu'on appelle « la nouvelle théorie de la
référence ». En même temps, comme cette théorie connaît des nuances
selon les auteurs, ce sera l'occasion d'étudier la généalogie des idées.
Il faudra bien entendu étudier en détail les deux travaux impliqués de
Marcus (1963) et Kripke (1972), ainsi que les travaux adjacents. On
s'attachera à étudier plus précisément les apports respectifs de Marcus
et Kripke, et l'on tentera d'établir si Marcus était effectivement un
précurseur, Kripke ayant alors pour seul mérite d'avoir assuré la
popularité du modèle.
Ensuite, on examinera aussi soigneusement les travaux d'autres philo-
sophes de l'époque dont l'un ou l'autre aurait pu s'inspirer, et l'on
tentera de comparer les apports de chacun d'entre eux.
L'ensemble sera l'occasion d'une étude d'une des théories les plus
importantes de la philosophie analytique, dans son évolution de
Russell à Kripke.
naturellement les diverses distributions observées. Si le cadre méthodologique
s'écarte du dogme transformationnaliste, l'examen systématique des propriétés sur un
large échantillon a permis de vérifier les affirmations et de réfuter quelques préjugés.
D'une part, on met en évidence quelques propriétés cohérentes intuitivement
naturelles et distributionnellement systématiquement vérifiées, d'autre part, on
montre que d'autres propriétés traditionnellement associées à l'incidence, et parfois
même considérées comme définitoires, n'y sont en fait liées qu'accidentellement.
On définit d'abord trois niveaux d'incidence de l'adverbe. Dans le cadre de ces
«incidences primordiales», on peut préciser des incidences "secondaires",
caractérisées au moyen de propriétés syntaxiques plus spécifiques. On n'obtient pas
toujours une partition, mais parfois seulement des propriété structurantes, du fait
qu'on s'est refusé à suivre aveuglément des critères. Cela fournit un panorama
représentatif des adverbes, dans des emplois auparavant laissés de côté, et permet de
consolider les frontières «primordiales». Enfin, on vérifie que ce découpage se
retrouve plus ou moins dans les propriétés syntaxiques autant que logico-
sémantiques.
que de fournir un éditeur utilisable et performant, est de formaliser
dans ce langage ce qu'est un éditeur plein écran de lignes, c'est à
dire un programme permettant d'éditer de manière interactive un
texte structuré en lignes de caractères. Renonçant à l'efficacité, les
données ont été structurées au maximum et les actions
décomposées selon ces structures.
Dans son état actuel, Wimel comporte toutes les fonctions
fondamentales d'un éditeur (insertion, suppression, déplacement) et
gère les scrollings horizontaux et verticaux. Il peut manipuler
plusieurs textes affichés dans des fenêtres différentes, un même
texte pouvant être visible dans plusieurs fenêtres.